Comments by "" (@williammarie2479) on "Marc Touati" channel.

@percolator-d7y Qui n'a pas respecté les accords de Minsk ?
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Ah bon ! Ça va changer quoi en 2022 ? Si Macron est trop grillé les merdias propulseront un autre du même genre. J'espère que vous ne vous faites pas d'illusion avec Marine Le Pen qui fait son beurre, comme les autres, dans l'Union Européenne. Vous l'avez entendu dire quelque chose de sensé depuis un an ?
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Simple ! Il suffit de virer les chômeurs de Popol Em'pouah.
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Ils faudrait mettre ces Mozart au violon :face-blue-smiling:
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Au Paraguay où je vis depuis 13 ans la monnaie est stable car basée sur un fond d'agriculture et d'élevage. Donc des valeurs sures (et de qualité). Donc rien à voir avec nos voisins argentins qui ne font rien d'utile et de profitable de leur grand pays (mais l'huile de tournesol provient bien de chez eux). La meilleure preuve est que mon CDA (comptes à terme sur 2 ans) est passé de 7,5 % à 8,5 %. Ce qui signifie que les banques peuvent prêter sans difficulté avec intérêts. Ça va Monsieur Marc, je ne raconte pas de bêtises ? C'est que je suis un petit biologiste, pas un économiste.
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On ne peut pas raconter de sottises à Monsieur Marc. J'aimerais bien le voir en confrontation avec notre Mozart de la finance qui voulait, à lui tout seul, plier l'économie russe.
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MLP est une européiste ! Et a-t-elle eu à dire quelques chose contre la coronafolie depuis un an ? Rien !
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Les courbes du chômage c'est bidon ! Il faut voir l'évolution du nombre de postes salariés. Et, pour cela, on a l'URSSAF qui donne des chiffres très précis à la fois sur le nombre et sur la rémunération moyenne par catégorie Un peu plus dur pour les artisans mais ils ont leur caisse de santé et de retraite on peut aussi savoir.
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Belle formule !
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Au travail ! Ouarf ! Passé 40 ans je n'étais embauchable nulle part. Pourtant je suis biologiste-biochimiste niveau 3e cycle et j'étais ancien gérant d'une SARL de microinformatique. "La France vous l'aimez ou vous la quittez !". Juste propos ! Je ne l'aime plus et je l'ai quittée depuis 10 ans. Et ce n'est pas ce que j'en vois maintenant qui m'y fera revenir.
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Monsieur Marc me conforte que j'ai eu raison de me barrer de la France il y a 13 ans. Et dans un pays où la monnaie est solide et dont les comptes à terme sur 2 ans rapportent 8,5 %
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@calista7731 Très au courant même avec Klaus Swab au forum de Davos.
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Je me demande qu'elle est le coût de cette immigration intouchable et en augmentation permanente. Car le seul "travail" qu'ils font, c'est entre eux avec des trafics divers où ils ne risquent pas de payer la TVA. Ils dégradent tout où ils vivent et ça coûte des millions. Les fameux "mineurs isolés" qui ne sont ni mineurs et ni isolés coûtent une fortune à entretenir et se gardent bien de travailler en dehors de leur économie fermée et illégale.
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@stephaner3016 J'ai été gérant de ma SARL de microinformatique pendant 2 ans entre 1984 et 1986, mais j'ai vite compris et l'ai dissoute avant de boire le bouillon. Ici, au Paraguay, on peut se mettre à son compte comme commerçant ou artisan, ça ne coûte rien donc marge brute = marge nette.
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@chris77-z8e Pour vivre en France il faut, à la fois, être très riche et très soumis mais... généralement ça ne va pas ensemble. Pour comparer avec le pays où je vis (Paraguay) il est possible de vivre pauvrement sans que ça soit la dèche et la zone complète. Il faut - quand même - pouvoir acheter un terrain. Sauf lieux spéciaux ce n'est pas cher. Et sur ce terrain vous pouvez y construire la plus infâme des baraques et vous y aurez même l'électricité même si votre installation est suicidaire. Seul le Chili demande l'installation d'une fosse septique. Mesure de bon sens et qui n'est pas chère. En France il est INTERFDIT de vivre pauvrement (loi LOOPSI 2 sur l'habitat précaire). C'est la rue mais PAS un bidonville. Même des fonctionnaires deviennent zonards ! Une brave dame mutée à Paris ne pouvait pas louer un studio, trop cher, et dormait dans sa voiture.
