Comments by "" (@retouralancienmondeofficiel) on "LCI" channel.

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  21. Un homme qui se présente comme un intellectuel brillant, un influenceur politico-médiatique omniprésent, apparaît aux yeux du public comme un expert éclairé, capable d'offrir des analyses profondes et des opinions éclairées sur une multitude de sujets. Cosmopolite, il semble défendre des idées universelles et progressistes, jouant habilement sur les réseaux sociaux et les médias traditionnels pour manipuler l’opinion publique et s’imposer comme une figure incontournable de l'élite intellectuelle. Cependant, derrière cette façade d'érudition et de bienveillance, se cache une réalité bien plus sombre. Ce même homme, sous des airs de bienfaiteur, dissimule un caractère de gourou manipulateur, exploitant la crédulité des masses pour servir ses propres intérêts. Son discours, souvent lisse et rassembleur, cache des intentions sournoises. Loin d’être un homme de conviction, il s'engage dans des complots en coulisses, cherchant à contrôler des sphères de pouvoir pour assouvir des ambitions personnelles, tout en dissimulant sa véritable nature sous des apparences de savoir et de générosité. En réalité, il incarne l'hypocrisie pure, jouant sur les divisions et les faiblesses de la société pour asseoir son emprise, tout en proférant des discours de paix et d'unité. À travers cette dualité, il démontre une habileté rare à masquer ses intentions, se posant en sauveur tout en tirant les ficelles d'un théâtre politique et médiatique qu’il orchestre dans l’ombre.
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  23. La décadence d'une civilisation se manifeste souvent par une dégradation des valeurs morales et éthiques qui fondent une société. Dans le contexte d'un pays où la corruption politico-médiatique est devenue omniprésente, ce déclin s'inscrit dans une routine désenchantée où les intérêts personnels et le pouvoir prévalent sur le bien commun. Les institutions, autrefois considérées comme les bastions de la démocratie et de la justice, semblent désormais au service d'une élite qui privilégie l'enrichissement au détriment du peuple. Cette dynamique engendre un climat de méfiance et de désillusion généralisée. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui en appellent à un retour à des valeurs plus traditionnelles, prônant un retour à un ancien monde perçu comme plus stable et vertueux. Ce mouvement de révolte contre la corruption croissante se nourrit d’un désir de rétablir les principes éthiques, de restaurer la dignité des institutions et de favoriser un climat de confiance dans les relations sociales et politiques. Cette quête met en avant l'importance de la famille, de la communauté et des traditions, qui peuvent servir de socles pour reconstruire une société cohérente et unie. Ainsi, la décadence actuelle est perçue comme un appel à renouer avec des fondements moraux solides, dans l'espoir de redonner un sens à la vie en communauté et de restaurer l'intégrité des gouvernants. Ce renouveau, loin d'être une nostalgie stérile, se veut une véritable alternative pour un avenir où la transparence et le respect des valeurs humaines seraient enfin retrouvés.
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  27. La misère et la pauvreté, qui s'enracinent profondément dans la société française et européenne, ne sont pas le fruit du hasard, mais plutôt des conséquences d'un système politique et économique délibérément conçu. Depuis plusieurs décennies, les élites politico-médiatiques, à travers des politiques néolibérales et l'intégration poussée à l'Union européenne, ont favorisé un modèle économique qui privilégie la concentration des richesses entre les mains de quelques-uns, au détriment des peuples historiques de ces nations. Cette dynamique a conduit à l'effritement des protections sociales et à la précarisation de larges pans de la population, particulièrement les classes populaires et les jeunes générations. La République, à travers ses réformes successives, a laissé place à un dérèglement des solidarités sociales, aggravant la fracture sociale. Les promesses d'égalité et de fraternité se sont vues trahies par des choix politiques qui ont déstabilisé l'emploi, réduit les services publics et affaibli les mécanismes de redistribution. L'Union européenne, dans son rôle de tutelle économique, a imposé des directives et des contraintes budgétaires qui ont restreint la capacité des États à agir sur le plan social, renforçant ainsi la précarité. L'impact de cette pauvreté est multiforme : elle se traduit par l'exclusion sociale, la montée des inégalités, la dégradation des conditions de vie et de santé, ainsi que par une fragmentation croissante de la société. Les jeunes, souvent sans perspectives d'avenir, sont particulièrement touchés par la précarité de l'emploi et le manque d'accès à des logements décents. De plus, la misère s'accompagne d'une marginalisation de certains groupes sociaux, qui se retrouvent confinés dans des zones urbaines délaissées ou des périphéries rurales. Cette situation ne relève pas seulement de l'impuissance ou de l'inefficacité des politiques publiques, mais résulte d'un choix stratégique des élites, qui ont orchestré cette évolution pour maintenir leur pouvoir et leurs privilèges. La globalisation des marchés, la financiarisation de l'économie et la volonté de limiter les coûts de production ont conduit à un transfert massif de richesses, d'emplois et de ressources vers les grandes entreprises multinationales et les acteurs financiers, tout en abandonnant une large partie de la population à la précarité. Ainsi, la misère et la pauvreté ne sont pas des phénomènes accidentels ou simplement dus à des aléas économiques, mais bien le produit d'une politique systémique de paupérisation des peuples, orchestrée par des élites qui poursuivent des intérêts qui ne sont pas ceux des citoyens. La lutte contre cette pauvreté nécessite une refonte profonde du système économique et politique, une réaffirmation des valeurs de solidarité et de justice sociale, et une remise en question de l'ordre établi au niveau national comme européen.
