Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "Eric Zemmour sur CNEWS : Les banlieues sont gorgées d’allocations sociales et de privilèges" video.
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Donc, @michetovannoufi8882, si je te comprends bien, au lendemain de chacun des attentats Jihadistes qui ont ensanglanté la France depuis les crimes de Mohamed Merah en 2012 et de chaque crime de droit commun perpétré par une personne de confession musulmane comme le meurtre atroce de Lola, il devrait y avoir eu des émeutes Islamophobes avec ratonnades massives, dévastation et pillage de commerces halal, incendies volontaires de mosquées et salles de prières, c'est bien ça ? Le "pas d'amalgame", ce n'est pas à géométrie variable, tu sais, ce n'est pas exclusivement réservé aux seuls musulmans, c'est également valable pour les flics......
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Et vous, @ahmedbouhya9853, vous avez massacré, pillé et réduit en esclavage les miens en incendiant tant de nos villages, durant des siècles de razzias Maures, Sarrasines, puis Barbaresques, sur mon île entre-autres contrées chrétiennes du bassin méditerranéen et parfois, même, au-delà. Là aussi l'addition sera salée, vous voulez qu'on vous la fasse payer ?.....
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Je ne parlais pas de ce passé là, @Yehmanu , les Corses ont mis longtemps à se sentir vraiment français, mais d'un passé un-peu plus récent. Napoléon Bonaparte, lui même animé de sentiments patriotiques corses et anti-français dans sa prime-jeunesse, avant d'être rattrapé par son ambition dévorante et le souci d'assurer la fortune du clan familial, traita très durement son île natale une fois à la tête de la France. En fait, c'est son neveu, Napoléon III, qui, par une politique bien plus bienveillante, a vraiment fait la Corse française dans les esprits et dans les cœurs. Il disait d'ailleurs : "Pour moi, la Corse n'est pas un département comme les autres, c'est une famille". Bien-sûr que l'assimilation n'a absolument rien de naturel, c'est au contraire un choix délibéré et un effort sur soi-même. Disons que c'est du second Empire aux années 60 du XXème siècle, que le patriotisme français a été le plus unanime en Corse, mais, comme on dit, chassez le naturel, il revient au galop tôt ou tard.....
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Ce n'est pas une guerre civile, @antoineorsatelli347, caru cumpatriotu, une guerre civile ça déchire un seul et même peuple, une seule et même nation, c'est une guerre de conquête et de colonisation menée par un ennemi, certes intérieur car installé, incrusté, plus précisément, sur le territoire national, mais qui n'en est pas moins totalement étranger à notre peuple et à notre nation..... Quantunque, indhé noi, si tenenu tranquilli, ùn si movenu mica, e a sapemu perché, chi ùn ci lascemu mica fà, noi......
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L'assimilation, @ChloePerez-i3s , c'est faire nôtre tout ce que nous devons avoir en commun et en partage pour vivre vraiment ensemble en "faisant nation", à commencer par une langue commune, une Histoire commune, une civilisation commune, une culture de référence commune, des valeurs communes, un mode de vie commun, je dis bien "communes" et "commun", pas forcément exclusives et exclusif, sans nécessairement renoncer, dans notre sphère privée, à tout ce qui nous est propre dans la mesure où c'est compatible avec cet indispensable socle commun. Ce principe de fusion se situe donc bien aux antipodes du racisme qui, lui, pousse à son exact contraire, le communautarisme, le développement séparer, la ségrégation et l'apartheid de fait. On ne peut pas vivre ensemble sans rien en commun, sans rien en partage, sinon, on vit chacun de son côté comme enfermé dans ses différences conçues comme un horizon absolu et indépassable, en attendant de vivre les uns contre les autres.
