Comments by "" (@williammarie2479) on "Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie" channel.

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  24. Albert Camus avait écrit "La ville est une fourmillière d'hommes seuls". Pour ma part je suis un grand solitaire. Non voulu, mais je fais avec. Toutefois je jalousais les petits ados de Stephen King (qui a très exactement mon âge et qui vient, comme moi, d'un milieu populaire) qui ont une vie après l'école alors que de mon côté on se quittait comme des camarades de bureau. Je n'étais pas asocial, j'avais de bons copains en classe mais... uniquement en classe. Mais je ne suis en rien tombé dans la déprime. J'avais de grandes passions scientifiques (biologie, entomologie), je lisais beaucoup (époque des Bob Morane et des illustrés comme Spirou) mais je ne voyais personne ne fut-ce que pour partager mes goûts. Ça s'est aggravé avec le temps et l'asociabilité ambiante, hormis l'époque de mai 68 qui fut une période sociale. Mais par la suite, bernique ! Même en cherchant dans les forums spécialisés. J'ai cherché des compagnons d'aventures marines pour mon voilier de 10 m. Quelles soient vacancières ou hauturières. Personne. Du coup j'ai renoncé à la navigation qui peut être épuisante en solo (je n'ai pas la trempe d'un Moitessier). J'ai quand même 3 transats à mon actif. Je serais bien parti pour plus loin (Pacifique) et sur un 16 m mais il m'aurait alors fallu un matelot et un moussaillon, mais c'était "un rêve modeste et fou" J'ai cherché, voyant que la vie en France devenait invivable, des compagnons d'expatriation. J'avais des projets concrets. Il y avait des forums pour ça. Mais ce n'était que le lieu de robinsonnades et de tartines de mal-être aussitôt oubliées qu'écrites. Vivant alors en Amérique du Sud (j'ai de la site dans les idées et je me suis expatrié tout seul) et nanti qu'une camioneta quatquateuze, j'ai cherché des compagnons de vadrouilles dans la Cordillère. Personne là aussi. Mais au moins je pouvais voyager seul. Si je suis fatigué, je me met sur le bord de la piste, je tire mon frein à main, j'incline mon siège et je dors après avoir lu quelques pages d'un ebook sur ma liseuse. Jamais trouvé le frein à main sur un voilier. Conclusion à 75 ans, la solitude j'ai fait avec toute mon existence en me consolant avec la maxime "mieux vaut être seul que mal accompagné".
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  28. Je ne suis pas un économiste, mais je sais observer la sociologie autour de moi, ce que m'autorisent les ans et ma tête chenue. Donc il faut constater le changement de paradigme dans l'économie, changement qualitatif où, du capitalisme keynésien, on passa au capitalisme financier. Tout cela dans un intervalle très court : le milieu des années 70. Petites explications pour ceux qui dormaient : Le capitalisme keynésien est appelé aussi fordiste. Parce que Henry Ford a trouvé peu rentable de fabriquer des voitures artisanales et vendues très chères à une élite. Les clients devaient être le peuple et non une élite bourgeoise. D'où la création d'une nouvelle catégorie : des producteurs qui devenaient aussi des consommateurs. Et pour l'être ils devaient avoir un salaire correct et du temps libre tout ça pour acheter les Ford T et les faire rouler pendant les congés payés. Petit problème toutefois : pas de robots à cette époque, l'amélioration de la production se faisait sur la chaîne de montage où chaque poste de travail nécessitait des gestes simples qu'avait analysé l'ingénieur Taylor. Très efficace et rentable mais abrutissant. Ce qui avait incité Charlie Chaplin à créer son célèbre film, "Les temps modernes" qui faisait hurler de rire les prolétaires français qui étaient dans les grandes grèves de 1936. Ce capitalisme fordien, dit de "la société de consommation" où le consommateur était aussi producteur, n'a duré qu'un temps et ledit changement de paradigme s'est produit quand les 100 premières sociétés financières eurent un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles. Autrement dit on pouvait gagner davantage d'argent en trafiquant dans les marchés qu'en fabriquant des objets manufacturés (Black Rock, McKinsey, etc.). Les producteurs étaient devenus inutiles ! Cela commença en France dans le milieu des années 70 où ce fut la destruction et la délocalisation à tout va de tout ce qui relevait de la production industrielle. La production résiduelle se faisait avec des travailleurs quasi esclaves et pas du tout consommateurs (Chine, Inde). Quand aux travailleurs restant en France c'étaient devenus "des gens qui ne sont rien" et "qui coûtent un pognon de dingue". Une répression policière féroce s'abattit sur les protestataires (les gilets jaunes). Ce pouvoir féroce joua la carte de la soumission et de l'abrutissement des masses, aidé en cela par les capitalistes financiers précités qui détenaient aussi TOUS les médias. Le discours de soumission était matraqué depuis les petites classes et la manipulation du covid (une variante de grippe ne faisant pas plus de morts) fut couronnée de succès quand les dirigeants virent que les gens se laissaient enfermer en confinement sans protester. On pouvait donc les manipuler sans risque.
