Comments by "FIFI BRINDACIER" (@lucidecassandre4096) on "Publications Agora"
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ORIGINES DU CAPITALISME : « le vice, qui conduit à la recherche de richesses et de puissance …/… apporte une opulence supposée ruisseler du haut en bas de la société. …/…. La guerre, le vol, la prostitution, l’alcool et les drogues, la cupidité etc … contribuent finalement « à l’avantage de la société civile » : Soyez aussi avide, égoïste, dépensier pour votre propre plaisir que vous pourrez l’être car ainsi vous ferez le mieux que vous puissiez faire pour la prospérité de votre nation et le bonheur de vos concitoyens « (Bernard MANDEVILLE, la Fable des abeilles, 1705)
Bernard Mandeville a inspiré Adam Smith, et a été remis à l’honneur par Keynes en tant que précurseur de sa propre théorie.
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Une lettre des banquiers Le Couteulx, Perregaux, Mallet et Périer, appuyés par le conseiller d'État Cretet, adressée le 6 janvier 1800 au ministre des Finances Gaudin, présente le projet d'une "Banque de France", qui est créée le 18 janvier 1800 par un arrêté des Consuls pour ce groupe de représentants de banques privées.
La Banque de France est alors une banque d'émission parmi d'autres.
Le banquier Claude Périer en rédige les premiers statuts. Le 13 février 1800, se tient la première Assemblée générale des actionnaires de la Banque dont le Premier Consul, sa mère, les Beauharnais et les Murat.
Elle acquiert une clientèle en fusionnant avec la Caisse des comptes courants. Napoléon Bonaparte en est le premier actionnaire.
La loi du 24 germinal an XI (14 avril 1803) restreint le privilège d'émettre des billets payables au porteur et à vue (billets de banque) à la seule Banque de France
L'instauration du MONOPOLE DE LA BANQUE DE FRANCE découle de plusieurs faits :
la politique centralisatrice de Bonaparte, actionnaire, comme plusieurs de ses proches ;
la recherche de FINANCEMENT DES ARMEES ;
le souhait d'éliminer la concurrence, pour empêcher l'émission inflationniste de billets de banque et PROTEGER la RENTABILITE DES ACTIONS
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@fredericbart1745 - Comme je vous ai dit, en France, l'enseignement de l'histoire a longtemps été sous la main de l'extrême droite. D'où le penchant immodéré pour les guerres et une vision très "chauvine" de la France - avec exfiltration de tous les sujets qui fâchent (comme la colonisation). Je haïssais l'histoire au lycée.
Puis, je suis devenue historienne ... d'ART. Car il existe toutes sortes d'histoires. Histoire des civilisations, histoire de l'Art, histoire des sciences et techniques etc ... En histoire de l'Art, on apprend les arts étrangers, art chinois, art égyptien, art grec, art romain, art musulman, art carolingien, art africain etc ... et les influences de tous ces arts sur l'art français. Par exemple, l'influence de l'art chinois sur l'art français - via l'Angleterre - l'art africain sur Picasso etc ... Et toutes les formes d'art : architecture, sculpture, peinture, mobilier, arts décoratifs etc ... J'avais des collègues historiens des sciences, historiens des techniques ...
L'histoire de l'agriculture ... beaucoup plus intéressante que la litanie des guerres ... mais faut croire que l'enseignement de l'histoire est sponsorisé par les marchands d'armes !
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