Comments by "" (@williammarie2479) on "Nicolas Dupont-Aignan"
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@alphonsegalurin7527 Mais Nicolas est un notable humaniste, cela n'a rien de péjoratif, mais, pour lui une révolution est inconcevable, il se raccroche aux règles constitutionnelles même si, Macron le premier, le pouvoir s'en tape.
Effectivement "« La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
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Nicolas, comme Florian, sont des apparatchiks issus de l'ENArchie. Certes ils sont bien meilleurs que les macroniens, mais ce ne sont pas des leaders révolutionnaires. Car c'est bien d'une révolution dont ce pays à besoin, pas un changement bidon de président.
Oui, je sais, « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
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De toute façon tout ce qui est État...
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
Toujours d'actualité le vieux moustachu...
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@Yeshoua..la..seule..issue.
Si on est encore les pieds dans le réel, on peut analyser les mythes du christianisme comparés aux autres mythes antérieurs.
Le "jugement dernier", par exemple, qui est celui d'Osiris. En plus de la récupération de toutes les fêtes païennes par le christianisme : Noël fête solaire de la perception du rallongement des jours, Pâques célébrant le retour des beaux jours avec ses oeufs, la Pentecôte, fête juive des moissons, etc.
Si on fait l'analyse de la "passion du Christ" du chrétien Mel Gibson, très fidèle au texte de Matthieu, on peut l'analyser de façon très profane comme le fantasme classique d'un enfant dit "naturel" qui imagine son père comme étant un surhomme. Un grand classique dans la psychanalyse.
La fin de Jésus sur la croix en s'exclamant "Eli, eli, lama sabactani" montre bien le retour au réel.
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@Jevousdemandedevousarrêter111 Un massacre d'oiseaux et de chauve-souris ??? Qu'est-ce que c'est que ce délire ? J'ai été souvent dans des parcs d'éoliennes en France et en Espagne. En fait les pales tournent lentement avec un léger Wouf-wouf si on est juste en-dessous et on n'entend plus rien quand on en est à 50 m. Pas un seul cadavre d'oiseau.
Et puis une éolienne, c'est de la ferraille recyclable en fin de vie.
Si les écolos détestent les éoliennes c'est parce que leurs maîtres, les lobbys nucléaires, ne les aiment pas.
De même qu'ils sont près à défoncer un paysage pour faire passer leurs trains (électriques). Et une voie ferrée c'est ultra coûteux et nécessite de l'entretien, alors qu'une route c'est du bête cailloux concassé avec du goudron qui, de toute façon, est produit par les raffineries, qu'on l'utilise ou pas.
C'était donc une petite analyse matérialiste loin des délires écolos.
Réchauffement ? Moi je vous prédis autre chose : avec les volcans en furie de ces dernières années il va falloir s'attendre à de petites périodes glaciaires. C'est que j'avais oublié un dieu dans l'histoire : Héphaïstos, parce que des particules fines projetées dans la stratosphère, ça fait un écran sérieux au rayonnement solaire. L'éruption du Tambora, en 1815, a provoqué des famines y compris en Europe.
Eh oui, la climatologie est une science et pas un délire de pseudo écologistes !
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@Jevousdemandedevousarrêter111 La science à ses variantes en fonction de l'influence des idéologies. Pour avoir des crédits de recherche il faut faire allégeance à la doxa en cours. Celui qui lancerait un programme de recherche sur "le peu d'influence anthropique sur la modification du climat" serait certain de ne pas avoir un kopeck. À ce niveau François Gervais, professeur émérite, donc intouchable et spécialiste de la spectrophotométrie infra rouge (qui sert à suivre le gaz carbonique) était au GIEC au tout début. Puis, comme beaucoup de ses collègues il a vu la tournure idéologique que ça prenait, et il en est sorti.
Finalement l'Histoire se répète que ce soit la coronafolie avec Big Pharma ou le réchaufisme avec le lobby nucléaire.
