Comments by "" (@williammarie2479) on "Sud Radio"
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Témoignage : Je reviens d'un périple au Pérou avec ma camioneta quatquateuze. J'avais l'intention d'aller voir la forêt amazonienne péruvienne en contournant le lac Titicaca. Mais je m'arrête à Juliaca, mal foutu. Je pense à une grippe, mais ça ne passe pas, je pense à un malaise dû à l'altitude et je fais demi-tour. Ça va mieux en redescendant, mais pas terrible non plus. Je rejoins le Paraguay, toujours pas frais. Pas fichu de déterminer ce que j'avais, je vais voir les urgences à l'hôpital Bautista à Asunción. Je suis immédiatement pris en charge et diagnostiqué : c'est la dengue. Ici c'est très connu des urgences. Hospitalisé avec analyses et perfusion. Mais il me faut 4 jours pour récupérer.
Voilà la différence de systèmes de santé. Certes on paye, mais quand il le faut, alors qu'en France on paye en cotisations toute sa vie et, quand on a besoin de soins...
Ici, la Sécu, c'est tout simplement une cagnotte que les familles font et qui sert quand ils en ont besoin.
Et le pire c'est que pendant la coronafolie, les malades non piqués étaient chassés des hôpitaux même s'ils avaient cotisé à la Sécu toute leur vie.
J'attend l'imbécile qui va me parler du système-de-soins-que-le-monde-nous-envie.
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Je vis au Paraguay depuis 12 ans et, franchement, je ne regrette pas la France au niveau médecine.
Comparaison :
- en France on cotise toute sa vie de salarié + une mutuelle et, les rares fois où on est malade on est remboursé des clopinettes.
- ici on paye à l'acte si on est malade. Tarif bien inférieur à celui, hors Sécu, que paye les indépendants
- en France on ne peut pas avoir de médicaments sans ordonnance, même ceux qu'on prend depuis des années (anticoagulants). Il faut perdre son temps dans une salle d'attente, payer une consultation bidon à un médecin, juste pour qu'il vous remplisse une ordonnance.
- ici on achète tout ce qu'on veut en pharmacie (sauf les opiacés soumis à ordonnance) y compris les interdits en France qui contrariaient Big Pharma.
Autre point : ici les médecins n'exercent pas tout seul avec juste un stéthoscope et un brassard à tension (et les moins chers possibles) ils sont en "sanatorios" (cliniques) et il y a plusieurs spécialistes.
Par exemple venu pour un bras droit enflé et douloureux, j'ai juste reçu l'instruction de réduire la warfarine un temps, de prendre du furosémide et de voir son collègue équipé d'un scanner ultra moderne qui a inspecté mon bras pour voir s'il n'y avait pas un caillot veineux. Tout ça dans le même établissement.
Les médecins isolés ça n'existe plus au Paraguay.
Autre point un RV de consultation (hors urgence) en France c'est 2 mois pour un cardiologue et 3 mois pour un ophtalmo. Ici un RV c'est dans la semaine et une urgence c'est tout de suite. Par exemple venu en consultation, très fatigué, pour une atteinte de dengue, j'ai été hospitalisé tout de suite. Perfusions et analyses. C'est d'ailleurs étonnant comme la dengue perturbe les formules sanguines. Ce n'est donc pas une variété de grippe.
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Je vois que tout le monde patauge dans le juridique, l'étatisme, les bons sentiments.
Mois je ne suis qu'un biologiste et je vous dis ce qu'on observe chez des prédateurs qui vivent en groupe.
Déjà la plupart des bestioles ont un territoire, individuel ou collectif, et on est prié de ne pas s'y aventurer.
Il y avait, au Kenya, un coin parfait, sur le bord d'une route, pour faire de superbes photos sur la vallée du Rift en contrebas.
"Ne vous y arrêtez surtout pas !" nous avait dit un chauffeur de taxi. C'est le territoire d'une bande de babouins et vous serez accueillis à coup de pierres.
Revenons en France : on voit que des bandes ethniques sont capables de défendre leur territoire qu'ils se sont accaparés et qui traitent les vrais indigènes comme les babouins le font des touristes.
Cela traduit quoi ? Que toute bestiole ou groupe de bestioles incapables de défendre son territoire est appelé à disparaître.
Barbares ces prédateurs ? Oui, assurément ! Les loups tuent pour le plaisir dans un troupeau de moutons, ils ne se contentent pas d'en dévorer un.
Pourtant la société des loups est très structurée. Si l'un d'eux veut être le chef, il y a alors un combat singulier et le vaincu tend sa gorge au vainqueur, pour accepter sa reddition.
Passant de la biologie animale à la sociologie humaine, je ne vois pas grand avenir pour les petits français au train où ils sont partis. Poutine disait en rigolant que la France serait la colonie de ses anciennes colonies. C'est patent avec l'Algérie.
"Bouh que c'est vilain la violence !". Il est plus dangereux juridiquement à un français de se défendre qu'à un malfrat immigré de commettre vols, viols et agressions.
Au Paraguay, où je vis, il y a eu un temps où les immigrés européens se faisaient massacrés par les bandits locaux. J'ai vu une maison où il y avait des impacts de balles ainsi que des jolis dessins animaliers que faisait une dame belge, retraitée et vivant avec son mari. Tous deux assassinés.
Mais l'État paraguayen n'avait pas apprécié ! Il y eut des arrestations mortelles parmi ces bandits et les européens furent incités à être armés.
Du coup c'en a été fini des meurtres d'étrangers, les gringos étaient devenus une espèce protégée, d'autant que les dits bandits n'y avait pas intérêt car, comme je l'avais placardé sur ma porte : "mon argent dort à la banque et mon 9 mm sous mon oreiller". Par contre entre paraguayens...
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Ce n'est pas une immigration, c'est une invasion !
En Amérique du Sud, ils sont de la même ethnie latino, ils sont tous hispanophones (sauf les brésiliens) et globalement chrétiens, mais une frontière c'est sacré ! On fait bien sagement la queue avec passeport à la main.
Il y a des échanges, des contrats de travail possibles (le Mercosur), des paraguayens travaillent à Buenos Aires et des argentins au Paraguay, mais tout est fait dans la légalité.
Et s'il y a des bidonvilles ce sont les locaux qui les occupent.
Rien à voir avec la France où c'est une invasion voulue et gérée par le mondialisme de Davos et de Soros.
Et en Europe l'Allemagne veut faire tomber tous les pays qui ont osé s'opposer à l'hégémonie du 3e Reich : la Grèce, la Pologne. Pour la France, c'est déjà fait, elle est devenue le caniche de l'Allemagne.
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"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
Toujours d'une brulante actualité, n'est-il pas ?
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Maintenant les touristes viennent dans le sud marocain pour voir passer les dromadaires.
Mais qu'est-ce qui vous intéressent tant, les français avec les dromadaires ? me demandait un jeune ami marocain à Errachidia, donc sur le bord du Sahara.
Simple, lui répondis-je, la curiosité ! En effet des chèvres on en a, des ânes on en a, des marocains on en a aussi, mais on n'a pas de dromadaires.
Il était ravi par ma réponse.
Le Maroc, c'est une civilisation de la parole, si vous savez raconter des histoires, vous leur plaisez.
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@anniedestrade4832
Ouarf ! Il n'est nullement dans mes intentions de "sauver le monde". À en faire une lecture comme le matérialiste que je suis, il y en a un qui, en récusant tant soit peu l'impérialisme romain et les prêtres collabos de l'époque a fini cloué (encore que c'est pour rajouter au sadisme, les crucifiés étaient simplement ligotés).
Au stade où j'en suis d'analyse il s'agit, dans l'ordre,
1. de rendre les français un peu plus sociables car leur logique actuelle c'est "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs"
2. si le point précédent se réalise faire une base viable d'économie survivaliste. Donc pas en France car cela est rendu impossible.
3. éduquer, sur le monde qui nous entoure, ceux qui en sont capables et désireux de comprendre
Et, effectivement, si ma vie est menacée je détalerais comme toute bestiole encore nantie de tonus vital. L'actuelle jeunesse française qui préfère se suicider que de se révolter, ce n'est pas mon truc. Ils ne sont même pas capables de se barrer.
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Il y a un salmigondis sémantique entre anti-dépresseurs et tranquillisants et autres. Ce ne sont pas les mêmes effets ni les mêmes indications.
Il faut une analyse clinique préalable à un psychiatre pour qu'il décide à prescrire un anti-dépresseur, généralement associé à un neuroleptique car l'antidépresseur est, en fait, anxiogène.
Il y a longtemps (1970) j'étais visiteur médical dans un grand labo suisse. Mais les visiteurs de niveau 1, dont moi, n'avaient pas le droit de parler des anti-dépresseurs aux généralistes et nous ne visitions pas les psychiatres. Seuls mes collègues de niveau 2 s'en occupaient. Et ils y passaient du temps car il fallait collecter toutes les données observées par les psychiatres sur ces produits car, mal employés, les anti-dépresseurs pouvaient conduire des malades au suicide par le phénomène de "levée des inhibitions" engendré, dans un but thérapeutique, par l'anti-dépresseur. D'où la prescription concomitante de neuroleptiques.
Les 3/4 de ce que je lis ici montre bien que ceux qui y répondent péremptoirement ne connaissent rien au sujet.
On ne guérit pas une vraie dépression par "de la volonté" ou par des "méditations" puisque, par définition, le malade est devenu incapable de faire un travail d'autoréflexion.
En fait on ne guérit jamais réellement et complètement d'une dépression (une vraie).
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L'islam est implanté de force en France depuis la fin des années 70. Avant c'était juste une immigration de travail qui n'a jamais posé problème, mais depuis c'est une immigration de peuplement, autrement dit une invasion voulue par le pays d'accueil et aidée par tout ce que le capitalisme international a mis en oeuvre pour tuer la spécificité des peuples indigènes avec les Soros & Cie.
Mais peut-on dire qu'il y a des victimes innocentes ?
Pour qui votent les français depuis 40 ans si ce n'est pour des immigrationistes islamophiles ?
Faut pas maintenant jouer les vierges effarouchées ! Vous l'avez voulu, vous l'avez.
Fuyant le coranovirus avent le coronavirus il y a 10 ans, je peux vous dire qu'au Paraguay où je vis, le premier ne passerait pas du tout en plus qu'un immigré légal (un illégal est tout simplement inconcevable), comme moi, ne touche pas un rond du pays d'accueil, et le second n'éteint pas les libertés comme en France (les déplacements, ici, sont libres et les masques ne sont que pour les lieux où on reçoit du public).
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C'est un naufrage et c'est voulu ! On n'a de bons soumis qu'illettrés. Ce n'est même pas un problème ethnique, j'ai connu dans le sud marocain, des garçons bien lettrés en français et qui étaient capables de mener une discussion sur des concepts qui auraient déboussolé des petits français. Et pourtant leur langue de base n'est pas le français mais l'arabe.
Mon grand père, comme beaucoup à l'époque, s'était arrêté au certificat d'études et était parti comme apprenti peintre. Pour lui, faire des fautes d'orthographe était inconcevable, et dans ces familles populaires, la lecture était un loisir important. L'un d'eux, qui allaient être prof agrégé d'Histoire, se débrouillait dans ses cours de lycée avec ses lectures de romans historiques populaires aux questions. "À moi, Michel Zévaco !" disait-il.
Comme je suis un authentique boomer, catégorie méprisée actuellement car trop lettrée pour les imbéciles, je suis un fossile vivant de cette ancienne époque. Et le crétinisme global de la jeune génération résulte d'une planification aussi soignée que la désintégration économique voulue par la bande des oligarques de Davos
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Pas grave nous disent nos énarques et Soros il suffira d'importer en masse des islamistes.
Y a juste un petit détail : ces derniers ne viennent pas en France pour travailler, mais pour faire leur bisness entre eux et, surtout, toucher des allocs.
Avant que je fiche le camp de ce pays-Titanic il y a 10 ans, j'avais une préretraite de 75 EUR tandis qu'un immigré illégal, reconverti en demandeur d'asile, touchait 920 EUR.
Donc le discours paléo-marxiste digne d'Arlette Laguiller sur les "immigrés qui seront payés moins que des travailleurs français" ne tient pas la route parce que, de toute façon, du travail il n'y en a plus, et pourquoi un employeur irait se coltiner un islamiste alors qu'il a des petits français bien soumis et même qualifié professionnellement qui vont accepter des "stages en entreprise" payés des clopinettes (si seulement ils sont payés).
Pondre des mômes dans la société covidiste et islamophile actuelle serait un déni de la réalité. La natalité avait drastiquement chuté pendant l'occupation allemande et, celle-ci, était moins pire pour les français, que la dictature sanitaire actuelle. Seuls les juifs ont eu vraiment à en pâtir.
Que la dictature chute avec le Frexit et la volonté populaire de reconstruction du pays et la natalité repartira à la hausse.
Ce que je dis est biologique et expérimental : une population de rats dans de mauvaises conditions de vie et avec une disette ne se reproduisent quasiment plus.
