Comments by "Chef Chaudard" (@chefchaudard3580) on "ATE CHUET "
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@Yanpac les bruits concernant l'avion de 6gen sont contradictoires. À la base, il ne s'agit que d'un demonstrateur, dont on ne sait meme pas sil ressemble au produit final.
Pour autant, les fabricants disent compter sur la "methode agile" pour developper rapidement un debut de solution, un premier avion qui evoluera avec le temps.
Est-ce que c'est possible, ou est-ce que les militaires et constructeurs essaient de convaincre les politiques de financer un appareil de transition pour remplacer les F-15/16, parce que le F-35 ne convient pas?
Donald Trump avait déjà été échaudé par le F-35, le jugeant trop cher. Demander une rallonge pour développer un nouvel appareil après avoir dépensé des centaines des milliards dans celui qui devait être le chasseur ultime, c'est gonflé. Il faut croire que les militaires en ont vraiment besoin, de ce remplaçant.
Et c'est, je pense, la raison des grandes manoeuvres auprès du public auxquel on assiste, que l'on motive en faisant miroiter a coup de video Youtube sur fonds de drapeaux americains, l'avance technologique du bidule, la "generation 6" (meme si on sait pas trop ce quelle a de plus que la 5, ou même la 4), qui enfonce toute la concurence, surtout celle des chinois, promus méchant a abattre.
Et ça peut marcher: Biden a besoin de claquer du fric dans son économie pour faire repartir la croissance après le Covid. Et le peuple americain est assez patriote pour engloutir des sommes astronomiques dans un nouveau "meilleur avion du monde".
Tout ça pour dire que tout n'est pas encore clair, et que ça va être intéressant à suivre.
Désolé pour ce post trop long.
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@alfredkoenig4438 mal compris, peut être?
On peut prendre parti et avoir une vue impartiale d'un sujet. Prendre parti ne signifie pas mentir, s'aveugler ou défendre des thèses intenables.
Une vue totalement dépassionnee d'un conflit conduit à manquer tout un pan d'explication concernant ses causes, raisons et ses répercussions, entre autres. On peut appeler ça "politique ", si on veut.
Maintenant, si on n'analyse qu'une partie du sujet, comme ici un point de vue militaire, la "politique" n'aura qu'un impact mineur. Sur les vidéos du Xavier dont il est question dans ce fil, la "politique" à un rôle plus important, l'auteur ne se contentant pas de décrire une situation militaire.
Ce qui ne signifie nullement que son parti pris influe sur la qualité de ses informations et de ses analyses. Celles ci sont basées sur des sources, des faits. Ses sources, ses conclusions peuvent toujours être remises en cause, il arrive qu'il fasse des erreurs (qui n'en fait pas. C'est pas la parole du Bon Dieu). Mais c'est au spectateur de croiser les sources et d'exercer son esprit critique pour juger de la qualité du travail. Soit ses arguments tiennent la route, soit non.
Et, à ce jeu, Xavier T. S'en sort pas trop mal. La preuve : ses détracteurs en sont réduits à monter en épingle quelques erreurs mineures, et à faire des attaques "ad hominem". Quand ils daignent seulement faire une critique un peu construite, car la plupart du temps, ça se résume à traiter son travail de "propagande de l'OTAN ". Ce qui ne veut rien dire et ne prouve rien.
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Plusieurs remarques :
- la portée d’une torpille est limitée, environ 40km pour une torpille américaine Mk48
- on peut imaginer, toutefois, un drone porte torpille, sur le principe du Malafon de la Royale. Un drone ou missile qui emmène la torpille à portée de la cible. Ce serait un drone assez gros (une torpille, c’est lourd!), mais pourquoi pas. Le problème, c’est qu’il existe des mesures de protection contre les torpilles, comme contre les missiles anti navires, donc, une torpille amène peu d’avantages par rapport à un drone marin ou un missile, sauf à être très sophistiquée. Ce qui va à l’encontre de l’avantage d’un drone : son faible prix et sa simplicité.
- il y a des recherches en cours de sous marins drones, ce qui permettrait de s’approcher en toute discrétion d’une flotte, sans prendre de risques. Mais, la aussi, on est dans l’arme coûteuse.
