Comments by "" (@williammarie2479) on "Nicolas Dupont-Aignan" channel.

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  290. Bon les retraites par répartition c'est une énorme pyramide de Ponzi qui s'écroule et cela n'a rien d'étonnant. Ce qui me stupéfie c'est la croyance quasi religieuse en la malédiction nécessaire du travail. Or depuis les premiers tracteurs que le Docteur Paul Lafargue, saluait comme évitant la corvée épuisante du labour derrière un cheval (c-f "Le droit à la paresse, réfutation du droit du travail de 1848" publié en 1883), le progrès technique, informatique et logistique, a réduit considérablement cette nécessité du travail bien que la moitié de la production, si ce n'est les 3/4 est inutile. Donc au lieu de travailler plus la logique élémentaire voudrait qu'on travaille moins. Mais il y a un tabou religieux sur le travail, cette malédiction biblique. On se souvient de tous ces réacs offusqués sur les 35 heures, cela allait provoquer la déchéance civilisationnelle du pays (mais apparemment pas l'invasion islamiste qui ne les préoccupait nullement). Un ami prof d'électrotechnique avait fait son effet dans une réunion de notables en déclarant : "les 35 heures ? C'en est encore 30 de trop !". En effet quel est le temps humain encore nécessaire pour fabriquer une automobile moderne dont toutes les machines robotiques s'en emparent et travaillent mieux que les humains ? Ces imbéciles réactionnaires n'ont pas compris que l'oisiveté et la gratuité est la mère de... toutes les créations. Internet en est l'exemple patent. "Mais les mots qu'au vent noir je sème..."
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  355.  @Jevousdemandedevousarrêter111  La science à ses variantes en fonction de l'influence des idéologies. Pour avoir des crédits de recherche il faut faire allégeance à la doxa en cours. Celui qui lancerait un programme de recherche sur "le peu d'influence anthropique sur la modification du climat" serait certain de ne pas avoir un kopeck. À ce niveau François Gervais, professeur émérite, donc intouchable et spécialiste de la spectrophotométrie infra rouge (qui sert à suivre le gaz carbonique) était au GIEC au tout début. Puis, comme beaucoup de ses collègues il a vu la tournure idéologique que ça prenait, et il en est sorti. Finalement l'Histoire se répète que ce soit la coronafolie avec Big Pharma ou le réchaufisme avec le lobby nucléaire. Ceci dit je ne nie pas la nocivité d'un certain virus ou qu'il y ait une évolution à la hausse des températures, mais qu'on en fasse, dans les deux cas, du catastrophisme et de l'anthropocentrisme ne passe pas. Comme dirait Raoult "Moi je fais de la science, pas de la politique". Je suis pourtant bien placé, en tant que navigateur à voile, pour savoir qu'il y a des évolutions dans le climat. Lors de 2 transats cela s'est comporté comme jamais avec tous les relevés de ces zones pourtant très fréquentées où on a des graphiques de probabilités de vents établis sur 50 ans, ce qu'on appelle les "pilots charts". Pas d'alizé la première fois et un vent dans le nez du SW. Or il n'y a JAMAIS ce type de vent. La norme c'est le NE avec de faibles variantes angulaires. Bis repetita 2 années plus tard où on a été encalminé dans la pétole 3 semaines et où on a failli - réellement - crever de soif. Dans un état de fatigue propre à la déshydratation je guettais, sur l'AIS, un cargo pour lui envoyé un "distress message". On a enfin pu atteindre la ZIC (pot au noir) où sous un orage on a pu recueillir 250 litres d'eau ruisselant sur la grand voile. Donc ce n'est pas à moi qu'il faut dire que le climat n'évolue pas, mais le mettre sur le compte de l'humain est une foutaise.