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Cela n'a plus rien de politique ! Il faut faire appel aux sciences humaines pour expliquer cela. Et encore avec bien du mal. J'ai des éléments pour expliquer l'extraordinaire soumission de la jeunesse qui préfère se suicider que de se révolter, mais pour cela il faut faire appel à la psychanalyse lacanienne, à la linguistique, etc. Impossible de développer cela en quelques lignes, vous imaginez bien.
Bref tout ça montre que c'est un pays foutu, en particulier parce qu'il n'a plus de jeunesse.
Mais "nous autres civilisations savons à présent que nous sommes mortelles" démarrait, en 1924 le livre prophétique de Paul Valéry, "Variété".
N'ayant rien du martyr, comme ce brave Florian qui va y laisser sa santé, je crois plus sage d'évacuer ce La Palma qu'est devenu la France car, entre les coulées de propagande et les propos nauséabonds des politiques, il n'y a plus rien à espérer. Et surtout pas par une farce électorale comme il y en a eu tant.
Et quand un navire coule il faut s'en éloigner le plus vite possible avant d'être entraîné avec lui dans les fonds. Heureusement il ne manque pas de pays encore libres sur cette planète et ils apprécieront grandement des gens qualifiés qui viendraient s'y installer. Donc tout le contraire des pseudos "réfugiés" de Soros qui envahissent la France pour imposer leur religion mortifère (elles le sont toutes, mais celle là plus que les autres).
Ça fait 11 ans que je vis au Paraguay et c'est l'un de ces pays libres.
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Mais, braves gens, pour qui les français ont-ils voté depuis 40 ans si ce n'est pour cette immigration, subventionnée de surcroît ?
Si les français sont suicidaires et ne sont pas capables de faire ce que toute bestiole fait : défendre son territoire, à qui la faute ?
La France est un des rares pays qui accepte de se faire envahir par des gens qui la déteste et elle leur donne du fric, de surcroît.
Moi ce n'est pas le coronavirus, inexistant à l'époque qui m'a fait fuir ce pays, originairement le mien, il y a 11 ans, mais le coranovirus qui contaminait en masse.
Donc vous l'avez voulu, vous l'avez ! Trêve d'hypocrisie !
Si vous êtes capables de manifester à près d'un million contre le mariage gay, sans que j'ai compris ce que cela retirait au mariage hétéro, mais nullement contre cette invasion c'est que vous êtes des hypocrites que je méprise.
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Tout d'abord je salue François Gervais avec lequel j'ai beaucoup appris sur la climatologie faisant partie de mon cursus d'écologie (la vraie, la scientifique, faut-il le préciser).
Mais une petite réflexion géologique : l'élément chimique carbone est immuable quantitativement parlant selon l'aphorisme de Lavoisier "rien ne se crée, rien ne se perd". On peut avoir un apport d'eau par des météorites, mais rien, ou alors en quantité insignifiante, pour le carbone.
Autre point, et il faut remonter au Carbonifère, où les plantes de l'époque faisaient une honteuse chrématistique (pour reprendre le concept d'Aristote appliqué à la monnaie) avec le carbone qu'elle ne renvoyaient nullement dans l'atmosphère mais qu'elles enfouissaient dans leurs coffres-forts souterrains sous forme de lignite, de charbon, de gaz ou de pétrole.
Tout cela affamait littéralement les générations de plantes suivantes et ce jusqu'à notre époque. Quand, depuis la révolution industrielle, on a brulé avec entrain pétrole, gaz et charbon, cela a réjoui les plantes. "Enfin à manger !" se sont-elles dit et se sont développées avec entrain pour la plus grande joie, entre autres, des agriculteurs. Cela a été testé et constaté par les satellites dédiés "chlorophylle" car le développement agricole intéresse tous les businessmans de la planète et donne totalement raison au professeur François Gervais.
Personnellement je n'échangerais pas 2 barils (et même plus) de CO2 contre un petit pot de déchets radioactifs comme on nous le propose avec l'absurdité thermodynamique des voitures électriques.
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« La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
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« La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
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Ce qui caractérise cette époque c'est l'extraordinaire soumission de tous ces gens qui ne veulent rien savoir.
Ce qui caractérise cette ancienne génération de Berkoff, Raoult et de moi-même pour me mettre immodestement dans le lot c'est que, selon la formule, "si c'est insupportable, on ne supporte plus" qui fut l'une des devises fondamentales de mai 1968, eux, supportent tout.
Ce que Aragon, en grand visionnaire, avait décrit :
"Rien ne vous sert, rien ne vous touche
Ni mes paroles, ni mes mains.
Et vous passez votre chemin
Sans savoir ce que dit ma bouche"
Je suis interpellé souvent par des imbéciles qui insistent pour que j'aille voter. Ils auraient insisté de même pour que je me fasse piquer.
Et inutile que je leur dise que ces élections, comme ces piquouzes, ne servent à rien, bien que cela a été cent fois prouvé, dans les deux cas.
J'ai d'ailleurs renoncé à toute vie sociale, je vis dans ma bulle culturelle. J'ai, un temps, prôné l'expatriation dans un pays possible à vivre, mais cela faisait flop. Outre que les français sont comme des moules accrochées à leur rocher, il y avait une sale mentalité que j'ai résumé par la formule : "plutôt crever tout seul que de s'en sortir â plusieurs".
Et épargnez moi le choeur antique "Meuh non, t'exagèèère !"
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@siku8366
Hélas, cela n'a rien de sur ! Prophétisé en 1924 par Paul Valéry, je vous met le début de son Variété :
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.
Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux."
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Refuser un emploi ? J'ai souvent été au chômage mais, au contraire, on ne m'a JAMAIS proposé un emploi !
Par exemple sortant de la liquidation de ma SARL d'informatique, donc hors champ ASSEDIC je n'avais rien à espérer que le RMI.
En m'inscrivant à l'ANPE je les avais prévenu : "Ne me focalisez pas dans l'informatique, d'autant que là dedans ils ne prennent que des stagiaires, je sais faire plein d'autres choses".
Bien sûr ils ne m'ont jamais proposé quoi que ce soit. Et pour cause... il n'y a rien.
Et "je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître", alors maintenant...
Mais ce qui est étonnant c'est que pour les petits français il leur faut un boulot salarié et dans leur région.
Or je leur ai expliqué que, au Paraguay où je vis, outre qu'on était hors de la coronafolie, il y avait du boulot à son compte dans la rénovation bâtimenet qui pouvait être très rentable avec peu de capital.
Mais aucun écho, la France, et ce n'est pas nouveau, est un pays de fonctionnaires. Une voisine, dans un temps ancien, était contente que sa fille "avait une bonne situation à la poste".
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Il faut voir historiquement le passé de l'Ukraine.
Opposé au traité de Brest-Litovsk validé par Lénine, l'Ukraine a été mis dans le camp allemand. Faut dire que Lénine n'avait pas trop le choix sinon la guerre avec l'Allemagne reprenait et c'était très dommageable pour la Russie.
L'Ukraine a eu une tentative d'émancipation libertaire avec Nestor Makno, mais cela a foiré (pas assez nombreux).
Pendant la seconde guerre les ukrainiens étaient en masse dans le camp nazi, fournissant des supplétifs à l'invasion de l'URSS qui massacraient les villages. Même leur férocité heurtait les nazis, c'est dire.
Il ne faut donc pas s'étonner que les russes actuels ne les aiment pas beaucoup.
Surtout s'ils veulent recevoir des bases de l'OTAN pour rejouer la crise de Cuba de 1962, mais dans le camp adverse.
Poutine ne pouvait pas supporter cela. C'est un tyran, certes, mais pas un imbécile.
C'était aussi prévisible que l'UE se coucherait dans le camp américain la Ursula étant plus américaine qu'allemande on l'a vu dans ses relations avec Pfizer.
J'l'avais dit depuis longtemps qu'il fallait vivre ailleurs ! Et bien avant la farce du coronavirus, le coranovirus pandémique en France montrait les perspectives. Et, pour ma part, j'ai foutu définitivement le camp de ce pays il y a 11 ans.
Vous allez donc vivre dans la misère (chez moi, Paraguay, le gasoil est à 0,83 EUR) et ce à tous les niveaux puisque plus rien n'est produit en France. Et soyez heureux si vous ne prenez pas une bombe atomique, ne fut-ce que tactique, sur la tronche.
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La révolution ! Oui, je sais « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
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La faillite des p'tits com n'a pas attendu le virus couronné depuis l'informatique, le Web et la VPC.
Et, par pitié, cessez de vous polariser sur Amazon ! De nombreux commerces spécialisés, pas forcément très grands, vivent exclusivement de VPC. Ce sont les sites de composants informatiques, les quincailleries pros et même les marchands de vêtements car les boutiques désolé-je-n'ai-pas-votre-taille, alors qu'on est dans un classique 42 c'est lassant outre la perte de temps. Au final de ma vie française, donc il y a plus de 11 ans, j'achetais avec satisfaction mes vêtements chez La Redoute.
Donc de grâce ne mettez pas tout sur le dos de notre virus et de notre Macron couronné l'évolution de la distribution.
Avec le pass sanitaire on va pouvoir faire du positif avec du négatif : finie la corvée des courses au supermarché, on achètera tout par VPC et on sera livré.
Le créneau d'emploi de livreurs débrouillards va monter en flèche.
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@christophedutt9658 La boussole est trop imprécise, tu dates, mon GPS Garmin, pas plus grand que le plus petit des téléphones portable me donne ma position à 3 m près. Le problème des cartes IGN et autres, c'est qu'elles ne sont pas carroyées comme les cartes marines que j'ai beaucoup pratiquées. Donc tu as un point précis que tu ne peux par mettre sur la carte, idiot, non ?
J'allume un feu, non pas avec un silex (pas de silex ici), mais avec un mini briquet et, où je vis, il est parfaitement légal d'acheter un automatique 9 mm. le mien est un CZ avec 16 balles dans le chargeur, donc même en tirant comme un pied...
Car je crois que le "survivalisme" va être sérieusement à l'ordre du jour. Pas en France bien sûr où on a juste le droit de se faire égorger comme des moutons, il faut quand même se trouver un pays de vie possible comme je l'ai fait en quittant la France, il y a 10 ans, pays qui crève et qui veut crever.
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@julosx Les sociétés "alternatives" que j'appellerais plutôt marginales sont, effectivement, un mode de vie qui serait intéressant. Cela a été creusé, expérimenté, puis... abandonné dans les années post soixante-huitardes.
Je serais pour un certain survivalisme inspiré de ces tentatives.
Mais ça serait impossible à réaliser en France. Plutôt dans le pays comme le mien où je vis actuellement.
Mais c'est totalement inenvisageable avec les français qui sont dans l'hyperindividualisme morbide que je résumerais par la formule "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs". Mon expatriation remonte à 11 ans, mais avant de passer à l'acte j'ai cherché, dans les forums spécialisés, s'il n'y avait pas des gugusses dans mon genre, marginal, certes, mais pas asocial pour autant. Mais il n'y avait que des rêveurs et personne de concret.
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Ce n'est pas nouveau et la coronafolie n'a fait qu'amplifier les choses.
Le problème est autre : dans la société française actuelle l'enfant est enfermé avec ses parents ! Il n'a plus de contact avec les autres, que ce soient d'autres enfants comme lui ou des adultes (immédiatement taxés de pédophiles). Pas étonnant que cela en fasse de petits psychotiques.
Autre point : scotchés devant la téloche avant même le stade du langage, le registre du symbolique est très pauvre, ils ne savent pas lire, ne comprennent pas la subtilité des mots et tout est perçu comme une totalité qu'ils acceptent ou refusent en bloc (Jacques Lacan et ses confrères l'ont bien expliqué).
Vient ensuite l'adolescence où, enfermé chez papa-maman (les grands parents sont rares car ils ne vivent pas avec eux) jusqu'à bac+5 cela en fait les crétins soumis que nous connaissons (comparé à ceux de mai 68).
Pour remonter seulement à mes grands parents, on allait généralement à l'école jusqu'au certificat d'études, puis on partait souvent du milieu familial comme apprenti ou mousse. Ceci vers 13 ans. On ne restait pas seul ! On copinait avec d'autres de son âge, mais aussi avec des adultes qui, souvent, prenaient sous leur aile ces petits jeunes.
Donc bien qu'issu de ce milieu populaire, ma mère me racontait que mon grand-père que je n'ai pas connu était un lettré, amateur d'opéras et de bons vins (plutôt de Bourgogne) et pour qui faire une faute d'orthographe était inconcevable. Il critiquait même les plumes dures, "sergent major" de l'école de ma mère car elles de permettaient pas de faire des pleins et des déliés.
Cette époque était la France, la vraie, celle qui n'existe plus.
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La monnaie dite fiduciaire est donc basée sur la confiance.
Si cette monnaie n'a qu'une confiance accordée QUE dans un pays, c'est comme les billets de Monopoly dans une partie en cours. Le cas du dirham marocain, par exemple, car il n'est pas échangeable en dehors du Maroc.
