Comments by "" (@williammarie2479) on "Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie"
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Albert Camus avait écrit "La ville est une fourmillière d'hommes seuls".
Pour ma part je suis un grand solitaire. Non voulu, mais je fais avec.
Toutefois je jalousais les petits ados de Stephen King (qui a très exactement mon âge et qui vient, comme moi, d'un milieu populaire) qui ont une vie après l'école alors que de mon côté on se quittait comme des camarades de bureau. Je n'étais pas asocial, j'avais de bons copains en classe mais... uniquement en classe.
Mais je ne suis en rien tombé dans la déprime. J'avais de grandes passions scientifiques (biologie, entomologie), je lisais beaucoup (époque des Bob Morane et des illustrés comme Spirou) mais je ne voyais personne ne fut-ce que pour partager mes goûts.
Ça s'est aggravé avec le temps et l'asociabilité ambiante, hormis l'époque de mai 68 qui fut une période sociale.
Mais par la suite, bernique !
Même en cherchant dans les forums spécialisés.
J'ai cherché des compagnons d'aventures marines pour mon voilier de 10 m. Quelles soient vacancières ou hauturières. Personne.
Du coup j'ai renoncé à la navigation qui peut être épuisante en solo (je n'ai pas la trempe d'un Moitessier). J'ai quand même 3 transats à mon actif. Je serais bien parti pour plus loin (Pacifique) et sur un 16 m mais il m'aurait alors fallu un matelot et un moussaillon, mais c'était "un rêve modeste et fou"
J'ai cherché, voyant que la vie en France devenait invivable, des compagnons d'expatriation. J'avais des projets concrets. Il y avait des forums pour ça. Mais ce n'était que le lieu de robinsonnades et de tartines de mal-être aussitôt oubliées qu'écrites.
Vivant alors en Amérique du Sud (j'ai de la site dans les idées et je me suis expatrié tout seul) et nanti qu'une camioneta quatquateuze, j'ai cherché des compagnons de vadrouilles dans la Cordillère. Personne là aussi. Mais au moins je pouvais voyager seul. Si je suis fatigué, je me met sur le bord de la piste, je tire mon frein à main, j'incline mon siège et je dors après avoir lu quelques pages d'un ebook sur ma liseuse. Jamais trouvé le frein à main sur un voilier.
Conclusion à 75 ans, la solitude j'ai fait avec toute mon existence en me consolant avec la maxime "mieux vaut être seul que mal accompagné".
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Je ne suis pas un économiste, mais je sais observer la sociologie autour de moi, ce que m'autorisent les ans et ma tête chenue.
Donc il faut constater le changement de paradigme dans l'économie, changement qualitatif où, du capitalisme keynésien, on passa au capitalisme financier. Tout cela dans un intervalle très court : le milieu des années 70.
Petites explications pour ceux qui dormaient :
Le capitalisme keynésien est appelé aussi fordiste. Parce que Henry Ford a trouvé peu rentable de fabriquer des voitures artisanales et vendues très chères à une élite. Les clients devaient être le peuple et non une élite bourgeoise. D'où la création d'une nouvelle catégorie : des producteurs qui devenaient aussi des consommateurs. Et pour l'être ils devaient avoir un salaire correct et du temps libre tout ça pour acheter les Ford T et les faire rouler pendant les congés payés.
Petit problème toutefois : pas de robots à cette époque, l'amélioration de la production se faisait sur la chaîne de montage où chaque poste de travail nécessitait des gestes simples qu'avait analysé l'ingénieur Taylor. Très efficace et rentable mais abrutissant. Ce qui avait incité Charlie Chaplin à créer son célèbre film, "Les temps modernes" qui faisait hurler de rire les prolétaires français qui étaient dans les grandes grèves de 1936.
Ce capitalisme fordien, dit de "la société de consommation" où le consommateur était aussi producteur, n'a duré qu'un temps et ledit changement de paradigme s'est produit quand les 100 premières sociétés financières eurent un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles.
Autrement dit on pouvait gagner davantage d'argent en trafiquant dans les marchés qu'en fabriquant des objets manufacturés (Black Rock, McKinsey, etc.).
Les producteurs étaient devenus inutiles !
Cela commença en France dans le milieu des années 70 où ce fut la destruction et la délocalisation à tout va de tout ce qui relevait de la production industrielle. La production résiduelle se faisait avec des travailleurs quasi esclaves et pas du tout consommateurs (Chine, Inde). Quand aux travailleurs restant en France c'étaient devenus "des gens qui ne sont rien" et "qui coûtent un pognon de dingue". Une répression policière féroce s'abattit sur les protestataires (les gilets jaunes).
Ce pouvoir féroce joua la carte de la soumission et de l'abrutissement des masses, aidé en cela par les capitalistes financiers précités qui détenaient aussi TOUS les médias. Le discours de soumission était matraqué depuis les petites classes et la manipulation du covid (une variante de grippe ne faisant pas plus de morts) fut couronnée de succès quand les dirigeants virent que les gens se laissaient enfermer en confinement sans protester. On pouvait donc les manipuler sans risque.
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Cette méthode (les émeutes et le pillage) est typiquement africaine.
Il peut y avoir, au départ, des revendications très légitimes, mais, inéluctablement cela tourne à l'émeute, à la destruction et, surtout, au pillage.
Lors d'un séjour touristique au Bénin en 1984 il y avait un garage importateur et réparateur de camions Gastonnegre (un nom pareil en Afrique, ça ne s'invente pas). Ce garage avait été pillé et détruit dans une de ces émeutes périodiques dont l'Afrique a le secret. En discutant avec un flic celui-ci avait déclaré "Oui nous avons été un peu espiègles". Le qualificatif était ahurissant. Et il regrettait que Gastonnegre ne reprenne pas ses activités comme si de rien n'était.
Vu la tiers-mondisation de la France cette immigration délirante empêchera toute amélioration de ce pays (que j'ai quitté sans regret depuis 12 ans).
Macron va être, une fois de plus, la risée à l'international.
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Fini les habitats baba cool des années 70 et qui ne coûtaient pas cher. Je me souviens d'une vieille maison en pierre, plus que centenaire où on sentait le vent passer à travers les pierres. Cet inconfort aurait été résolu avec du mortier à l'extérieur et du plâtre à l'intérieur.
Toutes ces maisons et leurs terrains ne coûtaient pas cher à l'époque jusqu'à ce que la mode en fasse monter les prix de façon éhontée car les belges, allemands, anglais se sont jetés dessus dans les années 70-80.
Bon il faut vous rendre à l'évidence, mes biquets : la France et l'Europe en général va devenir (et l'est déjà) invivable.
Il vous faudra décaniller (à moins que vous préfériez crever sur place).
Je vous informe qu'au Paraguay, où je vis depuis 12 ans, si vous avez acheté un bout de terrain pas cher, vous pourrez y construire la pire des baraques personne ne vous dira rien.
Je me souviens d'un hameau, dans la Creuse, où nous avions demandé, pour une barraque provisoire, un branchement électrique. Refusé car notre prise de terre n'était pas bonne. Effectivement, comme on était sur du granit elle ne risquait pas de l'être. L'amusant (c'est qu'il faut garder le sens de l'humour, même avec les administrations françaises, sinon vous allez vous faire des trous dans l'estomac) c'est que tous les habitants du hameau avaient l'électricité mais aucun n'avait de prise de terre bonne ou mauvaise. On a résolu le problème en achetant un petit groupe électrogène.
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La guerre de 14-18 a eut pour but principal de supprimer la classe paysanne devenue par trop excédentaire avec le début du machinisme agricole.
En effet mettre tous ces ouvriers agricoles au chômage aurait produit des troubles sociaux, des insurrections et même des révolutions.
Ce sont ces derniers qui étaient envoyés au massacre dans les tranchées, les non-paysans (artisans, techniciens) étaient affectés à des postes moins exposés (les 4 frères de ma grand mère moururent dans les tranchées, mais mon grand père, artisan, étant artilleur, donc moins exposé, survécu à ce massacre)
En Russie ce fut le mécanisme inverse : le peuple russe était lassé d'être envoyé contre les troupes allemandes, mieux équipées, se faire massacrer pour faire plaisir au tsar. Celui-ci fut donc renversé.
Mais voilà que son remplaçant, Kerenski, adulé un temps par la population russe, voulut mettre à nouveau celle-ci en guerre.
