Comments by "Chef Chaudard" (@chefchaudard3580) on "ATE CHUET " channel.

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  38.  @Yanpac  les bruits concernant l'avion de 6gen sont contradictoires. À la base, il ne s'agit que d'un demonstrateur, dont on ne sait meme pas sil ressemble au produit final. Pour autant, les fabricants disent compter sur la "methode agile" pour developper rapidement un debut de solution, un premier avion qui evoluera avec le temps. Est-ce que c'est possible, ou est-ce que les militaires et constructeurs essaient de convaincre les politiques de financer un appareil de transition pour remplacer les F-15/16, parce que le F-35 ne convient pas? Donald Trump avait déjà été échaudé par le F-35, le jugeant trop cher. Demander une rallonge pour développer un nouvel appareil après avoir dépensé des centaines des milliards dans celui qui devait être le chasseur ultime, c'est gonflé. Il faut croire que les militaires en ont vraiment besoin, de ce remplaçant. Et c'est, je pense, la raison des grandes manoeuvres auprès du public auxquel on assiste, que l'on motive en faisant miroiter a coup de video Youtube sur fonds de drapeaux americains, l'avance technologique du bidule, la "generation 6" (meme si on sait pas trop ce quelle a de plus que la 5, ou même la 4), qui enfonce toute la concurence, surtout celle des chinois, promus méchant a abattre. Et ça peut marcher: Biden a besoin de claquer du fric dans son économie pour faire repartir la croissance après le Covid. Et le peuple americain est assez patriote pour engloutir des sommes astronomiques dans un nouveau "meilleur avion du monde". Tout ça pour dire que tout n'est pas encore clair, et que ça va être intéressant à suivre. Désolé pour ce post trop long.
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  136.  @alfredkoenig4438  mal compris, peut être? On peut prendre parti et avoir une vue impartiale d'un sujet. Prendre parti ne signifie pas mentir, s'aveugler ou défendre des thèses intenables. Une vue totalement dépassionnee d'un conflit conduit à manquer tout un pan d'explication concernant ses causes, raisons et ses répercussions, entre autres. On peut appeler ça "politique ", si on veut. Maintenant, si on n'analyse qu'une partie du sujet, comme ici un point de vue militaire, la "politique" n'aura qu'un impact mineur. Sur les vidéos du Xavier dont il est question dans ce fil, la "politique" à un rôle plus important, l'auteur ne se contentant pas de décrire une situation militaire. Ce qui ne signifie nullement que son parti pris influe sur la qualité de ses informations et de ses analyses. Celles ci sont basées sur des sources, des faits. Ses sources, ses conclusions peuvent toujours être remises en cause, il arrive qu'il fasse des erreurs (qui n'en fait pas. C'est pas la parole du Bon Dieu). Mais c'est au spectateur de croiser les sources et d'exercer son esprit critique pour juger de la qualité du travail. Soit ses arguments tiennent la route, soit non. Et, à ce jeu, Xavier T. S'en sort pas trop mal. La preuve : ses détracteurs en sont réduits à monter en épingle quelques erreurs mineures, et à faire des attaques "ad hominem". Quand ils daignent seulement faire une critique un peu construite, car la plupart du temps, ça se résume à traiter son travail de "propagande de l'OTAN ". Ce qui ne veut rien dire et ne prouve rien.