- le problème des torpilles, c’est la communication : on ne peut pas guider à distance une torpille, parce que les ondes radio ne se propagent pas dans l’eau. On utilise un fil qui se déroule derrière, mais on a une distance limitée, ou la torpille est guidée par son sonar… ce qui manque de discrétion.
Tout ça pour dire que le drone marin a l’avantage d’avoir une autonomie intéressante contre des navires s’approchant des côtes, d’être discret naturellement, parce qu’il est dissimulé aux radars par Les échos produits par les vagues, pas cher, car fait avec des technologies largement disponibles, à la portée d’un bricoleur et que les contre mesure ont des capacités limitées de traitement de cibles multiples.
Son inconvénient est qu’il est vulnérable, car relativement lent.
Du coup : avantage décisif, une arme qui va révolutionner la guerre sur mer, ou simple avantage passager, avant que les marines ne montent des mesures de défense, relativement simples à mettre au point? On verra…
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@lucimperator400 Je ne voulais pas entrer dans les détails et me cantonner à ce que disait Até.
Pour aller plus loin: le Neptune, comme beaucoup de missiles terre-mer (air-mer, mer-mer), a deux phases de vol:
- la première ou il est autonome. il a reçu les coordonnées de la cible à son lancement. Ou, plutôt, car le vol peut durer relativement longtemps, là ou la cible se trouvera en théorie lorsqu'il arrivera à proximité. Il suit une trajectoire fixe, planifiée à ce moment.
- dans la seconde phase, il allume son radar et, s'il trouve la (ou une) cible, se dirige vers elle pour la toucher.
Il y a donc deux choses à prendre en compte:
- Le radar couvre un angle à l'avant du missile. Plus il est allumé tard par rapport à la cible, moins il "voit" de "largeur" devant lui. Pour simplifier: si le navire a changé de direction depuis le lancement, il peut se retrouver en dehors du cône du radar et le missile ne le détectera pas.
- on peut allumer le radar plus tôt pour éviter ça, mais cela risque d'alerter le navire, qui va prendre des mesures pour abattre ou éviter la menace. On doit donc l'allumer le plus tard, le plus près possible du navire.
Voilà comment on peut voir les choses pour le Moskva:
- il est localisé et identifié par le P8. L'information est transmise aux Ukrainiens.
- il suit une trajectoire prévisible : un drone TB2 est envoyé à distance de là ou il devrait se trouver dans trois quarts d'heure, une heure (ne pas oublier qu'un TB2, c'est lent...). Il identifie à son tour le Moskva, confirme ses manoeuvres et relaie sa position actuelle.
- les missiles sont lancés vers la position ou il devrait se trouver à l'issue de leur vol (10mn?). Leur radar est allumé au dernier moment, prenant la défense par surprise (moins d'une minute, quelques secondes avant l'impact).
Là, plusieurs hypothèses :
1 - le TB2 a juste servi de leurre: les radars et les (vieux) systèmes anti aériens du Moskva ont été pointés sur lui et ils n'ont pas détecté l'arrivée des missiles, ou trop tard. De plus, le Bayraktar a obligé le Moskva à changer de route pour l'intercepter, rendant sa route prévisible.
2 - Il n'y a jamais eu de TB2. Le suivi et l'identification a été le seul fait du P8, les opérateurs des Neptun ont juste entré les coordonnées prévues. J'y crois pas trop. Trop d'inconnues sur la trajectoire du Moskva. S'il change de route de façon imprévisible, toute l'opération est à l'eau, les missiles perdus.
3 - le Neptun a une capacité "man in the loop" (certains missiles ont ça, mais c'est juste une hypothèse, pour le Neptun). En clair, il peut recevoir des commandes venues d'opérateurs ou d'appareils de détection extérieurs. Le Bayraktar a servi à guider les missiles vers la position exacte du Moskva. Soit en passant par des opérateurs à terre, soit en communiquant directement avec les missiles. Les missiles ont alors allumé leur radar au tout dernier moment, ne laissant aucune chance au Moskva.
