Comments by "wilhelm gauthier" (@wilhelmgauthier3184) on "Открытие Гроба Христова" video.
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L'archéologie nous renseigne assez bien. Nous savons que les condamnés ne portaient pas une croix mais une poutre aux dimensions étudiées, comportant une mortaise en son milieu, le patibulum. Arrivés sur le lieu du supplice, l'homme était cloué sur le patibulum au niveau des poignets (carpes) et non au niveau des mains comme sur la plupart des peintures. Le patibulum - avec le corps du supplicié - était hissé au sommet d'un poteau fixé à demeure, comportant un tenon (le stipes). Une fois l'ensemble fortement fixé par tenon et mortaise, les pieds de l'individu étaient seulement attachés avec des cordes, ou cloués sur le montant du stipes, ou encore sur une console de bois (suppedaneum) elle-même fixée au stipes. C'était un raffinement : le condamné, s'appuyant sur ses pieds meurtris pour essayer de soulager sa douleur aux poignets, ne faisait que prolonger la durée du supplice. Enfin la mort survenait, non par hémorragie mais par asphyxie (contraction des muscles thoraciques) après une agonie qui pouvait durer plusieurs jours suivant la résistance des individus.
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