Le dictateur africain indéboulonnable
FRANCE 24
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Comments by "Le dictateur africain indéboulonnable" (@Le.dictateur.africain) on "Les Ukrainiens en Pologne : l'autre grande migration européenne" video.
ceux ''autres nations " sont confrontés à la discrimination de la part de gens comme toi , et apres on vient les accuser d'aimer le chomage. C'est un mythe et un grand mensonge. ils sont bosseurs plus que vous. dans la grand sahara, les gens y travaillent 12h /jour sous le soleil et une temperature de plus de 60° en plein mois de ramadan (ni manger ni boire) , toi tu ne pourras pas le faire.
je le repete ces Autres bossent plus que vous, ils n'ont d'ailleurs droit en france qu'aux métiers difficiles, pas dans les bureau ou les français s'entassent. donc je te conseille bonnement de te reveiller et de bien reflechir par toi meme et ne pas laisser les médias, la societé des bourriques penser à ta place.
moi aussi j'avais une fausse idée des français, un image édulcorée, sublimée, mais quand je vous ai frequentés, j'ai réalisé à quel point j'etais mystifié.
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Dire cela prouve que tu manques d'intelligence. C'est comme si tu réponds à quelqu'un qui te dit qu'il a soif " J'ai la solution pour toi, bois de l'eau! " Qui ne sait pas que lorsqu'on a soif, on boit de l'eau ?!! Autrement dit, si ces gens restent tout de même dans un pays de discrimination , de racisme et de mauvaise éducation ,ce n'est pas parce qu'ils ignorent le chemin qui les mène vers leurs pays d'origine ou qu'ils aiment les mal éduqués et les calibans du pays d’accueil, non, c'est parce qu'ils n'ont pas la possibilité, ils n'ont pas le choix.
par ailleurs, travailler dans la construction est beaucoup plus usant ,plus pénible que de travailler dans un bureau quelque que soit le travail effectué dans ce bureau. Un maçon fournit beaucoup plus d'effort qu'un ingénieur ou un chercheur en informatique. ceux qui consultent plus le medecins , ceux dont le corps est foutu avant la retraite sont ces personnes qui bossent dans ce genre de métiers extrêmement pénibles.
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