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  42. Fini les habitats baba cool des années 70 et qui ne coûtaient pas cher. Je me souviens d'une vieille maison en pierre, plus que centenaire où on sentait le vent passer à travers les pierres. Cet inconfort aurait été résolu avec du mortier à l'extérieur et du plâtre à l'intérieur. Toutes ces maisons et leurs terrains ne coûtaient pas cher à l'époque jusqu'à ce que la mode en fasse monter les prix de façon éhontée car les belges, allemands, anglais se sont jetés dessus dans les années 70-80. Bon il faut vous rendre à l'évidence, mes biquets : la France et l'Europe en général va devenir (et l'est déjà) invivable. Il vous faudra décaniller (à moins que vous préfériez crever sur place). Je vous informe qu'au Paraguay, où je vis depuis 12 ans, si vous avez acheté un bout de terrain pas cher, vous pourrez y construire la pire des baraques personne ne vous dira rien. Je me souviens d'un hameau, dans la Creuse, où nous avions demandé, pour une barraque provisoire, un branchement électrique. Refusé car notre prise de terre n'était pas bonne. Effectivement, comme on était sur du granit elle ne risquait pas de l'être. L'amusant (c'est qu'il faut garder le sens de l'humour, même avec les administrations françaises, sinon vous allez vous faire des trous dans l'estomac) c'est que tous les habitants du hameau avaient l'électricité mais aucun n'avait de prise de terre bonne ou mauvaise. On a résolu le problème en achetant un petit groupe électrogène.
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  94. J'entends toujours parler des hôpitaux (donc de l'Assistance Publique avec le fameux Robert Hirch qui ne supporte pas les médecins indépendants comme Raoult, Perronne et autres) mais qu'en est-il des cliniques conventionnées ? On n'en parle jamais, pourtant bon nombre d'entre elles reçoivent aussi les urgences. Il y a bien longtemps mes quelques tentatives de recours à ces hôpitaux m'en avaient complètement dégoutté alors que je ne pouvais que dire du bien, à tous les niveaux, des cliniques conventionnées. Et ma mère aussi, chef de centre divisionnaire à la Sécu, qui était scandalisée par les prix de journées des hôpitaux de l'AP par rapport à la facturation à l'acte des cliniques. Juste deux exemples : - petit kyste sur le lobe d'une oreille devenant un peu douloureux. Travaillant à l'Institut Pasteur je demande une consultation à l'hôpital Necker, proche. Reçu mais pour me dire qu'ils allaient m'interner et m'opérer le lendemain. Je fuis épouvanté ! Ce kyste fut retiré (et sans récidive par la suite) par mon médecin de médecine générale en 15 mn, moi assis sur un tabouret. Vous imaginez le différentiel de prix pour la Sécu ? - Accident de moto, clavicule en 4 morceaux, transporté par Police-secours à l'hôpital Saint-Louis. On me fait une radio tout de suite, mais après je végète dans une salle commune, et on me donne un sac poubelle noire pour mettre mes affaires. Il est juste question de me mettre un "boléro plâtré" le lendemain (toujours le lendemain semble une pratique de l'AP ça permet de facturer 2 journées). A nouveau je fuis épouvanté, non sans avoir engueulé copieusement le personnel parce que, ne pouvant me servir de mon bras droit, j'avais demandé à une fonctionnaire de me composer le numéro de téléphone de ma mère et qu'elle avait refusé. Je vais, en taxi, qui me fut remboursé, à la "Clinique du Sud" que je connaissais par un ami qui avait eu, avec succès, une opération délicate à l'épaule. J'arrive aux urgences, c'est d'une propreté impeccable, on me fait attendre que peu de temps et je suis reçu par le professeur agrégé Pinson qui m'explique que le fameux "boléro plâtré" est une sottise car cela provoque une ankylose permanente de l'épaule. Il m'assure que cela va se rétablir tout seul avec juste un harnais de contention qui me tire un peu les épaules en arrière. Ma mère était horrifiée ! "Un sac poubelle pour mettre ses affaires ! Au prix où ils facturent les journées en orthopédie !"
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  105. "Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles." commençait Valéry, en 1924, dans son premier Variété. Je ne suis pas d'accord pour qu'on emploie le terme de "libéralisme" comme un épouvantail, quasi religieux, de la nouvelle bienpensance des nouveaux intellectuels. Le libéralisme est, tout simplement, ne plus être sous la botte des États, même si le "laisser faire" a besoin de quelques règles pour que l'économie ne se transforme pas en combat de coqs. On ferait bien, plutôt, de s'inquiéter de la perte totale de tonus vital qui a lieu surtout dans l'actuelle jeunesse qui préfère se suicider que de se révolter. Alors qu'en 1968 les psys n'avaient plus un client car le tonus vital était au beau fixe. L'hypertrophie de l'individualisme que l'on constate en ce moment n'est pas un produit du libéralisme, car, dans celui-ci, pour créer des entreprises indépendantes des États il fallait bien que se fasse des associations. Toute la fin du 18e siècle et du début du 19e a vu la création des sociétés capitalistes modernes, des associations qui ne devaient rien aux vieux codes féodaux. Et ceci à tous les niveaux car il n'est pas nécessaire d'être pété de tunes pour créer une SARL de commerce ou d'artisanat. Le problème actuel en ce qu'il est inquiétant, c'est la perte totale de la volonté de s'associer avec d'autres. Il y a 15 ans j'ai compris que la France c'était foutu et qu'il fallait décaniller dans un pays globalement libre sous peine de finir sdf et criblé de taxes et d'impôts. Espérance de vie d'un sdf : 50 ans, je rappelle. Pour que cela soit profitable, il fallait donc des associés pour développer, plus facilement qu'en France, une activité économique. Pas besoin d'un gros capital pour autant, cela dépendait de l'activité envisagée. J'ai donc arpenté pas mal de forums d'expatriation afin de trouver des associés branchés sur la même perspective. Pas un ! J'étais même prêt à prendre sous mon aile de vieil oiseau de mer déplumé un p'tit jeune qui, sans avoir de capital, partageait mes analyses et mes projets. Mais il fallu se rendre à cette constatation : pour les français la règle était devenue "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs". Aggravé par le fait que la métaphore zoologique de prendre les français pour des moutons ne tient pas, car ces bestioles apprécient d'aller dans les montagnes l'été alors que les français, telles des moules (Mytilus edulis) n'envisagent pas de quitter leur rocher même si celui-ci est mazouté. Bon, comme moi j'ai de la suite dans les idées, je suis parti tout seul à 10.000 km du Titanic en train de sombrer et j'arrive à vivre comme un petit rentier.