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Écoute, @ChloePerez-i3s , âgé de 65 ans, je suis Corse, parfaitement corsophone, et celle qui est mon épouse plus de 39 ans est Réunionnaise d'origine chinoise, sa langue maternelle et familiale étant le chinois cantonais et sa langue de sociabilité dans son île natale étant de créole réunionnais, et bien, ce que nous avons en partage et en commun au-delà de nos différences respectives que nous ne renions en aucune manière et qui nous permet de vivre ensemble, c'est justement le fait d'être pleinement Français par l'assimilation telle que je l'ai précisément décrite. Quant à la même planète, ce n'est pas une histoire, mais des histoires, une multitude d'histoires même, l'humanité étant, par définition même, fondamentalement diverse. Quant à ce à quoi nous assistons un-peu partout en France depuis trois jours, sauf chez moi en Corse, et pour cause, avec pour point d'orgue, l'attaque, ce matin, à la voiture-bélier incendiaire du domicile familial du maire de l'Hay-les-Roses, sous le prétexte d'une tragique bavure policière dont la Justice est d'ailleurs saisie, c'est un-peu comme si, au lendemain de chacun des attentats Jihadistes qui ont ensanglanté la France depuis les crimes de Mohamed Merah en 2012 et de chaque crime de droit commun perpétré par une personne de confession musulmane comme le meurtre atroce de la petite Lola, par exemple, on avait assisté dans toute la France à des émeutes Islamophobes avec ratonnades massives, dévastation et pillage de commerces halal et incendies volontaires de mosquées et salles de prières musulmanes. Le "pas d'amalgame", @user-bi5bc3wz8e, ce n'est pas à géométrie variable, ce n'est pas exclusivement réservé aux seuls musulmans, et il n'y a aucune raison pour que ça ne s'applique pas également aux policiers et au gendarmes.
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Décidément, l'ennemi intérieur est déchaîné sur cette section "commentaires", normal, "il n'y a que la vérité qui blesse" comme on dit.....Il ne faut plus polémiquer avec eux, il faut cogner , voire tirer dans le tas tant il est vrai qu'ils ne comprennent et ne respectent qu'une seule chose, la force, comme en témoignent leurs deux dictons suivants : "Quand tu es mouton, je suis lion, mais si c'est toi qui es lion, alors, je deviens mouton" et "Baise la main que tu ne peux couper". Pourquoi croyez vous qu'ils ne bougent pas, chez nous, en Corse, bien qu'y étant plus de 42.000 sur une population totale de l'île de 350.000 habitants en arrondissant ?....
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Les migrants africains subsahariens sont encore plus mal lotis en Algérie, @redhabencharifmadani5424 . Non, les Arabo-musulmans et Berbères arabisés et islamisés n'ont pas colonisé à proprement parler la moitié de l'Afrique, si l'on excepte le Soudan, la Mauritanie, la Somalie, Zanzibar, plaque tournante de la traite négrière orientale, et les Comores, ils ont fait bien pire, ils ont vidé l'Afrique subsaharienne de sa substance avec plus de 13 siècles de traite négrière arabo-musulmane tant orientale que transsaharienne, environ 17 millions de victimes selon l'ethnologue et historien Sénégalais Tidiane N'diaye dans son remarquable ouvrage intitulé "Le génocide voilé - La traite négrière arabo-musulmane". Quand on colonise stricto-sensu, au-moins on construit quelque-part. Si vous nous détestez tant, rasez donc toutes les infrastructures en tout genre que nous vous avons laissées et revenez au temps des razzias, LOL.... Je pourrais également évoquer des siècles de razzias maritimes esclavagistes Maures, Sarrasines puis Barbaresques dans tout le bassin méditerranéen et même, parfois, au-delà, mon île de Corse en ayant été particulièrement victime à tel point que la mémoire de ce fléau chronique multiséculaire est inscite dans son paysage à travers ce dense réseau de tours de guet, dites "tours genoises", ceinturant son littoral, qui en fut la conséquence directe.
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Dans les pays du Maghreb, @redhabencharifmadani5424 , les noirs sont appelés "abed" / abid" ou "oussif", ce qui signifie littéralement "esclave". Quand je faisais mes études de droit, à Paris, fin des années 70 début des années 80, j'avais un camarade Malien, Doumbia, qui, avant de venir poursuivre ses études en France, avait fait sa première année de droit à la Faculté d'Alger. Il m'avait raconté par le menu leur vie quotidienne là-bas, à lui et aux autres étudiants africains subsahariens, avant de conclure : "Mais ici, à Paris, c'est le paradis à côté".