4 - Il n'y a jamais eu de missiles et le Moskva a brûlé à cause d'une clope mal éteinte😁
Dernier point: on parle de missiles Neptun, mais rien ne dit qu'il s'agisse pas d'autres types de missiles fournis par l'OTAN. Boris Johnson avait promis des Harpoon, par exemple.
Désolé pour la longueur de la réponse...
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@laurent47-is7mi ce qu’on voit actuellement, c’est que l’aviation russe n’est pas taillée pour le SEAD/DEAD, cad obtenir la maîtrise du ciel et détruire les défenses aériennes adverses.
Ce qui ne signifie pas que personne n’en est capable.
Rien ne dit que, si l’OTAN se battait dans les airs, les défenses russes tiendraient. Les appareils occidentaux sont plus avancés que les appareils russes et, surtout, les tactiques sont étudiées dans un sens offensif.
Plus que d’être « performant dans tous les domaines » il faut avoir des moyens adaptés aux missions définies par les tactiques et stratégies. Même si un moyen est ancien, depassé, ça n’est pas un problème tant qu’il remplit la mission qui lui sera confiée. Les USA ont décidé de moderniser des B-52, malgré leur âge, parce que, pour l’instant et dans le futur, ils remplissent la mission qui leur est confiée. Un Su-24, même très vieux, est une arme redoutable s’il peut lancer un missile SCALP ou anti navire.
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@paulx9329 Juste un commentaire sur la conception numérique.
Je ne doute pas qu'elle permette de développer virtuellement un avion qui vole. Mais je doute que cela s'applique complètement à un avion d'arme, surtout multirole. L'emport des charges, leur séparation, les contraintes sur les structures sont extrêmement complexes à simuler et on en est encore réduit à faire des tests en réel pour mettre au point et valider l'emport de certaines.
Un exemple un peu extrême: LM a des problèmes avec le canon du F-35. Il ne tire pas droit et des fissures ont été constatées sur son berceau. Je ne doute pas qu'il soit possible de renforcer (et alourdir?) le berceau, mais la seule solution trouvée pour améliorer la précision est... logicielle.
On ne parle pas là d'une technologie futuriste, d'un canon magnétique de la mort qui tue, mais d'un truc qui est régulièrement monté sur des avions depuis la guerre de 14.
Une autre remarque concernant un éventuel avion de transition "pas cher" pour remplacer les F-15/16: en plus des coûts de développement, qui seront loin d'être négligeables, même si on prend des composants "sur étagère" et qu'on saute le stade du prototype (risqué...), il faut rajouter le prix de l'avion lui même. Le F-16 "de base" n'était peu couteux que parce son électronique était limitée à un radar basique air-air. De fait, sa mission se réduisait à la chasse de jour.
L'électronique embarquée coute cher, et elle coutera cher si l'avion est voulu multirole. De fait, on peut se demander si l'appareil sera si économique comparé à un F-15/16 dont les couts de développement sont amortis depuis longtemps, et s'il amènera réellement un gap en performance suffisant pour justifier son prix.
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@ouck02 eh! je suis pas la pour l'édification des foules!
Tu affirmes des trucs, que t'as de bien meilleures infos que tout le monde, tu assures que tu as étudié le probleme.
Comme je suis quelqu'un qui a, aussi, plein d'infos, que j'ai aussi étudié le probleme et que suis arrivé a des conclusions inverses, j'en conclus que c'est moi qui ait raison et que soit tu as pas bien regardé, soit pas compris.
Après, j'ai pas de temps a perdre à essayer de te convaincre d'une chose que tu refuses de comprendre. C'est ton problème, pas le,mien.
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@addisth une question bête : une armée pour se défendre de qui?
Notre plus proche ennemi potentiel, la Russie, est à des milliers de km et à plusieurs pays à traverser avant de nous atteindre.
En cas d'attaque, si on veut aider la Pologne, il vaut mieux encombrer les lignes de chemin de fer avec des Leclerc, Caesar, Leopard2 A6 et autres matériels modernes et des soldats bien formés qu'avec des AMX30B2 et des rappelés bedonnants.
C'est encore plus vrai en cas de projection de force à l'étranger, les moyens de transport étant encore plus limités et plus onéreux.
