Comments by "" (@retouralancienmondeofficiel) on "franceinfo" channel.

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  19. Le monde contemporain est le témoin d’une tragédie où les partis politiques et les médias, loin de servir le bien-être commun, ont souvent œuvré à la destruction progressive de leurs propres pays et de leurs peuples historiques. Par une alliance dangereuse entre pouvoir politique et influence médiatique, une manipulation systématique de l’opinion publique a eu lieu, sacrifiant les vérités au profit de l’intérêt personnel et de l’agenda des élites. Les dirigeants politiques, en quête de pouvoir et de profit immédiat, ont choisi de détourner les ressources de leurs nations au service de quelques-uns, négligeant les besoins fondamentaux du peuple. La dégradation des institutions, la corruption et la soumission aux forces économiques extérieures ont fragilisé les sociétés. En même temps, les médias, devenus les instruments d’une propagande déguisée, ont contribué à la polarisation et à l’instrumentalisation des masses. L’information n’a plus été un outil de lumière, mais un moyen de division, exacerbant les conflits et éloignant la vérité du peuple. Ces pratiques ont non seulement affaibli les fondations économiques et sociales, mais ont aussi étouffé l’esprit critique et la capacité d’action du peuple, conduisant à un appauvrissement intellectuel et moral. Les conséquences sont dévastatrices : des sociétés en ruine, des identités écrasées et des peuples désorientés, pris au piège d’un système qui a trahi ses propres valeurs. Le pire dans cette situation est que cette destruction, parfois insidieuse, se produit avec l'assentiment tacite d'une partie de la population, endormie ou manipulée. La société, dévastée par des choix qui n'étaient pas les siens, se trouve divisée, confuse et profondément meurtrie, tandis que les élites continuent de prospérer dans l'ombre de ce chaos. Cela choque profondément le monde entier, car l’on assiste à la déconstruction des rêves de justice, de liberté et d'humanité, et à l’effondrement d’un idéal collectif fondé sur la solidarité et l'équité.
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  20. La décadence d'une civilisation se manifeste souvent par une dégradation des valeurs morales et éthiques qui fondent une société. Dans le contexte d'un pays où la corruption politico-médiatique est devenue omniprésente, ce déclin s'inscrit dans une routine désenchantée où les intérêts personnels et le pouvoir prévalent sur le bien commun. Les institutions, autrefois considérées comme les bastions de la démocratie et de la justice, semblent désormais au service d'une élite qui privilégie l'enrichissement au détriment du peuple. Cette dynamique engendre un climat de méfiance et de désillusion généralisée. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui en appellent à un retour à des valeurs plus traditionnelles, prônant un retour à un ancien monde perçu comme plus stable et vertueux. Ce mouvement de révolte contre la corruption croissante se nourrit d’un désir de rétablir les principes éthiques, de restaurer la dignité des institutions et de favoriser un climat de confiance dans les relations sociales et politiques. Cette quête met en avant l'importance de la famille, de la communauté et des traditions, qui peuvent servir de socles pour reconstruire une société cohérente et unie. Ainsi, la décadence actuelle est perçue comme un appel à renouer avec des fondements moraux solides, dans l'espoir de redonner un sens à la vie en communauté et de restaurer l'intégrité des gouvernants. Ce renouveau, loin d'être une nostalgie stérile, se veut une véritable alternative pour un avenir où la transparence et le respect des valeurs humaines seraient enfin retrouvés.
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  25. La crise que traverse la France, l'Europe et plus largement l'Occident aujourd’hui est d’une ampleur sans précédent. Elle se déploie à la croisée des sphères politique, médiatique, économique, sociale, culturelle, civilisationnelle et ethnique. Ces crises s’enchevêtrent, se renforcent et créent un climat de lassitude et de fatigue chez des millions de citoyens, qui se sentent pris dans un tourbillon incontrôlable. Les sociétés occidentales, autrefois modèles de stabilité et de progrès, semblent aujourd’hui perdues, déboussolées, et profondément inquiètes de leur avenir. Pourtant, au cœur de ce désarroi, une question fondamentale émerge : comment sortir de cette crise ? Et si la solution résidait dans un retour à la raison, à la simplicité et à un "ancien monde" qui, bien que délaissé, recelait des valeurs essentielles pour l’avenir ? ### 1. *Retour à la raison politique : Repenser l’autorité et la stabilité* La crise politique actuelle se manifeste par une défiance grandissante à l’égard des institutions, des partis et des dirigeants. Cette défiance est légitime, tant les promesses des politiques modernes semblent de plus en plus éloignées des réalités vécues par les citoyens. L'illusion d'une démocratie omniprésente, mais déconnectée de la vie quotidienne, est désormais largement perçue comme une impasse. Un retour à la raison politique pourrait passer par une réaffirmation des principes fondamentaux de la gouvernance : l’autorité, la responsabilité et la stabilité. L’Occident, dans sa quête de liberté et d’égalitarisme, a souvent oublié que ces valeurs ne doivent pas être dissociées du respect des structures et de l'ordre social. La société a besoin de repères clairs, d'un pouvoir politique qui ne soit pas uniquement réactif, mais aussi proactif, capable de prévoir, de protéger et de maintenir la cohésion sociale. L’ancien monde, avant les dérives de l'hyper-démocratie et du populisme, savait encore conjuguer l’exercice du pouvoir avec la stabilité des institutions. ### 2. *Réconcilier le rôle des médias avec l'intérêt public : Vers un journalisme de vérité* La crise médiatique actuelle