Ceci dit je ne nie pas la nocivité d'un certain virus ou qu'il y ait une évolution à la hausse des températures, mais qu'on en fasse, dans les deux cas, du catastrophisme et de l'anthropocentrisme ne passe pas.
Comme dirait Raoult "Moi je fais de la science, pas de la politique".
Je suis pourtant bien placé, en tant que navigateur à voile, pour savoir qu'il y a des évolutions dans le climat. Lors de 2 transats cela s'est comporté comme jamais avec tous les relevés de ces zones pourtant très fréquentées où on a des graphiques de probabilités de vents établis sur 50 ans, ce qu'on appelle les "pilots charts".
Pas d'alizé la première fois et un vent dans le nez du SW. Or il n'y a JAMAIS ce type de vent. La norme c'est le NE avec de faibles variantes angulaires. Bis repetita 2 années plus tard où on a été encalminé dans la pétole 3 semaines et où on a failli - réellement - crever de soif. Dans un état de fatigue propre à la déshydratation je guettais, sur l'AIS, un cargo pour lui envoyé un "distress message". On a enfin pu atteindre la ZIC (pot au noir) où sous un orage on a pu recueillir 250 litres d'eau ruisselant sur la grand voile.
Donc ce n'est pas à moi qu'il faut dire que le climat n'évolue pas, mais le mettre sur le compte de l'humain est une foutaise.
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@gerard5181
Ma vieille expérience des candidats non médiatisés depuis 50 ans.
C'est même encore pire que dans mes jeunes années car les veaux qui veautent ne décollent pas de la téloche.
Par exemple aucun argument scientifique contre la coronafolie ne peut les atteindre. Le masque c'est le pied, même quand ce n'est plus obligatoire. Ils sont persuadés, ces cons, que ça arrêtera les virus. Quant à leur expliquer ce qu'est une injection transgénique, que les mutants sont engendrés comme réaction de défense à ces piquouzes...
Ils se sont vautrés dans la bêtise volontairement. Dans mes jeunes années les ouvriers de base n'étaient pas hostiles à apprendre quelque chose, maintenant... Et rien à espérer des jeunes, c'est pire que les adultes.
Bon, Dupont-Aignan il a son job de maire, c'est toujours ça, mais Florian Philippot je me demande de quoi il vit. Il se ruine la santé en pure perte.
J'ai été militant libertaire dans mes jeunes années, c'était sympa, on approfondissait des trucs et, tout content de notre savoir et de nos analyses on mettait ça en forme sur un beau tract (en offset) et on avait notre petit courant de lecteurs sympathisants.
Et puis la chape de plomb de la soumission est arrivée et, en 1974, on a décroché du militantisme et on a cherché à se trouver des coins sympas pour y vivre (Ariège, Cévennes, Aude). Avec un ami on a rénové une grange dans un coin perdu de la Creuse. C'est toujours possible, mais plus en Europe que je regarde avec affliction depuis 10.000 km. Les allemands, oui, ils décrochent et vivent en communautés, mais pas les français.
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"Si vous traversez l'enfer, surtout ne vous arrêtez pas en chemin" (Winston Churchill).
J'écoutais sur un autre reportage ce qu'il en était des fameux 5.000 EUR que touchait un raffineur à Total Énergie selon BFM WC. Devant un journaliste, un vrai, montrait son bulletin de paye avec 24 ans de métier : 2.650 EUR.
Mais les français se sont rué sur le bobard, il n'y a qu'à lire les commentaires du Figaro (eux, depuis 1968, c'est simple, ils crachent leur haine sur tout mouvement social). Je les connaissais bien. La France des calomnies et des dénonciations façon torchon pétainiste "J'essuie partout" même pas sponsorisé par Sopalin. À l'époque c'était les juifs, maintenant ils sont intouchables.