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  145.  @nuagenebulos6587  Un pays globalement libre (on l'a vu pendant la coronafolie) avec une population à la fois d'une crasse intellectuelle gigantesque mais d'un grand tonus vital. Ce ne sont pas les paraguayens qui se laisseraient envahir pas les islamistes. De plus y être résident, c'est des tas de formalités d'État-Civil pour, au final obtenir une carte qui permet de... résider. Mais il y a plein d'avantages : outre la monnaie qui est stable (comparer le guarani du Paraguay et l'euro sur le site xe.com sera impitoyable), les taxes sont très légères (dont l'IVA qui est moitié moins qu'en France) et se mettre à son compte comme artisan ou commerçant ne nécessite aucune taxe autre que s'inscrire au RUC. Les créneaux : la rénovation-construction de maisons individuelles tellement ici ils travaillent mal (n'ont pas compris qu'il faut une pente pour évacuer l'eau et ils ne savent pas faire un béton armé élémentaire, l'électricité, n'en parlons même pas). Il y aurait donc un créneau auprès d'une classe moyenne qui en a marre d'un travail de m***. D'autant que travailler bien ou travailler mal n'est pas fondamentalement plus cher. Une fois un peu connu, on refuserait des chantiers. Il y a aussi l'importation de produits usuels qu'ils ne connaissent pas : les colliers atlas, par exemple, pour fixer des tuyaux et câbles sur un mur. Ils plantent un clou et entortillent un fil de fer ! Tous les corps de métiers ne sont pas aussi nuls, heureusement ! Le secteur médical est très bon (je me suis fait implanter un pacemaker il y a 8 ans) bien qu'essentiellement concentré sur Asunción. Il n'y a pas la dinguerie des voitures électriques, des médicaments interdits (seuls les opiacés nécessitent une ordonnance) et on n'y manquera jamais d'électricité car le grand barrage d'Itaipu fournit tout le Paraguay en électricité ainsi que les provines voisines du Brésil et de l'Argentine. Voilà pour l'approche économique de base.
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  185. Dès le début de la coronafolie j'ai cherché des explications. Certes j'ai une formation de biologiste-biochimiste et j'ai travaillé à l'INSERM sur le passage du récepteur de la dexaméthasone dans le noyau cellulaire, mais j'étais loin de cette histoire d'ARN viral trafiqué pour en faire un pseudo-vaccin. Et que faire quand ses connaissances sont légères ? On écoute les explications des grands-qui-savent, comme le professeur Raoult et son équipe. Car il n'y avait pas que lui à l'IHU de Marseille. J'ai beaucoup appris d'un professeur dont j'ai oublié le nom, expliquant la labilité de la protéine spike qui est un empilage de protéine tertiaires, ce qui perturbent les anticorps vaccinaux normaux car la structure visée n'est plus la même. Cet empilage je l'ai appelé protéine quaternaire et elle met à mal les techniques classiques de vaccination. Et pire, ouvre la voie à une nouvelle catégorie anti-immunitaire : les "anticorps facilitants" qui a fait des ravages meurtriers aux Philippines sur des enfants avec un vaccin expérimental contre la dengue. Campagne de test de ce vaccin vite arrêtée. En bref pour l'attaque virale du corona il valait mieux utiliser la classe des antipaludéens (dont l'hydroxychloroquine) qui "dégoutte" (je n'ai pas de meilleur terme) les virus de s'accrocher aux cellules. Phase virale brève car les bactéries pulmonaires dites "opportunistes" prennent la relève et le traitement est alors l'azithromycine et l'amocycilline, antibiotiques spécieux poumons. Bref je faisais de mon mieux pour vulgariser un savoir explicatif, mais j'ai eu immédiatement une suite aboyante de commentateurs hargneux dénigrant mon maigre savoir acquis ainsi que les professeurs Raoult et Perronne traités de "charlatans"
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  219. J'ai juste expliqué sur un autre forum que ma grosse toto quatquateuze diesel avait un entretien minime en 12 ans d'usage (outre les vidanges, j'ai juste eu à changer récemment les pompes hydrauliques de l'embrayage et j'ignorais complet que c'était devenu hydraulique). Et que je ne me voyais pas arpenter l'Amérique du Sud avec une voiture électrique déjà qu'au Chili ou en Argentine quand mon grand réservoir de 55 litres n'en est plus qu'à un quart il est temps de faire des mamours à la prochaine pompe. Mais, bien que mon propos soit principalement technique les partisans de la chaise électrique, bien que reconnue supérieure à la chaine à porteurs m'ont agoni d'injures. Difficile de faire admettre à certains qu'ils se sont fait berner. Même choses avec les covidiots, me direz vous. Effectivement on ne peut pas tout faire, surtout si c'est mobile, avec de l'électricité. Le charriot électrique Fenwick que je bichonnais dans mon dépôt, se rechargeait la nuit pour être pimpant le lendemain matin et il avait l'indéniable avantage de ne produire aucun gaz désagréable quand il arpentait les travées. Mais on ne peut comparer que ce qui est comparable. On peut imaginer une voiture électrique qui n'irait qu'au supermarché à 15 km et qui se rechargerait la nuit. Mais ça serait un peu cher . D'autant que les dits supermarchés vont passer de plus en plus à la livraison à domicile y compris avec les produits frais. Juste une question de bonne logistique, pour cela. Et un petit fourgon qui fait la livraison des clients du secteur, ce n'est pas la ruine. De même que je ne perdais plus mon temps à chercher des fringues dans les boutiques "désolé mais on n'a pas votre taille" et, avec un peu d'appréhension, j'ai commandé chez La Redoute et c'était parfait.
