Comments by "" (@retouralancienmondeofficiel) on "Sud Radio"
channel.
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
La France, au fil de son histoire, a souvent été victime de l'illusion que l'auto-flagellation permettrait de réconcilier son passé tumultueux avec son présent. Cette folie d'introspection excessive, alimentée par la culpabilité collective, a pris racine dans des moments de honte ou de crise, mais elle s'est étendue, devenant une sorte de tyrannie morale. La nation française, en s'immergeant dans les blessures du passé, notamment celles liées à la colonisation, à l'esclavage ou aux guerres mondiales, a tendu à se définir plus par ses fautes que par ses réussites. Ce processus d'auto-accusation a progressivement érodé la capacité de la société à se projeter dans l’avenir avec une force constructive, entraînant un sentiment de dévalorisation collective.
Il est essentiel de comprendre que l'auto-flagellation historique, loin d’apporter une rédemption, enferme les peuples dans une perpétuelle spirale de honte et d'immobilisme. La France a souvent cultivé une forme de repentance pour des erreurs passées, mais cette démarche, quand elle devient excessive, n'est pas un gage de progrès. Elle empêche la construction d'un projet commun, fondé sur la reconnaissance des torts sans s’y enchaîner. En se concentrant uniquement sur la culpabilité et en exagérant les fautes, on oublie d’honorer les aspects positifs de l’histoire : les avancées sociales, les révolutions politiques, les moments de grandeur intellectuelle et humaine.
Il est crucial que le peuple français cesse de porter seul le fardeau de cette culpabilité historique. La vraie réconciliation ne réside pas dans l’auto-accusation incessante, mais dans la capacité à reconnaître les erreurs passées tout en s’en libérant. La France doit redonner à ses citoyens le droit de ne pas être définis par leur passé, mais par leurs actions présentes et futures. Le peuple français mérite de se sentir digne et créatif, sans être constamment écrasé par un poids de culpabilité qui ne lui appartient plus. L’histoire, bien que lourde et complexe, ne peut ni nous emprisonner, ni nous dicter notre identité. Il est temps de sortir de cette spirale victimaire et d’accepter que la véritable liberté réside dans la capacité à avancer, à construire et à réparer, sans se perdre dans la recherche constante de rédemption.
4
-
4
-
4
-
La décadence d'une civilisation se manifeste souvent par une dégradation des valeurs morales et éthiques qui fondent une société. Dans le contexte d'un pays où la corruption politico-médiatique est devenue omniprésente, ce déclin s'inscrit dans une routine désenchantée où les intérêts personnels et le pouvoir prévalent sur le bien commun. Les institutions, autrefois considérées comme les bastions de la démocratie et de la justice, semblent désormais au service d'une élite qui privilégie l'enrichissement au détriment du peuple. Cette dynamique engendre un climat de méfiance et de désillusion généralisée.
Face à cette situation, nombreux sont ceux qui en appellent à un retour à des valeurs plus traditionnelles, prônant un retour à un ancien monde perçu comme plus stable et vertueux. Ce mouvement de révolte contre la corruption croissante se nourrit d’un désir de rétablir les principes éthiques, de restaurer la dignité des institutions et de favoriser un climat de confiance dans les relations sociales et politiques. Cette quête met en avant l'importance de la famille, de la communauté et des traditions, qui peuvent servir de socles pour reconstruire une société cohérente et unie.
Ainsi, la décadence actuelle est perçue comme un appel à renouer avec des fondements moraux solides, dans l'espoir de redonner un sens à la vie en communauté et de restaurer l'intégrité des gouvernants. Ce renouveau, loin d'être une nostalgie stérile, se veut une véritable alternative pour un avenir où la transparence et le respect des valeurs humaines seraient enfin retrouvés.
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
3
-
3
-
La "folie wokiste", telle qu'elle est perçue par certains, incarne une dérive idéologique marquée par l’abandon des principes moraux et des valeurs traditionnelles, au profit d’une vision radicale de l’égalitarisme qui se veut déconstructrice. Ce mouvement, bien qu'initialement porté par de nobles idéaux de justice et de réconciliation, semble parfois sombrer dans un excès d’intolérance et d’anathème envers ceux qui ne partagent pas sa vision du monde. En privilégiant le déni des hiérarchies naturelles et en poussant à la division au nom de la « décolonisation des esprits » ou de la « lutte contre les privilèges », cette folie participe à la fragmentation de la société, érodant les bases d’un ordre moral commun.
Dans ce contexte, il est crucial de redonner sens à une époque plus juste, où l’équilibre des valeurs humaines était fondé sur des principes d’honneur, de respect mutuel, de responsabilité collective et de solidarité. Le retour à un monde plus vertueux serait un retour à une époque où les hommes cherchaient la sagesse dans la beauté, la vérité et la moralité, et où les distinctions entre le bien et le mal étaient davantage définies, sans confusion ni relativisme. L’ancien monde, avec ses principes de respect de la famille, de la communauté et de l’autorité morale, offrait une structure qui permettait à l’individu de se réaliser tout en restant au service du collectif.
Ainsi, pour un retour à la raison et à la dignité humaine, il devient impératif de rétablir un dialogue fondé sur des valeurs solides, où la beauté de l’âme humaine est incarnée par des actions vertueuses et où la moralité n’est pas un concept obsolète, mais un guide essentiel à la coexistence harmonieuse. Cela nécessite une réaffirmation de l'importance de la tradition, du respect des hiérarchies naturelles et du souci du beau, dans toutes ses dimensions – qu’il s’agisse de l’art, de l’éthique, de la politique ou de la vie quotidienne.
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
La liberté, souvent perçue comme l'aspiration ultime de l’humanité, reste une illusion soigneusement entretenue dans un monde où les chaînes invisibles de l’économie moderne se resserrent à chaque instant. On nous promet l'autonomie avec des systèmes décentralisés, comme les cryptomonnaies, en nous faisant croire qu'ils nous libèrent des autorités monétaires et des banques centrales. Mais cette promesse se révèle être une escroquerie sophistiquée, car en réalité, ces nouvelles monnaies numériques sont soumises à des forces tout aussi puissantes et invisibles que celles qu'elles prétendent défier. Les fluctuations incessantes des cryptomonnaies, leur volatilité extrême et l'anonymat factice qu'elles offrent masquent la réalité d'un marché spéculatif, où l'on manipule les masses pour des gains éphémères, tout en laissant les citoyens vulnérables face à des risques systémiques encore plus grands.
Le véritable idéal de liberté réside peut-être dans un retour à une économie tangible, où la valeur de l'argent ne dépend pas d'une confiance aveugle dans des entités numériques ou financières abstraites. L'indexation des monnaies sur des biens réels, comme l'or ou l'argent, nous permettrait de rétablir un équilibre économique, de restaurer la confiance et de mettre fin à l'illusion d'un système financier sans fondement, qui ne cesse d'alimenter l'endettement et l'instabilité. Retourner aux monnaies nationales, régulées et soutenues par des actifs réels, pourrait être le moyen de redonner aux individus et aux nations un contrôle véritable sur leur destin économique. Loin de la promesse d'une liberté numérique, cela pourrait être la première étape vers une réaffirmation de la souveraineté et de la stabilité, dans un monde où l’échange de valeur retrouve un sens authentique et durable.
3
-
3
-
3
-
3
-
3