Mais sur quoi repose la confiance qu'on a dans une monnaie ?
Ce sont des valeurs mobilières et immobilières.
Par exemple la France vaut pour tout l'immobilier construit privé, industriel, commercial, agricole qui s'y trouve.
Plus difficile à chiffrer : la population et son niveau de savoir professionnel. Un ingénieur "vaudra" donc plus qu'un chômeur ou un sdf.
La production industrielle et agricole au niveau export. Par exemple un petit pays comme le Paraguay est assuré d'avoir une monnaie solide car il produit, à l'export, de la viande, du lait et du soja. Par contre il ne fabrique rien. Tout le contraire du Japon, par exemple, qui n'a rien d'agricole à exporter mais des voitures et autres produits manufacturés à valeur ajoutée. Le yen n'est donc pas de la gnognote. Alors que la France chute vertigineusement au niveau de ses produits exportables (liquidation de l'industrie depuis les années 70 et impasses idéologiques sur des modes comme les voitures électriques).
D'accord avec tout ce que j'ai écrit ?
Bon passons donc aux cryptomonnaies. Certes les transactions sont fiables, elles ne sont pas piratables et possède l'avantage de ne pas dépendre d'une seule et unique banque. Comme bibi, jeté comme un malpropre de Boursorama Banque où j'étais un client modèle (jamais de découvert et "d'incidents de paiement") depuis 15 ans. Et impossible de migrer sur une autre banque française malgré tout ce qu'on raconte sur le "droit au compte". Râler auprès de la Banque de France ne sert à rien, ils ne répondent pas, c'est tout.
Le dilemme est donc : faire confiance en une monnaie, sécurisée, certes, mais basée sur rien ou une monnaie, autrefois basée sur les valeurs sus décrites mais qui ne sont plus ça actuellement et qui part dans la planche à billets (d'autant plus aisée qu'il n'y a rien à imprimer) du koikilenkoute.
Ou être un super malin comme Waren Buffet pour flairer les variations de valeurs des actifs capitalistes.
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J'assume être vieux con ex soixante-huitard, mais je n'ai jamais vu l'intérêt des réseaux dits sociaux car je ne vois pas quelle sociabilité il y a là dedans.
Pourtant je m'intéresse à beaucoup de choses et ne pouvant plus supporter la vie en France par manque maladif de soumission, j'aurais bien aimé rencontrer des acolytes pour mener une activité rentable dans un pays plus vivable, mais, à défaut des réseaux sociaux, j'ai écumé les sites Web ayant une rubrique expatriation et y ai passé des messages, tout cela en vain.
J'ajoute que cela n'est pas l'apanage des pays occidentaux dits "développés". Au Paraguay où je vis les femmes, surtout, se collent leur smarphone sur la main gauche au réveil et ne le lâche pas de la journée et elle y tapote interminablement je ne sais quoi. Outre l'addiction au Coca Cola, le smartphone fessebouqué est une nouvelle caractéristique du tiers-monde.
Fraîchement arrivé dans mon nouveau pays j'avais sympathisé avec une mère de famille qui était ma voisine. Devant me rendre à Asunción à 70 km de là elle me demande si je peux prendre son fils ainé (env. 25 ans) qui devait s'y rendre aussi. J'accepte bien sûr et je m'attendais, pendant le trajet, à un échange concernant la vie dans nos deux pays. Rien de tout ça ! Le jeune homme en question est resté le nez dans son smartphone tout le long du trajet et a continué, à pied, et en se butant aux passants une fois arrivé en ville.
Je me dis que je suis bien content d'avoir 75 ans, au moins ai-je vécu des périodes plus intéressantes dans ma vie et que je ne demanderais pas une prolongation à Méphisto.
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L'écologie est une science pas un gloubi-boulga pour bobos dont le capitalisme financier international tire les ficelles pour instaurer l'austérité globale sur les populations.
Petit rappel : le climat c'est l'affaire des dieux, pas de nous, pauvres mortels ! C'est Aton qui envoie plus ou moins de rayons, Éole qui les capte dans ses masses d'air et Poséidon dans les courants marins. Et tout cela change et a changé aux cours des millénaires et l'humain n'y a aucune part (ou si peu).
Deuxième sottise pseudo écolo : la détestation du gaz carbonique orchestré part les lobbys du nucléaire. Or le gaz carbonique, le carbone plus précisément, a été indument mis sous terre par les grandes plantes avares de l'époque carbonifère. Or "rien ne se crée et rien ne se perd" disait Lavoisier. Le carbone brûlé par la révolution industrielle a donné à manger aux plantes qui étaient en disette. Observé par les satellites dédiés qui scrutent la chlorophylle (c-f François Gervais, spécialiste de la spectrophotométrie infra-rouge).
Dernier point, que je développerais ici mais il y en a plein d'autres : la synécologie ou dynamique des populations. Les bestioles, qu'elles vivent en solitaires ou en groupe ont un territoire et il n'est pas bienvenu que d'autres viennent l'envahir (touristes caillassés au Kenya car un petit parking idéal pour faire des photos de la vallée du Rif était le territoire des babouins). Or les écolos-bobos nient complètement ce fait et sont les tenants de l'invasion migratoire islamiste que les gouvernants successifs depuis Giscard-Chirac nous ont imposé ce qui est un non sens écologique pour ne parler que de cet aspect. De plus une notion, plus sciences humaines, vient se greffer sur ce territorialisme : l'identité. Un ensemble culturel et linguistique commun à une population. Ce que les populations musulmanes n'ont rien en commun avec les populations européennes. Ce n'est même pas une spécialité humaine : un goéland commun transplanté dans un autre territoire ne comprend pas ce que disent les autres goélands et il est visiblement perturbé.
Donc, comme le disait le professeur Raoult dans son domaine : "Il faut faire de la science, pas de la politique" et "il est permis d'être intelligent".
Votre serviteur est diplômé 3e cycle de biologie et d'écologie.
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Les gens ont moins de mômes car, contrairement aux africains, ce n'est ni dans leur logique, ni dans leurs moyens de pondre des mômes et d'aller en France à la CAF.
Et pour en faire quoi ?
Des petits illettrés incapables de comprendre ce qu'est une fraction en 6e ?
Dans le pays où je vis, le Paraguay, j'avais vu une femme qui avait 11 enfants, tous des garçons, tous illettrés et dont certains avaient les stigmates de l'alcoolisme héréditaire. En effet le père, perpétuellement bourré, s'était viandé en moto. Sinon combien en aurait-il fait encore ?
Pourtant il n'y a pas d'allocations familiales au Paraguay et je ne sais pas ce qu'ils peuvent toucher comme aides.
À l'inverse ma propriétaire, avocate, n'en avait que deux, mais s'en occupait. L'un deux, passionné de taekwondo allait dans des compétitions internationales.
Effectivement cela peut-être écolo, au vrai sens du terme, car la synécologie (dynamique des populations) montre que l'effet de masse est mortel pour les populations, qu'il s'agisse d´éléphants ou de pucerons.
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"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche :
« Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
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Ça marche encore ces salades ? On est pourtant loin du maccarthisme et de tout ce qui allait nous arriver sur la tronche venant des vilains soviétiques idéalisés en petits homme verts. Avec les OVNI dont tous ceux dont j'ai vu les photos étaient flous, ça pouvait être n'importe quoi, un lampadaire dans le brouillard nocturne ou un nuage lenticulaire et une formation électro magnétique visible sur un radar.
Alors qu'on peut repérer quasiment un boulon satellisé et que les télescopes satellisés ne font plus des photos floues même dans l'infiniment loin.
Et on continue à inventer des civilisations aliens qui nous rendent visite, mais toujours en catimini pour les seuls "initiés" avec une technologie infiniment supérieure, mais dont on n'a même pas la moindre explication, etc.
Même les auteurs modernes de science-fiction dont je suis n'oseraient plus raconter ces vieilles salades moisies.
Les civilisation extraterrestres possibles, fussent-elles super avancées, sont, tout comme nous, primates à peine évolués, confinés dans leur secteur d'espace-temps bien limité même en fantasmant sur un déplacement atteignant 99 % de la vitesse de la lumière.
Bon tout ça remplit des sites ne YouTube où on trouve tout et n'importe quoi.
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Pas nouveau tout ça ! Un correspondant installé en Argentine me disait, il y a 15 ans, "La France c'est foutu".
Rien que sur un plan économique imaginons la compétition que pourraient avoir des produits français (qu'on ne produit plus, de toute façon) grevés par les coûts de cette immigration subventionnée délirante.
Immigration qui n'est pas seulement invivable économiquement, elles est invivable socialement car tous les meurtres, viols, vols et dégradations commis par cette population composée, au mieux, de français de papiers.
Quand on va vivre dans un pays étranger (mon cas au Paraguay), c'est tout un flot de paperasses (y compris Interpol) qui aboutit à un droit et un seul résider (mais aussi d'y travailler). Mais on doit tout se payer, santé incluse.
Il y aurait eu ces simples bonnes mesures la France ne serait pas envahie comme elle est par ces allogènes coûteux et dangereux.
Mais faut croire que c'est ce que les français aiment car ça dure depuis 50 ans et ça s'accélère.
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Ne croyez surtout pas que vous pourrez y échapper ! Si vous ne produisez pas un certificat de vaccination, vous ne pourrez plus voyager, travailler, vous rendre à des spectacles, des restaurants, etc. et même être locataire.
Le refus individuel ne servira à rien. Il faut une révolution !
Oui, je sais, "La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une oeuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre." (Mao Zedong, le petit livre rouge, 1966)
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@TheIK2009
Perso j'ai profité d'un avantage psychologique. Outre que j'ai vécu mes deux premières années sous la tente, en bordure du Sahara car mon père était chef de chantier pour des pistes au sud Marocain. Je vivais donc, sous la tente comme un vrai petit saharaoui. Plus tard je voyageais beaucoup et dans des coins paumés. En France, dans les Pyrénées et, plus tard, avec un ami, on a fait notre Paris-Dakar à nous avec ma vielle camionnette Renault R4F6.
Plus tard je devins marin au long cours, Corse, Sardaigne et Baléares sur un voilier de 7 m puis, sur un 10 m, 3 transats.
Quand je retournais en France, outre que je ne pouvais trouver aucun travail à cause de mon âge (passé 40 ans c'est plié quoiqu'on sache faire), la mentalité de ce pays, soumis à tout et, en particulier, à l'invasion islamique, fait que je considérais l'expatriation comme inévitable. à moi de choisir le bon pays. J'avais un contact sur place, j'ai choisis le Paraguay.
J'ai pensé faire un petit chantier naval aux Philippines avec quelques moussaillons locaux que j'aurais sorti de leur vie misérable., mais, tout seul, ce n'était pas possible et un ami, partant pour ce projet et excellent bricoleur, est mort à 40 ans d'un cancer du foie et du pancréas. Donc, comme le chantait Jacques Brel "On se retroiuve seul".
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@yveskyjaan590
Oui Monsieur le Président, mais je ne vous ai pas fait une lettre, que vous lirez peut-être, si vous avez le temps.
Question de goût, il y en a qui préfèrent être soumis.
Décidément mon histoire familiale se répète : Mon père est parti, en 1940, sur une barcasse, pour l'Angleterre et s'est engagé dans les SAS. Il est revenu, dans sa Normandie natale, en juin 1944, au bout d'un parachute (c'est mieux que ces fichues péniches où on a le mal de mer).
Moi j'ai pris, sans gloire, un avion transatlantique avec ses inconfortables sièges charter.
Il est clair que je vis nettement mieux dans un pays libre.
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Braves gens, il faut ouvrir les yeux !
Le capitalisme financier, improprement appelé "libéralisme" n'a plus besoin de vous comme producteurs/consommateurs. Ça c'était le capitalisme keynésien et celui-ci est mort quand les 100 premières sociétés financières ont eu un chiffre d'affaire 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles (Bernard Maris, Manuel d'anti-économie, tome 1). Dans les années 70 on a cassé toute l'industrie française pour délocaliser en Chine. Maurice Allais, prix Nobel d'économie, à fait un gros bouquin là-dessus : "La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
Donc vous pouvez crever et ce n'est pas une clause de style !
Il l'avait dit pourtant Macron quand il est allé dans une gare où il a dit qu'il y avait "des gens qui ne sont rien" et que tous les laissés pour compte de cette situation : chômeurs, retraités "coûtaient un pognon de dingue".
Ce virus, fabriqué dans ce fameux laboratoire P4 à Wuhan, a fugué ! Et il ne provient pas des amours coupables entre un pangolin et une chauve-souris, puisqu'on a trouvé dedans des séquences du VIH.
Car les coronavirus sont des virus respiratoires, certes, mais qui n'ont pas la réputation d'être très méchants, sauf, bien, sûr, pour des sujets très vieux et chargés de comorbidités.