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Mais cher Monsieur Touati que peut faire un français de base autre que de se barrer de ce pays, avec ses économies, car il faut en avoir, et aller vivre ailleurs. La France ne permet pas d'être pauvre. Au pays où je vis, le Paraguay, 80 % de la population est pauvre et vit chichement et sans avoir le sens de l'astuce qui permettrait de vivre mieux. Mais au moins ils vivent. En France, en étant à la rue...
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« En quelque soir, par exemple, que se trouve le touriste naïf, retiré de nos horreurs économiques... » Arthur Rimbaud dans les Illuminations, intitulé « Soir historique ». Cette expression, "L'horreur économique", fut reprise par Viviane Forrester, grande dame du Femina, pour la paupérisation qui commençait en son temps en France et qui n'avait jamais connu cela depuis la Libération. On peut même parler d'une horreur sans fin que nous montre Marc Touati avec ses beaux, et explicites, graphiques. Mais la question sociologique est : "Y a-t-il des victimes innocentes ?" La soumission perpétuelle, à la paupérisation croissante, à l'invasion islamiste et à la coronafolie des piquouzes (dangereuses) et des confinements, ne donne pas une bonne impression du dynamisme vital des français. Car "nous autres civilisations savons maintenant que nous sommes mortelles" écrivait en 1924 Paul Valéry en commençant son premier "Variété"
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Ce que j'ai fait il y a 13 ans. La meilleure chose que j'ai faite dans ma vie. Mais j'avais déjà un passé de grand voyageur et, chaque fois que je revenais, la situation de la France et aussi la mienne dégringolait. Il était temps de quitter le Titanic. Car on ne caresse pas un iceberg à rebrousse glaçons.
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Juste le sage propos de Gandalf le gris dans la Moria : "fuyez ! Pauvres fous".
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Merci Monsieur Marc Touati ! Toutes vos explications sont claires car beaucoup de vos collègues noient le poisson dans des digressions absconses. Pour en revenir à l'épidémie et son coût, il faut rappeler la détestation officielle de tous les médicaments pas chers, éprouvés et dont on connait depuis longtemps tous les effets secondaires. C'est donc une volonté délibérée de la clique à Macron de balancer du fric aux trusts pharmaceutiques. Pas seulement lui, bien sûr, car il est pieds et poings liés dans cette Europe qui a payé 1 milliard d'euro de remdésivir, inefficace, néphrotoxique, et produisant des variants et ce depuis ebola nous apprend le professeur Raoult. Un vaccin, je le rappelle, ne se justifie que contre une maladie grave à mortelle (le coronavirus n'a qu'une mortalité de 0,05 %) et dont on n'a pas le traitement. Le cas pour la fièvre jaune et le tétanos mais pour ce virus on en a pléthore de médicaments et des pas chers. Des vaccins dont les prix sont tenus secrets, les effets secondaires aussi (une chose est certaine : les labos se dispensent de toute réclamation sur les effets secondaires). Il y a donc eu, dès le départ, une volonté des politiques de ne pas soigner les gens et leur donner des mauvais substituts "qui coûtent un pognon de dingue" comme n'a pas dit Macron à ce sujet son expression d'origine concernait les retraites. La situation économique de la France n'était déjà pas bien brillante avant. Mais, il y a 10 ans c'était le coranovirus qui faisait des dégâts financiers et pas seulement. Maintenant ça va être l'enfer ! Outre que le gasoil coûte le double que chez moi (au Paraguay, où il vient par camions depuis le Brésil), vous allez avoir un super racket de gendarmerie chaque fois que vous sortirez vos quatre roues. Je me demande combien à rapporté le racket piétons des derniers confinements. Je vois une évolution à la libanaise : les autochtones ayant pu garder un minimum de capital fuyant ce pays qui n'a pas d'avenir. Comme je l'ai fait il y a 10 ans. Il ne faut pas compter sur une révolte salutaire des français pour se sortir de cette situation. La jeunesse est complètement abrutie et accepte toutes les soumissions (= islam, en arabe) et je ne parle pas des adultes qui en redemandent et sont près à dénoncer leur voisin s'il ne se soumet pas. La seule chose que j'ai pu faire pour aider, un peu, moralement, les français ça a été d'écrire un roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel". Se trouve en ebook et broché sur Amazon : https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD La fin du bouquin se conclue sur une révolution salutaire et une réappropriation de la France par les français. Car je n'aime pas les fins tristes. Mais je ne crois pas du tout à cela dans la vraie vie. Mais les écrivains ne sont-ils pas tous des menteurs ? Encore pire, même, que les économistes...