Que la Pologne, la Finlande, l'ukraine aient des forces basées sur la conscription peut se comprendre, ils sont en première ligne. Mais pas nous!
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@antoniohagopian213 ton histoire de Polonais, c'est une fake news. Paru dans un journal polonais conspirationniste. Aucune crédibilité, aucune source sérieuse, rien.
Ne crois pas ce genre de désinformation, utilise ton esprit critique.
Concernant le personnel qualifié : les Ukrainiens ne sont pas des Vietnanmiens. Ils sont éduqués, possèdent une population d'ingénieurs, de techniciens, une industrie. Il ne faut pas des semaines pour former un technicien réparateur de tracteurs à un moteur diesel de char.
Ils savent même en concevoir et en fabriquer, des chars.
Donc, oui, les Ukrainiens ont les compétences et le nombre de personnes nécessaires pour être formés rapidement.
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@molbaucenika1344 Désolé, vous n'adressez aucun des points que j'aborde:
Je ne parle pas d'identification CERTAINE. Si un gars sur Youtube comme vous est capable, à partir d'une simple vidéo, d'identifier les phénomènes, j'imagine que le personnel compétent de la Navy, ayant bien plus d'informations à la base, dont les témoignages de pilotes et les détections des différents radars l'aurait été bien plus.
Les témoignages de pilotes, pour la vidéo 2, sont clairs: ils ont des échos radars. Il NE PEUT S'AGIR D'UN REFLET, mais d'un objet. "ATE" est clair sur ce point.
Enfin VOUS NE TENEZ AUCUN COMPTE des témoignages des pilotes, des circonstances (les objets ont été détectés par la flotte et reconnus par différents appareils dont un E2C pour Tic Tac).
Je vous propose de vous renseigner avant de nous faire part de vos conclusions. L'article d'Alexandre Sheldon-Duplaix dans DSI n°146 et un bon départ. J'imagine qu'on trouve les mêmes choses sur internet.
Vous ne pourrez tirer de conclusions que quand vous aurez adressé les témoignages des pilotes. Dans l'état, vous n'êtes pas convaincant.
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@LeBlanc-b4q pourquoi ferait on une « armée de masse »? Pour envahir la Belgique ou la Suisse?
Notre plus proche ennemi potentiel, c’est la Russie, qui devra traverser la Pologne et l’Allemagne pour nous attaquer. Alors qu’elle arrive même pas à traverser l’Ukraine.
Notre armée est taillée pour défendre notre pays dans le cadre de l’OTAN et d’une ou deux interventions d’intensité moyenne.en projetant des forces.
Ce qui demande des navires, des avions de transport, des avions de combat multi roles, des satellites, des engins blindés polyvalents et performants, tout un matériel sophistiqué et donc très cher, des troupes très bien formées et équipées,… très, tres loin d’une armée de masse.
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@hugovictor4651 une solution simple serait de leur demander leur avis : veulent-ils être Ukrainiens, russes ou indépendants?
Ça satisferait tout le monde… sauf Poutine, qui ne l’a jamais proposé. Il n’aime visiblement que les référendums qu’il manipule.
Que Poutine, s’il souhaite vraiment « libérer » le Donbas, propose un référendum supervisé par les instances internationales et promette de se conformer au résultat. Ça mettrait fin à la guerre, ou, tout au moins, lui donnerait le beau rôle auprès des Occidentaux.
Au lieu de ça, il,préfère les misères de la guerre… ce qui prouve bien qu’il est certain de le,perdre, ce référendum.
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@marcalmecija5761 la solution est toujours là meme : la tactique.
Le combat interarme soutenu et précédé par l’aviation reste, pour le moment, la meilleure solution pour éviter la guerre de position.
Même s’il faudra inévitablement des adaptations tactiques et technologiques, liées aux drones, notamment.
La guerre en Ukraine se passe entre deux pays équipés de matériel pour grande partie dépassé, avec une tactique à la soviétique. L’ukraine a reçu du matériel occidental, mais souvent en fin de vie et en petite quantité.
Il lui manque, de plus, une aviation capable de peser sur le combat. Un élément clé du combat interarme.
Malgré tout, les missiles sol sol ou air sol occidentaux ont démontré leur efficacité, tant ils sont précis et difficiles à intercepter.