Mais il s'est débarrassé de ses casseroles et s'est associé avec d'autres pour faire des réplicants (Raoult nous explique bien qu'il ne faut pas confondre avec mutants). Certes ils sont bien là mais leur pathologie est très légère. Toute l'intox médiatique consiste à traiter les cas positifs (faux car l'amplification PCR est trop forte) comme des "contaminés" alors qu'ils n'ont pas de signes cliniques.
Le prétexte est bien de faire une dictature sanitaire pour priver le peuple de toute réflexion et de toute action collective.
Cette hydroxychloroquine + azytromycine embête bien Big Pharma. Alors, c'est simple, on l'interdit.
Et le plus fort c'est que ça marche !
Venez donc dire après que la France est un pays de liberté...
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il faut bien comprendre ce qui arrive, mes petits camarades. Et pourquoi c'est la mort. En ce jour anniversaire de "ceux qui se massacrent et ne se connaissent pas, au profit de ceux qui se connaissent et ne se massacrent pas".
Je l'ai dit à de multiples reprises TOUT A CHANGÉ à partir du moment où les 100 premières sociétés financières ont eu un chiffre d'affaire 1.000 fois supérieur au 100 premières sociétés industrielles (c-f Bernard Maris, manuel d'anti-économie , tome 1). Et "les changements quantitatifs entraînent des changements qualitatifs". Autrement dit c'était fini le capitalisme keynésien (appelé aussi fordiste).
Qu'était ce capitalisme ? Initié par Henry Ford, il considérait que le prolétaire était aussi un consommateur, donc il lui fallait un salaire correct et des congés, ne fut-ce que pour acheter et faire rouler les Ford-T (un malin, Mr Henry). C'était le début de ce qu'on a appelé "la société de consommation".
Mais avec le capitalisme financier qui ne produit rien d'industriel, que se passe-t-il ? Il n'a plus besoin de ces prolétaires, il a donc détruit et délocalisé à tout va toute les productions dans les pays comme la France au profit de la Chine dans les années 70. Rappelez-vous cette époque : les gens au chômage, les grèves, les manifs et la réponse habituelle des forces du désordre : matraques et grenades (les LBD n'existaient pas encore). Maurice Allais, prix Nobel d'économie a écrit un bouquin à ce sujet "La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
L'Union Européenne a aggravé tout ça et, pour terroriser un peu plus la classe ouvrière, on a fait déferler l'invasion islamiste dans les villes ouvrières.
Toutefois la colère montait ! En décembre 2019 tous les corps de métiers étaient vent debout contre ce gouvernement impopulaire. Même les avocats. Et les retraités étaient taxés encore un peu plus (CSG). Les écarts de fortunes se creusaient (Henry Ford avait dit que l'écart de revenus dans une entreprise ne devait pas être supérieur à 15 et on en est à plus de 400). Comme avec Don Salustre "les riches sont destinés à être très riches et les pauvres très pauvres". Ça ne pouvait pas durer sans une explosion sociale malgré l'abrutissement généré par les médias.
C'est alors que ce virus est apparu miraculeusement. Mais je ne crois pas aux miracles. De nombreux témoignages indiquent qu'il a été créé à Wuhan. Les coronavirus ne sont responsables que d'infections respiratoires légères.
Donc on enferme tout le monde, fini les mouvement sociaux. Et on prive les malades des seuls médicaments utiles (HCQ et AZT)
et on achève les vieux au Rivotril (20.000 morts évitables a écrit le Professeur Perronne)
N'oubliez pas les propos de Macron : dans une gare il disait "ici il y a des gens qui ne sont rien" et pour retraités et chômeurs "qu'ils coûtaient un pognon de dingue!".
Car c'est bien une suppression physique du peuple français qui était mis en oeuvre et "la solution finale" continue. Les survivants doivent être des abrutis au cerveau dégradé par le confinement et la sous-oxygénation par les masques et, dès l'enfance, on apprend à considérer les autres comme des ennemis contaminants.
Si les français ne se révoltent pas ils finiront bientôt dans "la poubelle de l'Histoire".
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles." (Paul Valéry, Variété, 1924)
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@cyrilaubligine1828 Un vrai de vrai migrant qui fait toutes ses formalités passe très bien dans beaucoup de pays.
Il y a, toutefois, différents critères :
- retraités, certains exisgent un montant minimal
- investisseurs : en ce cas il faut déposer un capital à la banque. Capital pas forcément important, d'ailleurs. Et si on a trouvé, sur place, des personnes sérieuses pour travailler avec vous, vous signez une promesse d'embauche. Ces promesses permettent de réduire le montant du capital nécessaire.
Des spécialités sont très appréciées. Par exemple les infirmières (sans oublier les infirmiers) ont une bonne formation reconnue internationalement.
Pour le Paraguay il n'y avait aucun critère, juste les formalités d'État Civil, ma retraite étant ridicule mais, si j'avais un petit capital, je n'ai pas eu à obtenir le statut entrepreneur.
Dans tous les cas il faut avoir fait du "tourisme appliqué" avant afin de tester le pays, sa géographie, son climat, ses gens et leur culture. Les plus nuls, comme moi, en linguistique, se contenteront d'un pays de langue facile pour nous, comme l'espagnol.
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En fait la seule attitude sensée face à ce virus, dont la mortalité est très faible, je le rappelle, et ne concerne pratiquement que des personnes en fin de vie, c'est la prévention (vitamines D3, C et zinc) et les traitements, le plus tôt possible, dès l'apparition des symptômes confirmés par des tests (des tests sans symptômes, c'est absurde).
Je me demande si l'hydroxychloroquine ne devrait pas être utilisée, en préventif, dans les zones contaminées, comme nous le faisions dans les zones impaludées. Pour ma part j'en ai pris pendant un an en Côte d'Ivoire et je n'ai jamais attrapé le palu et mes collègues aussi.
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@claudinesoucry1106
Il ne faut pas mettre toute la volaille dans le même panier. Il y avait, dans ma jeunesse la "police-secours" un peu réacs psychologiquement, mais ils assumaient, sur le terrain des multiples interventions : bagarres d'ivrognes, collisions de véhicules, transports de blessés légers. Ces flics là vivaient avec le peuple et en connaissaient tous les aspects bons et mauvais.
Mais eux n'allaient jamais aux manifs.
Pour celles-là ce sont des "professionnels" spécialisés en particulier la gendarmerie mobile qui ne fait que ça, ne se prépare qu'à ça : être une armée de guerre civile.
Ils ont un lourd passé ! Alors que sous l'occupation allemande beaucoup de militaires s'étaient égayés en rejoignant des forces de libération extérieures (Afrique du Nord avec Leclerc et mon père en Angleterre dans les SAS), la gendarmerie, elle, n'était pas de simples pétainistes, ils collaboraient activement avec la SS et la Gestapo avec le fichier des juifs et les rafles de ceux-ci. On en voit un, avec son casque de gendarme, gardien du camp de Pithiviers (?) dans le documentaire "Nuit et brouillard".
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Ce n'est pas par l'espoir que ça se résoudra, "l'espoir est la laisse de la soumission" (Raoul Vaneigem) mais par la révolution ! Oui, je sais « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
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C'est clair que le tourisme de masse, la gouvernance mondiale du capitalisme financier n'en veut plus.
Il y avait, même avant le virus, des déchainements de la presse officielle contre ces pauvres qui osaient aller massivement en vacances, au lieu de réserver cela à la petite élite des très riches. Un retour pré congés payés en quelque sorte.
Je rappelle que le capitalisme keynésien ou fordiste, c'est terminé ! les prolétaires à la fois producteurs et consommateurs c'est fini.
Et cela n'a pas attendu un virus couronné trafiqué.
Cela a commencé dans les années 70 avec le démantèlement/délocalisations des usines et la mise sur le carreau de ceux qui y travaillaient.
Ce qui a valu à Maurice Allais, prix Nobel d'économie, d'écrire un gros bouquin : "La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
Et la voiture est en voie de suppression ! C'était un moyen de liberté et on a tout fait pour en dégoutter les gens (taxes, rackets, arguments escrologiques).
Donc fini les hôtels ! Sauf pour une poignée de très riches qui se rassemblent à Davos...
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@djilane8708
La colonisation était la prise en charge d'un pays où il y avait tout à faire et les locaux n'étaient pas plus exploités que mes grands parents en usines. C'est qu'il y en avait eu des grands travaux dans ces colonies ! Des ports, des routes, des lignes de chemin de fer, comme la voie Bamako-Dakar que j'ai suivie en R4 fourgonnette, avec des rails de 1912 (c'était écrit dessus), des écoles (car on voulait sortir les enfants de l'inculture en étant confinés dans leur dialecte local), des hôpitaux, des centres de recherches (Instituts Pasteur, ORSTOM, etc.)
C'étaient les francs maçons qui étaient les artisans du colonialisme, au moins eux ne limitaient pas la colonisation à l'esclavagisme moderne. Mais on a préféré tout laisser tomber car il était plus rentable de donner une commission aux pourris qui gouvernent ces pays et importer à bas prix les matières premières que de prendre en charge le pays tout entier comme dans l'époque coloniale. Ils peuvent donc se massacrer entre ennemis et dans les variantes islamiques alors que c'était impossible dans l'époque coloniale, l'armée servait à ça.
Soyez certains que les chinois qui s'implantent actuellement en Afrique y viennent juste pour piller les ressources et traiter les locaux en esclaves. Il n'est nul question pour eux de développer ces pays et d'améliorer la vie de ses habitants.
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La chappe de plomb de la soumission éclate et plus elle fut lourde plus l'explosion est brutale.
Tout, absolument tout, est à revoir dans ce pays qui, dans l'état actuel, n'est pas viable.
Personnellement si je m'en suis barré définitivement il y a 12 ans, ce n'est pas par attrait par l'exotisme. J'ai fait de grandes vadrouilles dans ma vie, par terre ou par mer, mais j'avais toujours mes racines en France. Mais il y a 15 ans que je ne les ai plus. Et 12 ans que j'ai quitté définitivement la France.
Bon courage aux insurgés, la bataille va être rude, les forces de répression vont être féroces. Il y aura des morts, mais c'est le lot de toute insurrection. Relisez Les Misérables et n'oubliez pas la phrase de Victor Hugo : "Paris qui n'est Paris qu'arrachant ses pavés"
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N'allez pas faire les innocents, mes biquets ! Ça fait au moins 40 ans que vous votez immigrationniste hallal. Vous n'allez pas nous faire le coup des victimes innocentes. Commémorez avec vos bougies et vos nounours mais ne nous racontez pas de salades (pas fraîches).
Moi il y a 11 ans que j'ai foutu le camp de ce pays qui me débecte !
"La France, vous l'aimez ou vous la quittez !". Tu l'as dit bouffi, je ne l'aime pas et je l'ai quittée il y a 11 ans (mais c'était préparé depuis 15 ans).
Impossible de trouver un boulot passé 50 ans, jeté statutairement du RMI à 60 ans avec une préretraite de 75 EUR alors qu'un illégal, reconverti en "demandeur d'asile" touchait 920 EUR, plus les petits cadeaux des assoces.
Donc à l'époque ce n'était pas le coronavirus le repoussoir mais le coranovirus. Je me demande si en "accidents de trottinettes", autrement dit en espérance de vies perdues, il n'a pas tué plus que le vrai de vrai covid qui, lui, ne tue que des personnes en fin de vie.
Je constate que l'invasion islamiste continue de plus belle avec la logistique de Soros et que les enseignangnants sont toujours vautrés dans l'islamo-gauchisme.
Vas victis !
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La France, devenue un nain politique et économique, n'est plus qu'un vieux coq déplumé sur son tas de fumier (mettez tout ce que vous voulez dans le concept de fumier, vous avez l'embarras du choix) et qui prétend intimider l'ours russe, lequel, effectivement vendra son gaz et ses céréales au dragon chinois qui ne crachera pas dessus.
Raisonnons un peu ! Oui, je sais c'est fatigant et les français ont perdu l'habitude, et puis il y a BFM-WC et autres pour penser à leur place.
Juste un rappel historique :
En mai 1945 l'armée rouge contrôlait toute l'Europe jusqu'à Berlin, l'armée allemande ayant été ratiboisée.
Territoire trop grand à gérer, l'URSS s'est retranchée en laissant/créant des pays plus ou moins satellites entre l'OTAN de la guerre froide et la Russie.
Mais l'OTAN n'a eu de cesse de soumettre tous ces pays à son influence étatsunienne. Avec des guerres locales (Kosovo) pour ceux qui ne se soumettaient pas à l'OTAN.
Mais l'OTAN vise l'Ukraine pour y installer ses bases de fusées. C'est encore pire que les missiles de Cuba en 1962 que Kennedy a eu vite fait de les faire remballer.
Bien sûr les russes ne pouvait accepter cette menace directe.
Mais la France c'est l'Europe, et celle-ci est le roquet aboyant de l'OTAN avec, à sa tête Ursula von der Layen, nullement élue, compromise avec Pfizer, et qui décide toute seule d'envoyer des armes à l'Ukraine, les pays européens n'étant que des petits toutous obéissants à ses caprices.