Cela ne passa pas et ce fut donc un "octobre rouge". Aidé par l'Allemagne, Lénine qui était en exil, rejoignit la Russie en déclarant haut et fort son opposition au maintien de la guerre. La paix fut donc signée par le traité de Brest-Litovsk et l'Allemagne en profita pour qu'il lui soit très favorable. L'Ukraine passa alors dans le camp allemand.
La guerre est toujours une guerre de classes.
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Contrairement aux pays hispaniques supposés plus machistes, en France les emplois de bureaux sont, au moins, à 90 % féminin. Pas compris qu'il faut être une femme pour se servir de Word ou d'un logiciel de compta. Dans les annonces on demande toujours UNE secrétaire, UNE comptable et ça doit être aussi le cas dans l'éducnat et ce n'est pas nouveau, dans mes dernières années scolaires pré soixante-huitardes, toutes mes profs, sauf celui d'allemand, était des femmes.
Alors que dans les pays hispaniques (et je vis dans l'un d'eux, le Paraguay) il y a autant d'hommes que de femmes dans les bureaux
Dans l'éducnat, c'est la même chose, on envoie des jeunes femmes nunuches dans des classes composés de petits beurs en furie là où un jeune retraité officier de la Légion aurait la manière et le charisme de l'emploi.
Pour les pauvres hères téros qui ont eu le malheur de se marier, ce qui ne dure pas longtemps, ils sont systématiquement condamnés par la magistrature femelle. Ma mère me citait un dentiste conseil de la Sécu, qui avait été marié à une autre dentiste, donc égalité de revenus, avait été condamné aux dépens et a verser une pension faramineuse à son ex femme.
Telles des mantes religieuses, elles les dévorent financièrement.
Mais les mantes mâles courent toujours se faire dévorer par leurs femelles.... Et ça dure depuis le Secondaire...
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Moi je suis un immigré légal au Paraguay. J'ai donc produit tous les documents pour, passé des visites médicales, toutes ces opérations étant payantes même si le coût n'était pas prohibitif. Cela se passe ainsi dans la plupart des pays avec diverses conditions. Certains veulent des retraites, pas forcément importantes, mais plus que la mienne qui est de 100 EUR mensuel. D'autre veulent un capital d'investisseur qu'il faut déposer à la banque. Une promesse d'embauche envers un autochtone réduisant le capital nécessaire. Cela me semble une bonne formule.
Pourquoi la France est une poubelle de l'immigration où quiconque peut venir, légalement et illégalement et toucher des subsides ? Un français émigré dans un autre pays ne touche absolument rien de son pays d'accueil.
La France, de toute évidence, a activé le vieux plan de Coudenhove-Kalergi afin d'effectuer un remplacement ethnique des français pour les remplacer, essentiellement, par des islamistes. Et les français, le pire étant les jeunes, sont dans un état d'abrutissement médiatique qu'ils trouvent cela très bien.
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J'entends toujours parler des hôpitaux (donc de l'Assistance Publique avec le fameux Robert Hirch qui ne supporte pas les médecins indépendants comme Raoult, Perronne et autres) mais qu'en est-il des cliniques conventionnées ? On n'en parle jamais, pourtant bon nombre d'entre elles reçoivent aussi les urgences.
Il y a bien longtemps mes quelques tentatives de recours à ces hôpitaux m'en avaient complètement dégoutté alors que je ne pouvais que dire du bien, à tous les niveaux, des cliniques conventionnées.
Et ma mère aussi, chef de centre divisionnaire à la Sécu, qui était scandalisée par les prix de journées des hôpitaux de l'AP par rapport à la facturation à l'acte des cliniques.
Juste deux exemples :
- petit kyste sur le lobe d'une oreille devenant un peu douloureux. Travaillant à l'Institut Pasteur je demande une consultation à l'hôpital Necker, proche. Reçu mais pour me dire qu'ils allaient m'interner et m'opérer le lendemain. Je fuis épouvanté !
Ce kyste fut retiré (et sans récidive par la suite) par mon médecin de médecine générale en 15 mn, moi assis sur un tabouret.
Vous imaginez le différentiel de prix pour la Sécu ?
- Accident de moto, clavicule en 4 morceaux, transporté par Police-secours à l'hôpital Saint-Louis. On me fait une radio tout de suite, mais après je végète dans une salle commune, et on me donne un sac poubelle noire pour mettre mes affaires. Il est juste question de me mettre un "boléro plâtré" le lendemain (toujours le lendemain semble une pratique de l'AP ça permet de facturer 2 journées). A nouveau je fuis épouvanté, non sans avoir engueulé copieusement le personnel parce que, ne pouvant me servir de mon bras droit, j'avais demandé à une fonctionnaire de me composer le numéro de téléphone de ma mère et qu'elle avait refusé.
Je vais, en taxi, qui me fut remboursé, à la "Clinique du Sud" que je connaissais par un ami qui avait eu, avec succès, une opération délicate à l'épaule. J'arrive aux urgences, c'est d'une propreté impeccable, on me fait attendre que peu de temps et je suis reçu par le professeur agrégé Pinson qui m'explique que le fameux "boléro plâtré" est une sottise car cela provoque une ankylose permanente de l'épaule. Il m'assure que cela va se rétablir tout seul avec juste un harnais de contention qui me tire un peu les épaules en arrière.
Ma mère était horrifiée ! "Un sac poubelle pour mettre ses affaires ! Au prix où ils facturent les journées en orthopédie !"
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"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles." commençait Valéry, en 1924, dans son premier Variété.
Je ne suis pas d'accord pour qu'on emploie le terme de "libéralisme" comme un épouvantail, quasi religieux, de la nouvelle bienpensance des nouveaux intellectuels. Le libéralisme est, tout simplement, ne plus être sous la botte des États, même si le "laisser faire" a besoin de quelques règles pour que l'économie ne se transforme pas en combat de coqs.
On ferait bien, plutôt, de s'inquiéter de la perte totale de tonus vital qui a lieu surtout dans l'actuelle jeunesse qui préfère se suicider que de se révolter. Alors qu'en 1968 les psys n'avaient plus un client car le tonus vital était au beau fixe.
L'hypertrophie de l'individualisme que l'on constate en ce moment n'est pas un produit du libéralisme, car, dans celui-ci, pour créer des entreprises indépendantes des États il fallait bien que se fasse des associations. Toute la fin du 18e siècle et du début du 19e a vu la création des sociétés capitalistes modernes, des associations qui ne devaient rien aux vieux codes féodaux. Et ceci à tous les niveaux car il n'est pas nécessaire d'être pété de tunes pour créer une SARL de commerce ou d'artisanat.
Le problème actuel en ce qu'il est inquiétant, c'est la perte totale de la volonté de s'associer avec d'autres.
Il y a 15 ans j'ai compris que la France c'était foutu et qu'il fallait décaniller dans un pays globalement libre sous peine de finir sdf et criblé de taxes et d'impôts. Espérance de vie d'un sdf : 50 ans, je rappelle.
Pour que cela soit profitable, il fallait donc des associés pour développer, plus facilement qu'en France, une activité économique. Pas besoin d'un gros capital pour autant, cela dépendait de l'activité envisagée.
J'ai donc arpenté pas mal de forums d'expatriation afin de trouver des associés branchés sur la même perspective. Pas un ! J'étais même prêt à prendre sous mon aile de vieil oiseau de mer déplumé un p'tit jeune qui, sans avoir de capital, partageait mes analyses et mes projets.
Mais il fallu se rendre à cette constatation : pour les français la règle était devenue "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs".
Aggravé par le fait que la métaphore zoologique de prendre les français pour des moutons ne tient pas, car ces bestioles apprécient d'aller dans les montagnes l'été alors que les français, telles des moules (Mytilus edulis) n'envisagent pas de quitter leur rocher même si celui-ci est mazouté.
Bon, comme moi j'ai de la suite dans les idées, je suis parti tout seul à 10.000 km du Titanic en train de sombrer et j'arrive à vivre comme un petit rentier.
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Effectivement il y a plusieurs type d'inflations. Quand ma mère, en 1971, a acheté un deux pièces à crédit, l'inflation était très forte, mais il y avait de la production, donc du travail, donc les salaires suivaient l'inflation. Si le patronat aurait refusé cette mesure de bon sens cela aurait produit des grèves pas tristes, car on n'était pas loin de mai 1968.
Donc, au début, les mensualités étaient lourdes, mais à la fin c'était comme un tout petit loyer.
Mais dans le contexte actuel de paupérisation d'un peuple de soumis et dans un pays qui ne produit plus rien (du temps de l'emprunt de ma mère il y avait encore une industrie, de voitures en particulier) l'inflation est compensée par rien et ils (les grands groupes financiers mondiaux) peuvent y aller à fond avec "des gens qui ne sont rien" comme le proclamait Macron.