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Non, @redhabencharifmadani5424 , je suis en plein dans le sujet, c'est vous qui esquivez avec votre approche puérilment manichéenne des choses. L'homme a toujours été un loup pour l'homme en tout temps et en tout lieu, l'ampleur de ses méfaits ne variant qu'en fonction de celle des moyens humains, matériels, techniques, technologiques, scientifiques et logistiques dont il peut disposer à tel ou tel moment pour les perpétrer, alors, apprenez enfin à balayer devant votre propre porte avant de passer votre temps à le faire devant la nôtre, ce que nous faisons très bien nous-mêmes, rassurez vous, ayant même une certaine tendance à lautoculpabilisation comme quand, par exemple, le président Macron a qualifié globalement et sans aucune nuance la colonisation de crime contre l'humanité. Autre exemple, la traite négrière transatlantique est la seule, à ce jour, à avoir été très officiellement reconnue comme "crime contre l'humanité", à quand la même chose pour les traites négrières orientale et transsaharienne ? Quant à ce qui se passe depuis quatre jours, un-peu partout en France, sous le prétexte d'une tragique bavure policière d'ailleurs entre les mains de la Justice, c'est un-peu comme si, au lendemain de chacun des attentats Jihadistes qui ont ensanglanté la France depuis les crimes de Mohamed Merah en 2012 et de chaque crime de droit commun perpétré par une personne de confession musulmane comme le meurtre atroce de la petite Lola, par exemple, on avait assisté à des émeutes Islamophobes avec ratonnades massives, dévastation et pillage de commerces halal et incendies volontaires de mosquées et salles de prières. Le "pas d'amalgame", mon cher, ce n'est pas à géométrie variable, ce n'est pas exclusivement réservé aux seuls musulmans, ça peut également tout aussi bien s'appliquer aux policiers et aux gendarmes figurez vous.
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BON, ÉCOUTEZ LES PINZUTI, CHEZ NOUS, EN CORSE, NOUS AVONS UNE POPULATION ISSUE DE L'IMMIGRATION MAGHRÉBINE, ESSENTIELLEMENT MAROCAINE ET TUNISIENNE, TRÈS PEU ALGÉRIENNE, DE PLUS DE 42.000 MEMBRES, SUR UNE POPULATION TOTALE DE L'ÎLE DE 350.000 HABITANTS EN ARRONDISSANT, AUCUNE ÉMEUTE, AUCUNE VIOLENCE DE LEUR PART CONTRAIREMENT À CE QUI SE PASSE EN CE MOMENT MÊME UN-PEU PARTOUT SUR LE CONTINENT, ILS NE BOUGENT PAS. DEMANDEZ VOUS POURQUOI, TROUVEZ LA RÉPONSE ET VOUS SAUREZ ENFIN QUOI FAIRE.....
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Ça donne quoi en français ça, @yacineguehguih1681 ? Ça veut dire quoi, par exemple, "sinisme" ?, le "cynisme", OK, je connais, mais le "sinisme", désolé, je ne sais pas ce que c'est.... Et "dérice", ça veut dire quoi ça ?, d'où cela sort il ?....