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En dehors de tout ce qu'on met sur le dos de Macron, il y a cette évidence sur le travail.
Et comme toute évidence elle n'est pas évidente.
Tout ce qui relevait du travail est remplacé par le machinisme, l'informatique et la bureautique à 80 % aujourd'hui et le sera à 90, 95 % dans les années à venir.
Donc toutes ces histoires d'annuités, de temps de travail, d'âge de la retraite, c'est comme parler de bases de données à un diplodocus.
Le travail vraiment utile dans une société bien gérée n'existera pratiquement plus, tout simplement.
Certes les gens ne resteront pas sur leur transat les doigts de pied en éventail, mais bricoleront des "trucs", parce que c'est dans leur nature depuis le paléolithique.
Le meilleur exemple récent c'est Internet, produit par la gratuité de presque tous ses acteurs.
Donc, bien qu'à 75 ans, vous me faites marrer avec vos âges de la retraite, vos heures de travail et autres anachronismes.
Car comme le disait, il y a plus de 10 ans, en réunion un ami prof d'électrotechnique, l'histoire de faire avaler le martini de certains : "les 35 heures c'en est encore 30 de trop".
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L'informatique et l'éducnat, j'ai vu ça depuis les origines, puisque j'avais une SARL d'informatique en 1984.
Déjà au niveau humain : aucun informaticien n'a été recruté.
Ensuite l'éducnat a freiné des quatre fers. les ordis (mauvais) étaient livrés mais il n'y avait pas de prises pour les brancher.
Installer des prises me direz vous, ce n'est pourtant pas compliqué ? Sauf que vous ne connaissez pas cette immonde bureaucratie : ce n'était pas dans le budget, il faudrait attendre l'année prochaine, etc.
Et les profs, qui n'y connaissaient rien et ne voulaient rien apprendre freinaient des 4 fers. Ils ont fait leur programme en début de carrière et comptaient bien le répéter jusqu'à la retraite.
Ensuite sont venu les "portables" ces immondes petites choses à l'obsolescence programmée (un an et demi de fonctionnement avant la panne, en moyenne).
Pourtant la solution était simple, si j'avais été conseiller :
Des ordis classiques en tour, assemblés par des... assembleurs (ce qui pouvait être, d'ailleurs, l'objet d'un TP). Le outil pour cela c'est un tournevis Phillips nº1. Et un composant défectueux se change avec le même tournevis.
Et des disques durs par groupes d'élèves montés sur des tiroirs amovibles.
Bref une solution pérenne et économique (je jette des composants obsolètes mais qui sont encore en parfait état de fonctionnement).
Mais, voilà, c'est la France...
Parmi les directives de Martine Aubry il y en avait une qui n'était pas idiote : dispense de 2 ans de charges sociales pour une municipalité qui recruterait un chômeur de longue durée dans sa commune. Et bien non ! Informaticien confirmé, mes rapports avec ma municipalité se contentait juste, pour elle, de me reprocher d'être au chômage, alors, qu'à vu de nez, il aurait fallu 3 informaticiens minimum (la municipalité et les écoles communales).
Publicité gratuite pour cette municipalité qui sait si bien faire envoler les impôts locaux : Villeneuve-Tolosane à 12 km au S de Toulouse.
Vous comprenez maintenant, mes biquets, que j'ai foutu le camp sans regret de ce pays depuis 10 ans ?
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Entrepreneur en France ? Jetez-vous plutôt d'un pont, la corde au cou, la mort sera plus rapide.
Vous êtes calé et débrouillard en rénovation/construction de maisons individuelles, vous aurez un marché en or au Paraguay, où je vis, et je ne parle que de ce que je connais, tellement ici les "professionnels" travaillent mal (incapables de faire un béton armé élémentaire et de comprendre qu'il faut une pente pour évacuer l'eau).
La classe moyenne qui en a marre de ce travail désastreux vous fera une pub d'enfer et vous devrez refuser des chantiers.
Certes il faut un minimum de capital, mais ce n'est pas énorme. Une fois que vous aurez acheté le pickup 4x4 qui vous servira aussi de voiture standard, vous aurez acheté le plus cher. Un compresseur, une projeteuse, une bétonnière et des outils à main pour le reste.
C'était mon projet au départ et j'avais un ami super bricoleur (meilleur que moi, c'est tout dire :face-blue-smiling:) et qui était partant. Mais il n'a rien de trouvé de mieux à faire que de mourir à 40 ans d'un double cancer foie et pancréas. Je me suis donc retrouvé tout seul, mon capital fut alors placé en comptes à terme ce qui m'assure une petite retraite.
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Il est remarquable que les grands singes avec lesquels nous partageons 95 % de notre ADN ne montrent aucun signe de religiosité. Et un individu mort, passé le chagrin, n'est plus qu'un déchet.
Le déisme est donc bien une psychopathologie propre à l'espèce humaine, mais qui se répartit selon des critères encore inconnus. On nait déiste, comme on nait homosexuel. Ce n'est pas de l'acquis mais de l'inné. Et il faut faire avec. Comme dans toute psychopathologie tant qu'ils ne menacent pas de massacrer les autres on peut les tolérer.
Dans ma série de science-fiction "Les trafiquants des étoiles" qui fut un remarquable insuccès de librairie (juste en dépôt sur Amazon), je démarre par des grands vaisseaux qui sont de véritables villes autonomes et qui voyageront vers des exoplanètes habitables pendant 200 à 300 ans. Donc des générations s'y succèderont. Pour remplir ces vaisseaux des psychologues scrutèrent les candidats de tous âges et de toutes spécialités professionnelles, mais il y avait un point inflexible : il ne devait pas y avoir d'esprit religieux. En effet dans ce monde clos, même s'il avait tout le confort, des conflits religieux auraient massacré tout le monde avant que d'atteindre l'orbite de Saturne. Les bouddhistes firent hésiter les recruteurs, mais un grand lama expliqua, textes à l'appui, que le bouddhisme était une spiritualité sans dieu.
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Le bitcoin n'est pas une monnaie mais un joujou spéculatif pour super friqués ! On peut acheter des bitcoins dans des officines mais on ne peut rien payer avec ! Il n'y a pas de cartes de paiement en bitcoins comme j'en ai pour les deux monnaies que je possède l'euro et le guarani du Paraguay.
Donc le bitcoin ne sera qu'un phénomène de mode qui cessera quand les joueurs de la planète comme Elon Musk se lasseront de jouer avec.
L'euro n'est pas, non plus, une monnaie crédible. D'abord ce n'est pas une monnaie, là aussi comme j'en donne la définition ci-après.
Une vraie monnaie, par exemple, n'aurait pas permis à ses banquiers d'acheter pour un milliard d'euros de remdesivir, inefficace et néphrotoxique, quelques jours avant que l'OMS, pourtant devenu la propriété de Bill Gates, en déconseille l'usage.
Qu'est-ce donc que la monnaie, telle que Karl Marx, en bon logicien matérialiste, s'est cassé les dents à la définir et a préféré étudier le mécanisme de la valeur dans son ouvrage de référence : Le Capital ?
Je vais tenté, immodestement, de la décrire !
Pour cela il faut un territoire avec des frontières autour. Donc pas le cas pour la France.
La monnaie est donc une évaluation des actifs basé sur
- le territoire, le prix de ses terres, des propriétés agricoles, des usines qui s'y trouvent et de ses investissements (centrales électriques, etc.)
Cela s'évalue comme le ferait un expert.
- le travail qui s'y effectue : la valeur travail permet d'évaluer le développement économique dans les années suivantes.
- les valeurs au passif : retraites, indemnités maladies et allocations chômage. Mais qui définissent la cohésion sociale du pays.
Autrement dit le frexit, préconisé par Florian Philippot, mais pas seulement lui (je suis un marxiste libertaire et je dis la même chose) à savoir, la "reconquista" de l'unité territoriale France, de ses frontières, de son économie, de ses frontières et de sa monnaie (définie sur les bases que j'ai développé plus haut) et de son unité nationale. Donc éjection des envahisseurs indésirables et ceux qui veulent s'intégrer à la France sont, eux, les bienvenus.
Voilà quel serait la base d'une monnaie crédible.
La forme papier est, effectivement, devenu un anachronisme, la carte bancaire étant plus simple et plus sure.
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Ouarf ! Les totos en France ! Vous avez l'affliction de Zuzu-la-Roja, camioneta quatquateuze, qui est, comme moi, une résidente permanente au Paraguay depuis qu'elle a quitté sa nursery au Japon chez Isuzu. Et ici le gasoil est à 0,70 le litre.
Ouais, c'est beau tout ça mais elle et moi sommes coincés. Alors qu'on aimait bien baguenauder ensemble dans la Cordillère argentine et chilienne.
La malheureuse ne va plus qu'au supermarché pas bien loin et, comme dans une cour de récréation d'école communale, elle subit, comme le chêne de La Fontaine, les moqueries des petites Toyota Vizz et Fun Cargo. "Ouah la frimeuse ! Avec ses deux roues de secours boulonnées et son filtre à air prolongé jusqu'au toit".
Je rappelle aussi que le crédit social à la chinoise existe bien en France pour les voitures ! Rouler à 70 au lieu de 60 est une abomination qui ne se contente pas de vous racketter, cela retire 2 points à votre crédit social automobile. En peu de temps vous ne roulerez plus qu'avec votre petit vélo écologique.
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Zemmour est indubitablement brillant, mais c'est un menteur au sens où il écrit le passé en fonction du présent.
En effet pour lui tous les malheurs viennent de mai 68, de la même façon que le CNPF mettait toute la dégradation de l'économie sur les 35 heures mais nullement sur les liquidations/délocalisations.
Son morceau de bravoure étant que mai 68 aurait soumis la France à l'islam. Rien de plus faux puis-je dire en tant qu'acteur de cette période, mais moi on ne risque pas de m'inviter sur les plateaux télés.
En effet, à cette époque, il n'y avait que des travailleurs immigrés. Dans le mouvement social de mai 68 on ne les aimait pas spécialement, craignant qu'ils servent de briseurs de grève pour le patronat. Ce qu'ils n'ont pas fait. Quant à l'islam, c'était considéré comme une religion absurde et autoritaire, mais, pareil, à l'époque, le problème ne se posait pas. Les immigrés précités, même s'ils étaient musulmans n'étaient nullement prosélytes.
Eh, bien sûr Zemmour ne s'arrête pas là ! Cette époque de liberté, tout au moins dans les consciences, est chargée de tous les péchés par ce catho réactionnaire. Pensez donc, les ados avaient une sexualité et avaient bien l'intention de la pratiquer et pas seulement dans l'hétérosexualité la plus conventionnelle (j'allais écrire confessionnelle).
Je suis bien d'accord sur le concept actuel d'islamo-gauchisme, mais c'est une invention récente car les gauchistes de l'époque n'étaient nullement concernés par l'islam. Toutes les religions étant renvoyées comme tyrannies des consciences.
La "perte d'autorité" est là aussi une confusion zemourienne entre l'autorité en tant que force d'un savoir et d'une sagesse et l'autoritarisme d'un pouvoir aux abois comme l'actuel qui n'est plus respectable car il est dans la confusion permanente. La phrase "Il est interdit d'interdire" n'étant qu'un jeu de langage de son inventeur : Marguerite Duras. Un oxymore en réalité.
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Décidément les seules personnes que rencontrent André Bercoff sont des petits garçons de son âge ! Les seuls à voir une grande culture et une grande intelligence. Ça ne se bouscule pas pour la relève parmi les trentenaires.
Quand aux d'jeun'z n'en parlons même pas !
Nous vivons un temps de peuples qui se meurent et, si les cataclysmes humains ne les auront pas détruits, ils ne restera que des livres pour les historiens du futur.
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.
Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux."
Paul Valéry, Variété, 1924
(Note : Lusitania était un grand paquebot qui a fini comme le Titanic)
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Je ne vais pas faire plaisir à certains mais tant pis, c'est ma nature nietzschéenne ("Je ne suis pas la bouche pour les paroles qu'ils veulent entendre", Zarathoustra, Prologue)...
à 73 ans j'ai vu l'évolution des restaurants depuis mon enfance.
Les conditions de vie dans les vieux immeubles étaient médiocres, les cuisines rudimentaires, juste pour faire un café au lait le matin et guère plus.
De plus les approvisionnement se faisaient chez les petits commerçants et c'était cher.
Il y avait alors une foultitude de restaurants de quartier où, au final, ce n'était pas plus cher que de faire la bouffe chez soi.
Mais la situation a évolué ! Passé 1970 les prix des restaurants se sont envolés ! Fini la clientèle populaire !
De la même façon que les p'tits commerçants, chers à la famille Le Pen, n'avaient plus de clients en vendant 2 fois plus cher qu'au supermarché le plus proche.