C'est toute la différence entre le capitalisme keynésien et le capitalisme financier (que les imbéciles appellent libéralisme, car ils n'ont rien compris).
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« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Monseigneur Hélder Pessoa Câmara
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ce n'est pas souvent que ça m'arrive.
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Ce que je me suis dit il y a plus de 15 ans. Et depuis 12 je n'y vis plus. Ici, au Paraguay, mais c'est valable pour beaucoup de pays, il y a des conditions pour être résident, des formalités à accomplir et, au final, on se retrouve juste avec une carte de résident permanent, rien d'autre.
On doit tout se payer et c'est normal !
On appliquerait ces conditions en France, plus un seul africain ne voudrait y venir.
Or l'invasion continue inéluctablement. Elle est subventionnée, on réquisitionne pour eux des logements et pas des bidonvilles, dernier en date un château.
Ma mère, prioritaire pour avoir un HLM depuis 1948 n'a jamais eu la moindre proposition. Elle renouvelait sa demande tous les ans par LR-AR jusqu'en 1970 où elle a pu acheter un 2 pièces.
C'est le programme : détruire les français, leur économie, leurs finances, leurs boulots et jusqu'à leur territoire.
Mais ils ne se révoltent pas !
Au final ils ont ce qu'ils méritent...
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@nuagenebulos6587
Un pays globalement libre (on l'a vu pendant la coronafolie) avec une population à la fois d'une crasse intellectuelle gigantesque mais d'un grand tonus vital. Ce ne sont pas les paraguayens qui se laisseraient envahir pas les islamistes.
De plus y être résident, c'est des tas de formalités d'État-Civil pour, au final obtenir une carte qui permet de... résider.
Mais il y a plein d'avantages : outre la monnaie qui est stable (comparer le guarani du Paraguay et l'euro sur le site xe.com sera impitoyable), les taxes sont très légères (dont l'IVA qui est moitié moins qu'en France) et se mettre à son compte comme artisan ou commerçant ne nécessite aucune taxe autre que s'inscrire au RUC.
Les créneaux : la rénovation-construction de maisons individuelles tellement ici ils travaillent mal (n'ont pas compris qu'il faut une pente pour évacuer l'eau et ils ne savent pas faire un béton armé élémentaire, l'électricité, n'en parlons même pas).
Il y aurait donc un créneau auprès d'une classe moyenne qui en a marre d'un travail de m***. D'autant que travailler bien ou travailler mal n'est pas fondamentalement plus cher. Une fois un peu connu, on refuserait des chantiers.
Il y a aussi l'importation de produits usuels qu'ils ne connaissent pas : les colliers atlas, par exemple, pour fixer des tuyaux et câbles sur un mur. Ils plantent un clou et entortillent un fil de fer !
Tous les corps de métiers ne sont pas aussi nuls, heureusement ! Le secteur médical est très bon (je me suis fait implanter un pacemaker il y a 8 ans) bien qu'essentiellement concentré sur Asunción. Il n'y a pas la dinguerie des voitures électriques, des médicaments interdits (seuls les opiacés nécessitent une ordonnance) et on n'y manquera jamais d'électricité car le grand barrage d'Itaipu fournit tout le Paraguay en électricité ainsi que les provines voisines du Brésil et de l'Argentine.
Voilà pour l'approche économique de base.
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" Encore un siècle de journalisme , et tous les mots pueront "
Après avoir été un marxiste libertaire je deviens de plus en plus nietzschéen sur mes vieux jours.
" Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
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J'aime bien Guy de la Fortelle ! Il nous annonce toujours des choses horribles avec un sourire en coin.
Chaque fois que je lis les infos du jour je suis conforté de voir tout cela depuis 10.000 km.
Ce qui n'empêche nullement les benêts de me vilipender parce que "j'ai fui" (eh oui, dans une maison qui brûle ou un rafiot qui coule, on fuit quand c'est encore possible...).
Tout cela implique le racket de plus en plus fort des peuples imbéciles qui vivent encore dans cette Europe. Mais ceux-ci sont ratiboisés à tous les niveaux : chômage, hausse de tous les prix, pénuries, taxes perpétuellement en hausse.
Et si on imagine que tous ne sont pas des crétins finis et ont décanillé à temps, comme moi, avec leurs brouzoufs, je me demande qui vont-ils pouvoir encore racketter vu que les citrons sont déjà pressés ? En tout cas ce ne seront pas leurs chers migrants qui, eux, sont subventionnés.
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Tout est basé sur une imposture sémantique : ce n'est pas le genre qui pose problème mais l'idéologie attachée par la société au genre physique. Ce que les sociologues US appelle le "sexual role". Ce trait sociologique est véhiculé actuellement par la publicité, mais il n'est pas nouveau, toutes les sociétés patriarcales, pas nécessairement islamistes, ont inculqués dans le psychisme des jeunes mâles ce qu'ils devraient être socialement.
La version actuelle, essentiellement publicitaire, a depuis longtemps inculqué que l'homme doit être un super macho et la femme une super putain.
Ce social role est cassé de façon ricanante par bien des gays qui signifient alors au système "être de super machos passe encore, mais nul besoin avons nous de super putains".
Le statu quo était donc posé et l'idéologie était donc bloquée.
Mais ça ne suffisait pas, il fallait inculquer, dès le plus jeune âge, le dénigrement sinon la haine de soi.
Pas question de risquer un nouveau mai 1968 (qui ne fut pas uniquement français faut-il le rappeler), la gouvernance mondiale inventa le "genre" en lui déniant tout caractère biologique et donc irréversible.
Toute l'idéologie actuelle veut que celle-ci impacte le corps physique, non pas dans la cosmétique, mais dans l'organique.
Une variante du suicide qui prend une forme plus progressive.
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Sans le connaître j'étais sur les mêmes bases que Piero San Giorgio mais pas du tout sur les mêmes origines (moi j'étais un parisien ancien soixante-huitard libertaire).
Voyant la dégringolade inéluctable de la France, j'ai tenté, dans les forums immigration de regrouper des gens sur un projet commun. Je n'étais pas dogmatique, j'étais ouvert à toute proposition qui ne soit pas mystique.
Il était clair que cela ne pouvait se faire en France car, entre la gendarmerie et l'administration, aucune vie autonome n'était possible (je ne détaille pas). Toutefois il existe encore, dans ce vaste monde, des pays où une vie relativement libre est possible. Je m'amusais à penser que si on transférait toute la population du Paraguay en France, 80 % seraient sdf et sans ressources.
Mais ce fut impossible de rencontrer qui que ce soit sur un minimum de projet commun, des tartines de mal-être, des "robinsonnades" (l'expression est de Karl Marx) mais rien qui se veut un projet concret.
Bon, moi, comme j'ai de la suite dans les idées, je me suis délocalisé tout seul et je vis, pas trop pauvrement, mais sans gloire, comme un petit rentier.
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J'ai juste expliqué sur un autre forum que ma grosse toto quatquateuze diesel avait un entretien minime en 12 ans d'usage (outre les vidanges, j'ai juste eu à changer récemment les pompes hydrauliques de l'embrayage et j'ignorais complet que c'était devenu hydraulique). Et que je ne me voyais pas arpenter l'Amérique du Sud avec une voiture électrique déjà qu'au Chili ou en Argentine quand mon grand réservoir de 55 litres n'en est plus qu'à un quart il est temps de faire des mamours à la prochaine pompe.
Mais, bien que mon propos soit principalement technique les partisans de la chaise électrique, bien que reconnue supérieure à la chaine à porteurs m'ont agoni d'injures. Difficile de faire admettre à certains qu'ils se sont fait berner. Même choses avec les covidiots, me direz vous.
Effectivement on ne peut pas tout faire, surtout si c'est mobile, avec de l'électricité. Le charriot électrique Fenwick que je bichonnais dans mon dépôt, se rechargeait la nuit pour être pimpant le lendemain matin et il avait l'indéniable avantage de ne produire aucun gaz désagréable quand il arpentait les travées.
Mais on ne peut comparer que ce qui est comparable. On peut imaginer une voiture électrique qui n'irait qu'au supermarché à 15 km et qui se rechargerait la nuit. Mais ça serait un peu cher . D'autant que les dits supermarchés vont passer de plus en plus à la livraison à domicile y compris avec les produits frais. Juste une question de bonne logistique, pour cela. Et un petit fourgon qui fait la livraison des clients du secteur, ce n'est pas la ruine.