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"Comment on va s'en sortir "?" Mais cher Monsieur Marc, avec un billet d'avion Emporte-moi, wagon ! enlève-moi, frégate ! Loin ! loin ! ici la boue est faite de nos pleurs ! - Est-il vrai que parfois le triste coeur d'Agathe Dise : Loin des remords, des crimes, des douleurs, Emporte-moi, wagon, enlève-moi, frégate ? Baudelaire Moesta et errabunda
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@RomainShaltan-immobilier Exact ! Le temps que je liquide mes avoirs, que je vende le pavillon hérité de ma mère, que je me trouve un pays vivable (j'ai retenu le Paraguay) et que je remplisse mon container de 20 pieds (en franchise de douane) et, en 2011, bye, bye, Francia.
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@TomSand29046 Exact ! Né en 1947 et ayant vécu ma jeunesse à Paris 13e on était pauvres mais pas dans la misère.
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@ericlehenaff2572 La meilleure "technique de survie" est de se barrer de ce Titanic qui coule. "C'est loin l'Amérique ?" "Tais-toi et rame !"
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Très content des explications de Marc Touati ! Je ne suis pas économiste, je n'en ai que de vagues notions, mais quand même, dans mon bouquin qui est un roman dystopique orwellien "2084 ou le confinement perpétuel", je me suis permis, petit biologiste-biochimiste, à m'avancer sur la planche savonneuse de l'économie. Avec deux concepts de base : 1. la chrématistique (définie par Aristote) qui caractérise l'argent (monnaie fiduciaire) qui n'est pas utilisé dans un achat. C'est tout simplement de l'épargne si la personne n'a rien à acheter sur le moment. Aristote alors déclare cela de la "bonne chrématistique". Mais il y a aussi la mauvaise, la spéculation sur la monnaie (ou sous forme d'actions) devenue une fin en soit, découplée complètement du commerce et de ses valeurs. 2. le capitalisme financier (que d'aucun appellent "libéralisme", alors que ce n'est pas ça du tout, même précédé "d'ultra"). Cela s'est produit quand les 100 premières sociétés financières ont eu un chiffre d'affaire 1000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles (Bernard Maris, manuel d'anti-économie, tome 1). Cela changeait tout ! "Les changements quantitatifs entrainaient des changement qualitatifs" (Lénine). C'était la fin du capitalisme keynésien, (ou fordiste) où le travailleur est aussi un consommateur. Rappelez-vous les années 70 et les démantèlements/délocalisations des industries françaises. Il y en a eu des manifs des gens qui se retrouvaient sur le carreau, avec la même réponse de l'État : la répression policière. Maurice Allais, prix Nobel d'économie, avait sorti un gros bouquin : "La mondialisation, la suppression des emplois et de la croissance, l'évidence empirique". Donc tout cela se passait mal, la pauvreté explosait avec le chômage, la pyramide de Ponzi des retraites par répartition s'effondrait. Et le nouveau président issu des médias et des financiers déclarait que "ceux qui ne sont rien" "coûtent un pognon de dingue". Cela se passait mal fin 2019 ! Tous les corps de métiers étaient remonté contre ce régime. Et puis, miraculeusement, le virus couronné est apparu, donnant le prétexte de boucler tout le monde... Et on continue en jouant les prolongations... PS : au sujet de mon bouquin, vous le trouverez en ebook et broché ici : https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD.
