Youtube comments of (@williammarie2479).
-
394
-
179
-
167
-
117
-
105
-
100
-
98
-
95
-
82
-
81
-
80
-
78
-
78
-
74
-
72
-
62
-
60
-
58
-
54
-
54
-
54
-
54
-
51
-
49
-
48
-
Des boulots à la con, j'en ai bien connu ! Outre qu'ils étaient mal payés fallait voir l'ambiance ! Ce n'était pas du capitalisme (Qu'est-ce que vous allez rapporter par rapport à votre salaire ?) mais de la féodalité (Quel pouvoir vais-je avoir sur votre vie ?)
J'ai ainsi connu beaucoup de boîtes où il ne fallait rien suggérer pour améliorer l'entreprise, c'était mal vu ! L'intelligence n'est pas recherché par les employeurs, juste la soumission.
D'ailleurs 90% des boîtes françaises étaient en voie de délabrement et de dépôt de bilan quand je travaillais encore.
De plus il faut être un p'tit jeune soumis et malléable pour être embauché, passé 40 ans, quoiqu'on ait accumulé comme compétences on ne peut être que dérangeant. Outre qu'ils sont légers au niveau professionnel, ils sont incapables de discuter avec un client. Ils sont autocentrés sur leur petite personne et donc ne peuvent de se pencher sur les problèmes du client.
Beaucoup matriarcat aussi. Les cocottes du patron de l'étage bien chauffé méprisent la population mâle des techniciens et des magasiniers du RdC pas chauffé. Observé à maintes reprises...
D'ailleurs il faut être une femme pour travailler dans un bureau que ce soit en traitement de texte ou en comptabilité. D'ailleurs on demande toujours une secrétaire, une comptable, un mec n'a aucune chance ou alors il faudrait qu'il se travestisse (mais je crains que, pour ma part, je sois aussi désastreux que Gérard Depardieu dans "Tenue de soirée"). Dans les pays hispaniques (Espagne et Amérique du Sud) il y a autant d'hommes que de femmes dans les bureaux ou les banques.
47
-
47
-
46
-
46
-
Témoignage : Je reviens d'un périple au Pérou avec ma camioneta quatquateuze. J'avais l'intention d'aller voir la forêt amazonienne péruvienne en contournant le lac Titicaca. Mais je m'arrête à Juliaca, mal foutu. Je pense à une grippe, mais ça ne passe pas, je pense à un malaise dû à l'altitude et je fais demi-tour. Ça va mieux en redescendant, mais pas terrible non plus. Je rejoins le Paraguay, toujours pas frais. Pas fichu de déterminer ce que j'avais, je vais voir les urgences à l'hôpital Bautista à Asunción. Je suis immédiatement pris en charge et diagnostiqué : c'est la dengue. Ici c'est très connu des urgences. Hospitalisé avec analyses et perfusion. Mais il me faut 4 jours pour récupérer.
Voilà la différence de systèmes de santé. Certes on paye, mais quand il le faut, alors qu'en France on paye en cotisations toute sa vie et, quand on a besoin de soins...
Ici, la Sécu, c'est tout simplement une cagnotte que les familles font et qui sert quand ils en ont besoin.
Et le pire c'est que pendant la coronafolie, les malades non piqués étaient chassés des hôpitaux même s'ils avaient cotisé à la Sécu toute leur vie.
J'attend l'imbécile qui va me parler du système-de-soins-que-le-monde-nous-envie.
45
-
42
-
Il y a 15 ans (et même avant), j'étais au chômage, option RMI car, en tant qu'ancien gérant d'une SARL d'informatique j'étais hors champ ASSEDIC.
Et bien que j'ai précisé à l'ANPE que mon savoir professionnel ne se limitait pas à l'informatique, ils ne m'ont jamais trouvé le moindre job.
Et le service social de la municipalité de la ville où je vivais ne savais que me reprocher d'être au chômage.
Jeté statutairement du RMI à 60 ans je devais demander une préretraite à la Caisse de retraite. Qui me fut accordée pour... 75 EUR. En même temps, comme dirait Macron, qu'un envahisseur illégal, reconverti en "demandeur d'asile" touchait 920 EUR mensuel, plus tous les à cotés des assoces. Personne ne s'est demandé comment je pouvais vivre avec 75 EUR par mois...
Il était clair que la France n'était plus mon pays. Liquidant mes avoirs et la maison de ma mère que je venais d'hériter je me suis installé il y a 11 ans dans un pays libre.
Donc ce ne fut pas le coronavirus qui m'a fait fuir à cette époque, mais l'épidémie de coranovirus.
Soumis à l'un, les français se sont soumis à l'autre car ce peuple dégénéré a la soumission dans le sang.