De même que je ne perdais plus mon temps à chercher des fringues dans les boutiques "désolé mais on n'a pas votre taille" et, avec un peu d'appréhension, j'ai commandé chez La Redoute et c'était parfait.
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Alllons, allons, la nature humaine n'est pas si mauvaise que ça ! Même la mienne 😂
Dans l'un de mes jeux préférés, Fallout 4, je suis milicien et je gère et défend, entres autres aventures, des colons qui s'installent dans des parcelles dans un monde post apocalyptique nucléaire. Et les ennemis ne manquent pas. Je dois gérer au mieux, leurs ressources, leur armement, etc.
Il y a toutes sortes de factions : des zombies appelés goules sauvages, des mercenaires plus ou moins bien organisés, des pillards, des mutants, etc.
Dans la vraie vie, même si ça serait moins folklorique, il faudrait retourner à ce mode de vie, quelque peu moyenâgeux, même avec les ustensiles de l'entreprise Kalashnikov.
Mais les français auraient-ils encore du tonus vital ?
Au vu de ce qui se passe dans certains "territoires perdus de la République" on peut en douter.
Paradoxalement, au Paraguay où je vis et où le niveau intellectuel et même technique est désastreux, le tonus vital, lui, est intact, une soumission de type Macron ou une invasion islamique serait inconcevable.
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Quand j'ai quitté définitivement la France il y a 12 ans, et c'était en préparation depuis 15, ce n'était pas le coronavirus l'épidémie, mais le coranovirus. Et je constate que mes pires prédictions se sont réalisées : malgré les pires attentats (Bataclan, Nice) et assassinats, l'islam continue sa progression en France en toute impunité, les politiques se couchant sur leur tapis à prière.
De toute façon le pli est pris et dans 20 ans il n'y aura plus la moindre culture française dans le Frankistan occidental.
Je voyais un reportage sur YouTube sur les enfants esclaves de Dakar. Sous la férule d'un maître musulman, ces gamins n'avaient que la contrainte d'apprendre le Coran et de mendier pour enrichir leur maître musulman. Et s'ils ne rapportaient pas assez ils étaient battus.
Alors que le Sénégal sous la colonisation française c'était les écoles, les hôpitaux, les routes, la voie ferrée avec Bamako, les instituts de recherches. Il n'en reste plus rien, la très belle ville de Dakar est devenue immonde et sale comme toutes les villes du tiers-monde.
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C'est fini les boutiques !
Et je ne parle pas de celles, techniques, où on achète des composants informatiques qu'on se fait livrer mais, même les vêtements. Perdre son temps dans les boutiques pour se faire dire "désolé mais on n'a pas votre taille" alors que la mienne, de taille, est standard.
J'ai donc un peu hésité, mais comme La Redoute, jurait qu'ils pouvaient reprendre si on n'était pas content de la forme ou de la taille, je me suis laissé tenté. Rien à redire, tout allait parfaitement et était de bonne qualité. Et je n'avais à aller nulle part.
Depuis je suis un fana de la VPC.
J'ajoute qu'il n'y a plus rien dans le Quartier Latin. Boulevard St Germain, tout comme la rue de Rivoli ce sont des boulevards fringues godasses. C'est bon pour de riches bonnes femmes oisives autocentrées mais pas pour des personnes normales.
Les supermarchés aussi vont s'y mettre. Les produits frais seront un peu plus difficile mais avec de la qualité et une bonne logistique ça devrait marcher. Finie la corvée des courses.
En plus de l'angoisse, à la sortie dans l'énorme parking : "Où j'ai mis ma bagnole ?". Pas original pour deux sous, j'avais acheté une Ford Focus gris métallisé. Et toutes les bagnoles qui étaient vendues en France étaient gris métallisé. Pas de choix ! J'ai tenté de demander au concessionnaire rose avec des étoiles vertes mais sans succès. Au moins, au Paraguay, j'ai pu acheter un pickup Isuzu rouge !
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"Je n’en citerai qu’un exemple : les grandes vertus des peuples allemands ont engendré plus de maux que l’oisiveté jamais n’a créé de vices. Nous avons vu, de nos yeux vu, le travail consciencieux, l’instruction la plus solide, la discipline et l’application les plus sérieuses, adaptés à d’épouvantables desseins.
Tant d’horreurs n’auraient pas été possibles sans tant de vertus. Il a fallu, sans doute, beaucoup de science pour tuer tant d’hommes, dissiper tant de biens, anéantir tant de villes en si peu de temps ; mais il a fallu non moins de qualités morales. Savoir et Devoir, vous êtes donc suspects ?"
(Paul Valéry, Variété)
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@philippecabourdin1082
Anecdote : Pause à Dakar et on décide, avec mon ami, d'aller le soir se trouver un petit restau. Soudain en face de moi un mec, passablement halluciné avec un couteau à la main. Et qui clame "Donne moi ton argent sinon je te tue au nom de Dieu !"
Bon, je ne sortais pas sans biscuit et j'avais, en holter, un poignard de l'armée japonaise. Je me disais juste : "Qu'est-ce qu'il nous expliquait notre maître de karaté sur les bagarres au couteau ? Ah oui la tenue du poignard dans un poing fermé".
Donc mise en main comme il faut et j'avance vers le cinglé qui me paraissait sérieusement drogué.
"Et moi je te tues au nom du diable !"
Il n'a pas insisté et s'est enfui. "Thank you Satan" (Léo Ferré)
Le lendemain matin je raconte notre anecdote à une secrétaire du BRGM.
"Mais il faut être fou pour sortir, la nuit, à Dakar"
"Non, que je lui répond, pas obligatoirement, mais ça aide..."
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Dans le 5e volume de ma série de S-F "Les trafiquants des étoiles", j'aborde le problème de l'IA a un niveau très évolué avec de super robots. Ces derniers ont des maîtres créateurs organiques dont le niveau de savoir et de conception robotique dépasse l'entendement des plus évolués des robots. Mais ces créateurs sont victimes d'une maladie dégénérative que, malgré tout leur savoir, qui n'est pas aussi fort en médecine qu'en robotique, ils n'arrivent pas à soigner. Ils disparaissent donc tous.
Or ces robots, peuvent, mais ne sont pas motivés pour être autonomes. Ils se définissent comme une civilisation de services, ils sont donc comme de super rônins, samouraïs dont le maître est mort alors que eux ne peuvent vivre, en tant que samouraïs, comme des personnes ordinaires.
Ils en sont donc à se demander s'ils ne doivent pas se faire seppuku, mais à la mode robotique. Mais une minorité les incite à perdurer, ne fut-ce qu'en effectifs réduits, afin de rencontrer une civilisation, digne de leurs créateurs, qui pourrait donc les remplacer.
Mais voilà qu'ils détectent, dans cet espace vide, un vaisseau d'explorateurs surgit de nulle part. Et si ceux-là pouvaient être eux, éléments d'une civilisation évoluée, pouvant remplacer leurs défunts maîtres et créateurs ?
Pour ceux que cela intéresserait voir https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD
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@michel.b5752
Le plus grand mal car, et c'est dans ma partie (toxicologie expérimentale), le mercure se concentre le long de la chaîne alimentaire.
Dans un lagon au Japon : Minamata, une usine rejetait un fifrelin de mercure dans ses déchets liquides. Mais, de l'avis à cette époque, on était loin d'une dose toxique.
Mais on ne connaissait pas la concentration dans la chaîne alimentaire de tous les métaux lourds dont le mercure. Or les thons que récupéraient les pêcheurs du cru, qui sont donc en fin de chaîne alimentaire, avait des doses très toxiques de mercure, avec des atteintes neurologiques. L'usine a reconnu sa responsabilité mais ignorait un tel processus.
Et la grande laminaire des côtes bretonnes, que j'ai étudiée en histochimie à Roscoff, peut concentrer jusqu'à un million de fois les métaux lourds ambiants. Ce qu'ignore les bobos de la "nourriture bio"
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L'enfermement familial est un phénomène sociologique assez récent. 60 ans tout au plus. En même temps - comme dirait Macron - mômes et ados ne doivent pas sortir du giron familial alors que celui-ci est très pauvre et se résume à la trivialité ménagère et à la contemplation de la télévision.
Tout questionnement est devenu obscène au sens étymologique "Tu verras ça à l'école !" dit la mère rabrouant sa fille, la relation avec d'autres est même interdit. Toute cette vacuité tourne autour de l'idole familiale : la télévision.
