Comments by "thierrydesu" (@thierrydesu) on "Quand la gauche collaborait 1939 - 1945" video.
-
11
-
4
-
4
-
4
-
4
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
@Emahdiboy Mais quand ça se dit socialiste, pacifiste, européiste, anticapitaliste, antimilitariste, que ça se réclame de Jean Jaurès et d'Aristide Briand, je me demande de quel droit vous niez à ces gens qui se sont toujours revendiqués socialistes, le droit d'être reconnus comme tels. En 2024, si un mec prétend être une femme, vous soutiendrez contre la réalité biologique qu'il est une femme, alors arrêtez de nier aux nazis et aux collabos le fait qu'ils étaient de gauche.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@Zhar-ptitsy Justement, vous avez tout faux. Il n'y a qu'à gauche que l'on trouve cette propension à garnir les rangs de la prétendue "extrême droite". On ne trouve nulle part à droite pareille propension. Faut-il vous rappeler d'ailleurs que les Ligues d'"extrême droite" avaient été dissoutes en deux temps en 1936, d'abord par Laval puis par Blum, qu'aucune ne s'est reformée et qu'aucune n'a bien évidemment pu participer à aucun des quatre gouvernements de Vichy ? Des partis de droite en France entre 1940 et 1944, ça n'existe pas : ils ont été interdits par l'occupant allemand. Quant à dire qu'il est "abusif d'assimiler (...) la partie au tout" alors que depuis près de 80 ans, la gauche prospère exclusivement sur ses mensonges sur son passé et sur ceux qu'elle colporte au sujet de l'"extrême droite", il fallait oser le faire. Par ailleurs, le fascisme est né à gauche. Mussolini était le premier secrétaire du PSI et le rédacteur en chef d'Avanti, le premier journal socialiste italien. Il a été évincé du PSI non parce qu'il était devenu fasciste mais parce qu'en bon socialiste, il enjoignait ses camarades à faire le choix entre faire la révolution immédiatement ou faire entrer l'Italie en guerre en 1915 pour mettre fin au Système capitaliste et petit bourgeois. Les fondateurs du fascisme sont les socialistes maximalistes, le Parti futuriste qui se réclamait du progressisme et les syndicats révolutionnaires. Le premier nom du fascisme était Le Faisceau d'action révolutionnaire interventionniste. Un faisceau étant un syndicat d'ouvriers, l'équivalent italien d'un soviet. Ce faisceau se réclamait de l'internationalisme et était révolutionnaire et interventionniste, c'est-à-dire qu'il s'agissait de la partie de la gauche italienne favorable à l'entrée en guerre en 1915. Quant à dire que le régime de Vichy était d'extrême droite, c'est une assertion entièrement gratuite à laquelle on ne peut prêter aucun sérieux quand on connait un peu d'Histoire et qu'on lit ce que vous avez écrit par ailleurs.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@jean-louispech4921 Ce n'est pas difficile d'arriver aux conclusions auxquelles vous arrivez dès lors que vous décidez que le socialisme ne s'appelle plus le socialisme, mais l'"extrême droite".
Vous citez Pétain, dont tous les aspects politiques le lient à la gauche. Il a notamment fait partie d'un gouvernement radical-socialiste en 1934 ; Laval qui n'a jamais renié ses convictions de gauche même s'il n'était plus à la SFIO (c'est pratique de confondre convictions et militantisme) ; Flandin qui a oscillé entre centre droit et centre gauche, mais qui était bien au centre gauche lorsqu'il a voté les pleins pouvoirs à Pétain. C'est dire si vous connaissez votre sujet.
Il est à noter que c'est le socialiste Laval qui a interdit les ligues en 1936 après l'agression dont a fait l'objet Blum. Aucune de ces ligues ne s'est reformée et aucune n'a participé en tant que tel à aucun des quatre gouvernements de Vichy.
Le socialisme est une idéologie fanatique et abrutissante. Quand on est de gauche, on le reste, on ne peut pas s'en libérer à moins d'un lourd traitement médical. Les collabos se sont toujours réclamés du socialisme (Laval, Doriot, Déat, Darlan...).
La presse de l'époque raconte le contraire de ce que vous dites. J'ai eu un journal daté d'août 1944 de LA FRANCE SOCIALISTE. Je veux bien que vous m'expliquiez comment dans un régime d'extrême droite, un journal peut se revendiquer du socialisme. En quelques pages, tout était là : la gauche justifiait la Collaboration au nom du socialisme, d'Aristide Briand, de Jean Jaurès, de l'anticapitalisme, de l'européisme, du pacifisme, de l'antimilitarisme, de la réconciliation inconditionnelle avec l'Allemagne, de la Nouvelle Europe socialiste à bâtir avec les nazis dans laquelle la France devait être en bonne position.
Si la gauche a bénéficié d'un capital de sympathie à la Libération, c'est à cause de Jean Moulin qui a fait un enfant dans le dos de De Gaulle en écartant du CNR toutes les organisations de droite qui étaient pourtant entrées les premières dans la Résistance, pour favoriser les organisations de gauche.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@jean-louispech4921 Ce que vous dites est faux. C'est Jean Moulin qui a largement évacué la droite du CNR. De toute façon, il n'est pas difficile d'établir que vous mentez : il est un fait historique que la droite est entrée en résistance dès 1940 à l'époque où les les communistes étaient liés par le pacte Molotov-Ribbentrop et que les socialistes étaient à Vichy. Vous associez la Résistance à la seule résistance intérieure car la gauche qui n'est pas avare de mensonges (vous savez, les fameux "75 000 fusillés" qui n'ont jamais existé) a réussi à faire croire que la résistance, c'était elle. Mais si vous regardez la composition de la résistance extérieure, qui pour le coup, consistait en une véritable armée, il n'y avait que des gens de droite. Chaque officier, gradé et soldat du rang, qu'il soit issu de l'Armée vaincue de 1940, de l'Armée d'armistice d'après 1940 ou de l'Armée d'Afrique, était soit gaulliste, soit weygandiste, soit giraudiste.
1
-
1
-
@jean-louispech4921 J'adore votre contradiction : je vous prends à défaut, vous êtes obligé de reconnaître après avoir asséné que l'"extrême droite anti-républicaine avait mis fin à la IIIème République", qu'il n'existait pas de majorité d'extrême droite. C'est bien la gauche, majoritaire à l'Assemblée nationale et au Sénat, qui a mis fin à la IIIème République en votant les pleins pouvoirs à Pétain. Celui -ci a immédiatement renvoyé l'ascenseur en nommant Président du Conseil le socialiste Pierre Laval (inutile de dire qu'il n'était plus à la SFIO, être à la SFIO ou pas n'est qu'un détail. Le socialisme est une idéologie fanatique et abrutissante dont vous êtes une parfaite illustration, on ne s'en sort jamais. D'ailleurs, il suffit de regarder le parcours politique de tous les collabos d'avant-guerre : signe de la grande tolérance de la gauche pour la liberté de pensée, ils ont tous été contraints de faire du nomadisme politique à gauche). En mettant fin à la IIIème république, la gauche a accouché d'un régime anticapitaliste où le ministre de l'économie était issu de la CFT et où la gauche était majoritaire et même de plus en plus importante à mesure que le régime basculait dans la fascisation, tandis que les partis ultra-collaborationnistes dits Parisiens étaient tous de gauche (Parti populaire français, Rassemblement national populaire, Parti franciste, Parti socialiste national, Parti ouvrier et paysan français, Parti français national-collectiviste).
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1