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  197. Plusieurs remarques : - la portée d’une torpille est limitée, environ 40km pour une torpille américaine Mk48 - on peut imaginer, toutefois, un drone porte torpille, sur le principe du Malafon de la Royale. Un drone ou missile qui emmène la torpille à portée de la cible. Ce serait un drone assez gros (une torpille, c’est lourd!), mais pourquoi pas. Le problème, c’est qu’il existe des mesures de protection contre les torpilles, comme contre les missiles anti navires, donc, une torpille amène peu d’avantages par rapport à un drone marin ou un missile, sauf à être très sophistiquée. Ce qui va à l’encontre de l’avantage d’un drone : son faible prix et sa simplicité. - il y a des recherches en cours de sous marins drones, ce qui permettrait de s’approcher en toute discrétion d’une flotte, sans prendre de risques. Mais, la aussi, on est dans l’arme coûteuse. - le problème des torpilles, c’est la communication : on ne peut pas guider à distance une torpille, parce que les ondes radio ne se propagent pas dans l’eau. On utilise un fil qui se déroule derrière, mais on a une distance limitée, ou la torpille est guidée par son sonar… ce qui manque de discrétion. Tout ça pour dire que le drone marin a l’avantage d’avoir une autonomie intéressante contre des navires s’approchant des côtes, d’être discret naturellement, parce qu’il est dissimulé aux radars par Les échos produits par les vagues, pas cher, car fait avec des technologies largement disponibles, à la portée d’un bricoleur et que les contre mesure ont des capacités limitées de traitement de cibles multiples. Son inconvénient est qu’il est vulnérable, car relativement lent. Du coup : avantage décisif, une arme qui va révolutionner la guerre sur mer, ou simple avantage passager, avant que les marines ne montent des mesures de défense, relativement simples à mettre au point? On verra…
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  298.  @lucimperator400  Je ne voulais pas entrer dans les détails et me cantonner à ce que disait Até. Pour aller plus loin: le Neptune, comme beaucoup de missiles terre-mer (air-mer, mer-mer), a deux phases de vol: - la première ou il est autonome. il a reçu les coordonnées de la cible à son lancement. Ou, plutôt, car le vol peut durer relativement longtemps, là ou la cible se trouvera en théorie lorsqu'il arrivera à proximité. Il suit une trajectoire fixe, planifiée à ce moment. - dans la seconde phase, il allume son radar et, s'il trouve la (ou une) cible, se dirige vers elle pour la toucher. Il y a donc deux choses à prendre en compte: - Le radar couvre un angle à l'avant du missile. Plus il est allumé tard par rapport à la cible, moins il "voit" de "largeur" devant lui. Pour simplifier: si le navire a changé de direction depuis le lancement, il peut se retrouver en dehors du cône du radar et le missile ne le détectera pas. - on peut allumer le radar plus tôt pour éviter ça, mais cela risque d'alerter le navire, qui va prendre des mesures pour abattre ou éviter la menace. On doit donc l'allumer le plus tard, le plus près possible du navire. Voilà comment on peut voir les choses pour le Moskva: - il est localisé et identifié par le P8. L'information est transmise aux Ukrainiens. - il suit une trajectoire prévisible : un drone TB2 est envoyé à distance de là ou il devrait se trouver dans trois quarts d'heure, une heure (ne pas oublier qu'un TB2, c'est lent...). Il identifie à son tour le Moskva, confirme ses manoeuvres et relaie sa position actuelle. - les missiles sont lancés vers la position ou il devrait se trouver à l'issue de leur vol (10mn?). Leur radar est allumé au dernier moment, prenant la défense par surprise (moins d'une minute, quelques secondes avant l'impact). Là, plusieurs hypothèses : 1 - le TB2 a juste servi de leurre: les radars et les (vieux) systèmes anti aériens du Moskva ont été pointés sur lui et ils n'ont pas détecté l'arrivée des missiles, ou trop tard. De plus, le Bayraktar a obligé le Moskva à changer de route pour l'intercepter, rendant sa route prévisible. 2 - Il n'y a jamais eu de TB2. Le suivi et l'identification a été le seul fait du P8, les opérateurs des Neptun ont juste entré les coordonnées prévues. J'y crois pas trop. Trop d'inconnues sur la trajectoire du Moskva. S'il change de route de façon imprévisible, toute l'opération est à l'eau, les missiles perdus. 3 - le Neptun a une capacité "man in the loop" (certains missiles ont ça, mais c'est juste une hypothèse, pour le Neptun). En clair, il peut recevoir des commandes venues d'opérateurs ou d'appareils de détection extérieurs. Le Bayraktar a servi à guider les missiles vers la position exacte du Moskva. Soit en passant par des opérateurs à terre, soit en communiquant directement avec les missiles. Les missiles ont alors allumé leur radar au tout dernier moment, ne laissant aucune chance au Moskva. 4 - Il n'y a jamais eu de missiles et le Moskva a brûlé à cause d'une clope mal éteinte😁 Dernier point: on parle de missiles Neptun, mais rien ne dit qu'il s'agisse pas d'autres types de missiles fournis par l'OTAN. Boris Johnson avait promis des Harpoon, par exemple. Désolé pour la longueur de la réponse...