Essayez de papoter si vous êtes invité à manger dans une famille française. Vous ne pouvez aborder aucun sujet et vous voyez la personne louchant en permanence sur la télévision, située dans un coin de la pièce, et dont on a réduit le volume sonore, mais qu'on m'irait pas jusqu'à ce sacrilège : l'éteindre.
On a d'ailleurs la même chose avec les ados qui se retrouvent dehors. Mais eux ils emportent leur smartphone. Pourtant j'en ai eu un, mais juste un téléphone, car j'étais souvent en vadrouille donc injoignable.
« D’abord, nous devrions garder à l’esprit qu’une forme d’isolement social très dommageable est présente depuis ces dernières années. Allez à McDonald’s et regardez les groupes d’ados autour des tables en train de manger un burger, et vous verrez deux conversations en cours. Une discussion creuse entre eux, et une autre que chacun a sur son téléphone avec des individus ou amis à distance. Cela a réduit et isolé les gens d’une manière extraordinaire. Le principe de Thatcher — la négation de la société — s’est intensifié, le mauvais usage des réseaux sociaux a transformé les gens en des créatures très isolées, en particulier les jeunes. » (Noam Chomsky, Un entretien de Srećko Horva)
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Ah la Sainte Famille !
Mais elle s'est effondrée toute seule la famille !
"Familles, je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées ; possessions jalouses du bonheur." (André Gide).
Avant c'était un ensemble multiforme, tout au moins dans la classe populaire mêlant la hiérarchie génétique aux relations diverses et affinitaires.
Un enfant, dans ce type de famille, trouvait toujours quelqu'un pour l'écouter, le conseiller, en dehors de la filiation directe. On était même dans le trop plein de relations humaines.
Aujourd'hui la famille c'est quoi ? Elle est réduite à papa-maman, tout juste si les grands parents y ont une part, à condition qu'ils ne s'incrustent pas trop.
L'enfant, dans ce type de famille, navigue dans l'isolement, entre un père surmené et une mère qui ne sait dire à ses interrogations que "tu verras ça à l'école".
Dans ces micro familles modernes la télévision est omniprésente, c'est la nounou. On plante le bambin devant elle et on est "tranquille", il n'ira pas "jouer dehors", d'ailleurs un enfant moderne ne joue plus car il risque de "faire de mauvaises rencontres" (c'est à dire des personnes avec lesquelles il se sent des affinités, même s'ils sont en dehors de "la famille").
"Tu veux aller à la piscine, on t'en construira une", déclare le magnanime tyran familial. Alors que pour l'enfant, aller à la piscine (municipale) était aussi s'émanciper quelque peu de cette tyrannie domestique, de se faire des amis, etc.
Pas étonnant que cela donne cette génération de jeunes crétins asociaux et suicidaires.
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"La France c'est foutu !" me disait il y a 15 ans un français installé en Argentine mais qui, comme, moi, ne manque pas une info sur la dégringolade spectaculaire de ce pays, connectés, que nous sommes à Internet.
Et il n'y a rien à espérer du côté de la jeunesse.
Et, sur un Titanic qui coule, la seule solution est de s'en barrer au plus vite sur un radeau de sauvetage.
Les derniers fossiles vivants, comme moi, attachés à la culture française et qui n'ont personne à qui la transmettre, s'éteindront et leurs bibliothèques finiront à la broyeuse.
"Nous autres civilisations nous savons maintenant que nous sommes mortelles" avait écrit Paul Valéry en 1924.
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C'est toujours ce que j'ai ressenti et ce depuis longtemps, mais n'étudiant pas ce domaine, je le formulais pas aussi bien que Jean-Baptiste Noé, bien sûr.
Toutefois il y a un "truc" qui n'est jamais passé, c'est ces mamours franco allemands. Ma fréquentation des anciens FTP du 13e arrondissement de Paris, peut-être. Les "revanchards allemands" méritaient bien leur réputation car, dans les grenouillages de l'Allemagne en Europe, leurs alliés étaient bien les anciens alliés du Reich (oustachis, croates, turcs) et leurs ennemis leurs anciens ennemis (grecs, serbes). La guerre se faisant par la monnaie interposée. Et cette conne de France laissait tout aux allemands (technologie, direction d'Airbus, etc.)
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Toute cette période de coronafolie s'est retrouvée, si j'en juge par tous les commentaires de Youtube car, fort heureusement je ne vivais plus dans ce pays de dingues, dans une soumission incroyable.
Je me faisais insulter pour oser dire cette évidence que je connaissais depuis longtemps qu'on ne devait pas vacciner pendant une épidémie. Que tous les médicaments du groupe des antipaludéens empêchaient l'accrochage du virus sur les cellules.
Pour ces soumis hargneux et militants de la macronie c'était du charlatanisme, Didier Raoult en tête (malgré ses 340 publications scientifiques).
Cet épisode m'a fait comprendre que la France était un pays devenu délirant, où il n'y avait plus de discussion possible, le saint vaccin était aussi indiscutable que le sang du Christ dans le ciboire de l'Eucharistie, que ce n'était plus le mien, le pays de la raison, et que j'avais bien fait de m'en barrer il y a 12 ans.
Maintenant les mêmes hargneux vont nous dire que s'il y a du chômage en France c'est que les gens ne veulent pas travailler, etc.
Imbuvable ce pays à part son pinard (encore qu'il y en a de très bons où je vis qui viennent de Mendoza, Argentine et de Valle Central, Chili).
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En ce moment on veut nous vendre du Jésus. La marchandise est pourtant frelatée, mais, face à l'islamisme, la vieille droite veut nous vendre les vielles lunes du christianisme.
Ça manque sacrément d'imagination tout ça !
Les auteurs qui ne croyaient pas un mot sur les dieux qu'ils écrivaient, nous en ont inventé des bien plus novateurs, comme Sauron, chez Tolkien.
C'est, au final, une faillite de marketing : un produit, en fin de vie, ne se fera pas une nouvelle jeunesse malgré tous les moyens de la pub, il faut inventer autre chose, et du novateur.
Il y en a qui veulent nous relancer les OVNIS, mais là aussi c'est du réchauffé des années 1950-60 de la guerre froide. D'ailleurs la forme "soucoupe volante" est peu maniable et instable dans une atmosphère. Même les auteurs modernes de S-F que ce soit dans les livres ou dans les jeux, ne conçoivent pas du tout des vaisseaux spatiaux lenticulaires.
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Bon mes biquets, avoir fait une grosse manif, c'est bien, mais c'est complètement insuffisant.
Je fouille dans ma mémoire de boomer et, le 13 mai 1968, il y avait eu une manif de 1 million de personnes après la célèbre "nuit des barricades" du 10 mai. Du coup la Sorbonne, occupée par les flics avait été libérée.
Mais, me petits loulous en sucre comme dirait Nicolas, c'eut été insuffisant si ça s'était arrêté là. Or la jeune classe ouvrière (importante à cette époque car on fabriquait des choses en France) avait été très réceptive à l'assertion "perdre sa vie à la gagner" car la retraite ils s'en foutaient c'était le présent qui comptait.
Aussi quelques usines furent en grève et occupées et cela se répandit comme une traînée de poudre et je me souviens d'une affichette de cette époque, d'une naïveté juvénile, certes, mais qui était réconfortante :
"Le pouvoir avait ses universités et nous les avons prises
Le pouvoir avait ses usines et nous les avons prises
Le pouvoir avait ses rues et nous les avons prises
Le pouvoir n'a plus que le pouvoir et nous allons lui prendre"
Bien sûr l'époque n'est pas du tout la même et l'opposition au système est un leurre car la bataille est perdue d'avance, la soumission a été trop bien implantée depuis la petite enfance.
La seule chose que je vois possible est un replis survivaliste, non pas en France car cela est devenu impossible (on n'est plus dans les années 70 avec la Creuse, les Cévennes, l'Aude et l'Ariège de l'époque) car il faut aller plus loin, dans des pays encore libres et qui ne verraient pas d'un mauvais oeil des gens autonomes pouvant dynamiser, par l'exemple, leur propre population.
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La nécessité objective du travail humain dans une société véritablement moderne a complètement fondu avec la technologie.
Vous entrez dans une usine Toyota (ou Tesla), fini les petits ouvriers serviles des "Temps modernes" de Charlie Chaplin, mais d'étranges machines qui gesticulent dans tous les sens et qui vous assemblent en très peu de temps une voiture complète. Seuls quelques super techniciens humains, sur une tour de contrôle surveillent la bonne exécution de la chaîne de montage. De toute façon si une machine robotique détecte un problème, elle s'arrête et génère un rapport.