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  407. L'enfermement familial est un phénomène sociologique assez récent. 60 ans tout au plus. En même temps - comme dirait Macron - mômes et ados ne doivent pas sortir du giron familial alors que celui-ci est très pauvre et se résume à la trivialité ménagère et à la contemplation de la télévision. Tout questionnement est devenu obscène au sens étymologique "Tu verras ça à l'école !" dit la mère rabrouant sa fille, la relation avec d'autres est même interdit. Toute cette vacuité tourne autour de l'idole familiale : la télévision. Essayez de papoter si vous êtes invité à manger dans une famille française. Vous ne pouvez aborder aucun sujet et vous voyez la personne louchant en permanence sur la télévision, située dans un coin de la pièce, et dont on a réduit le volume sonore, mais qu'on m'irait pas jusqu'à ce sacrilège : l'éteindre. On a d'ailleurs la même chose avec les ados qui se retrouvent dehors. Mais eux ils emportent leur smartphone. Pourtant j'en ai eu un, mais juste un téléphone, car j'étais souvent en vadrouille donc injoignable. « D’abord, nous devrions garder à l’esprit qu’une forme d’isolement social très dommageable est présente depuis ces dernières années. Allez à McDonald’s et regardez les groupes d’ados autour des tables en train de manger un burger, et vous verrez deux conversations en cours. Une discussion creuse entre eux, et une autre que chacun a sur son téléphone avec des individus ou amis à distance. Cela a réduit et isolé les gens d’une manière extraordinaire. Le principe de Thatcher — la négation de la société — s’est intensifié, le mauvais usage des réseaux sociaux a transformé les gens en des créatures très isolées, en particulier les jeunes. » (Noam Chomsky, Un entretien de Srećko Horva)
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  425. Ah la Sainte Famille ! Mais elle s'est effondrée toute seule la famille ! "Familles, je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées ; possessions jalouses du bonheur." (André Gide). Avant c'était un ensemble multiforme, tout au moins dans la classe populaire mêlant la hiérarchie génétique aux relations diverses et affinitaires. Un enfant, dans ce type de famille, trouvait toujours quelqu'un pour l'écouter, le conseiller, en dehors de la filiation directe. On était même dans le trop plein de relations humaines. Aujourd'hui la famille c'est quoi ? Elle est réduite à papa-maman, tout juste si les grands parents y ont une part, à condition qu'ils ne s'incrustent pas trop. L'enfant, dans ce type de famille, navigue dans l'isolement, entre un père surmené et une mère qui ne sait dire à ses interrogations que "tu verras ça à l'école". Dans ces micro familles modernes la télévision est omniprésente, c'est la nounou. On plante le bambin devant elle et on est "tranquille", il n'ira pas "jouer dehors", d'ailleurs un enfant moderne ne joue plus car il risque de "faire de mauvaises rencontres" (c'est à dire des personnes avec lesquelles il se sent des affinités, même s'ils sont en dehors de "la famille"). "Tu veux aller à la piscine, on t'en construira une", déclare le magnanime tyran familial. Alors que pour l'enfant, aller à la piscine (municipale) était aussi s'émanciper quelque peu de cette tyrannie domestique, de se faire des amis, etc. Pas étonnant que cela donne cette génération de jeunes crétins asociaux et suicidaires.
