Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "Bicentenaire de Napoléon : l'ombre de Bonaparte sur Paris" video.

  1. Et ni en Corse, figurez vous, @Thérèse Ngoboh, tout au moins pour ce qui est d'une part non négligeable des corses. En effet, Napoléon a pu parfois flatter notre orgueil, notre vanité, plutôt, du fait de sa renommée internationale, mais le personnage de notre Histoire qui parle à notre coeur, ce n'est pas lui, c'est Pasquale Paoli, "Babbu di a Patria" ("Père de la patrie"), que Napoléon finit par trahir par pure opportunisme au service de ses ambitions personnelles démesurées après avoir été l'un de ses plus ardents partisans, un peu comme son père, Carlo-Maria Bonaparte, qui, au lendemain de la défaite de Pontenovu, le 8 mai 1769, s'empressa de tourner opportunément casaque en se mettant au service des nouveaux maîtres français après avoir été le secrétaire et un des lieutenants de Paoli, et, même, le rédacteur de l'ardent "Appel à la jeunesse corse" de mai 1768.
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