Comments by "Shad DOUIDA" (@shaddouida3447) on "Pour profiter de la nuit des étoiles, mieux vaut s'éloigner des villes • FRANCE 24" video.
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«La différence entre passé, présent et futur n’est qu’une illusion», disait Einstein. De fait, le temps n'est qu'une question de point de vue...
Pour quelqu’un qui vient de publier un livre sur la gestion du temps, je vais sans doute passer pour un fou en vous annonçant aujourd’hui que le temps… n’existe pas! Du moins pas tel que nous nous le représentons. C’est en tout cas ce que nous explique le physicien Carlo Rovelli dans son livre "L’ordre du temps". Impossible de vous résumer en quelques lignes cet ouvrage renversant, alors laissez-moi juste essayer de vous donner l’envie de le lire. Comme Rovelli le dit d’entrée de jeu, le plus grand mystère est celui du temps. Et tenter de percer ce mystère revient à nous lancer dans une enquête passionnante – et à nous arracher aussi un peu les cheveux.
Partons d’un postulat tout simple, que Rovelli démontre dans son livre: le temps ne passe pas à la même vitesse en plaine et en montagne. C’est prouvé. De manière infinitésimale certes, mais le temps passe plus lentement en plaine qu’en montagne. Tout part de ce simple constat, qui va changer votre vision du monde.
Ici et maintenant
Allons un cran plus loin. Le temps ne passe pas de la même manière en tout point de l’univers. Ceux qui ont vu le film Interstellar du génial Christopher Nolan, se souviennent peut-être de cette scène où un groupe d’astronautes prend une navette pour se rendre dans un système solaire, tout en laissant un de leurs collègues derrière eux sur le vaisseau mère. Lorsqu’ils reviennent, ils n’ont vieilli que de quelques heures… mais lui de plusieurs années. En effet, le temps ne passait pas à la même vitesse dans ce système solaire et en dehors de celui-ci. Ceci est illustré par un autre exemple filmique: le dessin animé Lightyear sorti récemment sur Disney +, où le héros éponyme ne cesse de faire des sauts dans le temps en accélérant dans son vaisseau grâce au champ gravitationnel d’une étoile. À chaque retour à sa base, ses amis ont vieilli de plusieurs années, et lui pas du tout.
Avec les exemples ci-dessus, vous aurez sans doute compris que le temps est une question de point de vue. La question «quelle heure est-il sur Alpha du Centaure?» n’a absolument aucun sens, car le temps n’existe que par rapport à l’endroit où on se trouve. Par rapport à notre point de vue. «Notre temps» existe, mais un «temps universel» n’a aucun sens. «Maintenant» n’existe pas. «Ici et maintenant» existe: chacun de nos points de vue, qui évoluent, figent des «ici et maintenant». Le temps est une vue de l’esprit.
Votre perception du temps commence à s’effriter? Ce n’est pas fini. Rovelli nous explique aussi la notion suivante: quand je marche dans la rue, le monde n’est pas en train d’être créé devant mes yeux. Il existe dans son ensemble, mais comme je marche, mon point de vue évolue et le fait défiler. Eh bien le temps… c’est pareil: il est là, mais il défile devant nos yeux, car notre point de vue évolue. «La différence entre passé, présent et futur n’est qu’une illusion», disait Einstein, tout comme l’illusion que le monde défile devant nos yeux quand nous marchons. Le temps «est là», tout comme l’espace «est là». Et un futur différent de celui qui va se produire est tout aussi impossible qu’un passé différent de celui qui vient de se produire (une nuance peut être apportée via la théorie des cordes et des univers parallèles… mais une migraine à la fois!)
Nos émotions à la source du temps
Chacun de nous est un point de vue qui évolue. Une histoire qui se déroule dans notre esprit comme la terre devant nos yeux quand nous marchons. L’œil perçoit l’espace, l’esprit perçoit le temps. Et comme Rovelli aime fusionner toutes les approches, il en conclut que la vraie source du temps, ce sont nos émotions. Celles qui nous font ressentir le temps, ainsi que notre relation avec celui-ci: la nostalgie ou le regret d’un passé, l’anticipation ou la crainte d’un futur possible. Mais ce n’est qu’une illusion: notre futur est tout aussi écrit que notre passé — nous ne l’avons juste pas encore observé. Et l’auteur boucle la boucle en évoquant les grands philosophes qui prônent qu’il ne sert à rien de s’inquiéter du futur. Puisque d’une certaine manière… il s’est déjà «produit».