Et, elle a réussi à contester aux Russes de la Mer Noire, et cela sans marine digne de ce nom, grâce en grande partie au matériel occidental livré.
Et je ne doute pas que des livraisons massives de matériel plus moderne lui permettraient de faire beaucoup plus.
Sur Terre également, d’ailleurs.
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@maxmau8412 on est bien d’accord et vous confirmez ce que je dis : avec une « vraie » marine et des missiles et torpilles modernes, l’Ukraine ferait encore mieux. Justifiant ainsi la recherche de systèmes toujours plus performants et, forcément, onéreux.
Quelques petits sous marins ou vedettes modernes, bien équipés, leur donnerait un avantage sur une marine au tonnage bien plus élevé, mais bien moins performants.
Autrement dit, et c’est le point que je soutiens, la quantité ne compense pas forcément la qualité, parce qu’il est difficile d’obtenir cette quantité, pour commencer, et qu’elle a un coût qui peut être disproportionné.
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@maxmau8412 pour démontrer mon point: si l’Ukraine avait disposé d’une armée moderne, bien entraînée, disons 300 chars Léopard 2 au dernier standard, 200 Gripen, une logistique bien rodée et équipée, des missiles Himars, Atacms, SCALP, Meteor, des drones de reconnaissance et tout le saint frusquin, une marine d’une dizaine de sous marins côtiers équipés de torpilles Mk48 ou F21, ou de vedettes équipées d’Exocet ou Harpoons de dernière génération, je suis prêt à parier qu’ils auraient repoussé les Russes et seraient en train de faire le siège de Moscou, et qu’il n’y aurait plus un seul navire russe, militaire ou civil, en Mer Noire, hors des ports.
Malgré l’avantage numérique des Russes, leurs dizaines de milliers de chars et de canons, leurs milliers d’avions et d’hélicoptères.
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@leaxd2530 je vais faire la même réponse : l’azimut est donné par la forme de l’antenne et le pointage (c’est le point de plus forte réception) , la distance par la triangulation, ou, à défaut, le traitement du signal (qui ne dépend pas du récepteur, donc). Grosso modo, on compare la puissance du signal reçu avec une abaque qui donne l’affaiblissement attendu du signal émis en fonction de la distance. En gros, si on estime qu’il s’agit d’un radar de surveillance de S300, on estime qu’il émet à telle puissance, on mesure ce que reçoit l’avion, et on détermine la distance.
La forme d’onde est faite par le traitement du signal.
Bon, j’exagère un peu en parlant de récepteurs des années 60, mais les technologies transistorisées des années 70 ou 80 étaient déjà très performantes en matière de récepteur.
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@davidbarrois3959 Les bombes sont standard des deux côtés, les Mk 82 se trouvent aussi facilement, plein de pays en produisent.
le problème, c’est que, visiblement, on peut pas comparer un AASM à un kit russe, si je vous comprend bien.
La résistance au brouillage du GPS doit être autrement chiadé sur une AASM que sur une KAB. Et il y a un guidage inertiel en plus, en backup.
Donc, c’est comparer une Rolls avec une 2CV. Une AASM a de fortes chances de toucher sa cible, ce qui est parfait pour un pays qui a peu d’avions et qui risque de le perdre à chaque sortie. Pour la Russie, la KAB a plus de sens, parce qu’ils ont des avions et peu de risques d’interceptions. Si on rate, on recommence. Ils peuvent se permettre la quantité.
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Vous savez, tout l'espace aérien de la Roumanie, de la Pologne est constamment survolé par des avions de renseignement divers, depuis le P8 jusqu'aux AWACS. En permanence. Des P8 au dessus de la mer noire, il y en a tous les jours. Alors, même si celui ci a donné des renseignements sur le Moskva aux ukrainiens, c'est impossible à savoir ni à prouver.
Les Russes le savent bien et n'ont, d'ailleurs, pas tenté de le faire. Officiellement, pour le Kremlin, le croiseur à coulé à cause d'un incendie accidentel.