J'ai donc cessé définitivement de fréquenter les restaurants à partir de 1975 environ et les p'tits commerçants je n'y ai plus mis les pieds bien avant ayant une bagnole pour gagner les supermarchés avec leurs parkings. De plus je payais tout avec ma carte VISA.
Il y a des bobos qui font l'éloge des marchés en plein air, tout y est cher, il faut payer en espèces, on ne peut pas se garer car la flicaille municipale rode autour pour mettre des PV. Faut aimer !
Je suis bien d'accord pour une action radicale contre la dictature sanitaire, mais nullement pour faire l'apologie de la ringardise passéiste.
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Je ne vois pas trop qui est concerné par les délires du wokisme. On voit plutôt une rétractation sur les sexual roles patriarcaux, même s'ils sont devenus intenables.
Permettez-moi de rester désuettement marxiste, mais si l'ouvrier hyperexploité de l'époque de Zola pouvait encore être le patriarche tout puissant chez lui (à cette époque la femme ne travaillait pas) cela s'affale complètement à notre époque et depuis un moment.
Dans sa petite famille le patriarche déchu voit les idéologies de sa marmaille partir dans tous les sens, fussent-ils délirants.
La télévision qui fut, un temps, le remplacement de la messe du dimanche, explose aussi, les enfants ont leur télé à eux, dans leur chambre, ne pouvant supporter de voir des émissions "de vieux".
Encore que même la télé ne fait plus recette avec Internet et tous les réseaux dit sociaux (car il n'y a aucune sociabilité là dedans ce n'est que l'exposition de son paraître).
Monde en décomposition, c'est un truisme de le dire, mais le fait est historiquement inédit dans l'Histoire.
Mais cela ne sera pas "l'ère des soulèvements" de Michel Matesoli, mais un mélange indicible que, seuls, les auteurs de science fiction, ont pu anticiper. Car, on va sortir du système capitaliste, mais ça sera pire.
"Socialisme ou barbarie" était le seul choix possible avait écrit Rosa Luxembourg.
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Ouarf ! Il faut être un incorrigible menteur pour trouver de "belles choses" dans le Coran. Moi qui l'ait lu (quelle galère tellement c'est mal écrit) il n'est question que d'asservissement ou de massacrer ceux qui ne se soumettent pas. Et les hadits, c'est pire ! Mais je n'ai pas poussé le masochisme à les lire.
Les versets 89 ET 90 de la sourate 4 des femmes, An-Nissa, suffiraient pour déclarer l’islam comme un danger mortel pour l’humanité au titre de l’article 7 du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale dans ses articles 6 et 7 sur le génocide et sur les crimes contre l’humanité.
En effet, lesdits versets sont des véritables commandements de tuer tous ceux qui sont différents de soi et qui refusent de faire de se soumettre à la loi de l’islam. Compte-tenu de l’immuabilité et de l’intemporalité des textes coraniques, il n’y a pas lieu de les contextualiser. Ils sont toujours de mise autrement les doctes de l’islam les auraient déclarés obsolètes et caduques.
Point de débat autour des versets des plus éloquents quant à la nature ultra-violente et génocidaire de l’islam qui a fait de la haine de l’autre un dogme religieux qui devrait choisir entre l’islam ou la mort:
4.89 : « Ils voudraient qu’à leur instar vous sombriez dans la mécréance afin que vous en soyez au même point (sawâ’) qu’eux. Ne les prenez pas pour alliés tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. Et ne les prenez ni pour alliés ni pour partisans ! »
4.90 : « [tuez-les où que vous les trouviez] à l’exception de ceux qui visitent une tribu (qawn) à laquelle vous êtes liés par un traité ou de ceux qui viennent vous trouver le cœur serré à l’idée de vous combattre ou de combattre leur tribu ; si Dieu l’avait voulu, Il les aurait rendus maîtres de vous et ils vous auraient combattus. Aussi, s’ils vous évitent, ne vous combattent pas et vous offrent leur soumission, Dieu ne vous permet pas de leur témoigner de l’hostilité. »
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@argospanoptes4826
Oui je suis un immmmensssse complotisssse, l'argument contre ceux qui n'adhère pas à leur religion.
Résumons, avec bon sens (et donc complotisme) :
- une centrale gaz/charbon (elles font souvent les deux) moderne ne rejette que du gaz carbonique et de la vapeur d'eau, éléments naturels de la biosphère. Et, en fin de vie, elle est aisément recyclable (comme l'est une éolienne).
- une centrale nucléaire est le moyen le plus compliqué, le plus dangereux et le plus cher de faire chauffer de l'eau (voir la centrale EPR qui n'en fini pas de ne pas être finie). Une centrale nucléaire produits des déchets ultratoxiques, non recyclables et d'une grande durée de vie. Et, en fin de vie, tout y est bloqué (les radiations déforment le métal) de surcroît elle est donc indémontable (sinon il y aurait longtemps qu'ils auraient démonté celle de Fessenheim, mais ils n'osent pas y toucher).
Voilà "l'analyse concrète d'une situation concrète" ! C'est du réel pas de la religion ! Dans le jeu vidéo Fallout 4 il y a des fondus qui vénèrent Atome et sont complètement irradiés.
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J'ajoute que ces assassinats islamistes n'ont pas éclaté comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu. Ça fait 40 ans, depuis Giscard-Chirac qu'on nous impose cette invasion subventionnée et sanguinaire.
Et que font les français ? Ils continuent à voter pour les mêmes immigrationistes droite-gauche, financés par les Soros et autres tenants de la liquidation des nations.
"Le verrou qui doit sauter a présent, c'est la nation" E.Rothschild , 1970
"Il faut détruire l'unité interne des nations de l'Europe , la soumettre a une immigration massive , changer les structures des populations" -P.Sutherland , directeur du comite Bilderberg , ONU , BBC , Chambre de Lords , juin 2012
On ne peut pas dire que ce sont des victimes innocentes...
« Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »
Houari Boumedienne, ancien président algérien dans un discours à l'ONU, 1974
Rien qu'avec ces trois citations, si vous n'avez toujours pas compris...
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Depuis 40 ans (et les grandes destructions/délocalisations d'usines) les français, fussent-ils soumis, se rendent compte qu'il n'y a plus d'avenir, que le lendemain sera pire que la veille.
Mais ça ne les incite pas à s'insurger comme l'ont fait nos ancêtres et comme le font les chinois avec la coronafolie made in China.
Ils se soumettent à un niveau incroyable, ils envoient leurs mômes bâillonnés aux écoles où on n'apprend rien. Ils acceptent d'être confinés et de payer des PV à 135 EUR sans moufter.
Comme cette soumission n'est quand même pas conforme au moi, dirais-je de façon freudienne, ils somatisent par tous les bouts de leurs personnes.
Que de fois leur ai-je dit que, s'ils n'étaient pas capables de se révolter en France, ils pouvaient au moins aller vivre, comme je l'ai fait, dans des pays libres où ils ne seraient plus angoissés, avec la seule nécessité de disposer d'un petit capital.
Mais ils s'autoparalysent et, pire encore, sont incapables d'avoir des relations sociales. Ce que j'avais résumé par la formule "Plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs".
Je crois qu'il est impossible de sortir les français de ce masochisme mortifère et, parmi la jeunesse, c'est encore pire.
Ils disparaitront bientôt et physiquement en tant que civilisation (ils sont déjà envahis à 30 % par le tiers-monde islamiste) et personne ne les regrettera. La culture française étant déjà une culture morte.
"Nous autres civilisations, nous savons à présent que nous sommes mortelles" écrivait Paul Valéry, dans son premier Variété en 1924.
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Cette intox du covid a très bien marché ! Les français ont montré qu'ils étaient de parfaits idiots soumis et pas racheté sur le niveau de la subversion par les syndicats et la jeunesse de l'époque. C'était à qui serait le plus stupide et le plus soumis.
Bon puis le temps est passé. Si abrutit soient-ils ils ont, au fond, bien loin, de leur cerveau, l'impression que c'était une énorme manipulation et qu'on les a prit pour des cons. Rien que du très réel me direz-vous.
Mais, en technique de vente, j'avais appris une chose : vous pouvez vendre très bien un mauvais produit mais il faut
1. que cela soit nouveau
2. qu'il y ait un gigantesque battage publicitaire.
À ce niveau là tout à très bien marché et les télévisions montraient tout ce qu'on voulait qu'elles montrent.
MAIS, toujours en technique de vente, malgré tout le battage un mauvais produit ne se vend plus au bout d'un temps assez court et relancer la pub le fera détester.
Je crois que la bande à Macron ferait bien d'aller dans un séminaire de techniques de ventes, car il y en a et des bons, je suis passé par l'un d'eux. Et ça se recoupera avec les enseignements de Noam Chomsky.
Ainsi ils devraient en sortir un peu moins stupides, en principe...
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"Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,
Des divans profonds comme des tombeaux,
Et d'étranges fleurs sur des étagères,
Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux.
Usant à l'envi leurs chaleurs dernières,
Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.
Un soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclair unique,
Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ;
Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les miroirs ternis et les flammes mortes."
Charles Baudelaire, La mort des amants.
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Ah la tarte à la crème de la violence ! Ce ne sont jamais la flicaille répressive les violents. Eux ils peuvent matraquer, gazer, éborgner en toute impunité.
La violence c'est les vilains du peuple !
On va faire un saur au Brésil :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Il s'agit de Monseigneur Hélder Pessoa Câmara.
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ça ne m'arrive pas souvent.
Et pour nos camarades des Antilles : Courage ! Ne lâchez rien !
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@billenplum Il faut utiliser un maximum les techniques alternatives. Mais ça ne plait pas aux escrologos qui sont manipulés par le lobby du nucléaire. Faut voir les sottises qu'ils sortent sur les éoliennes ! Lesquelles sont de la bonne ferraille recyclables en fin de vie (mais leur vie est longue, on doit sûrement changer l'alternateur au bout d'un temps d'usage, mais le reste a une bonne longévité).
Elle ne font rien comme bruit ! Je m'étais couché sous l'une d'elle pour faire des photos spéciales, je n'entendais qu'un "wouf, wouf" quand la pale passait à 5 m de ma tête. À 20 m en n'entendait plus rien. Que ça allait tuer les oiseaux ! Mais ils les voient les oiseaux !
Que ça ne fonctionne pas quand il n'y a pas de vent ! Ça c'est sûr ! C'est pourquoi on les installe dans des zones où le vent souffle en permanence. Pas très loin de chez moi, quand j'étais encore en France, sur les hauteurs de Villefranche de Lauragais car cette zone a un vent permanent. Très développées en Espagne, assez réticente envers le nucléaire, elles sont légion sur les hauteurs de Gibraltar. En face, au Maroc, rien ! Cela ne doit pas être admis dans l'islam comme les cerf volants en Iran.
Pour le solaire il y a moins onéreux que le photovoltaïque : des panneaux souples argentés montés sur des structures métalliques qui focalisent leurs rayons sur un tube avec un fluide caloporteur qui fait fonctionner une turbine à vapeur. Pas cher et tout est recyclable. Utilisés en Australie, cela fournissait suffisamment d'électricité pour alimenter les climatiseurs d'une petite ville voisine et comme ceux-ci ne fonctionnent que la journée, l'extinction nocturne de production n'était pas un problème.
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@Isabelle7516-n9w J
ustes propos qui nécessiterait de longs développement avec les sciences humaines. Et je n'ai que des bribes de savoir à ce niveau.
J'ai juste étudié le passage de la matriarchie primitive à la patriarchie dans la religion grecque. Celle-ci a évolué par le rôle des dieux.
Héra était la souveraine, plus que Zeus. Et la charmante coutume issue du néolithique impliquait la mise à mort du roi à la 13e lunaison (d'où la superstition du nombre 13). Celle-ci a été adoucie : on virait le roi sans le tuer. La raison en était qu'il ne devait pas avoir trop de pouvoir.
Ce fut alors une phase de conquête du pouvoir par les hommes dont, bien sûr, on n'a pas de témoignages historiques et qu'on doit retrouver à partir de l'évolution des mythes, les seuls qui ont passé les siècles car l'Histoire est toute mythée 😁.
Ce fut significatif quand Hébé, fille d'Héra, qui avait la tâche importante d'apporter le nectar et l'ambroisie aux dieux pour leur assurer l'immortalité, fut remplacée, sous un prétexte futile, par le charmant Ganymède dont Zeus fut amouraché. On retrouve d'ailleurs le mythe de cette immortalité à prendre le matin à jeun en gélules chez le polythéisme nordique des vikings. Fréia est enlevée par les géants Fafner et Fasold et les dieux dépérissent et supplient leur chef Wotan, de rétablir l'immortalité (c-f le cycle de l'anneau des Nibelungen)
Comme quoi, tout est affaire de structures comme l'a démontré Lévi Strauss.
Les femmes n'étaient pas méprisées pour autant, il y avait même de grande prêtresses, telle Diotime, dans le banquet de Platon où Socrate n'est que son élève. Mais elles vivaient dans leur monde séparé des hommes. Je me souviens d'une femme ethnologue exploratrice qui eut l'immense honneur de pénétrer dans la hutte des hommes (je ne sais plus si c'est en Nouvelle-Guinée ou en Amazonie) car, de par son savoir elle était considérée "comme un homme".