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  356.  @gerard5181  Ma vieille expérience des candidats non médiatisés depuis 50 ans. C'est même encore pire que dans mes jeunes années car les veaux qui veautent ne décollent pas de la téloche. Par exemple aucun argument scientifique contre la coronafolie ne peut les atteindre. Le masque c'est le pied, même quand ce n'est plus obligatoire. Ils sont persuadés, ces cons, que ça arrêtera les virus. Quant à leur expliquer ce qu'est une injection transgénique, que les mutants sont engendrés comme réaction de défense à ces piquouzes... Ils se sont vautrés dans la bêtise volontairement. Dans mes jeunes années les ouvriers de base n'étaient pas hostiles à apprendre quelque chose, maintenant... Et rien à espérer des jeunes, c'est pire que les adultes. Bon, Dupont-Aignan il a son job de maire, c'est toujours ça, mais Florian Philippot je me demande de quoi il vit. Il se ruine la santé en pure perte. J'ai été militant libertaire dans mes jeunes années, c'était sympa, on approfondissait des trucs et, tout content de notre savoir et de nos analyses on mettait ça en forme sur un beau tract (en offset) et on avait notre petit courant de lecteurs sympathisants. Et puis la chape de plomb de la soumission est arrivée et, en 1974, on a décroché du militantisme et on a cherché à se trouver des coins sympas pour y vivre (Ariège, Cévennes, Aude). Avec un ami on a rénové une grange dans un coin perdu de la Creuse. C'est toujours possible, mais plus en Europe que je regarde avec affliction depuis 10.000 km. Les allemands, oui, ils décrochent et vivent en communautés, mais pas les français.
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  360. Mais c'est ça l'hôpital public où pleurent tous les étatistes et les sectateurs de la bureaucratie stalinienne. Je peux vous en raconter plein et même des cas personnels... Ma mère, chef de centre divisionnaire à la Sécu, racontait que les HP coûtaient une fortune à la Sécu. Rien qu'un exemple personnel (et j'en ai d'autres) : J'avais un petit kyste dans le lobe d'une oreille qui me provoquait quelques élancements douloureux. Je demande une consultation à Necker qui était l'HP le plus proche de mon lieu de travail de l'époque : l'Institut Pasteur. Consultation et conclusion de celle-ci : il faut opérer, mais ça je l'aurais deviné tout seul. Mais ils veulent m'hospitaliser tout de suite et m'opérer le lendemain ! Je fuis épouvanté ! HP je ne pensais pas que c'était Hôpital Psychiatrique ! Je vais voir alors mon médecin généraliste qui a eu raison de ce kyste en 30 mn, moi assis sur un tabouret. Kyste qui n'est jamais revenu. Quelques K sur la consultation pour des actes d'intervention et c'est tout. Raconté tout ça à ma mère, à la fois amusée et horrifiée. "Deux journée d'hospitalisation ! Au prix où c'est !". Plus jamais je n'ai mis les pieds dans un HP ! En clinique conventionnée (elles le sont presque toutes), opéré d'une diverticulite par un professeur ayant droit à des dépassements, je n'ai rien payé de plus qu'une bouteille d'eau minérale. Mais il y a encore des soumis pour faire l'éloge des HP-que-le-monde-nous-envie ! Au Paraguay, la consultation c'est dans la semaine (2 mois pour un cardiologue et 3 pour un ophtalmo en France) et les urgences c'est tout de suite !
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  473.  @jean-marcelaubry366  Là je raisonne en biologiste (ma formation) même pas en politique. Quand une bestiole ou un groupe de bestioles n'a plus de tonus vital, elle disparait. Les civilisations c'est pareil. "Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire. Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux." Paul Valéry, Variété, 1924 PS : Lusitania était un grand paquebot qui a fini comme le Titanic.