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  539. Bon mes biquets, avoir fait une grosse manif, c'est bien, mais c'est complètement insuffisant. Je fouille dans ma mémoire de boomer et, le 13 mai 1968, il y avait eu une manif de 1 million de personnes après la célèbre "nuit des barricades" du 10 mai. Du coup la Sorbonne, occupée par les flics avait été libérée. Mais, me petits loulous en sucre comme dirait Nicolas, c'eut été insuffisant si ça s'était arrêté là. Or la jeune classe ouvrière (importante à cette époque car on fabriquait des choses en France) avait été très réceptive à l'assertion "perdre sa vie à la gagner" car la retraite ils s'en foutaient c'était le présent qui comptait. Aussi quelques usines furent en grève et occupées et cela se répandit comme une traînée de poudre et je me souviens d'une affichette de cette époque, d'une naïveté juvénile, certes, mais qui était réconfortante : "Le pouvoir avait ses universités et nous les avons prises Le pouvoir avait ses usines et nous les avons prises Le pouvoir avait ses rues et nous les avons prises Le pouvoir n'a plus que le pouvoir et nous allons lui prendre" Bien sûr l'époque n'est pas du tout la même et l'opposition au système est un leurre car la bataille est perdue d'avance, la soumission a été trop bien implantée depuis la petite enfance. La seule chose que je vois possible est un replis survivaliste, non pas en France car cela est devenu impossible (on n'est plus dans les années 70 avec la Creuse, les Cévennes, l'Aude et l'Ariège de l'époque) car il faut aller plus loin, dans des pays encore libres et qui ne verraient pas d'un mauvais oeil des gens autonomes pouvant dynamiser, par l'exemple, leur propre population.
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  540. La nécessité objective du travail humain dans une société véritablement moderne a complètement fondu avec la technologie. Vous entrez dans une usine Toyota (ou Tesla), fini les petits ouvriers serviles des "Temps modernes" de Charlie Chaplin, mais d'étranges machines qui gesticulent dans tous les sens et qui vous assemblent en très peu de temps une voiture complète. Seuls quelques super techniciens humains, sur une tour de contrôle surveillent la bonne exécution de la chaîne de montage. De toute façon si une machine robotique détecte un problème, elle s'arrête et génère un rapport. Mais les arriérés de la comprenette en sont restés à la malédiction biblique du travail : "Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". Donc pas de sueur, pas de pain ! À ceci près que même en créant toutes sortes de boulots inutiles de fonctionnaires, il ne peut plus y avoir assez de sueur à produire pour tout le monde. Ces nostalgiques de l'esclavage salarié crient donc haro sur "les loisirs" car, haine de classe oblige, ils en sont eux, bien exemptés physiquement du travail, et gagnent leur vie en décriant, dans les médias, les réfractaires à l'anachronisme du travail. En effet, d'où viennent les richesse de notre époque ? Des loisirs, plus précisément de libres activités hors du salariat. Le meilleur exemple en est Internet. En 1983 les militaires US ont commandé un nouveau réseau informatique aux universitaires car l'existant de l'époque (NetBEUI) était très mauvais. Ce réseau, en particulier devait "passer" en contournant un noeud de répartition s'il était détruit ou tout simplement HS. Ce protocole nouveau fut appelé TCP/IP. Les militaires, tout contents, partirent avec leur nouveau réseau, mais les universitaires se dirent que cela serait bien pour communiquer entre universités (je rappelle qu'il n'y avais que le fax à l'époque). Dans leurs loisirs ils se mirent à bricoler ce nouveau réseau, y ajoutant des protocoles (HTTP, mailto, FPS) et toutes sortes d'utilitaires (navigateurs). Et ce fut le réseau mondial Internet qui apparut, "bricolé", presqu'en totalité, par les loisirs d'informaticiens. Un système propriétaire UNIX, vendu très cher fut supplanté par un système gratuit, LINUX qui était le fruit, outre son fondateur, de milliers de contributeurs bénévoles, Microsoft vendit son Windows à très bas prix, etc. Voilà l'exemple typique de ce que les loisirs produisent des richesses en même temps que le travail, à l'ancienne, a de moins en moins de raison d'être. Une société véritablement moderne, même en restant capitaliste, devrait attribuer une "allocation d'existence" à toute personne qui, il est évident, ne passera pas sa vie sur sa chaise longue les doigts de pieds en éventail. Le rare travail classique existant encore serait un revenu, en plus, mais pas à la place. Ainsi la créativité, source de richesses et de profits, serait propulsée par cette gratuité où on ne mourrait pas de faim pour autant. Mais cela est inconcevable pour les tenants de l'esclavage par le travail, même s'ils sont confrontés à ce petit détail : le progrès technique fait son oeuvre et il y a de moins en moins besoin de prolétaires au sens du 19e et 20e siècle. Je rends hommage ici au grand visionnaire de cette modernité, le docteur Paul Lafargue, gendre de Karl Marx, qui écrivit, en 1883, le pamphlet "Le droit à la paresse. Réfutation du droit au travail de 1848", dans la prison des politiques de Sainte Pélagie et que vous pourrez trouver en téléchargement sur mon site : http:\\wmarie.free.fr. En effet, en son temps, les filatures et les premiers tracteurs agricoles ouvraient la voie à la suppression du travail pénible ou inutile.