Bref, toujours rigolo à observer ce pays, mais depuis 10.000 km. Ici, Paraguay, tout va bien malgré que le gasoil est à 8.300 PYG (1,20 EUR) mais ça fait 2 mois. Aucune peine urie (sauf pour les hypertrophiés de la prostate).
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La retraite, mes biquets, il ne faut même pas l'espérer. Ces pyramides de Ponzi se sont écroulées encore plus que les mauvais immeubles de Turquie.
Quand je pense qu'il y a des lycéens qui manifestent pour les retraites !!!!
J'ai toujours dit que les actuels jeunes étaient séniles, mais ils en font l'évidente démonstration.
Franchement, quand j'avais leur âge, outre les combats à mener, 0n VIVAIT ! On attendait pas d'être à la retraite pour ça.
Dans nos humanités classiques (juste latin, pas grec, pour moi) nous avions étudié le dilemme d'Achille : préférions nous une vie courte mais passionnante à une vie longue, riche, mais sans intérêt. Presque toute la classe avait choisit la première option.
Effectivement j'ai connu des camarades de cette époque qui étaient partis voyager au bout du monde (comme je l'ai fait) ou bricoler une vie déjà à visée survivaliste dans une cambrousse un peu perdue (comme je l'ai fait aussi et je continue même à 75 ans).
Vraiment plus rien à espérer de ce pays et de ses habitants.
Pour qu'ils me surprennent il faudrait qu'ils chassent Macron de l'Élysée à la pointe des baïonnettes.
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Tiens, chez moi, au Paraguay, le gasoil est à 5.730 PYG soit 0,71 EUR. Pays enclavé, je le rappelle, et tout vient par camions du Brésil.
J'ajoute que les contraintes de la coronafolie n'existent pas (juste un masque sur le tarbouif avec lavage des mains à l'entrée d'un bâtiment qui reçoit du public). Mais pas de masques dehors, déplacements libres, il n'y a jamais eu de couvre-feu et de confinement. Et les masos qui veulent se faire vacciner le peuvent mais ne l'imposent pas aux autres.
L'ivermectine est en ventre libre et on ne manque ni de vitamines C et D3, ni de zinc.
J'imagine si, ici, on décidait qu'il faut un passe sanitaire pour aller au supermarché ! Ça ferait des émeutes sanglantes ! C'est que c'est un peu comme aux USA ici tout le monde peut acheter légalement une arme. Pour ma part un automatique 9 mm CZ. C'est que les paraguayens ne sont pas des génies, mais ils ont gardé intact leur tonus vital.
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@jean-marcelaubry366
Là je raisonne en biologiste (ma formation) même pas en politique. Quand une bestiole ou un groupe de bestioles n'a plus de tonus vital, elle disparait.
Les civilisations c'est pareil.
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.
Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux."
Paul Valéry, Variété, 1924
PS : Lusitania était un grand paquebot qui a fini comme le Titanic.
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Sans oublier les super riches qui paradent en devenant de plus en plus riches dans cette crise à prétexte sanitaire qui, non seulement ne les gênent pas, mais leur permet d'être encore plus riches.
Rien à espérer de la farce électorale rituelle. On l'a vu depuis 40 ans.
Il faut motiver les consciences qui peuvent l'être encore, à la lutte, à la résistance.
Il n'y a qu'une option : la révolution. Renouer avec un passé dont on peut être fier.
Car "Tout ça n'empêche pas Nicolas, qu'la Commune n'est pas morte"
Oui, je sais, « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
Et vous êtes un notable, Monsieur Nicolas, on ne peut vous le reprocher car vous avez toujours été soucieux des infâmies faites au peuple. Mais avez-vous d'autre choix que de devenir un révolutionnaire ?
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Chaque jour, j'effeuille Youtube ! Et si je suis fasciné et admiratif pour les petits drones, habilement manœuvrés et qui survolent volcans et coulées de lave en Islande, je suis effaré par la décomposition de la mentalité française !