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  526. Moi je n'achète rien aux p'tits com mais aux (gros) supermarchés avec ma carte VISA. Les p'tits coms, jeune homme, mais c'est impraticable ! Outre qu'ils vendent le double du supermarché (testé sur une plaquette de beurre). Pas étonnant qu'ils n'ont plus personne et disparaissent. Déjà ils sont aux centres des patelins, donc stationnement interdit ou payant et la police municipale rode le carnet à la main. Et puis c'est une galère de se trimbaler des billets et des pièces et de faire la queue à chaque boutique. La queue, j'exagère car ils n'ont plus personne et ferment les uns après les autres. Surtout que de faire son pain est tellement facile. Au milieu de l'Atlantique les boulangeries sont rares tous les dauphins vous le confirmeront. Et moi je n'ai jamais manqué de pain frais dans mes transats. Au Paraguay où je vis je paye tout avec ma carte VISA, laquelle est gratuite. Donc je peux suivre ce que j'ai acheté sur mon compte en ligne en plus du détail sur mon ticket de caisse. Il y a un truc que j'ai vu mais pas chez les Castorama et autres : les serrures électroniques ! Plus besoin de sortir sa clé, de trifouiller sa serrure, en plus une clé ça s'use et ça n'ouvre plus ladite porte. On en a un double, dont on ne se sert pas et qui sert à faire une copie quand la clé usuelle ne veut plus fonctionner. Donc une carte, format bancaire, qu'on met dans son portefeuille et qui ouvre la porte quand on en est à 50-60 cm avec des paquets plein les bras. Et la serrure est inviolable. Un système qui sera (et qui l'est peut-être déjà) utilisé pour sa bagnole. Cela n'est pas un contrôle social car rien ne se communique en dehors de la serrure et la carte dans mon portefeuille. La lutte contre le contrôle social ne se fait pas par la ringardise passéiste, mais, au contraire, par la bonne connaissance de ces outils du contrôle social afin de pouvoir les hacker. Même les cryptomonnaies qui se prétendaient inviolables avec leur blockchain se sont fait hackées par des as de cette spécialité. Sachant que tout ce qui vient du gouvernement est bogué et mal fichu (c-f les ParcourSup) il sera aisé pour quelques hackers de bon niveau de mettre tout ça dans les choux.
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  565.  @Yeshoua..la..seule..issue.  La réponse définitive à l'attrait de la religion fut analysée par Marx en 1843. Il ne jette pas la pierre aux croyants mais il expliquent comment ils furent bernés sur de vraies et légitimes préoccupations. C'est une réponse définitive à cet embrouillamini spirituel. "Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : l’homme fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme. La religion est en réalité la conscience et le sentiment propre de l’homme qui ou bien ne s’est pas encore trouvé, ou bien s’est déjà reperdu. Mais l’homme n’est pas un être abstrait, extérieur au monde réel. L’homme, c’est le monde de l’homme, l’État, la société. Cet État, cette société produisent la religion, une conscience erronée du monde, parce qu’ils constituent eux-mêmes un monde faux. La religion est la théorie générale de ce monde, son compendium encyclopédique, sa logique sous une forme populaire, son point d’honneur spiritualiste, son enthousiasme, sa sanction morale, son complément solennel, sa raison générale de consolation et de justification. C’est la réalisation fantastique de l’essence humaine, parce que l’essence humaine n’a pas de réalité véritable. La lutte contre la religion est donc par ricochet la lutte contre ce monde, dont la religion est l’arôme spirituel. La misère religieuse est, d’une part, l’expression de la misère réelle et, d’autre part, la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans coeur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple. Le véritable bonheur du peuple exige que la religion soit supprimée en tant que bonheur illusoire du peuple. Exiger qu’il soit renoncé aux illusions concernant notre propre situation, c’est exiger qu’il soit renoncé à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc, en germe, la critique de cette vallée de larmes, dont la religion est l’auréole. La critique a effeuillé les fleurs imaginaires qui couvraient la chaîne, non pas pour que l’homme porte la chaîne prosaïque et désolante, mais pour qu’il secoue la chaîne et cueille la fleur vivante. La critique de la religion désillusionne l’homme, pour qu’il pense, agisse, forme sa réalité comme un homme désillusionné, devenu raisonnable, pour qu’il se meuve autour de lui et par suite autour de son véritable soleil. La religion n’est que le soleil illusoire qui se meut autour de l’homme, tant qu’il ne se meut pas autour de lui-même. L’histoire a donc la mission, une fois que la vie future de la vérité s’est évanouie, d’établir la vérité de la vie présente. Et la première tâche de la philosophie, qui est au service de l’histoire, consiste, une fois démasquée l’image sainte qui représentait la renonciation de l’homme à lui-même, à démasquer cette renonciation sous ses formes profanes. La critique du ciel se transforme ainsi en critique de la terre, la critique de la religion en critique du droit, la critique de la théologie en critique de la politique." Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel (1843)
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