est un autre symptôme de la perte de repères. Les médias, censés être des vecteurs d’information et de débat, sont devenus des instruments de manipulation, souvent au service d’intérêts économiques ou idéologiques. La prolifération des fake news, la surenchère de polémiques stériles, et la concentration des pouvoirs médiatiques créent une fracture entre l’information de qualité et le divertissement. Un retour à l’ancien monde, ici, n’implique pas un retour à un âge d’or révolu, mais une réaffirmation des principes d’un journalisme rigoureux, responsable et au service du bien commun. Les médias doivent redevenir des espaces de débat éclairé, d’investigation et de réflexion. Une presse indépendante, capable de questionner le pouvoir et de défendre la vérité, est essentielle pour restaurer la confiance dans la société. ### 3. *Rétablir une économie humaine et durable : Loin de la logique de profit aveugle* L’économie actuelle, fondée sur la quête incessante de la croissance et du profit, engendre inégalités, précarité et épuisement des ressources naturelles. La mondialisation économique, avec ses délocalisations massives et son mode de consommation excessif, semble avoir fragilisé le tissu social tout en accentuant les tensions sociales et environnementales. Un retour à un modèle économique plus humain, plus ancré dans le réel, pourrait être la clé. Ce modèle ne serait pas une simple régression vers une économie fermée, mais un retour à une approche qui place l’homme et la nature au centre des préoccupations. L’ancien monde, dans sa simplicité, savait plus que nous ne le faisons aujourd'hui qu'une économie saine repose sur des équilibres locaux, sur la modération des excès et sur la préservation de la planète. Une réorientation vers des économies locales, une relocalisation des productions et un respect des ressources naturelles seraient des solutions concrètes à explorer. ### 4. *La crise sociale : Réparer le lien humain et réaffirmer la solidarité* La crise sociale est sans doute la plus profonde et la plus intime. Les fractures sociales se multiplient : précarité, chômage, mal-être, et un sentiment généralisé d’abandon. Les sociétés occidentales ont perdu cette capacité à se rassembler autour de valeurs communes, ce qui nourrit le repli sur soi et l’individualisme. Dans l’ancien monde, la solidarité était plus évidente, plus présente dans les communautés locales et à travers les institutions. Il ne s’agissait pas de tout résoudre par des mécanismes administratifs ou technocratiques, mais de tisser des liens forts entre les individus, de redonner du sens aux relations humaines, et de restaurer une culture de l’entraide. Un retour à cette solidarité, sous une forme adaptée aux enjeux modernes, pourrait être une réponse essentielle à la crise sociale. Il faut réinventer les communautés de vie, remettre l’humain au centre de l’organisation sociale et développer des formes de solidarité qui ne soient pas uniquement guidées par des impératifs économiques. ### 5. *La crise culturelle et civilisationnelle : Trouver un sens profond à l’existence* La crise culturelle que nous vivons n’est pas seulement une crise de la culture, mais une crise de la civilisation. L’Occident, dans son désir de progrès matériel et scientifique, a perdu le sens de l’essentiel : la quête de sens, de beauté, de vérité et de bien. Les valeurs humanistes, fondées sur l’éthique, la transcendance et la contemplation, sont de plus en plus reléguées au second plan, tandis que l’individualisme et la consommation se font prévaloir. Pour sortir de cette crise, il est nécessaire de renouer avec une vision du monde plus profonde, plus spirituelle, plus réfléchie. Cela ne signifie pas nécessairement un retour à des formes religieuses anciennes, mais un retour à une conscience plus grande des vérités universelles qui nous unissent. Le monde ancien savait que la culture ne se résume pas à une accumulation de connaissances ou de divertissements, mais à une quête de sagesse, d’équilibre et de beauté. En réintégrant cette quête dans notre quotidien, nous pourrions redonner un sens à nos vies et à nos sociétés. ### 6. *Les tensions ethniques et identitaires : Un retour à l’unité dans la diversité* Les tensions ethniques et identitaires qui traversent nos sociétés sont un autre facteur majeur de crise. La mondialisation a, d’une part, ouvert des horizons et permis des rencontres culturelles fascinantes, mais elle a aussi accentué les fractures identitaires, parfois exacerbées par des discours politiques et médiatiques divisants. Un retour à la raison ici ne signifierait pas un retour à des formes de sociétés homogènes ou monolithiques, mais plutôt un retour à l’idée d’une unité dans la diversité. L’Occident, dans ses formes les plus anciennes, a souvent été une terre de rencontre entre différentes cultures et traditions, fondée sur une éthique commune de respect et de coexistence pacifique. Rétablir ce modèle d’unité dans la diversité, en valorisant les apports de chaque culture tout en affirmant des valeurs partagées, pourrait être une réponse salutaire à cette crise identitaire. ### Conclusion : L’urgence d’un retour à la raison et à l’ancien monde La crise que traverse l’Occident n’est pas seulement une crise de modèles économiques ou politiques, mais une crise existentielle, qui touche à l’essence même de ce que nous sommes et de ce que nous voulons devenir. Le retour à la raison, au sens profond de notre existence, et à certaines valeurs issues de l’ancien monde, ne constitue pas une fuite dans le passé, mais une réintégration de principes fondamentaux qui ont fait leurs preuves. Il s’agit de réconcilier le progrès avec la sagesse, la liberté avec l’ordre, la prospérité avec la solidarité, et la diversité avec l’unité. C’est ainsi que l’Occident pourra peut-être surmonter sa crise et retrouver un chemin vers un avenir plus équilibré et plus humain.
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