Pour un Nicolas, un Florian, un François et des résistants, on peut dire malgré eux, comme cette dame médecin et ce Pr Raoult qui a toujours dit qu'il ne faisait pas de la politique, mais de la science, combien de soumis et qui en rajoutent en profession de foi soumise.
Heureusement que je vois cela depuis 10.000 km.
Rien de plus à rajouter que la phrase de la dernière lettre de Missak Manoukian : "Bonheur à tous ! Bonheur à ceux qui vont survivre !"
PS : pour les soignants qui n'ont pas peur de se délocaliser (après tout ce n'est pas réservé au seul MEDEF) il y a beaucoup de pays qui les apprécieraient de les voir s'établir chez eux. La réputation des soignants français, à tous les niveaux, étant excellente.
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Moi je n'achète rien aux p'tits com mais aux (gros) supermarchés avec ma carte VISA.
Les p'tits coms, jeune homme, mais c'est impraticable ! Outre qu'ils vendent le double du supermarché (testé sur une plaquette de beurre). Pas étonnant qu'ils n'ont plus personne et disparaissent.
Déjà ils sont aux centres des patelins, donc stationnement interdit ou payant et la police municipale rode le carnet à la main.
Et puis c'est une galère de se trimbaler des billets et des pièces et de faire la queue à chaque boutique. La queue, j'exagère car ils n'ont plus personne et ferment les uns après les autres. Surtout que de faire son pain est tellement facile. Au milieu de l'Atlantique les boulangeries sont rares tous les dauphins vous le confirmeront. Et moi je n'ai jamais manqué de pain frais dans mes transats.
Au Paraguay où je vis je paye tout avec ma carte VISA, laquelle est gratuite. Donc je peux suivre ce que j'ai acheté sur mon compte en ligne en plus du détail sur mon ticket de caisse.
Il y a un truc que j'ai vu mais pas chez les Castorama et autres : les serrures électroniques ! Plus besoin de sortir sa clé, de trifouiller sa serrure, en plus une clé ça s'use et ça n'ouvre plus ladite porte. On en a un double, dont on ne se sert pas et qui sert à faire une copie quand la clé usuelle ne veut plus fonctionner. Donc une carte, format bancaire, qu'on met dans son portefeuille et qui ouvre la porte quand on en est à 50-60 cm avec des paquets plein les bras. Et la serrure est inviolable. Un système qui sera (et qui l'est peut-être déjà) utilisé pour sa bagnole.
Cela n'est pas un contrôle social car rien ne se communique en dehors de la serrure et la carte dans mon portefeuille.
La lutte contre le contrôle social ne se fait pas par la ringardise passéiste, mais, au contraire, par la bonne connaissance de ces outils du contrôle social afin de pouvoir les hacker.
Même les cryptomonnaies qui se prétendaient inviolables avec leur blockchain se sont fait hackées par des as de cette spécialité.
Sachant que tout ce qui vient du gouvernement est bogué et mal fichu (c-f les ParcourSup) il sera aisé pour quelques hackers de bon niveau de mettre tout ça dans les choux.
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@Yeshoua..la..seule..issue.
La réponse définitive à l'attrait de la religion fut analysée par Marx en 1843. Il ne jette pas la pierre aux croyants mais il expliquent comment ils furent bernés sur de vraies et légitimes préoccupations.
C'est une réponse définitive à cet embrouillamini spirituel.
"Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : l’homme fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme. La religion est en réalité la conscience et le sentiment propre de l’homme qui ou bien ne s’est pas encore trouvé, ou bien s’est déjà reperdu. Mais l’homme n’est pas un être abstrait, extérieur au monde réel. L’homme, c’est le monde de l’homme, l’État, la société. Cet État, cette société produisent la religion, une conscience erronée du monde, parce qu’ils constituent eux-mêmes un monde faux. La religion est la théorie générale de ce monde, son compendium encyclopédique, sa logique sous une forme populaire, son point d’honneur spiritualiste, son enthousiasme, sa sanction morale, son complément solennel, sa raison générale de consolation et de justification. C’est la réalisation fantastique de l’essence humaine, parce que l’essence humaine n’a pas de réalité véritable.