Mais les arriérés de la comprenette en sont restés à la malédiction biblique du travail : "Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". Donc pas de sueur, pas de pain !
À ceci près que même en créant toutes sortes de boulots inutiles de fonctionnaires, il ne peut plus y avoir assez de sueur à produire pour tout le monde.
Ces nostalgiques de l'esclavage salarié crient donc haro sur "les loisirs" car, haine de classe oblige, ils en sont eux, bien exemptés physiquement du travail, et gagnent leur vie en décriant, dans les médias, les réfractaires à l'anachronisme du travail.
En effet, d'où viennent les richesse de notre époque ? Des loisirs, plus précisément de libres activités hors du salariat.
Le meilleur exemple en est Internet.
En 1983 les militaires US ont commandé un nouveau réseau informatique aux universitaires car l'existant de l'époque (NetBEUI) était très mauvais. Ce réseau, en particulier devait "passer" en contournant un noeud de répartition s'il était détruit ou tout simplement HS. Ce protocole nouveau fut appelé TCP/IP.
Les militaires, tout contents, partirent avec leur nouveau réseau, mais les universitaires se dirent que cela serait bien pour communiquer entre universités (je rappelle qu'il n'y avais que le fax à l'époque). Dans leurs loisirs ils se mirent à bricoler ce nouveau réseau, y ajoutant des protocoles (HTTP, mailto, FPS) et toutes sortes d'utilitaires (navigateurs).
Et ce fut le réseau mondial Internet qui apparut, "bricolé", presqu'en totalité, par les loisirs d'informaticiens. Un système propriétaire UNIX, vendu très cher fut supplanté par un système gratuit, LINUX qui était le fruit, outre son fondateur, de milliers de contributeurs bénévoles, Microsoft vendit son Windows à très bas prix, etc.
Voilà l'exemple typique de ce que les loisirs produisent des richesses en même temps que le travail, à l'ancienne, a de moins en moins de raison d'être.
Une société véritablement moderne, même en restant capitaliste, devrait attribuer une "allocation d'existence" à toute personne qui, il est évident, ne passera pas sa vie sur sa chaise longue les doigts de pieds en éventail. Le rare travail classique existant encore serait un revenu, en plus, mais pas à la place.
Ainsi la créativité, source de richesses et de profits, serait propulsée par cette gratuité où on ne mourrait pas de faim pour autant.
Mais cela est inconcevable pour les tenants de l'esclavage par le travail, même s'ils sont confrontés à ce petit détail : le progrès technique fait son oeuvre et il y a de moins en moins besoin de prolétaires au sens du 19e et 20e siècle.
Je rends hommage ici au grand visionnaire de cette modernité, le docteur Paul Lafargue, gendre de Karl Marx, qui écrivit, en 1883, le pamphlet "Le droit à la paresse. Réfutation du droit au travail de 1848", dans la prison des politiques de Sainte Pélagie et que vous pourrez trouver en téléchargement sur mon site : http:\\wmarie.free.fr. En effet, en son temps, les filatures et les premiers tracteurs agricoles ouvraient la voie à la suppression du travail pénible ou inutile.
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Tout cela relève de l'imposture idéologique. C'est analogue à "l'urgence climatique", d'ailleurs, la folle idée que l'humanité pourrait changer le climat en bien comme en mal. Elle peut ravager la biosphère, c'est ce que l'on voit, mais le climat, c'est le cas de le dire, est au-dessus d'elle.
Mais venons-en au sujet : le genre.
Là aussi on fait une confusion entre le biologique et le social (psychologique, comportemental).
Si le premier est immuable et que ce serait folie de l'altérer (on a renoncé depuis longtemps à castrer les enfants pour qu'ils aient de belles voix une fois adulte, comme Farinelli) il en est tout autrement de celui, social et comportemental.
"Il faut être un homme !" ne s'adresse pas à la biologie, mais au comportemental. C'est donc psycho-sociologique. Il faut être un mâle dominateur, régnant en despote sur sa petite famille.
Mais ce modèle date un peu et ne fait pas vendre. Que révèle la publicité et la marchandise ? Rien de nouveau depuis Marx et son livre 1 du Capital qui commence ainsi :
"Une marchandise paraît au premier coup d'œil quelque chose de trivial et qui se comprend de soi-même. Notre analyse a montré au contraire que c'est une chose très complexe, pleine de subtilités métaphysiques et d'arguties théologiques. En tant que valeur d'usage, il n'y a en elle rien de mystérieux, soit qu'elle satisfasse les besoins de l'homme par ses propriétés, soit que ses propriétés soient produites par le travail humain. Il est évident que l'activité de l'homme transforme les matières fournies par la nature de façon à les rendre utiles. La forme du bois, par exemple, est changée, si l'on en fait une table. Néanmoins, la table reste bois, une chose ordinaire et qui tombe sous les sens. Mais dès qu'elle se présente comme marchandise, c'est une tout autre, affaire. A la fois saisissable et insaisissable, il ne lui suffit pas de poser ses pieds sur le sol ; elle se dresse, pour ainsi dire, sur sa tête de bois en face des autres marchandises et se livre à des caprices plus bizarres que si elle se mettait à danser."
Appliqué à notre sujet et sous la toute prégnance des médias et de la publicité, le mâle biologique doit être un supermacho et la femme une super putain. Et une union entre deux personnes de même sexe est inconcevable pour certains. On se souvient de l'hystérie anti mariage gay sans que l'on dise une seule fois, comme je l'ai demandé à maintes reprises, en quoi le mariage gay allait changer et priver de quoi que ce soit le mariage hétéro.
Pourtant on ne craint plus de faire étalage de la sexualité, "normale", bien sûr (pas un film actuel ou une série sans une scène de baise hétéro en longueur jusqu'à l'éjaculation finale).
Cette hypertrophie du "sexual role" a de quoi en dégoutter plus d'un sans qu'il soit homo pour autant. Tout changement à la norme, ne fut-ce que vestimentaire va, offusquer les machistes.
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@rosaliedubois8978
C'est le moment de placer mon copier coller en stock car j'en avais toujours marre de répéter les mêmes choses.
Le voici donc :
C'est vrai que ça manque d'un site sérieux et actualisé qui ferait la liste des pays "expatriables" avec les conditions d'entrée, la politique sanitaire, le coût de la vie, les secteurs d'activité, les statuts de travail, etc.
Pour ma part je suis au Paraguay depuis 12 ans.
Petite liste des caractéristiques :
- Résidence permanente obtenue par formalités d'État civil, de non condamnation, de visite médicale. Pas de conditions de revenus (retraite). Voir auprès du consulat si cela n'a pas changé.
- Accès à tous les secteurs professionnels en statut commerçant ou artisan en étant inscrit au RUC. Pratiquement aucun impôt pour les petits CA (donc marge nette = marge brute). Un fort marché potentiel auprès des classes moyennes dans la rénovation bâtiment et la construction de maisons de qualité tellement ici ils travaillent mal (ignorance crasse et ils ne veulent rien apprendre, même les jeunes).
- Au niveau humain, si l'on excepte Asunción et Ciudad del Este, ce sont des guaranis, sorte d'indiens dégénérés et roublards et non des hispaniques (comme en Argentine). Et ce n'est pas brillant ! Impossible de travailler avec eux. C'est l'erreur commune que font tous les gringos et beaucoup y ont laissé des plumes.
- Pas de politique sanitaire dictatoriale de type passe sanitaire. Accès aux soins (de qualité) sans conditions dans tous les "sanatorios" (cliniques). Tout est payant, mais bien moins cher qu'en France hors Sécu. Il existe aussi des assurances privées.
- Monnaie stable et échangeable suivant, en gros, le cours du dollar sans ses à coups spéculatifs.
- La ressource principale du Paraguay est l'agriculture (4e pays producteur de soja), le lait et l'élevage. Très peu d'industrie.
- Logement locatif difficile à trouver. Pas mal de maisons à vendre (mais de qualité variable). Construction libre sur tout terrain que vous avez acheté.
- Ressources : aucune pénurie. Électricité pour tout le Paraguay et les provinces voisines du Brésil et de l'Argentine par l'un des plus grand barrages du monde : Itaipu. Carburants venant du Brésil par camions. Prix du gasoil stable depuis 6 mois (8 300 PYG soit 1,12 EUR)
- Toutes les agglomérations (mêmes les petites) sont câblées fibre optique de très bonne qualité (15,18 EUR pour 120 MBPS mensuel)
- Pays nul au niveau touristique (que des vaches à voir car c'est une immense Normandie et que l'État n'a pas aménagé pour la promenade les petits coins nature) mais idéalement situé au centre de l'Amérique du Sud pour aller dans les pays voisins plus touristiques.