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C'est effectivement pour tenter d'influencer. Par exemple, plusieurs partis suisses ont déjà annoncé qu'ils demanderaient une initiative populaire en cas de choix du F-35. De quoi refroidir les militaires, qui ont besoin rapidement d'avions et les autres partis qui préfèreraient éviter une polémique inutile.
On assiste à une guerre des "bruits de coursive", les partisans de chaque lobby se mobilisant jusqu'au dernier moment. On lance un bruit, des vraies et fausses infos, un autre camp réplique
Je ne sais pas quel avion va être choisi.Mais mon sentiment, à la lecture des différents articles de presse, est le suivant:
- le Rafale est bien celui qui tient la corde. La "fuite" qui le donne gagnant est donc probablement juste.
- la réplique qui donne le F-35 favori me semble donc fausse.
- cela ne préjuge en rien du choix de l'appareil. Les Suisses, pour diverses raisons, peuvent parfaitement choisir un autre appareil, comme quand ils ont choisi le Gripen la première fois. Rien n'est joué.
Qui fait courir ces bruits? Dassault, pour le choix du Rafale, ou une simple confidence d'un intervenant sans volonté de générer du buzz? LM pour celui du F-35? Dassault pour la réplique des partis suisses contre le F-35? C'est le plus probable.
Affaire à suivre...
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@VladimirVladimirovichPutin0001
Une réponse un peu plus détaillée (j’ai du temps)
Que les Russes aient tenté de brouiller la réception du drone est probable. Les pertes de liaison vues dans la vidéo correspondent probablement au moment où le chasseur passe au dessus de l’antenne satellite du drone, interrompant ainsi la connexion.
Maintenant, voler au dessus d’un autre avion sans l’avoir en visuel est extrêmement dangereux, ainsi que les manœuvres faites par les pilotes. Até sait de quoi il parle : c’était son métier. Et toutes les personnes connaissant un peu le sujet le confirment
Pour le nuage de carburant, en revanche, tu dis n’importe quoi : d’une part, on ne voit pas réellement d’où vient ce carburant. Les vortex pourraient indiquer qu’il vient des bouts d’ailes ou des bidons, donc bien un "vide-vite".
En tous cas, il ne vient pas des réacteurs : si c’était le cas, ça voudrait dire que les réacteurs sont éteints. Un cas extrêmement dangereux, qui demande toute une procédure pour le rallumage, l’avion planant sans puissance pendant plusieurs dizaines de secondes, avec le risque que le réacteur ne redémarre pas.
De fait, un réacteur qui manque d’air sans s’éteindre, ce qui arrive dans certaines phases de vol dynamiques, « fume noir », à cause du manque d’air et du kérosène imbrûlé. Comme un vieux diesel. Ce n’est pas le cas ici.
Ensuite, les pilotes russes savaient parfaitement que le drone n’était pas armé : le MQ-9 porte ses charges sous les ailes et, à la distance ou ils étaient, ils auraient pu les voir. De toutes façons, le vol d’un drone, même armé, est parfaitement légal dans l’espace aérien international.
Le plus probable est qu’un des avions russes a heurté le drone à un moment donné, celui d’une des manoeuvres risquées que l’on voit, ou au moment ou la transmission est coupée. Une pale de l’hélice est coupée et tordue, une autre est bloquée « en drapeau », et ça ne peut être que suite à un choc.
Avant cela, ils avaient clairement tenté d’endommager le drone en larguant du pétrole dessus.
Donc, il s’agit bien d’un acte hostile, injustifié, contraire aux lois internationales. De la piraterie, dont les Russes sont coutumiers.
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@maxmau8412 en gros, faire ce que la Grande Bretagne a tenté faire avec le Brexit et qui ne marche pas?
En voilà une idée qu’elle est bonne! Et pourquoi pas un suicide collectif, tant qu’on y est?
- les ports, ça ne marche que quand il y a un marché important derrière. Pour Rotterdam et Le Havre, c’est l’UE.
- la,protection des ressources est organisée par l’UE.,protéger tout seul dans son coin, ça ne sert à rien.
- l’impact diplomatique dépend de l’argent et de la force militaire qu’on a derrière. Il ne se gonfle pas en importance à la demande. Nos,territoires et moyens sont limités dans,le Pacifique. C’est comme ça. Et c’est pas à cause de l’UE.