La lutte contre la religion est donc par ricochet la lutte contre ce monde, dont la religion est l’arôme spirituel.
La misère religieuse est, d’une part, l’expression de la misère réelle et, d’autre part, la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans coeur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple.
Le véritable bonheur du peuple exige que la religion soit supprimée en tant que bonheur illusoire du peuple.
Exiger qu’il soit renoncé aux illusions concernant notre propre situation, c’est exiger qu’il soit renoncé à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc, en germe, la critique de cette vallée de larmes, dont la religion est l’auréole. La critique a effeuillé les fleurs imaginaires qui couvraient la chaîne, non pas pour que l’homme porte la chaîne prosaïque et désolante, mais pour qu’il secoue la chaîne et cueille la fleur vivante. La critique de la religion désillusionne l’homme, pour qu’il pense, agisse, forme sa réalité comme un homme désillusionné, devenu raisonnable, pour qu’il se meuve autour de lui et par suite autour de son véritable soleil.
La religion n’est que le soleil illusoire qui se meut autour de l’homme, tant qu’il ne se meut pas autour de lui-même.
L’histoire a donc la mission, une fois que la vie future de la vérité s’est évanouie, d’établir la vérité de la vie présente. Et la première tâche de la philosophie, qui est au service de l’histoire, consiste, une fois démasquée l’image sainte qui représentait la renonciation de l’homme à lui-même, à démasquer cette renonciation sous ses formes profanes. La critique du ciel se transforme ainsi en critique de la terre, la critique de la religion en critique du droit, la critique de la théologie en critique de la politique."
Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel (1843)
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Quand j'ai quitté définitivement la France il y a 11 ans c'était un projet mis en route il y a 15 ans.
Ce n'était nullement le coronavirus qui m'a poussé vers la sortie, il n'existait pas à cette époque, tout au moins sous sa forme qui a conduit à une dictature sanitaire, parce que les coronavirus sont très nombreux et existent bien avant l'humanité
Non c'était un mal plus récent : le coranovirus et qui ne se contentait pas de tuer des gens en fin de vie.
Mais les français, qui sont les champions toute catégorie de la soumission ont laissé faire cette invasion et certains en redemandaient, la majorité râlotait un peu mais laissait faire et, tous les 4 ans, et ce depuis 40 ans, revotaient pour les mêmes qui avaient favorisé cette invasion.
Et quand il y avait des massacres les bonnes âmes se précipitaient avec leurs bouquets de fleurs, leurs bougies et leurs nounours.
Pour moi c'était clair, je ne pouvais plus vivre au milieu de ces gens.
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Toutes les indignations des gens honnêtes ne peuvent rien contre la soumission et l'abrutissement des français.
Donc au lieu de vous faire des trous dans l'estomac, allez dans des pays sinon absents de malversations, tout au moins qui n'impactent pas les peuples.
Mon exemple : je vis au Paraguay depuis 12 ans. Ce pays a une mauvaise réputation (c-f Transparency International qui le met en 2e position des pays ripous d'Amérique du Sud, derrière le Venezuela (difficile de faire mieux)), mais cela n'impacte pas la population qui vit sans être rackettée comme les français.
Et, pour ne rien arranger, la presse qui est assez libre ici (Ultima hora), quand elle a un ripou dans son collimateur, elle ne le lâche pas. Toutefois c'est peine perdue car il est vite remplacé par un autre. Ainsi des procureurs (2 ces derniers temps) se sont fait descendre par des gangs de trafiquants de drogues. Mais, au moins, cela n'a pas pu être étouffé.
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