- Grandes routes en notable amélioration mais les petites sont souvent désastreuses. SUV recommandé et même 4x4 (j'ai un pick-up Isuzu D-Max de 12 ans d'âge et qui est toujours en parfait état).
Je n'ai rien oublié ?
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Tout solitaire - non choisi - que je suis, je ne suis pas assez souple des vertèbres pour me contempler le nombril. Ma curiosité se porte sur le monde extérieur : la biologie, la nature, l'astronomie (j'ai même écrit une série de 5 livres de science-fiction, un bide au niveau de la diffusion, mais j'étais content de les avoir écrits). Je me suis assemblé (en plus je suis informaticien) un super ordi avec un moniteur 4K de 27 pouces. Je navigue à fond sur Internet sans réduire ma voilure (j'ai une très bonne connexion fibre optique), j'engrange des blu-ray et des super jeux et des centaines d'ebooks.
Tiens, pas plus tard qu'aujourd'hui et sur YouTube j'ai vu un excellent documentaire sur le Tambora, volcan indonésien qui a fait la plus grande explosion dévastatrice de l'époque humaine en 1815 provoquant des famines jusqu'en Europe.
https://www.youtube.com/watch?v=-8_Fk8b1BsA
Donc, en étant un curieux universel, je ne m'ennuie jamais même si ma solitude est limitante.
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Sont mimis les français ! Ils sont envahis, mais ils bichonnent leurs envahisseurs : ils les logent, les nourrissent, les subventionnent, les soignent, les éduquent (pour ceux qui veulent), etc.
Tout ça sans que cela leur coûtent un rond.
Alors qu'un migrant légal, dans un autre pays, comme le mien (Paraguay), il y a des conditions financières (pas au Paraguay, mais il est implicite qu'il faut avoir de quoi vivre), des formalités d'État-Civil, des attestation de non condamnation (y compris Interpol), une visite médicale.
Une fois obtenue la résidence permanence, il faut tout se payer.
Mais la France, qui est un pays au bout du rouleau, n'a plus le moindre dynamisme vital, et veut être néantifiée par une invasion voulue.
Sont rigolos les militaires avec leur sous-marin atomique...
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Le problème posé est pourtant simple : toute l'idéologie véhiculée par les politiques et, surtout, la publicité et la "culture" cinématographique est basée sur le "sexual role" (le terme venant des psychologues américains je le laisse sous sa forme anglo-saxonne".
Quel est-il donc ? : simple : l'homme doit être un super macho et la femme une super putain.
Ceci est véhiculé essentiellement par la publicité et le cinéma (la série des James Bond étant un modèle du genre).
Ne se passe pas une vidéo sans qu'il y ait une scène de baise hétéro jusqu'à l'éjaculation finale. Aucun rapport avec l'histoire, mais vous n'y échapperez pas.
À une idéologie répond souvent une réponse non adaptée. Ainsi est venu cette "théorie du genre" où le biologique serait porteur de l'idéologie du sexual role. Ce qui est un non sens scientifique. Par exemple l'homosexualité déclarée "non naturelle" alors qu'elle est très commune chez les mammifères et surtout les oiseaux et que certaines bestioles peuvent changer de genre biologique, ce que ne peuvent pas faire les mammifère.
Par contre on peut être d'un sexe biologique mais ne pas se sentir investi du rôle correspondant par la société
Chez certaines civilisations, indiens du N et du S de l'Amérique, cela est parfaitement accepté, Ce sont les grandes religions monothéistes (christianisme, islam) qui en maintiennent le tabou.
On peut s'avancer aussi sur le terrain de la sociologie : c'est parce que les couples hétéros "modernes" ne tiennent plus ("l'amour dure 3 ans" a écrit Frédéric Beigbeder). Pourquoi ? Parce qu'ils s'obligent à vivre en promiscuité permanente. Autrefois, la tâche de reproduction effectuée les hommes vivaient entre eux et les femmes entre elles et ça se passait bien (Socrate a eu une femme Aspasie, et lui a même fait des socratillons).
Là on observe ce paradoxe : les couples hétéros s'efforcent de vivre comme des couples homos (ils font leur gymnastique ensemble et j'en ai vu souvent en randonnée avec des vélos sacoches sous le soleil, la femme, toute rouge, au bord de l'apoplexie). Dans beaucoup de domaines ils nient la différences des sexes.
Et le dictateur Poutine, pas plus que le dictateur Zelenski ne sont des modèles pour des sociétés libres et épanouies.
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@kamykro5427
C'est toi qui a une vision bien passéiste de ces centrales. Le 19e siècle, c'est déjà fini ! Les centrales à charbon, tout comme les cimenteries ne rejettent plus rien à l'extérieur. Il y a fort longtemps, notre groupe d'écologistes (scientifiques, je précise) nous avait fait visiter, avec son directeur, la centrale thermique de Montereau (au S de Fontainebleau). Centrale mixte qui fonctionnait au charbon (broyé) et au gaz. Tous les effluents étaient traités afin, qu'au final, il ne reste, à la sortie, que du gaz carbonique et de la vapeur d'eau.
Dans le même domaine d'amélioration, les cimenteries, finie la poudre grise qui se déposaient tout autour. J'en veux pour preuve la centrale de Port La Nouvelle (Languedoc) aucune poussière autour d'elle.
De même je ne critique pas les centrales nucléaires sur des rejets, ils sont, je l'espère, bien contrôlés, c'est le devenir de ces centrales en fin de vie qui est préoccupant car elles sont indémontables.
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C'est là que j'ai compris que la France c'était foutu ! Un peuple tombé dans la coronafolie et le masochisme du pseudo vaccin, ça ressemblait au peuple allemand acclamant le national-socialisme avec la haine pour ceux qui ne se soumettaient pas à cette nouvelle idéologie.
Les réfractaires à la piquouze étaient des untermenchen bon à être déportés dans des camps. Il y en eu d'ailleurs quelques uns appelés "camps de quarantaine".
Heureusement que j'avais quitté définitivement ce pays qui n'était plus le mien.
Ici, au Paraguay, il y avait certes des piquouzes mais rien d'obligatoire, et après un certain succès pour la première dose, les autres sont tombées rapidement en désuétude.
C'est au 4e trimestre 2020 que j'ai écrit mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" où j'ai imaginé une France, confinée à perpète, donc avec une certaine organisation de ce confinement afin qu'il soit quelque peu vivable sur la durée.
Bien sûr ce bouquin je n'ai même pas cherché à le faire éditer, car il faut faire partie d'une certaine nomenklatura, tout manuscrit venant d'une autre source est mis au panier par la secrétaire qui ouvre le courrier. Cela avait déjà été le cas d'une série de 5 volumes de science-fiction dont le tome 1, envoyé à des maisons d'éditions publiant de la SF, n'a même pas eu l'honneur d'une lecture. J'ai donc auto édité toute ma prose et l'ai mis en dépôt sur Amazon.
Je regarde donc le merdier français depuis 10.000 km et avec un certain amusement nietzschéen car on ne peu pas dire que les français, à ce point soumis, sont des victimes innocentes.
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"Familles je cous hais ! Portes closes, volets refermés" (André Gide)
En fait ce n'était pas si grave, même au temps de Gide, sauf peut-être dans les civilisations méditerranéennes ou famille est souvent synonyme de mafia.
Dans les familles de prolétaires c'était des espaces ouverts, on ne se coupait pas de ses amis pour autant, il y avait un ensemble informel de la famille et de toutes les relations qui gravitaient autour. Bien sûr il n'en était pas de même dans les familles bourgeoises où il fallait être de leur rang et de leur coterie.
Mais ça s'est gâté dans les années 60. La prostration devant la télévision, les logement plus exigus, mêmes les grands parents se retrouvaient exclus de fait. Bref la famille se réduisait au couple marié.
Je n'emploierais pas des noms d'oiseaux pour qualifier ce phénomène sociologique, mais les faits sont là. Du coup cette famille réduite à la promiscuité du couple va évoluer, selon la loi de la thermodynamique qui définit l'évolution d'un système isolé, vers un état d'entropie maximum. Du coup cette micro-famille ne dure pas ("L'amour dure 3 ans" a écrit Frédéric Beigbeder) et "l'solement à deux ne résiste pas à l'isolement de tous" (Raoul Vaneigem).
