Comments by "Shad DOUIDA" (@shaddouida3447) on "Conquête spatiale : le monde selon Musk" video.
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Donald Trump confirme qu'il pourrait confier un poste à Elon Musk s'il était élu
L’ancien président américain, candidat à un nouveau poste au mois de novembre prochain, a qualifié son soutien Elon Musk de «gars brillant», à qui il pourrait confier un poste de conseiller en cas d’élection.
Donald Trump et Elon Musk formeront-ils un duo inattendu à la Maison-Blanche en novembre prochain ? La relation entre l’ancien président américain et le milliardaire propriétaire de Tesla, X et SpaceX est désormais au beau fixe. Bien que critique envers la tête d’affiche des Républicains il y a quelques années, Elon Musk est désormais un de ses grands amis, en témoigne sa volonté de le soutenir financièrement pour cette campagne en lui versant pas moins de 45 millions de dollars par mois via un Super PAC (comité d'action politique), comme l’avait appris le Wall Street Journal mi-juillet.
Depuis, les deux hommes se sont rapprochés officiellement en marge d’un débat sur X où Donald Trump a fait son retour il y a une semaine. Mais Donald Trump est allé encore plus loin lundi 19 août à la sortie d’un meeting en Pennsylvanie en concédant auprès de Reuters qu’il était prêt à nommer le milliardaire comme conseiller ou futur membre du gouvernement s’il était élu. «C’est un gars très intelligent», l’a-t-il décrit, avant d’ajouter : «C’est quelque chose que je pourrais faire, c’est certain. C’est un gars brillant.»
Vers la fin du crédit d’impôt sur les voitures électriques ?
Rien de surprenant alors qu’Elon Musk a soutenu publiquement Donald Trump pour sa campagne le mois dernier sur le réseau social X. En cas d’élection, l’ancien président américain pourrait prendre certaines mesures phares, comme la suppression du crédit d’impôt de 7 500 dollars édicté par le Département du Trésor facilitant l’achat de véhicules électriques. «Les crédits d'impôt et les incitations fiscales ne sont généralement pas une très bonne chose», a-t-il martelé lors de son meeting. Il pourrait même demander au Congrès d’abroger ce crédit d’impôt.
Cependant, il a confié ne pas avoir pris de «décision définitive» car il est un «grand fan des voitures électriques, mais aussi des voitures à essence, des hybrides et de tout ce qui peut arriver». Lors de son débat avec Elon Musk, il avait tout juste tempéré en confiant que les voitures électriques de Tesla étaient «incroyables».
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Menacé par une nouvelle loi
Elon Musk qualifie le gouvernement australien de «fasciste»
Elon Musk a encore réussi à faire parler de lui sur X en s'attaquant au gouvernement australien. Le milliardaire est en conflit avec les autorités australiennes depuis plusieurs mois, car Canberra menace d'infliger des sanctions à son réseau social.
Elon Musk, patron du réseau social X, a qualifié jeudi soir le gouvernement australien de «fasciste». Le milliardaire américain était mécontent d'un projet de loi destiné à sanctionner les plateformes qui ne luttent pas contre la désinformation.
«Fascistes», a écrit en un seul mot sur Elon Musk sur X, commentant une publication sur le projet de loi présenté jeudi par le gouvernement australien. Le texte prévoit notamment d'infliger aux géants de la technologie des amendes pouvant aller jusqu'à 5% de leur chiffre d'affaires annuel en cas de non-respect de leurs obligations en la matière.
Une injonction qui date du mois d'avril
En avril, Elon Musk avait annoncé que X ferait appel d'une injonction, émise par la justice australienne et demandée par le régulateur australien eSafety, de retirer de la plateforme tous les contenus liés à l'agression d'un évêque d'une église assyrienne dans la banlieue de Sydney.
Julie Inman Grant, commissaire d'eSafety et ancienne employée de Twitter, ancien nom de X, a déclaré que le rachat du réseau par Elon Musk coïncidait avec une augmentation de la «toxicité et de la haine» sur la plateforme. La justice australienne a finalement décidé de lever l'injonction en mai, une décision que Elon Musk a célébrée comme une victoire de la liberté d'expression.
Le milliardaire s'est également récemment heurté à la justice au Brésil, où le juge de la Cour suprême du Brésil Alexandre de Moraes a ordonné début septembre «la suspension immédiate» de X sur tout le territoire en l'absence de représentant légal du réseau dans le pays.
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Elon Musk s’en prend au gouvernement australien, mécontent d’un projet de loi contre la désinformation
Ce projet de loi présenté jeudi, qui entend lutter contre la désinformation, prévoit notamment d’infliger aux géants de la technologie des amendes pouvant aller jusqu’à 5 % de leur chiffre d’affaires annuel en cas de non-respect de leurs obligations.
Le milliardaire Elon Musk, patron du réseau social X, a qualifié jeudi 12 septembre le gouvernement australien de « fasciste », mécontent d’un projet de loi destiné à sanctionner les plateformes qui ne luttent pas contre la désinformation.
« Fascistes », a écrit en un seul mot Musk sur X, commentant une publication sur le projet de loi présenté jeudi par le gouvernement australien.
Le texte prévoit notamment d’infliger aux géants de la technologie des amendes pouvant aller jusqu’à 5 % de leur chiffre d’affaires annuel en cas de non-respect de leurs obligations en la matière.
Augmentation de la « toxicité et de la haine » sur X
En avril, Elon Musk avait annoncé que X ferait appel d’une injonction, émise par la justice australienne et demandée par le régulateur australien eSafety, de retirer de la plateforme tous les contenus liés à l’agression d’un évêque d’une église assyrienne dans la banlieue de Sydney.
Julie Inman Grant, commissaire d’eSafety et ancienne employée de Twitter, ancien nom de X, a déclaré que le rachat du réseau par Elon Musk coïncidait avec une augmentation de la « toxicité et de la haine » sur la plateforme.
La justice australienne a finalement décidé de lever l’injonction en mai, une décision qu’Elon Musk a célébrée comme une victoire de la liberté d’expression.
Le milliardaire s’est également récemment heurté à la justice au Brésil, où le juge de la Cour suprême du Brésil Alexandre de Moraes a ordonné début septembre « la suspension immédiate » de X sur tout le territoire en l’absence de représentant légal du réseau dans le pays.
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