Comments by "" (@williammarie2479) on "LCI"
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Des boulots à la con, j'en ai bien connu ! Outre qu'ils étaient mal payés fallait voir l'ambiance ! Ce n'était pas du capitalisme (Qu'est-ce que vous allez rapporter par rapport à votre salaire ?) mais de la féodalité (Quel pouvoir vais-je avoir sur votre vie ?)
J'ai ainsi connu beaucoup de boîtes où il ne fallait rien suggérer pour améliorer l'entreprise, c'était mal vu ! L'intelligence n'est pas recherché par les employeurs, juste la soumission.
D'ailleurs 90% des boîtes françaises étaient en voie de délabrement et de dépôt de bilan quand je travaillais encore.
De plus il faut être un p'tit jeune soumis et malléable pour être embauché, passé 40 ans, quoiqu'on ait accumulé comme compétences on ne peut être que dérangeant. Outre qu'ils sont légers au niveau professionnel, ils sont incapables de discuter avec un client. Ils sont autocentrés sur leur petite personne et donc ne peuvent de se pencher sur les problèmes du client.
Beaucoup matriarcat aussi. Les cocottes du patron de l'étage bien chauffé méprisent la population mâle des techniciens et des magasiniers du RdC pas chauffé. Observé à maintes reprises...
D'ailleurs il faut être une femme pour travailler dans un bureau que ce soit en traitement de texte ou en comptabilité. D'ailleurs on demande toujours une secrétaire, une comptable, un mec n'a aucune chance ou alors il faudrait qu'il se travestisse (mais je crains que, pour ma part, je sois aussi désastreux que Gérard Depardieu dans "Tenue de soirée"). Dans les pays hispaniques (Espagne et Amérique du Sud) il y a autant d'hommes que de femmes dans les bureaux ou les banques.
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Au temps lointain où j'étais encore en France, je discutais avec un jeune informaticien de bon niveau. Pas un job possible dans tout le grand Toulouse (la 4e ville de France, je rappelle). D'ailleurs c'est le règne du népotisme pour se faire embaucher.
Mais il avait trouvé un job, moyennement payé, en région parisienne. Il y était donc parti.
Mais, il étais revenu penaud. "Quand j'avais payé mon loyer, mes transports et les frais divers, il ne me restait même pas le RMI et j'étais crevé. C'était mieux pour moi de vivre dans le pavillon de mes parents où j'avais une chambre confortable et de toucher le RMI sans rien faire".
J'entends d'avance les figaronautes égarés sur ce forum hurler après ceux qui ne veulent pas vivre comme des esclaves.
D'ailleurs beaucoup d'esclaves, dans l'Antiquité, avaient plutôt la bonne vie, tout au moins en Grèce quand on lit les propos de Platon. Certes ils n'avaient aucun droit politique, mais ça ferait rire en France de les plaindre à ce sujet car il y a eu 56,31 % d'abstention aux dernières législatives (et on ne compte pas les non inscrits).
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Pour Darmanin, mon biquet adoré :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Monseigneur Hélder Pessoa Câmara
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en.
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À propos de Noam Chomsky 2 citations :
« Tout gouvernement a besoin d’effrayer sa population et une façon de le faire est d’envelopper son fonctionnement de mystère. C’est la manière traditionnelle de couvrir et de protéger le pouvoir : on le rend mystérieux et secret, au-dessus de la personne ordinaire. Sinon, pourquoi les gens l’accepteraient-ils ? » (Noam Chomsky, Comprendre le pouvoir : Tome 1)
« On avait parfaitement compris, longtemps avant Georges Orwell, qu’il fallait réprimer la mémoire. Et pas seulement la mémoire, mais aussi la conscience de ce qui se passe sous nos yeux, car, si la population comprend ce qu’on est en train de faire en son nom, il est probable qu’elle ne le permettra pas. » (Noam Chomsky, La doctrine des bonnes intentions)
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