Comments by "wilhelm gauthier" (@wilhelmgauthier3184) on "документальные фильмы imineo"
channel.
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C'est la satisfaction (assez rare) de l'autodidacte. Je ne suis même pas charpentier-couvreur, je suis... rien du tout, avec mon BEPC qui n'existe même plus... En lisant des ouvrages sur les hommes préhistoriques quelque chose m'intriguait toujours : pourquoi les paléo-anthropologues déclaraient-ils, tous en choeur, que les Néandertal et les Cro-magnon n'étaient pas interfécondents ? C'était comme un tabou : pas d'histoires d'amour entre eux... Je me demandais pourquoi... Aujourd'hui, les travaux de Svante Pääbo, prix Nobel (entre autres) ont montré que les gènes de Néandertal sont en nous, " hommes modernes "... Comme vous dites, c'est " bien sympatoche "de réaliser qu'on n'est pas plus bêtes que les autres, les " sachants " diplômés...
Aujourd'hui, d'autres " tabous " subsistent. Comme par exemple, dans les films, l'interdiction qui est faite aux dinosaures de laisser traîner leur queue par terre (les paléo-zoologues veillent !)...On se demande pourquoi, alors que les varans, les lézards etc. le font... Bonne journée à vous...
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L'archéologie nous renseigne assez bien. Nous savons que les condamnés ne portaient pas une croix mais une poutre aux dimensions étudiées, comportant une mortaise en son milieu, le patibulum. Arrivés sur le lieu du supplice, l'homme était cloué sur le patibulum au niveau des poignets (carpes) et non au niveau des mains comme sur la plupart des peintures. Le patibulum - avec le corps du supplicié - était hissé au sommet d'un poteau fixé à demeure, comportant un tenon (le stipes). Une fois l'ensemble fortement fixé par tenon et mortaise, les pieds de l'individu étaient seulement attachés avec des cordes, ou cloués sur le montant du stipes, ou encore sur une console de bois (suppedaneum) elle-même fixée au stipes. C'était un raffinement : le condamné, s'appuyant sur ses pieds meurtris pour essayer de soulager sa douleur aux poignets, ne faisait que prolonger la durée du supplice. Enfin la mort survenait, non par hémorragie mais par asphyxie (contraction des muscles thoraciques) après une agonie qui pouvait durer plusieurs jours suivant la résistance des individus.
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