Ce sont les sociétés agricoles qui sont matriarchiques et qui détestent l'homosexualité masculine car elle n'est pas reproductrice (pour maintenir le foncier des agriculteurs). Il y a donc, structurellement parlant, de grandes similitudes entre la Grèce antique et le Japon des samouraïs.
Bon, j'arrête là, je ne vais pas en écrire un bouquin.
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Non ! Le choix n'est pas entre Le Pen et Macron, mais entre voter pour des politicards coupés des populations et l'abstention pour signifier que l'on ne veut pas d'eux.
Macron, pas besoin d'en parler, mais qu'à fait Marine le Pen pendant toute cette époque de la Macronie ? A-t-elle défendue les intérêts du peuple ? Non, elle est resté dans son petit monde européiste puisque c'est là dedans qu'elle fait son beurre.
Elle a été extraordinairement absente sur tous les problèmes de ce pays et n'est sortie de son cercueil de vampire qu'au moment des élections.
Mais les français aiment bien voter, c'est d'ailleurs très latin. Ça fait 40 ans que ça dure, on en voit les résultats, mais non, ils continuent.
Au moins moi j'ai voté avec mes pieds et j'ai tout de suite eu l'amélioration de ma vie quotidienne. Et en solitaire, de surcroît, alors que cela aurait été encore meilleur avec une petite communauté.
Mais il y a longtemps que j'ai compris la logique (?) des français : plutôt crever tout seul que de s'en sortir a plusieurs.
Où je vis - Paraguay - c'est un pays fétiche des allemands depuis un siècle (comme l'était l'Argentine pour les français). Beaucoup ont fuit l'Allemagne qui devenait aussi invivable que la France et ils vivent ici en communauté. Moi j'y suis depuis 11 ans et je ne connais pas un seul français.
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@domthierry4981 C'est marrant tu t'adresses à moi sans connaître mon (grand) vécu puisque j'ai 73 ans.
Bon, au départ, j'aurais pu, mais je ne voulais pas travailler en permanence. C'était un choix de vie. Ils étaient très content de moi au Crédit Lyonnais quand j'y travaillais pendant les vacances à 18 ans, je tenais le guichet de change à moi tout seul. Un p'tit mot en anglais, en allemand et en espagnol aux touristes qui venaient changer leurs billets (l'agence était boulevard Haussmann).
J'aurais pu y faire carrière. Mais l'esprit de 1968 était en maturation 2 ans avant les faits : je ne voulais pas "perdre ma vie à la gagner".
J'acceptais ma situation d'intermittent du spectacle du salariat. Mais, avec les années Mitterrand c'était le début de la fin du salariat du capitalisme keynésien. Délocalisations et destructions d'emplois en masse allaient venir.
Donc de travailleur occasionel je devins travailleur précaire.
Amusant que tu me donnes, à moi, des conseils : de l'intérim ? Mais il n'y en avais plus si ce n'est sous la forme de petits boulots que seuls les d'jeun'z acceptaient (magasiniers de supermarchés, j'en ai connu) payé une misère. Moi j'aurais pu faire de l'informatique en intérim car je venais de dissoudre ma SARL au CA insuffisant. Mais pas un job là dedans. "Ils vivent avec les stagiaires pas payés ou alors des clopinettes", me disait un chef d'agence.
Plus malin et débrouillard je faisais de la rénovation bâtiment. Tant que c'était technique (plomberie, électricité) ça allait mais pour le coup de patte du pro (plâtre, peinture) je déléguais aux pros.
Mais là aussi le marché se tarit.
Il était temps de ramasser ses avoirs et de fuir le Titanic...
Ma mère ayant passé l'arme à gauche (90 ans moins 3 mois c'est un âge honnête pour mourir) je récupérais ses placements, sa maison (immédiatement revendue après une rénovation, mais comme c'était ma partie...)
Liquidités placées sur des comptes à termes sur 2 ans dans une monnaie stable, ça rapportait 10 % net par an. Ça s'est tassé depuis, c'est plutôt du 7,5 % maintenant.
Mais ça me permet de vivre dans un grand 3 pièces avec terrasse au premier étage d'un petit immeuble dans le centre ville de la 4e ville du Paraguay, Coronel Oviedo pour 1.500.000 PYG/mois soit, au cours du jour, soit 190,20 EUR avec 2 climatiseurs et 3 ventilateurs de plafond. Pas d'impôts locaux, l'eau c'est gratuit car c'est un forage, l'électricité c'est 27,50 EUR la dernière facture mensuelle et Internet fibre optique (on a mis du temps à l'avoir, mais on l'a !) c'est 12,70 EUR/mois pour 50 Mbps (et même 55 dit Speedtest). Et le gasoil, bien que ce soit un pays enclavé où tout vient par camions citernes du Brésil c'est moitié moins cher qu'en France.
Conclusion et "analyse concrète d'une situation concrète" : la vie ici est bien meilleure et sans tout le cirque de la dictature sanitaire.
En France pour vivre bien il faut à la fois être très riche et très soumis. Généralement ça ne va pas ensemble...
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C'est logique ! Pourquoi l'humain à créé un ou plusieurs dieux ? C'était pour expliquer le monde. Depuis la foudre qui les terrifiait, les tremblements de terre, les éruptions volcaniques et autre joyeusetés cataclysmiques.
Puis vint la connaissance sur ces phénomènes. Quand Napoléon demanda à l'astronome Laplace qui venait de calculer les orbites des planètes du système solaire "Et Dieu dans tout ça ?", Laplace qui était un farouche athée lui répondit : "Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse !".
Mais se forgent d'autres dieux, c'est ce qu'on appelle l'idéologie. "Le penseur explique le monde en fonction des idées alors qu'il faudrait expliquer les idées en fonction du monde" (Friedrich Engels).
Ainsi, à défaut de Jéhovah, nous avons actuellement le dieu travail avec sa devise "Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". Donc pas de sueur, pas de pain. Alors que le machinisme, l'informatique et la robotique peuvent supprimer 90 % de ce travail humain. Mais c'est tabou d'en parler.
Les 35 heures, timide prise en compte de la robotique et de l'informatique était une abomination pour les tenants de l'esclavage salarié. Et un ami prof d'électrotechnique a échappé de peu au bûcher quand il proclama : "Les 35 heures c'en est encore 30 de trop !".
Ainsi si notre époque n'a plus besoin d'un dieu avec toute sa cohorte de serviteurs et de curés, il n'en reste pas moins des idéologies, élevées à un niveau supérieur et indiscutable, mais plus dans la détestation que dans la phyllie. Par exemple la détestation de l'homosexualité marche toujours très fort chez les esprits qui ne peuvent vivre s'ils n'ont pas des catégories à détester dans le dernier carré des religieux que ce soit chez Poutine où dans les pays islamisés.
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Quand j'ai décidé de quitter la France il y a 15 ans ce n'était pas, bien sûr, le coronavirus le problème, mais la soumission de plus en plus grande au coranovirus comme l'atteste le vote depuis 40 ans des français, dans le sens immigrationniste halal.
L'Europe, c'est ça : la destruction des peuples, leurs cultures, leurs économies et même leur ethnicité.
À ce niveau on voit bien que Zemmour, malgré ses gesticulations n'est qu'un pantin puisqu'il ne veut pas sortir de cette Europe.
Partant de cette constatation il n'y a que deux solutions, pas trois :
1. Faire une "reconquista" par le Frexit et la réappropriation par les français de tout ce qui a été vendu, bradé ou donné aux étrangers. Ainsi que de la monnaie. Et reconstruire l'économie et l'industrie. Il y aura du boulot ! Comme en 1945, les gravats en moins à évacuer.
2. Expulser tout étranger qui est indésirable ou incompatible avec la culture française. Les allocations familiales et les indemnités chômage ne sont pas pour les étrangers. Aux USA, par exemple, un français qui y perd son travail, bascule en statut touriste et n'a plus que 3 mois d'autorisation de séjour pour retrouver, éventuellement, un autre job. Cela devrait être la règle en France.
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Quand je vois un mamba vert je fais de l'herpétophobie, mais nullement quand je vois une couleuvre à collier.
Toute ressemblance du vert du mamba et celui de l'islam ne serait du qu'à une fortuite coïncidence et que les escrologos "les verts" soient islamophiles 😂 n'a rien d'étonnant
Pour être un court moment sérieux (plus c'est ch**nt) quel gourou de secte pourrait, actuellement, écrire un livre comme le Coran, sans qu'il soit illégal selon une avalanche de délits relevant du Code Pénal.
Pourtant le coranovirus a tué bien plus de personnes d'âges moyens (Bataclan, Nice, etc.) que le coronavirus (ça apparait d'ailleurs sur les statistiques des décès par tranche d'âge).
Mais la soumission (= islam en arabe) est le maître mot de toute cette racaille politique. Les mêmes qui veulent des français bâillonnés et dociles, les veulent soumis, sinon pratiquants, de cette religion mortifère.
Nous sommes en 1940, les députés, y compris le PS de l'époque, ont voté les pleins pouvoirs à Pétain. Qui se lèvera pour prôner la Résistance ?
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@luna-po1id
Tout au moins la fin de la civilisation française et de certaines de la vielle Europe.
Le signe patent, tout au moins pour la France, c'est qu'elle n'a plus de jeunesse.
Mais l'Histoire n'est-elle pas jonchée de civilisations disparue ?
"Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux." (Paul Valéry)
Mais, fort heureusement ce n'est pas le lot de tout ce qui vit sur la Terre malgré les efforts du Nouvel ordre Mondial.
Mais nous devrons être des transfuges, des réfugiés civilisationnels, dans des pays qui voudront bien nous accueillir.
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Il n'y a plus un seul pays de langue anglaise dans cette Europe, mais on continue à faire des rapports et de jacter en anglais.
J'avais émis l'idée, il y a bien longtemps, quand une langue d'échange commune avait été envisagée, de revenir à la vieille langue européenne commune : le latin. Non seulement c'était une langue très riche, mais elle était, comme l'anglais, en ASCII 7 bits donc tous les claviers européens (sauf les grecs) pouvaient l'écrire. Du coup tous les écoliers de cette Europe pourraient papoter en latin.
Nous avons donc la confirmation de Lénine que l'impérialisme est bien le stade suprême du capitalisme.
Et ce que démontre Monsieur Coûteaux, avec l'offensive contre la Russie, c'est que les impérialistes étatsuniens sont bêtes.
La bêtise aussi c'est de s'imaginer qu'ils vont continuer avec leur piquouzes-à-covid à perpète jusqu'à la 256e dose. Les français sont stupides et soumis et il n'y qu'à voir ce qu'ils votent (Macron-Le Pen, c-f le très bon pastiche des Goguettes) mais la répétition n'est pas une bonne tactique.
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Moi je n'ai pas attendu le coronavirus ! Avec le coranovirus qui infectait la France, j'ai compris que je devais aller vivre ailleurs.
Contemplant le naufrage de ce pays depuis 10.000 km, j'ai le plaisir, égoïste, certes, de dire que pour moi ça va très bien, merci.
Enfin pas si égoïste que ça car, avant de partir il y a 10 ans j'ai tenté de rameuter sur les forums d'expatriation (routard.com) d'autres lascars qui seraient sur le même projet avec une option création d'activité en plus.
Rien de prédéterminé, cela aurait été à voir en commun. Bien sûr il fallait avoir un minimum de capital. J'étais même décidé à prendre, sous mon aile, un p'tit jeune désargenté pourvu qu'il ait du dynamisme et de la bonne volonté.
Eh bien je n'ai trouvé personne ! Juste des tartines de mal-être, mais rien de concret.
Non seulement les français préfèrent crever dans la soumission, mais n'ont même pas le dynamisme vital comme certains libanais que j'ai connu de par le monde de fuir leur pays en perdition.
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Amusant ! La dictature sanitaire arrive, non seulement à se couper du peuple qu'il méprise totalement ("qu'ils mangent de la brioche" pourrait dire Brizitte), mais de l'armée qui est pourtant, de façon classique, le rempart des États tyranniques contre les révoltes de leurs peuples (c-f les derniers jours du despotisme tsariste en 1905).
Ceci dit il faut relativiser, ce ne sont pas les massacres de manifestants pacifiques à coup de LBD (gilets jaunes) ou de grenades (Notre Dame des landes) ou les fêtards de la musique (un matraqué-gazé-noyé à Nantes) qui indignent nos officiers retraités, mais le meurtre d'une de leur collègue dans le contexte, perpétuellement impuni, de l'invasion islamique criminelle perpétuelle, elle aussi.
J'ai tenté un commentaire analogue sur un post précédent, mais il a été immédiatement censuré (Youtube ? Sud Radio ?)
Si celui-ci saute je saurais qu'il n'est plus utile que je commente quoi que ce soit.
