wilhelm gauthier
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Comments by "wilhelm gauthier" (@wilhelmgauthier3184) on "Poutine décrète une "mobilisation partielle" en Russie face à une menace de "l'Occident"." video.
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@DEFRANCEOlivier Moi aussi, j'ai entendu une histoire. Il était une fois un tyran russe fou et très méchant appelé Poutinou. Il avait interdit qu'on parlât de guerre en son royaume. Quiconque enfreignait cette interdiction était puni de 15 ans de prison dans des contrées glaciales. Or il advint que, dans son délire de dément, il prononça le mot " mobilisation ". Ses sujets, qui n'étaient pas tous idiots, savaient que ce vocable évoquait la guerre, et pas seulement une " opération spéciale ". Avec mille précautions, Lavrov, son grand Chambellan, osa le lui faire remarquer. Alors il se produisit une chose étonnante : après avoir réfléchi un instant, se passant à lui-même les menottes Poutinou se déclara en état d'arrestation et s'enferma dans la cellule des gardes à vue. Dès le lendemain à l'aube il partait pour 15 ans de cabane (en rondins, très pittoresque) près de Iakoutsk, en Sibérie centrale. Depuis, de mémoire de tank oncques ne fut Poutinou revu, le tyran russe très méchant et malade dans sa tête.
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Pas sûr que vous ayez lu les accords de Minsk. Ou que, les ayant lus, vous les ayez bien compris. Je vous invite à les relire plus soigneusement, en vous reportant à la réalité historique dans sa chrolologie, telle qu'elle est facile à retrouver dans les archives. Pour vous encourager, voici un extrait de la fondation Jean Jaurés, commentant ces accords de Minsk :
[...] Pour ce qui est du cessez-le-feu, il est violé tous les jours, chaque camp accusant l’autre d’avoir commencé. Ainsi qu’il ressort d’une étude des données de l’OSCE menée par le quotidien allemand FAZ (août 2016), les deux camps commettent des violations, mais ce sont les violations des forces séparatistes qui « prédominent » ; une analyse de suivi réalisée en octobre 2016 montrait que c’étaient les forces ukrainiennes qui avaient le plus souvent violé le cessez-le-feu.
Les armes lourdes n’ont pas été retirées. De plus, les observateurs de l’OSCE chargés de les surveiller sont régulièrement gênés dans leurs déplacements ; ce sont les forces séparatistes russes qui leur imposent le plus de restrictions. Elles ont aussi détruit en vol ou brouillé les drones de l’OSCE. Les observateurs de l’OSCE ne sont autorisés à exercer leurs fonctions de surveillance qu’à deux postes de contrôle sur onze à la frontière russo-ukrainienne, ce qui permet aux armes et aux militaires venus de Russie de continuer d’entrer sans encombre ".
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