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Ne faites pas l'erreur commune de confondre libéralisme et capitalisme financier. C'est ce dernier qui veut régner en maître sur la planète. Et c'est la mort du capitalisme keynésien (ou fordiste) où le travailleur était aussi un consommateur. On n'a pas attendu le virus couronné pour ça. Dès les années 70 la France a été un chantier de démolition de ses entreprises. Délocalisées ou liquidées. Les français jetés au chômage n'avaient plus que leurs yeux pour pleurer sous les gaz lacrymogènes de la répression policière de l'époque.
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@stephaner3016 Le Costa-Rica n'a pas bonne réputation. J'ai entendu du bien du Panama. Ça serait à voir.
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@stephaner3016 Le Costa-Rica a eu une bonne réputation il y a une vingtaine d'années, mais ce n'est plus le cas actuellement. Ce n'est pas un avis perso, je n'y ai jamais mis les pieds (ni les roues, ni la quille). Ce sont des témoignages. Le Cabo Verde avait aussi une bonne réputation, à l'époque, que j'ai connue, de Cesaria Evora, mais depuis quelque temps c'est devenu un coupe gorge, surtout pour les navigateurs attaqués la nuit. Pas de jaloux ! La France "orange mécanique" n'est pas bien réputée non plus... Au Paraguay ils ont - enfin - compris que les gringos n'ont pas d'argent sur eux, tout est à la banque et ils payent avec une carte VISA. Par contre ils sont armés (mon 9 mm dort sous mon oreiller). Ils se massacrent entre eux car les paraguayens stockent leur argent chez eux.
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@Wintermute95 Un chef de labo met sa signature sur un article même s'il n'y a pas travaillé personnellement. Cela signifie qu'il cautionne, par sa notoriété, les travaux de gens moins connus que lui. Donc avec tous les gens de l'IHU Méditerranée qui publient cela n'a rien d'étonnant. C'est un peu féodal mais c'est comme ça que ça marche dans la recherche. J'en parle en connaissance de cause car j'ai travaillé pas mal d'années dans ce milieu. Et j'ajoute que les techniciens dont j'étais ne sont jamais mentionnés dans les articles même s'ils font le même boulot qu'un chercheur. C'est un milieu très féodal : il y a les nobles (même petits), les chercheurs et les ignobles (au sens étymologique), les techniciens. D'ailleurs on est lié physiquement à son chef de labo, changer de labo l'histoire de voir autre chose, même dans le même établissement scientifique, est inconcevable.
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Le futur, AMHA, consistera à quitter le Titanic-France au plus vite.
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J'ai eu un coup de bol extraordinaire j'avais acheté en France un gros paquet de dollars car, au Paraguay où je m'installais ma camioneta quatquateuze Isuzu D-Max devait être payée en dollars, au plus bas taux avec l'euro comme il n'en avait jamais eu, ni avant ni après. Marc doit avoir ça dans ses statistiques c'était en septembre 2011
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Il n'y a pas de mystère ! Le capitalisme keynésien a abdiqué devant la toute puissance du capitalisme financier dans les années 70, on ne produisait plus rien en France les usines étant supprimées, délocalisés et les travailleurs qualifiés au chômage. Toute puissance ai-je dis car Bernard Maris dans son manuel d'anti-économie constatait que les 100 premières sociétés financières avaient un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles. Et qu'est-ce que cela doit être maintenant... Donc sur quoi peut bien être basé l'euro actuellement ? Sur du koikilenkout ? Et on ne parle pas des stupidités européennes contre la Russie qui arrangent bien le dollar. Au Paraguay où je vis tout ce qui est importé se paye en dollars même si la monnaie locale est convertible. En octobre 2011 le dollar fut anormalement faible pendant une courte période par rapport à l'euro. Ça tombait bien car je devais acheter un pickup Isuzu D-Max. J'achetais donc, en France 40.000 USD (la meilleure officine de change s'appelle "Change et collection" à Paris). Car tout se paye en espèces au Paraguay. Heureusement qu'ils ont des machines à compter les billets.