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  371.  @paulx9329  Juste un commentaire sur la conception numérique. Je ne doute pas qu'elle permette de développer virtuellement un avion qui vole. Mais je doute que cela s'applique complètement à un avion d'arme, surtout multirole. L'emport des charges, leur séparation, les contraintes sur les structures sont extrêmement complexes à simuler et on en est encore réduit à faire des tests en réel pour mettre au point et valider l'emport de certaines. Un exemple un peu extrême: LM a des problèmes avec le canon du F-35. Il ne tire pas droit et des fissures ont été constatées sur son berceau. Je ne doute pas qu'il soit possible de renforcer (et alourdir?) le berceau, mais la seule solution trouvée pour améliorer la précision est... logicielle. On ne parle pas là d'une technologie futuriste, d'un canon magnétique de la mort qui tue, mais d'un truc qui est régulièrement monté sur des avions depuis la guerre de 14. Une autre remarque concernant un éventuel avion de transition "pas cher" pour remplacer les F-15/16: en plus des coûts de développement, qui seront loin d'être négligeables, même si on prend des composants "sur étagère" et qu'on saute le stade du prototype (risqué...), il faut rajouter le prix de l'avion lui même. Le F-16 "de base" n'était peu couteux que parce son électronique était limitée à un radar basique air-air. De fait, sa mission se réduisait à la chasse de jour. L'électronique embarquée coute cher, et elle coutera cher si l'avion est voulu multirole. De fait, on peut se demander si l'appareil sera si économique comparé à un F-15/16 dont les couts de développement sont amortis depuis longtemps, et s'il amènera réellement un gap en performance suffisant pour justifier son prix.
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  625.  @VladimirVladimirovichPutin0001  Une réponse un peu plus détaillée (j’ai du temps) Que les Russes aient tenté de brouiller la réception du drone est probable. Les pertes de liaison vues dans la vidéo correspondent probablement au moment où le chasseur passe au dessus de l’antenne satellite du drone, interrompant ainsi la connexion. Maintenant, voler au dessus d’un autre avion sans l’avoir en visuel est extrêmement dangereux, ainsi que les manœuvres faites par les pilotes. Até sait de quoi il parle : c’était son métier. Et toutes les personnes connaissant un peu le sujet le confirment Pour le nuage de carburant, en revanche, tu dis n’importe quoi : d’une part, on ne voit pas réellement d’où vient ce carburant. Les vortex pourraient indiquer qu’il vient des bouts d’ailes ou des bidons, donc bien un "vide-vite". En tous cas, il ne vient pas des réacteurs : si c’était le cas, ça voudrait dire que les réacteurs sont éteints. Un cas extrêmement dangereux, qui demande toute une procédure pour le rallumage, l’avion planant sans puissance pendant plusieurs dizaines de secondes, avec le risque que le réacteur ne redémarre pas. De fait, un réacteur qui manque d’air sans s’éteindre, ce qui arrive dans certaines phases de vol dynamiques, « fume noir », à cause du manque d’air et du kérosène imbrûlé. Comme un vieux diesel. Ce n’est pas le cas ici. Ensuite, les pilotes russes savaient parfaitement que le drone n’était pas armé : le MQ-9 porte ses charges sous les ailes et, à la distance ou ils étaient, ils auraient pu les voir. De toutes façons, le vol d’un drone, même armé, est parfaitement légal dans l’espace aérien international. Le plus probable est qu’un des avions russes a heurté le drone à un moment donné, celui d’une des manoeuvres risquées que l’on voit, ou au moment ou la transmission est coupée. Une pale de l’hélice est coupée et tordue, une autre est bloquée « en drapeau », et ça ne peut être que suite à un choc. Avant cela, ils avaient clairement tenté d’endommager le drone en larguant du pétrole dessus. Donc, il s’agit bien d’un acte hostile, injustifié, contraire aux lois internationales. De la piraterie, dont les Russes sont coutumiers.
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