Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "Napoléon, héros ou tyran ?" video.
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Le plus cocasse, @Star Gate, c'est que, juridiquement parlant, la France était théoriquement et paradoxalement toujours une "République" sous l'Empire, la Constitution de l'an XII disposant : "Le gouvernement de la République est confié à un empereur", dans la droite ligne de l'inspiration des institutions de la Rome antique. L' Empire, d'ailleurs loin d'être un caprice mégalomaniaque de Napoléon, correspondait, en réalité, à un objectif politique précis de sa part : faire accepter la France issue de la Révolution par une Europe presque exclusivement composée de monarchies héréditaires, en donnant à son gouvernement une forme monarchique, acceptation qu'il ne parvint d'ailleurs jamais à obtenir vraiment, sauf très temporairement, ça et là, et uniquement par la force.
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Entre le retour de Paoli en Corse, le 14 juillet 1790, et le départ définitif des Bonaparte, en juin 1793, il s'est tout de même passé beaucoup de choses en Corse, impliquant très fortement Napoléon, pratiquement paoliste jusqu'en avril 1793, sur lesquelles ils posent un voile pudique, comme d'habitude..... Notons d'ailleurs que son "baptême du feu", il ne l'eût pas à Toulon, mais bien, au début de 1793, en commandant, en tant que lieutenant-colonel en second de la garde-nationale d'Ajaccio, l'opération de diversion menée sur l'île de la Maddalena, dans le cadre de la désastreuse opération de Sardaigne ordonnée par la Convention.
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Non, @purpleskull187 , pas depuis Louis XIV, depuis Louis XV, et encore, par le traité de Versailles de mai 1768, la République de Gènes ne faisait que confier provisoirement au roi de France l'exercice de sa souveraineté sur la Corse en gage du remboursement futur de ses dettes astronomiques contractées auprès de la Couronne de France. En plus, Gènes traita avec la France alors même qu'elle ne contrôlait plus rien dans l'île, Nation indépendante de fait depuis au moins 14 ans, il fallut donc à la France la conquérir par les armes, la guerre franco-corse ayant duré une année entière. Quand on est un inculte, on s'abstient de dire n'importe quoi....
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La Russie traitait et commerçait avec l'Angleterre en violation des engagements pris par le Tsar à Tilsit en 1807 et renouvelés à Erfurt en 1809, @toukabrinizar3268 , c'était objectivement un "casus-belli". Au début, la campagne de Russie se passa plutôt bien pour Napoléon, battant les armées russes à Smolensk et, surtout, à Borodino, et prenant Moscou, mais, outre qu'il avait négligé l'immensité du territoire russe, véritable défi à la logistique de la Grande armée, il fut finalement battu par deux éléments combinés : la tactique de la "terre brûlée" pratiquée par les Russes, dont la manifestation la plus spectaculaire fut le grand incendie volontaire de Moscou, et l'arrivée du terrible hiver russe, le fameux "Général hiver".
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À ce niveau là, @Aetius, on pourrait aussi le comparer au Géorgien Staline qui, fait, lui aussi, par une Révolution, arrivera au sommet, à la tête de l'immense Russie, derrière la fiction de l'Union soviétique. En plus, les polyphonies géorgiennes ressemblent étrangement aux polyphonies corses, LOL.....
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Dans ce domaine novateur également, @larespalme , ça ne m'étonnerait pas qu'il se soit inspiré d'un précédent dont il avait certainement entendu parler dans sa jeunesse, notamment de la part du vieux général Pasquale Paoli, idole de ses jeunes années, les "Ragguagli dell'isola di Corsica" ("Gazette de l'île de Corse"), régulièrement publiés dans l'île, sous l'égide du Gouvernement national, de 1760 à 1769, et qui sont, aujourd'hui, une mine d'informations pour les historiens de la Corse.
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Le bien et le mal, @Jarodeightstyle , ne sont pas autre chose que des concepts moraux purement humains, de nature cuturelle, indispensables à toute vie en société, et ils sont d'ailleurs variables dans l'espace et dans le temps. Non, il n'y a ni paradis ni enfer, mais ce que je sais, c'est que tous ceux qui, en tout temps et en tout lieu, ont prétendu faire la "paradis sur Terre" n'ont jamais réussi qu'à y créer l'enfer, tant il est vrai que ce dernier est "pavé de bonnes intentions" comme on dit.
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Ah bon, @Jarodeightstyle , parce que tes délires mystiques sans queue ni tête, tu appelles ça de la "logique", toi ? Et qui es tu, pauvre demeuré illettré et fanatique, pour me traiter d'abruti ?, démontre moi par un raisonnement logique, par A + B, en quoi ce que j'ai écrit relèverait de l'abrutissement ?, tu sais, ce n'est pas parce que tu es trop stupide pour comprendre le sens d'un raisonnement logique que ce dernier est forcément idiot. Tu me fais penser à un passage précis d'un vieux sketche de Fernand Reynaud que tu trouveras facilement sur YouTube, "le douanier".....
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Des Africains au débarquement du 6 juin 1944 en Normandie, @pto1871 ?, où ça, quand ça ? Au débarquement de Provence, le 15 août suivant, oui, il y en avait, mais certainement pas en Nomandie ou, le D Day, ne furent parachutés et ne debarquèrent que des Américains, des Britanniques, des Canadiens, peut être quelques Polonais, Tchécoslovaques et néerlandais, et la poignée de Français métropolitains du commando de marine Kieffer.
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Intéressante mise au point, @monoi ragelila, j'ajouterai que Napoléon Bonaparte avait, en fait, en tant qu'homme d'ordre et de pouvoir, une conception fondamentalement pragmatique et utilitaire de la religion, et c'est pour cela qu'en Égypte ils ménaga l'Islam en lui donnant la "carotte", confiant à ses officiers : "si je devais gouverner un pays musulman, je n'hésiterais pas à me faire mahométan", tout en sachant également manier le bâton, si nécessaire, en réprimant très durement, par exemple, la révolte du Caire du 21 octobre 1798. C'est dans le même état d'esprit qu'une fois au pouvoir en France, il conclut le Concordat avec le pape, rétablissant ainsi la paix religieuse et déclarant à ce propos : "Ce qui me fascine dans la religion, ce n'est pas temps le mystère de l'incarnation que celui de l'ordre social", "l'opium du peuple" de Karl Marx avant la lettre, en quelque sorte, mais dans le "sens du manche", au profit de l'ordre établi.
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