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Monsieur Marc ne fait pas du baratin, et les chiffres sont impitoyables. Je ne peux que recommander à mes compatriotes de se trouver un autre terrain de jeu que la France. Pour ma part ça fait 13 ans que je vis au Paraguay et c'est très vivable. Et c'est basé sur une solide économie agricole de qualité.
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Mais, M'sieur Touati, c'est un fait indéniable : la France ne fabrique plus rien à partir de la moitié des années 70. Et l'industrie automobile ne faisait que de l'assemblage de pièces fabriquées ailleurs et bien qu'accros à leur téloche, plus une de ces étranges lucarnes n'était fabriquée en France. D'ailleurs le monstre Thomson était l'archétype de ce que les profs d'économie étatsuniens appelait "grosse entreprise bureaucratique à la française". Et qui a été incapable aussi de fabriquer les PC qui démarraient en flèche vu que c'étaient des brevets ouverts (donc pas comme les Apple). La fin de l'industrie était alors programmée. J'ai déjà expliqué le passage du capitalisme industriel au capitalisme financier que les imbéciles appellent "libéralisme" et même précédé d'ultra pour en rajouter une couche. Je ne vais pas revenir dessus, ni en faire un livre car 1) ma spécialité est la science-fiction et la dystopie et 2) je ne serais pas édité. Donc ça va être une future époque de misère à tous les niveaux d'autant plus irrémédiable que la soumission y est totale (et même pire dans la jeune génération). Vous pouvez me surnommer Cassandre. Vae victis !
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@laurenttrade5983 Mais qui va t'acheter tes bitcoins au prix délirant qui est annoncé ? Je te rappelle qu'une valeur est fixée quand il y a eu transaction, autrement dit une vente entre un client et un vendeur. Une valeur fixée dans l'absolu sans référence aucune à une économie ne vaut rien.
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Cher Monsieur Touati, il n'y a plus rien à faire. Cette révolte économique contre les destructions-délocalisations auraient dû être menée dans les années 70. Maintenant... Les français sont devenus des zombies, ils acceptent tout, même de devoir crever avec les piquouzes transgéniques. D'ailleurs entre l'état de zombie et celui de la mort, il n'y a pas de grande différence. Les zombies authentiques, dans la pratique vaudou, ont leur cerveau irrémédiablement endommagé par des neurotoxiques. En France c'est par les merdias que cette dégénérescence irréversible fut acquise. En particulier par la télévision omniprésente avant le stade du langage. Et ce smartphone qu'ils ont collé en permanence à la main gauche les entretient dans cet état.
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On l'était déjà ethniquement on le sera économiquement.
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Il vaut mieux vivre dans un pays du MercoSur, on a de la bonne viande, du bon lait et à un bon prix. Mon cas au Paraguay. Ceci dit il y a des activités à pourvoir. Certes il faut un capital, mais pas énorme, et surtout de la débrouillardise et un esprit un peu collectif autre que l'actuel "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs".
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A l'époque de Maastricht J-M Le Pen l'avait résumé en 3 mots Europe = immigration, fiscalisme, chômage. La suite lui a donné raison.
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@jean-francoishejl8368 Il est difficile d'ouvrir un compte bancaire si on n'est pas résident permanent dans le pays. Inversement ma banque française voudrait me virer car je ne réside plus en France. Elle m'a privée de ma carte bancaire et je dois faire des "transferts hors zone SEPA". J'ai bien demandé à la caisse de retraite d'envoyer mes picaillons (100,75 EUR/mensuel) sur ma banque paraguayenne mais ils font la sourde oreille. La France, quoi... Car j'imagine qu'un centenaire algérien n'a pas de souci pour recevoir sa retraite dans son pays. Et moi je dois envoyer tous les ans une "attestation d'existence," validée par l'ambassade de France.
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@franco912 Moi aussi !
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