Vous êtes complètement perdu? Vous n’avez rien compris? Alors j’ai réussi ma mission, en vous donnant une raison de plus de lire ce livre brillantissime, d’une érudition et d’une humanité totale, qu’est "L’ordre du temps".
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Pourquoi le modèle standard cosmologique, et la relativité d'Einstein, ne marchent pas ?
Pourquoi ne retrouve-t-on pas l'énergie noire et la matière sombre ?
Pourquoi le nuage d'Oort n'a jamais été retrouvé ? D'où viennent alors les comètes ?
Pourquoi aucune planète ne s'est développée dans la ceinture d'astéroïde ?
Pourquoi la Lune semble avoir été arrachée de la Terre ?
Pourquoi les résonances orbitales ? Pourquoi l'Univers fait des bulles de galaxies ? Le modèle Janus est-il complet ?
Qu'y a-t-il au delà de l'Univers visible ?
Une seule théorie peut répondre à ces questions, en expliquant TOUS les faits observés : la gravité est répulsive, les masses se repoussent. Bonne nouvelle, les planètes ne peuvent se télescoper, les plus grosses se disloquant même en formant des ceintures d'astéroïdes (entre Mars et Jupiter par exemple). Nous sommes repoussés par la Terre, mais la répulsion de l'Univers est la plus forte, et nous plaque sur la surface de la Terre.
Les plus grosses planètes du système solaire ne sont pas gazeuses mais bien les plus lourdes (et donc les plus loin du Soleil), le Big-Bang n'a jamais eu lieu vu que l'Univers s'expanse en accélérant naturellement, et une fois suffisamment dilaté la matière locale se recondense dans un Big Crunch qui cessera quand la méga-masse (ce qu'on appelle trou noir) se redisloquera de nouveau (ce qu'on appelle faussement big bang), comme une respiration de l'Univers (mais pas de panique, nous aurons ascensionné en dimension depuis longtemps ! Dimensions supérieures où se retrouvent les gravitons comprimés au centre des corps spatiaux, expliquant que ces gravitons sortants semblent sortir de l'équation : pas perdus pour tous le monde, les pyramides utilisent ces gravitons haute vélocité, sortant des cheminées "cosmo-telluriques", pour le convertir en énergies diverses, comme les "foudres" des dieux).
La gravité est porté par les flux de gravitons (analogues aux lignes de force du magnétisme), qui passe de préférence dans la matière, déviant dans un objet les lignes de forces gravitationnelles : la dépression provoquée par cette déviation provoque l'attraction des boules de Cavendish, tout en expliquant enfin l'inertie massique.
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Selon certains théoriciens d'Univers oscillatoire (variante de la théorie des multivers) le Big Bang est le début d'une période d'expansion de l'Univers qui a suivi une période de contraction, soit le Big Crunch. Dans cette perspective, on pourrait parler d'un Big Crunch suivi d'un Big Bang, ou plus simplement, un Big Bounce. Cela suggère que l'Univers actuel pourrait se situer à n'importe quel point dans une séquence infinie d'univers, voire être la première itération. L'idée principale derrière la théorie quantique d'un Big Bounce est qu'à mesure que la densité tend vers l'infini, la mousse quantique change de comportement. Toutes les constantes physiques fondamentales (loi universelle de la gravitation, constante cosmologique, constante fondamentale, constante physique...) y compris la vitesse de la lumière dans le vide, ne seraient pas aussi constantes pendant le Big Crunch, en particulier lors du temps de Planck. Toutes les constantes universelles pourraient hypothétiquement varier à chaque nouveau Big Crunch donnant la plupart du temps un Univers impropre à la vie, jusqu'à la possibilité par probabilités du hasard que ces constantes deviennent propices à la vie sur Terre actuelle, même si cela prend des milliards de big bounces pour y parvenir.
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