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  557. Tout cela relève de l'imposture idéologique. C'est analogue à "l'urgence climatique", d'ailleurs, la folle idée que l'humanité pourrait changer le climat en bien comme en mal. Elle peut ravager la biosphère, c'est ce que l'on voit, mais le climat, c'est le cas de le dire, est au-dessus d'elle. Mais venons-en au sujet : le genre. Là aussi on fait une confusion entre le biologique et le social (psychologique, comportemental). Si le premier est immuable et que ce serait folie de l'altérer (on a renoncé depuis longtemps à castrer les enfants pour qu'ils aient de belles voix une fois adulte, comme Farinelli) il en est tout autrement de celui, social et comportemental. "Il faut être un homme !" ne s'adresse pas à la biologie, mais au comportemental. C'est donc psycho-sociologique. Il faut être un mâle dominateur, régnant en despote sur sa petite famille. Mais ce modèle date un peu et ne fait pas vendre. Que révèle la publicité et la marchandise ? Rien de nouveau depuis Marx et son livre 1 du Capital qui commence ainsi : "Une marchandise paraît au premier coup d'œil quelque chose de trivial et qui se comprend de soi-même. Notre analyse a montré au contraire que c'est une chose très complexe, pleine de subtilités métaphysiques et d'arguties théologiques. En tant que valeur d'usage, il n'y a en elle rien de mystérieux, soit qu'elle satisfasse les besoins de l'homme par ses propriétés, soit que ses propriétés soient produites par le travail humain. Il est évident que l'activité de l'homme transforme les matières fournies par la nature de façon à les rendre utiles. La forme du bois, par exemple, est changée, si l'on en fait une table. Néanmoins, la table reste bois, une chose ordinaire et qui tombe sous les sens. Mais dès qu'elle se présente comme marchandise, c'est une tout autre, affaire. A la fois saisissable et insaisissable, il ne lui suffit pas de poser ses pieds sur le sol ; elle se dresse, pour ainsi dire, sur sa tête de bois en face des autres marchandises et se livre à des caprices plus bizarres que si elle se mettait à danser." Appliqué à notre sujet et sous la toute prégnance des médias et de la publicité, le mâle biologique doit être un supermacho et la femme une super putain. Et une union entre deux personnes de même sexe est inconcevable pour certains. On se souvient de l'hystérie anti mariage gay sans que l'on dise une seule fois, comme je l'ai demandé à maintes reprises, en quoi le mariage gay allait changer et priver de quoi que ce soit le mariage hétéro. Pourtant on ne craint plus de faire étalage de la sexualité, "normale", bien sûr (pas un film actuel ou une série sans une scène de baise hétéro en longueur jusqu'à l'éjaculation finale). Cette hypertrophie du "sexual role" a de quoi en dégoutter plus d'un sans qu'il soit homo pour autant. Tout changement à la norme, ne fut-ce que vestimentaire va, offusquer les machistes.
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  560.  @rosaliedubois8978  C'est le moment de placer mon copier coller en stock car j'en avais toujours marre de répéter les mêmes choses. Le voici donc : C'est vrai que ça manque d'un site sérieux et actualisé qui ferait la liste des pays "expatriables" avec les conditions d'entrée, la politique sanitaire, le coût de la vie, les secteurs d'activité, les statuts de travail, etc. Pour ma part je suis au Paraguay depuis 12 ans. Petite liste des caractéristiques : - Résidence permanente obtenue par formalités d'État civil, de non condamnation, de visite médicale. Pas de conditions de revenus (retraite). Voir auprès du consulat si cela n'a pas changé. - Accès à tous les secteurs professionnels en statut commerçant ou artisan en étant inscrit au RUC. Pratiquement aucun impôt pour les petits CA (donc marge nette = marge brute). Un fort marché potentiel auprès des classes moyennes dans la rénovation bâtiment et la construction de maisons de qualité tellement ici ils travaillent mal (ignorance crasse et ils ne veulent rien apprendre, même les jeunes). - Au niveau humain, si l'on excepte Asunción et Ciudad del Este, ce sont des guaranis, sorte d'indiens dégénérés et roublards et non des hispaniques (comme en Argentine). Et ce n'est pas brillant ! Impossible de travailler avec eux. C'est l'erreur commune que font tous les gringos et beaucoup y ont laissé des plumes. - Pas de politique sanitaire dictatoriale de type passe sanitaire. Accès aux soins (de qualité) sans conditions dans tous les "sanatorios" (cliniques). Tout est payant, mais bien moins cher qu'en France hors Sécu. Il existe aussi des assurances privées. - Monnaie stable et échangeable suivant, en gros, le cours du dollar sans ses à coups spéculatifs. - La ressource principale du Paraguay est l'agriculture (4e pays producteur de soja), le lait et l'élevage. Très peu d'industrie. - Logement locatif difficile à trouver. Pas mal de maisons à vendre (mais de qualité variable). Construction libre sur tout terrain que vous avez acheté. - Ressources : aucune pénurie. Électricité pour tout le Paraguay et les provinces voisines du Brésil et de l'Argentine par l'un des plus grand barrages du monde : Itaipu. Carburants venant du Brésil par camions. Prix du gasoil stable depuis 6 mois (8 300 PYG soit 1,12 EUR) - Toutes les agglomérations (mêmes les petites) sont câblées fibre optique de très bonne qualité (15,18 EUR pour 120 MBPS mensuel) - Pays nul au niveau touristique (que des vaches à voir car c'est une immense Normandie et que l'État n'a pas aménagé pour la promenade les petits coins nature) mais idéalement situé au centre de l'Amérique du Sud pour aller dans les pays voisins plus touristiques. - Grandes routes en notable amélioration mais les petites sont souvent désastreuses. SUV recommandé et même 4x4 (j'ai un pick-up Isuzu D-Max de 12 ans d'âge et qui est toujours en parfait état). Je n'ai rien oublié ?