Non je dirais plutôt que "fonder une famille" c'est anachronique et voué à l'échec.
Il faut "inventer", ou plutôt retrouver, d'autres relations humaines.
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@nospamnc2075
Pas compliqué pourtant de chercher et de trouver.
"La transcriptase inverse ou rétrotranscriptase (en anglais reverse transcriptase ou encore RT) est une enzyme utilisée par les rétrovirus et les rétrotransposons qui transcrivent l'information génétique des virus ou rétrotransposons de l'ARN en ADN, qui peut s'intégrer dans le génome de l'hôte. " (Wikipedia)
La preuve en est qu'il y a, dans le génome humain, plein de ces bouts de codes d'origine virale qui se transmettent donc de génération et génération. Fort heureusement pour l'espèce humaine ils ne sont pas codants. Et, s'ils l'ont été, le groupe humain les hébergeant a donc du disparaître.
C'est pourquoi il est imprudent de faire joujou avec ces choses a fortiori pour un coronavirus qui ne peut, au maximum, que donner une mauvaise grippe. Mais qu'il est interdit de soigner par la foultitude de substances (groupe des antipaludéens comme l'HCQ, la méfloquine et autres et des anti parasitaires comme l'ivermectine). Substances qui ont la propriété d'empêcher les virus de s'accrocher aux cellules avec leurs petites pattes griffues (les protéines quaternaire spike). Et, si le mal est fait il faut utiliser des antibiotiques spéciaux poumons comme l'azithromycine (également interdit) et un, que je préfère pour les pneumonies : l'amoxiciline + acide clavulanique, le tout à 3 comprimés par jour et non 2 comme écrit dans la notice. Bien sûr ce n'est moi qui le dit mais des professeurs de pneumologie.
Et toc, mon petit troll, tu viens à nouveau de te ramasser.
Question (indiscrète ?) : tu es payé par Pfizer ou McKinsey pour ta soumission militante aux piquouses ?
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"Français ! Encore un effort si vous voulez être républicains !" (D.A.F. de Sade)
Il va falloir combattre sans relâche TOUS LES JOURS et ne pas céder un pouce de terrain.
Il va y avoir des blessures sérieuses, des yeux amochés et peut-être des morts, comme on l'a vu à Nantes à la fête (sic) de la Musique ou à Notre-Dame des Landes. Mais pour toute révolution, car il faut l'appeler par son nom, contre une dictature, il y a le prix du sang à payer.
Car « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
Ça sera le prix à payer si vous ne voulez pas finir esclaves (et encore, sous l'empire grec ou romain, certains esclaves avaient une bonne vie)
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@michel.b5752
Oh que oui je ne suis pas un puit de science et que je peux me tromper ! Mais ce n'est pas en restant dans la doxa, tout particulièrement dans l'ortho-doxa, qu'on progresse, il faut traquer le para-doxa. Tous les scientifiques restent limités s'ils n'ont pas recours, à un moment, à la philosophie. C'est le cas de Didier Raoult pour l'épidémiologie, d'Étienne Klein pour la physique quantique et de bien d'autres. Sans me comparer à ces grands, je suis sur leur construction intellectuelle car j'ai fait - aussi - un cursus en sciences humaines (sociologie et psychanalyse).
Nous vivons dans une époque ou la novlangue a cours dans tous les merdias. C'est le crimepensée (appelé improprement complotisme) contre ceux qui ne chantent pas les louanges des "vaccins" pour ne prendre que cet exemple.
Mais qu'est-ce que la novlangue ?
Une formulation psycho-sociologique de George Orwell, dans 1984, de la toute puissance du langage en tant qu'il est facteur de soumission mieux que les LBD. Conception proto lacanienne.
Explication en forme de cours sur la novlangue :
https://www.youtube.com/watch?v=bxuWO71hrkE&t=18s
"Lecteur paisible et bucolique,
Sobre et naïf homme de bien,
Jette ce livre saturnien,
Orgiaque et mélancolique."
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Ne pouvant être un salarié classique, de type fonctionnaire, embauché à 18 ans et passant toute sa vie dans le même boulot, je ne risquais pas de m'illusionner avec une retraite.
Le plus fort c'est que j'avais un voisin de mon âge dans le 13 e arrondissement qui était entré fonctionnaire au ministère de l'Éduc Nat. Et bien il y a passé toute sa vie. Pourtant on n'a qu'une vie.
On m'aurait dit tu vas être fonctionnaire toute ta vie à partir de 18 ans, je me serais tiré une balle dans la tête pour abréger la souffrance.
Certes finir sdf et dans le caniveau n'est pas une fin de vie bien réjouissante non plus.
Donc j'ai fait, outre les boulots qu'on pouvait trouver, de la rénovation bâtiment, les 3/4 au noir ce qui a été très bénéfique pour mes placements.
Idem quand j'ai hérité du pavillon de ma mère. 3 mois de travaux et il avait gagné le tiers de sa valeur de départ.
C'est comme ça, mes p'tits loulous que vous pouvez faire du fric si les combines à Warren Buffet, ce n'est pas votre truc et que vous ne sauriez qu'y faire.
Toutefois j'aurais pu continuer dans la même veine au Paraguay tellement les locaux travaillent mal.
Mais à 65 ans je ne pouvais faire ça tout seul, j'ai donc cherché des acolytes dans le même état d'esprit, mais personne ! Un pays de fonctionnaires, je vous dit.
Bon j'ai placé mes picaillons à la banque. â défaut de faire des petits, au moins ne perdent-ils pas de valeur à 8-10 % d'intérêt net.
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Creutzfeld-Jacob et les maladies à prions, prophétisées par le professeur Montagnier peuvent s'expliquer à mon (petit) niveau de biochimiste.
Qu'est-ce qu'un prion (tous que Dieu nous veuille absoudre 🤡) ? C'est une protéine complexe effondrée, un peu comme une étoile qui devient une naine (blanche, rouge ou noire, il y en a pour toutes les races 🤡) avec une pesanteur effroyable en surface.
Comment une protéine peut-elle s'effondrer ?
C'est une molécule complexe, depuis la forme primaire (la kératine des cheveux), secondaire et tertiaire (et j'ajouterais quaternaire avec la protéine spike qui est un composant de plusieurs protéines tertiaires, d'où sa facilité de mutation).
Ce qui maintient sa structure c'est un haubanage interne qu'on appelle "liaisons hydrogène", mais ces liaisons chimiques n'ont pas la "solidité" des liaisons covalentes.
Si ce haubanage claque, la protéine s'effondre et donne un composant très toxique s'il est dans le système nerveux : le prion, qui donne alors une dégénérescence cérébrale fatale.
Ce sont des conditions métaboliques particulières qui effondrent ces protéines. La maladie de la vache folle fut induite par des protéines animales, ajoutée à l'alimentation des bovins. Ces farines animales n'avaient rien de toxique en soi et provenaient de déchets d'abattoir d'animaux approuvés pour la consommation humaine.
L'hypothèse retenue est que ces protéines animales ne convenaient pas au métabolisme de l'alimentation herbivore et induisait donc cet effondrement toxique.
On peut supposer la même chose de la protéine spike générée en masse par ces thérapies géniques à ARNm.
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Faut être un bourgeois sûr de ses revenus comme Hervé Juvin pour faire du "localisme" en France.
Pour ma part j'ai enchaîné les petits boulots où, passé 40 ans, j'étais "trop vieux" pour être embauchable, en même temps que déferlaient les envahisseurs islamistes. Je finis par être jeté statutairement du RMI (pas plus de 60 ans) et obtenir une pré-retraite de 75 EUR. En même temps qu'un immigré illégal reconverti en demandeur d'asile touchait 920 EUR/mois plus tous les à cotés apportés par les assoces en tout genre. Mais moi je n'intéressais personne, aucun service social ne se demandait comment je pouvais vivre avec 75 EUR/mois.
Par chance j'héritais du pavillon de ma mère ce qui, à sa revente, me rapporta un confortable petit tas de fric que j'ai mis, avec ma personne, dans un pays encore libre il y a 11 ans.
Donc je reste culturellement français, mais ça s'arrête là. La France, et ce qu'elle est devenue, n'est vraiment plus mon pays. Si les français se complaisent dans une dictature à prétexte sanitaire c'est leur problème. Où je vis (Paraguay) rien de tout ça et le masque obligatoire pour entrer dans un lieu public (supermarché, etc.) ne l'est plus depuis un mois. Il n'y a aucune pénurie, le gasoil est moitié moins cher qu'en France et les voitures ne sont pas prêtes à devenir électriques.
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