Comments by "" (@williammarie2479) on "Publications Agora" channel.

Je n'ai jamais cru à ces retraites donc j'y cotisais le moins possible. Actuellement la mienne est de 100,75 EUR/mensuel. Heureusement que je ne vis pas de cela, mais de la vente du grand pavillon hérité de ma mère et immédiatement placé (pas en France, bien sûr) avec une monnaie "normale" et avec un taux de 8,5 % annuel (il fut même à 10 % au début).
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@Philippe_Blot Je vis depuis 13 ans au Paraguay. Et je vis dans un grand 3 pièces avec grande terrasse au centre de la 4e ville du pays pour 1.500.000 PYG/mois soit 182 EUR. On ne manque de rien et les cliniques sont modernes et pas chères.
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@Alex-o2p3o â l'époque je ne trouvais que des petits boulots, 3 mois, 6 mois maxi. De toute façon je ne voulais pas être fonctionnaire avec un malheureux mois de congé par an. On avait une expression en 1968 pour ça ; "perdre sa vie à la gagner" Mais on a fait de grands progrès depuis : on la perd tout autant, mais on ne la gagne plus.
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@Alex-o2p3o Exact ! J'étais inembauchable passé 35-40 ans quoi que je sache faire. Toutefois je dégottais quelques contrats de 6 mois comme liquidateur technique de "canards boiteux". Mais c'était de la précarité tout ça.
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Rien de nouveau depuis le philosophe moustachu (Nietzsche) et l'économiste barbu (Marx) : "Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États. État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples. L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. » C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie. Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits." (Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
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