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@nathaliecayrol5159
Chance ? Ce n'est pas le terme qui convient.
Petite discussion socratique :
À l'époque lointaine, bien lointaine, où des petits boulots se trouvaient en 2 jours, j'expliquais à une brave secrétaire que mon idéal de vie n'était pas de bosser en permanence. Donc je bossais 3-6 mois et m'arrêtait un an pour vadrouiller sur ce vaste monde.
La secrétaire soupirait : "Mais vous, vous avez de la chance, vous n'avez pas de charge de famille !"
J'étais songeur...
"On peut m'obliger de payer taxes et impôts", lui rétorquais-je, "mais on ne peut pas m'obliger à avoir une charge de famille !"
Et dans le cas de la situation présente, je peux vous dire que les allemands, dont la vie dans leur pays est aussi mauvaise qu'en France, se barrent bien plus de leur Vaterland que les français et en famille en plus.
Cet exil n'est donc pas réservé aux célibataires purs et durs.
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La voiture ils l'ont tuée ! C'était le fleuron du capitalisme keynésien appelé justement fordiste car c'était l'idée de génie de Henry Ford de faire de la production artisanale des voitures une production de masse et que les ouvriers devenaient aussi des consommateurs, auquel cas il leur fallait des salaires corrects, du temps libre, ne fut-ce que pour faire rouler les Ford-T. Ce fut donc le début de la "société de consommation".
Mais c'est fini tout ça ! Depuis quand ? Depuis que les 100 premières sociétés financières eurent un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles.
On peut situer cela dans le milieu des années 70 où explosèrent fermetures d'usines et délocalisations mettant un prolétariat dans la misère.
Et puis la voiture c'était un symbole de liberté de circulation, de vacances, de voyages plus ou moins grands.
Et vous savez comment, maintenant. on n'aime plus la liberté, particulièrement en France.
Donc envolées des taxes sur les carburants, rackets policiers permanents et même automatiques et culpabilisation du peuple par les escrologistes qui expliquent tout ce dont ils doivent se passer pour le "climat" ou autre sottises.
La voiture ne servant plus qu'à aller au boulot (pour ceux qui en ont encore) ou au supermarché une fois par semaine.
Faut donc pas s'étonner qu'il ne s'en vend plus, surtout si ce sont des électriques.
Bon, vous avez le salut de ma camioneta quatquateuze diesel qui peut encore gambader librement (mais pas en France).
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Éric Zemmour est brillant, intelligent et séducteur. Je l'apprécie moi aussi car il n'aime pas l'islamisation de la France. D'ailleurs si je suis parti depuis 11 ans de ce pays où je ne pouvais pas avoir le moindre job passé 40 ans, mais où un illégal, reconverti en demandeur d'asile avait 920 EUR/mois à l'époque et la sollicitude et des compléments de différentes associations, ce n'était pas le coronavirus à l'époque mais le coranovirus qui se développait.
Ceci étant dit Zemmour dit des bêtises quand il fait remonter cette immigration islamiste à mai 1968 ! Outre qu'il n'y avait pas cet aspect conquérant actuel, les seuls travailleurs immigrés de l'époque ne venaient que pour leur job et repartaient chez eux à la fin de celui-ci. Parmi les gauchistes de l'époque toutes les religions étaient méprisées, mais on ne se polarisait pas sur l'islam qui était ultra minoritaire et n'était pas un problème. L'islamo-gauchisme est bien une réalité mais il a fallu attendre Mitterrand pour cela.
L'islamisation de la France, par l'immigration, non pas de travail, mais de peuplement, est venue avec Giscard et Chirac et n'a pas cessé après. Sarkozy y mettant un point d'orgue en en faisant une religion d'État.
Et Zemmour est un catho réactionnaire, version Monseigneur Dupanloup (que j'ai connu à la communale par la petite chanson cochonne à son sujet). Il enverrait les homosexuels au bûcher s'il le pouvait et voudra abroger le mariage gay.
En Amérique du Sud où je vis, la plupart des pays, pourtant très catholiques, ne sont pas haineux comme les cathos français et le mariage gay est passé sans souci et avec l'option d'adoption que je soupçonne avoir été ajouté par certains gouvernants ne sachant plus quoi faire des multiples orphelins et enfants abandonnés.
Il y a un courant progressiste dit "Théologie de la libération". Un exemple d'un propos de Monseigneur Hélder Pessoa Câmara (pour une fois que je cite un évêque) :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Le moins qu'on puisse dire c'est que ce n'est pas ce que dit le très catholique Zemmour...
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Ces jeunes ne sont pas des victimes innocentes ! Leur soumission, leur niveau zéro de révolte est hallucinant si on les compare à ceux des années 68. Tout ce qui les branche c'est leur musique et leur drogue. Ils manifestent "pour le climat", "contre l'islamophobie". Qu'espérer de cette génération de jeunes crétins ?
De plus ils ne vivent qu'entre eux car fréquenter quelqu'un qui aurait 5 ans de plus qu'eux serait inconcevable.
Nous étions vingtenaires, pour la plupart, en 1968, mais nos maîtres à penser (Lyotard, Vaneigem, Deleuze, Baudrillard, Lacan, Foucault, etc.) étaient des quinquas. On a tout appris d'eux.
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S'ils veulent se mettre sur le terrain de la psychanalyse, allons-y vraiment, pas de faux semblant. Jacques Lacan a catégorisé le psychisme en 3 registres : le symbolique, l'imaginaire et le réel.
Je ne parle pas du réel qui est en rapport avec la linguistique et si Lacan l'a définit comme "l'impossible à supporter" c'est qu'il est un trop plein de signifiants.
Restons sur les deux autres :
- le symbolique : c'est tout ce que véhicule le langage, les sens donc les pluralités symboliques. Le fait que tout n'est pas tout blanc ou tout noir, qu'il y a d'énormes variétés de gris entre les deux. Le langage amène donc, par définition, à la discussion fut-elle polémique.
- l'imaginaire : c'est la perception que l'on a d'une image pour toute chose. C'est donc une totalité. On ne "discute" pas de ou avec une image. On l'accepte en bloc ou on la rejette complètement.
Et puisque vous êtes là à me lire sur Youtube vous êtes familiarisé avec l'informatique. Vous savez donc que sous Word et sous Photoshop vous pouvez créer une zone de texte. Ce texte vous pouvez le modifier à votre guise. Mais si vous "aplatissez" votre composition (sous Photoshop), autrement dit que tout ce qui s'y trouve sera donc réduit à de simples pixels, donc une image, vous ne pourrez plus rien modifier dedans, texte y compris. Si votre image ne vous plait pas vous ne pouvez que la détruire et en recomposer une autre.
Voilà ce qui se passe dans pas mal de psychismes humains qui ont été conditionnés par la télévision (donc un générateur d'images) bien avant le stade du langage, enrichissant le symbolique (l'écriture, la parole). Pour ces gens il n'y a pas de discussion possible, l'autre est une totalité imagière, on l'accepte ou on le rejette, parfois par le meurtre. Ce qui explique aussi la grande pauvreté des relations humaines à notre époque.
Voilà ! C'est la vieille querelle entre la psychanalyse et la psychologie laquelle est une baliverne qui n'explique rien autrement qu'avec des lieux communs.
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Eh oui ! La soumission à l'esclavage ne fait plus recette...
Juste un exemple, et il est ancien, 15 ans au moins car je ne vis plus en France depuis 12 ans. Un jeune homme, informaticien - je l'avais rencontré sur un forum ad hoc - vivait, comme moi, en région toulousaine. Impossible pour lui de trouver un boulot car ici ça marche avec le népotisme.
Il trouve un job, mais en région parisienne.
Mais il se plaint amèrement : "une fois que j'ai payé le transport - crevant - le loyer, les taxes et les impôts, je me retrouvais net avec un RMI que j'aurais pu avoir, peinard, en vivant dans ma grande chambre dans le pavillon de mes parents."
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@Fred-jh5we
Moi j'avais plié ma SARL d'informatique au CA insuffisant. J'étais donc au top technico-commercial. J'ai cherché donc du taf. Rien ! Quand on me répondait - rare - c'était pour me dire que "j'étais trop vieux". À 40 ans, pensez, un immonde vieillard, comme le Nosferatu de Murnau...
Au chômage, donc, portion RMI puisque en tant que gérant de SARL j'étais hors-champ ASSEDIC, je vais donc voir l'ANPE
"Ne vous focalisez pas sur ma spécialité informatique", je savais qu'il n'y avait pas de boulot là dedans, juste des stagiaires corvéables, "je sais faire plein d'autres choses". Mais ils n'ont pas levé le petit doigt.
"Fuyez, pauvre fous !" dirais-je de gandalfienne façon.
Si vous avec de la débrouillardise et un minimum de capital, vous vivrez mieux ailleurs. J'en suis la preuve vivante.
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Braves gens vous n'avez pas compris qu'un médecin n'est pas un scientifique, mais un idéologue
Comme un curé il croit ce qu'on lui dit de croire. Surtout quand ce sont des laboratoires qui le disent et le rétribuent.
Parce que la science, c'est le doute. Elle a été développée là dessus.
Rappelez-vous Galilée, il n'a échappé à la mort que de justesse, par une rétractation.
Et puis ses théories sur la chute des corps dans le vide. Une sottise pour l'époque où, de toute façon, on était incapable de faire du vide.
La médecine cela a toujours été de l'idéologie. Seuls les chirurgiens (les "barbiers") s'en tiraient mieux car les blessures étaient apparentes et on pouvait "bricoler" dessus.
Le docteur Louis Ferdinand Destouches, dit Céline, a fait sa thèse de médecine sur Semmelweis, un médecin qui prônait l'asepsie opératoire, en particulier des mains des chirurgiens. Il fut persécuté.
La première chose qui devrait être faite c'est de dissoudre cet "Ordre des médecins", fondé par Pétain.
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Pôv'ti flic ! Il ne peut plus matraquer, grenader, éborgner les gens sans que ceux-ci résistent.
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Monseigneur Hélder Pessoa Câmara
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ce n'est pas souvent que ça m'arrive.
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Le véhicule électrique est une absurdité thermodynamique quand on voit le circuit depuis la centrale électrique (nucléaire avec son approvisionnement douteux en uranium depuis les pays islamiques), la déperdition dans des câbles, jusqu'à l'arrivée au chargeur (grosse déperdition aussi) pour ensuite aller dans une batterie aux composants toxiques, de faible durée de vie et difficile à recycler.
Le problème des moteurs qui polluent ne vient pas d'eux mais de l'urbanisme. Les vieilles villes il faut faire avec mais les nouvelles ne doivent pas être construite comme les anciennes. Il faut que cela soit large et que l'air circule.
À ce sujet il y a une ville ancienne que j'aime bien, c'est Buenos Aires. Comme son nom l'indique elle est exposée au vent marin, les avenues sont archi larges, on ne sent pas les gaz d'échappement.
Tout le contraire, en comparaison, d'Asunción, puisque je vis au Paraguay, l'air n'y circule pas, les voies sont étroites et on baigne dans les gaz d'échappement.
Conclusion : la voiture électrique est un piège à c**s car JAMAIS il y aura suffisamment de bornes pour recharger les batteries. C'est tout simplement impossible pour le circuit électrique existant.
Et les "biocarburants" permettent de saccager les dernières forêts et leurs habitants qui existent encore. Le programme de Bolsonaro pour détruire l'Amazonie.
Donc vive le pétrole (dont on ne manque pas) ! Si on fore proprement ça ne pollue pas et ça ne prend pas de place.
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Ce qui est dingue à Toulouse c'est qu'il est impossible, par le train, de faire un itinéraire direct avec Barcelone qui est la plus grande ville voisine (moins loin que Bordeaux). Il faut 3 correspondances sans horaires adaptés. J'ai passé une nuit dans la salle d'attente pas confortable de Cerbère.
Toujours pareil : la ringardise ! La plupart des pays n'ont, soit jamais eu de trains, soit les ont supprimé. Il ne gardent que des lignes pour les minéraliers vu le poids. De plus, autour de la gare, il n'y a pas de parking gratuit pour les voitures.
Un train c'est lourd et pas modulable en fonction des usagers. Une voie ferrée c'est sophistiqué et chère et nécessite un entretien quasi permanent. Une route c'est des cailloux et du goudron qui est, de toute façon, un résidu dans les raffineries. Sur cette route on y fait rouler des cars climatisés très confortables sur des longues distances, j'en ai assez pris en Amérique du Sud pour le savoir. Et un car ça s'adapte aux trajets (allez donc passer par une ville non prévue avec un train...) et aux passagers (on en affrète en fonction du nombre de ces derniers).
Au Brésil, sur la côte Est, c'est tout plat et ils auraient pu y construire un TGV depuis São Luis jusqu'à l'Uruguay, mais ils ont dû estimer que cela n'était pas rentable.
Mais les français, parmi les pires passéistes de la planète, s'accrochent à ses trains qui, comme les hôpitaux publics, sont des bureaucraties staliniennes.
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