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  642. Le problème posé est pourtant simple : toute l'idéologie véhiculée par les politiques et, surtout, la publicité et la "culture" cinématographique est basée sur le "sexual role" (le terme venant des psychologues américains je le laisse sous sa forme anglo-saxonne". Quel est-il donc ? : simple : l'homme doit être un super macho et la femme une super putain. Ceci est véhiculé essentiellement par la publicité et le cinéma (la série des James Bond étant un modèle du genre). Ne se passe pas une vidéo sans qu'il y ait une scène de baise hétéro jusqu'à l'éjaculation finale. Aucun rapport avec l'histoire, mais vous n'y échapperez pas. À une idéologie répond souvent une réponse non adaptée. Ainsi est venu cette "théorie du genre" où le biologique serait porteur de l'idéologie du sexual role. Ce qui est un non sens scientifique. Par exemple l'homosexualité déclarée "non naturelle" alors qu'elle est très commune chez les mammifères et surtout les oiseaux et que certaines bestioles peuvent changer de genre biologique, ce que ne peuvent pas faire les mammifère. Par contre on peut être d'un sexe biologique mais ne pas se sentir investi du rôle correspondant par la société Chez certaines civilisations, indiens du N et du S de l'Amérique, cela est parfaitement accepté, Ce sont les grandes religions monothéistes (christianisme, islam) qui en maintiennent le tabou. On peut s'avancer aussi sur le terrain de la sociologie : c'est parce que les couples hétéros "modernes" ne tiennent plus ("l'amour dure 3 ans" a écrit Frédéric Beigbeder). Pourquoi ? Parce qu'ils s'obligent à vivre en promiscuité permanente. Autrefois, la tâche de reproduction effectuée les hommes vivaient entre eux et les femmes entre elles et ça se passait bien (Socrate a eu une femme Aspasie, et lui a même fait des socratillons). Là on observe ce paradoxe : les couples hétéros s'efforcent de vivre comme des couples homos (ils font leur gymnastique ensemble et j'en ai vu souvent en randonnée avec des vélos sacoches sous le soleil, la femme, toute rouge, au bord de l'apoplexie). Dans beaucoup de domaines ils nient la différences des sexes. Et le dictateur Poutine, pas plus que le dictateur Zelenski ne sont des modèles pour des sociétés libres et épanouies.
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  656. Il y a juste un fait que semble oublier Monsieur Pointud, c'est qu'on ne produit plus rien en France ! Outre que le machinisme et la robotique limite grandement la nécessité du travail humain (calculez le nombre d'heures de travail humain pour fabriquer une traction avant avec ce qu'il faut pour une Toyota sophistiquée essentiellement composée par des robots), il n'y a même pas ce type d'usine en France puisque la logique industrielle française c'est que tout doit être fabriqué ailleurs. Et qu'on ne me fasse pas rire avec les arguments du CNPF sur le coût de la main d'oeuvre en France comparée à celle du tiers-monde. Dans l'usine Toyota précitée les rares humains encore présents sont des super techniciens très bien payés. N'ayant d'autres perspectives que d'être intérimaires dans des supermarchés, les actuels jeunes diffèrent cette fatalité avec des études dites supérieures et complètement inutiles. Sinon que leur restent-ils : travailler dans l'hôtellerie ? C'est saisonnier et très mal payé pour le nombre d'heures effectuées. Les petits boulots plus ou moins déclarés. Le plus valable si on est un bon bricoleur niveau pro - mon cas - c'est encore le travail au noir. Mais il faut donc avoir le matériel comme un pro. En fait c'est de l'artisanat non déclaré (le faire en déclaré c'est le racket fiscal). Ouarf ! Les jeunes qui trouvent du travail en Suisse ! Dans des blanchisseries (monétaires) ? Chaudronnier ? Il faut être très qualifié il est vrai. Le cas de mon voisin de ponton nanti aussi d'un petit voilier. Sa boîte avait fermé puisque tout est fabriqué ailleurs. Idem pour d'autres spécialités professionnelles. On ne peut donc pas les qualifier d'avenir puisqu'elles dégagent ceux qui y travaillaient
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  680. C'est là que j'ai compris que la France c'était foutu ! Un peuple tombé dans la coronafolie et le masochisme du pseudo vaccin, ça ressemblait au peuple allemand acclamant le national-socialisme avec la haine pour ceux qui ne se soumettaient pas à cette nouvelle idéologie. Les réfractaires à la piquouze étaient des untermenchen bon à être déportés dans des camps. Il y en eu d'ailleurs quelques uns appelés "camps de quarantaine". Heureusement que j'avais quitté définitivement ce pays qui n'était plus le mien. Ici, au Paraguay, il y avait certes des piquouzes mais rien d'obligatoire, et après un certain succès pour la première dose, les autres sont tombées rapidement en désuétude. C'est au 4e trimestre 2020 que j'ai écrit mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" où j'ai imaginé une France, confinée à perpète, donc avec une certaine organisation de ce confinement afin qu'il soit quelque peu vivable sur la durée. Bien sûr ce bouquin je n'ai même pas cherché à le faire éditer, car il faut faire partie d'une certaine nomenklatura, tout manuscrit venant d'une autre source est mis au panier par la secrétaire qui ouvre le courrier. Cela avait déjà été le cas d'une série de 5 volumes de science-fiction dont le tome 1, envoyé à des maisons d'éditions publiant de la SF, n'a même pas eu l'honneur d'une lecture. J'ai donc auto édité toute ma prose et l'ai mis en dépôt sur Amazon. Je regarde donc le merdier français depuis 10.000 km et avec un certain amusement nietzschéen car on ne peu pas dire que les français, à ce point soumis, sont des victimes innocentes.