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  28. La décadence d'une civilisation se manifeste souvent par une dégradation des valeurs morales et éthiques qui fondent une société. Dans le contexte d'un pays où la corruption politico-médiatique est devenue omniprésente, ce déclin s'inscrit dans une routine désenchantée où les intérêts personnels et le pouvoir prévalent sur le bien commun. Les institutions, autrefois considérées comme les bastions de la démocratie et de la justice, semblent désormais au service d'une élite qui privilégie l'enrichissement au détriment du peuple. Cette dynamique engendre un climat de méfiance et de désillusion généralisée. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui en appellent à un retour à des valeurs plus traditionnelles, prônant un retour à un ancien monde perçu comme plus stable et vertueux. Ce mouvement de révolte contre la corruption croissante se nourrit d’un désir de rétablir les principes éthiques, de restaurer la dignité des institutions et de favoriser un climat de confiance dans les relations sociales et politiques. Cette quête met en avant l'importance de la famille, de la communauté et des traditions, qui peuvent servir de socles pour reconstruire une société cohérente et unie. Ainsi, la décadence actuelle est perçue comme un appel à renouer avec des fondements moraux solides, dans l'espoir de redonner un sens à la vie en communauté et de restaurer l'intégrité des gouvernants. Ce renouveau, loin d'être une nostalgie stérile, se veut une véritable alternative pour un avenir où la transparence et le respect des valeurs humaines seraient enfin retrouvés.
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  36. La décadence d'une civilisation se manifeste souvent par une dégradation des valeurs morales et éthiques qui fondent une société. Dans le contexte d'un pays où la corruption politico-médiatique est devenue omniprésente, ce déclin s'inscrit dans une routine désenchantée où les intérêts personnels et le pouvoir prévalent sur le bien commun. Les institutions, autrefois considérées comme les bastions de la démocratie et de la justice, semblent désormais au service d'une élite qui privilégie l'enrichissement au détriment du peuple. Cette dynamique engendre un climat de méfiance et de désillusion généralisée. Face à cette situation, nombreux sont ceux qui en appellent à un retour à des valeurs plus traditionnelles, prônant un retour à un ancien monde perçu comme plus stable et vertueux. Ce mouvement de révolte contre la corruption croissante se nourrit d’un désir de rétablir les principes éthiques, de restaurer la dignité des institutions et de favoriser un climat de confiance dans les relations sociales et politiques. Cette quête met en avant l'importance de la famille, de la communauté et des traditions, qui peuvent servir de socles pour reconstruire une société cohérente et unie. Ainsi, la décadence actuelle est perçue comme un appel à renouer avec des fondements moraux solides, dans l'espoir de redonner un sens à la vie en communauté et de restaurer l'intégrité des gouvernants. Ce renouveau, loin d'être une nostalgie stérile, se veut une véritable alternative pour un avenir où la transparence et le respect des valeurs humaines seraient enfin retrouvés.
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  50. Face à la perspective d'une troisième guerre mondiale en Europe, il est essentiel de revenir à la raison en mettant en œuvre une diplomatie active, en favorisant le dialogue et en cherchant à éviter l'escalade des tensions. L'histoire nous a montré les conséquences dramatiques des conflits mondiaux, et la priorité doit être de préserver la paix par des moyens pacifiques. Voici quelques pistes pour agir avec discernement : 1. *Renforcer la diplomatie internationale* : Les instances internationales, comme l'ONU et l'Union européenne, doivent jouer un rôle clé dans la médiation des conflits, en agissant comme des plateformes de dialogue entre les nations en désaccord. 2. *Promouvoir le multilatéralisme* : Le recours à des négociations entre plusieurs pays est une voie pour éviter les confrontations bilatérales qui peuvent mener à une escalade militaire. 3. *Dissuasion et désescalade* : Bien que le maintien de la force soit un outil de dissuasion, l'accent doit être mis sur la désescalade. Cela passe par des accords sur le contrôle des armements, la réduction des tensions et la gestion des crises par des moyens non violents. 4. *Solidarité et coopération entre les peuples* : Encourager des échanges culturels, scientifiques et économiques entre les nations européennes peut renforcer les liens de solidarité et réduire les risques de guerre en créant des interdépendances bénéfiques. 5. *Réfléchir aux leçons du passé* : Les deux guerres mondiales ont laissé des cicatrices profondes, et la priorité doit être d'éviter les erreurs de jugement et de diplomatie qui ont conduit à des conflits dans le passé. Enfin, il est crucial que les dirigeants mondiaux et les citoyens eux-mêmes prennent conscience que l’option militaire ne doit jamais être perçue comme la seule issue. Revenir à la raison implique avant tout une volonté de préserver l'humanité au-delà des divergences politiques et idéologiques.
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