- le français, c’est une langue. C’est parce que les,pays parlent la meme langue qu’ils sont partenaires. L’Australie, pour la GB, ça reste un pays étranger à 20 000km.
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Les système d’identification embarqués (l’IFF) permet de reconnaître un appareil « ami » : quand il est interrogé, il « répond » par un code convenu.
Secret, bien entendu, de façon à ce que l’adversaire ne puisse pas l’imiter. L’IFF est un instrument sensible et ne doit pas tomber dans les mains de l’adversaire, car ça faciliterait le décodage ( même si on peut quand même changer les codes, bien sûr).
Imiter une signature est compliqué : la signature radar est faite à partir de la forme des échos qui sont reçus et qui dépendent de la forme de l’appareil (forme qui, vu radar, dépend de l’angle sous lequel il est vu : face, trois quart, dessous…, s’il a des charges sous les ailes…). Ça doit être possible en théorie, mais c’est extrêmement complexe. à ma connaissance, on se contente de « brouiller » le signal radar pour qu’il ne puisse identifier l’appareil et le localiser, comme le fait le SPECTRA.
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@olivierthoiland608 oui, mais si aucun drone n’atteint son but ou ne remplit sa mission parce qu’il est contré, il n’y aura pas d’autre moyen que de le rendre plus complexe pour contrer ces mesures. Ce qui signifie augmenter son prix.
Le but d’un système d’arme, c’est de remplir la mission. Le coût est un problème secondaire.
C’est ainsi que les avions de chasse ont vu leur prix augmenter énormément depuis la deuxième guerre mondiale : toujours plus performants, avec un armement plus précis, une meilleure protection, une meilleure évaluation tactique…
Et c’est pas parce qu’on cherche à protéger la vie du pilote : si on pouvait faire la même chose à moindre coût, même en y collant des pilotes peu formés, plein de pays le feraient.
« L’inflation technologique » est une constante en armement. Sauf peut être quelques cas particuliers, plus le temps passe, plus un système d’arme devient complexe et coûteux. Ça fera pareil avec les drones.
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Pourquoi les Russes utilisent peu leur aviation? Je pense qu'ils craignent la DCA Ukrainienne, car elle n'a pas été détruite comme on semble le croire.
Ce qui me le fait penser:
- cela fait des semaines que les USA prévenaient qu'une attaque allait venir. Je serais Ukrainien, j'aurais dispersé et planqué mes moyens de DCA pour éviter de les voir détruits par une frappe préventive, par précaution.
- les premières images montraient des avions Russes volant anormalement bas... comme s'ils voulaient éviter d'être détectés et ciblés.
- les ukrainiens sont, je pense, parfaitement au courant de tout ce qui se passe dans leur ciel sans même allumer leurs radars, grâce aux USA qui partagent sûrement les renseignements des AWACS, radars et autres drones qu'ils ont aux alentours. Ils "n'allumeront" leur radars qu'en cas de besoin d'interception.
Je pense que les USA ont mis en place des moyens de communication avec l'armée ukrainienne avant la bataille, par satellites et autres, ainsi que des "advisors" et peut-être équipé leurs grands centres de commandement, peut-être jusqu'au niveau division. Un reportage récent faisait état de "conseillers" US sur place.
My two cents...
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@DiosSalvaCristoSalva Pourquoi alors parler de mensonges (sans compter les méchants épithètes)?
S'il y a mensonge, c'est qu'on sait qu'il y en a un. Là, tu supposes tout au plus qu'il est trop confiant dans son analyse par rapport à ses sources. Et/ou que ses sources sont mauvaises.
çà peut faire du Col. Goya un mauvais analyste, ce qui te reste à prouver, mais pas forcément un menteur.
Donc, avant d'insulter quelqu'un, anonymement, bien au chaud devant son écran, on essaye de comprendre là ou on n'est pas d'accord, pourquoi on n'est pas d'accord et, ensuite, on commente.
En proférant des insultes sans aucune critique constructive, on passe juste pour un imbécile.
Désolé d'être un peu dur, mais bon, les commentaires de YT seraient bien plus intéressants s'il n'y avait pas des messages inutiles comme le tien.
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