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  701.  @nospamnc2075  Pas compliqué pourtant de chercher et de trouver. "La transcriptase inverse ou rétrotranscriptase (en anglais reverse transcriptase ou encore RT) est une enzyme utilisée par les rétrovirus et les rétrotransposons qui transcrivent l'information génétique des virus ou rétrotransposons de l'ARN en ADN, qui peut s'intégrer dans le génome de l'hôte. " (Wikipedia) La preuve en est qu'il y a, dans le génome humain, plein de ces bouts de codes d'origine virale qui se transmettent donc de génération et génération. Fort heureusement pour l'espèce humaine ils ne sont pas codants. Et, s'ils l'ont été, le groupe humain les hébergeant a donc du disparaître. C'est pourquoi il est imprudent de faire joujou avec ces choses a fortiori pour un coronavirus qui ne peut, au maximum, que donner une mauvaise grippe. Mais qu'il est interdit de soigner par la foultitude de substances (groupe des antipaludéens comme l'HCQ, la méfloquine et autres et des anti parasitaires comme l'ivermectine). Substances qui ont la propriété d'empêcher les virus de s'accrocher aux cellules avec leurs petites pattes griffues (les protéines quaternaire spike). Et, si le mal est fait il faut utiliser des antibiotiques spéciaux poumons comme l'azithromycine (également interdit) et un, que je préfère pour les pneumonies : l'amoxiciline + acide clavulanique, le tout à 3 comprimés par jour et non 2 comme écrit dans la notice. Bien sûr ce n'est moi qui le dit mais des professeurs de pneumologie. Et toc, mon petit troll, tu viens à nouveau de te ramasser. Question (indiscrète ?) : tu es payé par Pfizer ou McKinsey pour ta soumission militante aux piquouses ?
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  833. Creutzfeld-Jacob et les maladies à prions, prophétisées par le professeur Montagnier peuvent s'expliquer à mon (petit) niveau de biochimiste. Qu'est-ce qu'un prion (tous que Dieu nous veuille absoudre 🤡) ? C'est une protéine complexe effondrée, un peu comme une étoile qui devient une naine (blanche, rouge ou noire, il y en a pour toutes les races 🤡) avec une pesanteur effroyable en surface. Comment une protéine peut-elle s'effondrer ? C'est une molécule complexe, depuis la forme primaire (la kératine des cheveux), secondaire et tertiaire (et j'ajouterais quaternaire avec la protéine spike qui est un composant de plusieurs protéines tertiaires, d'où sa facilité de mutation). Ce qui maintient sa structure c'est un haubanage interne qu'on appelle "liaisons hydrogène", mais ces liaisons chimiques n'ont pas la "solidité" des liaisons covalentes. Si ce haubanage claque, la protéine s'effondre et donne un composant très toxique s'il est dans le système nerveux : le prion, qui donne alors une dégénérescence cérébrale fatale. Ce sont des conditions métaboliques particulières qui effondrent ces protéines. La maladie de la vache folle fut induite par des protéines animales, ajoutée à l'alimentation des bovins. Ces farines animales n'avaient rien de toxique en soi et provenaient de déchets d'abattoir d'animaux approuvés pour la consommation humaine. L'hypothèse retenue est que ces protéines animales ne convenaient pas au métabolisme de l'alimentation herbivore et induisait donc cet effondrement toxique. On peut supposer la même chose de la protéine spike générée en masse par ces thérapies géniques à ARNm.
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  902.  @jean-baptistelasselle4562  Je ne suis pas une Madame puisque William est à la bonne place (pré-nom) et c'est un peu cavalier de dire que je n'ai rien étudié sur les sciences alors que celles-ci mettent au rancart les vieilles superstitions. Bien que mon domaine de prédilection est la biologie-biochimie (3e cycle) j'ai tâté des autres domaines si cela n'était pas trop matheux pour moi. En restant dans mon domaine, la biologie, pourquoi n'observe-t-on pas chez les grands singes qui partagent 97 % de notre génome une religiosité ? C'est une psychopathologie propre à l'espèce humaine. D'ailleurs tous les cas cliniques ont un point commun : la religiosité. Certes elle n'est pas souvent dans les religions "officielles", certains s'en construisent à eux tous-seuls mais cette psychopathologie est quasi systématique. Pour passer dans le champ de la sociologie, je constate que notre époque si "riche" en abêtissements de tout genre se met en scène de façon religieuse pour des domaines qui n'en relèvent pas, en principe. Le Saint Vaccin qui s'avère être un désastre a ses partisans fanatiques qu'aucun raisonnement scientifique ne peut atteindre ou la simple énumération des faits. "Il me faut des raisons pas des croyances" avait résumé un de mes vieux maître en philosophie : Friedrich Nietzsche. Et, sur le plan de la sociologie, le pourquoi de la religiosité fut plié par Marx dans "Critique de la philosophie du droit de Hegel" qui reste dans l'actualité et encore plus dirais-je. Ainsi parlait Willianhoustra.
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