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Je ne suis pas vraiment d'accord avec la définition de l'assimilation que donne ici Éric Zemmour. Pour moi, l'assimilation ça consiste à faire nôtre, au-delà de nos différences, tout ce que nous devons avoir en commun, en partage, pour vraiment vivre ensemble en faisant nation, à commencer par une langue commune, une Histoire commune, une civilisation commune, une culture de référence commune, des valeurs communes, un mode de vie commun, je dis bien "communes" et "commun", pas nécessairement exclusives et exclusif, sans pour autant forcément renoncer, dans notre sphère privée, à ce qui nous est propre, dans la mesure où c'est compatible avec cet indispensable socle commun. Une assimilation exclusiviste dans le sens où semble l'entendre Éric Zemmour peut conduire à une "désintégration", au sens littéral du mot, citoyenne, à une perte du sentiment d'appartenance à la nation française même, comme le montre l'exemple de ma petite patrie corse. En effet, c'était quand le corse était la langue maternelle et usuelle quotidienne de la quasi totalité des Corses, le français n'étant alors dans l'île que celle de l'école et de la vie publique et administrative, que le patriotisme français y était le plus fort et le plus anonyme, la "grande patrie" française et la "petite patrie" corse, comme on disait alors, étant, en ce temps-là, indissolublement liées dans le même attachement, le même amour. Les près de 50.000 Corses mobilisés en 14-18, dont les plus de 12.000 morts pour la France, les 10 à 15.000 maquisards corses qui, en septembre 1943, furent, par leur initiative d'insurrection générale, la source de la libération anticipée de l'île, n'avaient pas, pour la quasi totalité d'entre eux, le français pour langue maternelle et usuelle de la vie quotidienne dans la sphère privée, ils ne s'en sentaient pas moins ardemment et profondément français de toute leur âme comme en témoignait d'ailleurs le fameux serment de Bastia prononcé le 4 décembre 1938 en réponse aux prétentions annexionnistes de l'Italie fasciste : "Face au monde, de toute notre âme, sur nos gloires, sur nos tombes, sur nos berceaux, nous jurons de vivre et de mourir français". Alors qu'aujourd'hui, regardez toute une partie de nos jeunes, moins ils maîtrisent correctement la lingua corsa, moins il connaissent vraiment l'Histoire de leur petite patrie, en ayant le plus souvent une vision magnifiée et simplifiée jusqu'à la caricature, plus ils se sont éloignés des valeurs traditionnelles de notre île, et moins ils se sentent Français, plus ils se disent "nationalistes corses", plus ils se sont artificiellement construits, même, une véritable haine de la France et des Français. Alors, oui, monsieur Zemmour, je me reconnais pleinement dans l'Histoire de la France et de ses Rois, mais elle n'en remplace pas pour autant, dans mon cœur et dans mon esprit, la longue Histoire spécifique de mon île, les deux s'y conjuguant de manière naturellement complèmentaire. Alors, Éric, ne me demandez pas de choisir entre la langue française, notre bien commun à tous, et la lingua corsa, héritage de tous les miens, entre le drapeau tricolore de la République française et notre vieux drapeau national blanc à tête de Maure, entre la Marseillaise et le Diu vi salve Regina, notre vieil hymne national officiellement adopté en janvier 1735, entre le souvenir de Pasquale Paoli, "Babbu di a Patria" ("Père de la Patrie") et celui de Napoléon Bonaparte, symbole de la Corse française, entre la mémoire de nos ancêtres morts pour la patrie corse, parfois même contre les armées du roi de France comme dans la nuit du 8 au 9 mai 1769 à Pontenovu, et celle de tous les Corses morts pour la France, en particulier au cours des deux guerres mondiales, car toutes ces choses sont indissolublement partie intégrante de ce que je suis. Mais attention, si vous exigez de moi que je choisisse, alors, tel Albert Camus, je "choisirai ma mère", "sceglieraghju a mé mamma". Pour le reste, je suis globalement en plein accord avec vos contats, vos analyses, vos prédictions même, toujours confirmés par les faits et les réalités.
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Ce à quoi nous assistons en ce moment même un-peu partout en France sous le prétexte d'une tragique bavure policière, sauf chez moi, en Corse, notez le bien, en dépit de la présence sur notre sol de plus de 42.000 maghrébins, principalement d'origines marocaine et tunisienne, très peu algérienne, sur une population totale de l'île de 350.000 habitants en arrondissant, c'est un-peu comme si, au lendemain de chacun des attentats Jihadistes qui ont ensanglanté la France depuis les crimes de Mohamed Merah en 2012 ou après chaque crime de droit commun perpétré par une personne de confession musulmane, l'atroce meurtre de Lola, par exemple, on avait assisté à des émeutes violentes avec ratonnades massives, dévastation et pillage de boucheries halal et de commerces tenus par des musulmans, incendies de mosquées et salles de prières musulmanes etc... "Le pas d'amalgame", il n'est pas à géométrie variable, ils n'est pas exclusivement réservé aux seuls musulmans, il est également valable pour les policiers et les gendarmes....
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