42
-
42
-
41
-
40
-
40
-
39
-
39
-
38
-
38
-
38
-
38
-
37
-
37
-
36
-
36
-
36
-
34
-
33
-
33
-
Je vis au Paraguay depuis 12 ans et, franchement, je ne regrette pas la France au niveau médecine.
Comparaison :
- en France on cotise toute sa vie de salarié + une mutuelle et, les rares fois où on est malade on est remboursé des clopinettes.
- ici on paye à l'acte si on est malade. Tarif bien inférieur à celui, hors Sécu, que paye les indépendants
- en France on ne peut pas avoir de médicaments sans ordonnance, même ceux qu'on prend depuis des années (anticoagulants). Il faut perdre son temps dans une salle d'attente, payer une consultation bidon à un médecin, juste pour qu'il vous remplisse une ordonnance.
- ici on achète tout ce qu'on veut en pharmacie (sauf les opiacés soumis à ordonnance) y compris les interdits en France qui contrariaient Big Pharma.
Autre point : ici les médecins n'exercent pas tout seul avec juste un stéthoscope et un brassard à tension (et les moins chers possibles) ils sont en "sanatorios" (cliniques) et il y a plusieurs spécialistes.
Par exemple venu pour un bras droit enflé et douloureux, j'ai juste reçu l'instruction de réduire la warfarine un temps, de prendre du furosémide et de voir son collègue équipé d'un scanner ultra moderne qui a inspecté mon bras pour voir s'il n'y avait pas un caillot veineux. Tout ça dans le même établissement.
Les médecins isolés ça n'existe plus au Paraguay.
Autre point un RV de consultation (hors urgence) en France c'est 2 mois pour un cardiologue et 3 mois pour un ophtalmo. Ici un RV c'est dans la semaine et une urgence c'est tout de suite. Par exemple venu en consultation, très fatigué, pour une atteinte de dengue, j'ai été hospitalisé tout de suite. Perfusions et analyses. C'est d'ailleurs étonnant comme la dengue perturbe les formules sanguines. Ce n'est donc pas une variété de grippe.
33
-
32
-
32
-
31
-
Je vois que tout le monde patauge dans le juridique, l'étatisme, les bons sentiments.
Mois je ne suis qu'un biologiste et je vous dis ce qu'on observe chez des prédateurs qui vivent en groupe.
Déjà la plupart des bestioles ont un territoire, individuel ou collectif, et on est prié de ne pas s'y aventurer.
Il y avait, au Kenya, un coin parfait, sur le bord d'une route, pour faire de superbes photos sur la vallée du Rift en contrebas.
"Ne vous y arrêtez surtout pas !" nous avait dit un chauffeur de taxi. C'est le territoire d'une bande de babouins et vous serez accueillis à coup de pierres.
Revenons en France : on voit que des bandes ethniques sont capables de défendre leur territoire qu'ils se sont accaparés et qui traitent les vrais indigènes comme les babouins le font des touristes.
Cela traduit quoi ? Que toute bestiole ou groupe de bestioles incapables de défendre son territoire est appelé à disparaître.
Barbares ces prédateurs ? Oui, assurément ! Les loups tuent pour le plaisir dans un troupeau de moutons, ils ne se contentent pas d'en dévorer un.
Pourtant la société des loups est très structurée. Si l'un d'eux veut être le chef, il y a alors un combat singulier et le vaincu tend sa gorge au vainqueur, pour accepter sa reddition.
Passant de la biologie animale à la sociologie humaine, je ne vois pas grand avenir pour les petits français au train où ils sont partis. Poutine disait en rigolant que la France serait la colonie de ses anciennes colonies. C'est patent avec l'Algérie.
"Bouh que c'est vilain la violence !". Il est plus dangereux juridiquement à un français de se défendre qu'à un malfrat immigré de commettre vols, viols et agressions.
Au Paraguay, où je vis, il y a eu un temps où les immigrés européens se faisaient massacrés par les bandits locaux. J'ai vu une maison où il y avait des impacts de balles ainsi que des jolis dessins animaliers que faisait une dame belge, retraitée et vivant avec son mari. Tous deux assassinés.
Mais l'État paraguayen n'avait pas apprécié ! Il y eut des arrestations mortelles parmi ces bandits et les européens furent incités à être armés.
Du coup c'en a été fini des meurtres d'étrangers, les gringos étaient devenus une espèce protégée, d'autant que les dits bandits n'y avait pas intérêt car, comme je l'avais placardé sur ma porte : "mon argent dort à la banque et mon 9 mm sous mon oreiller". Par contre entre paraguayens...
31
-
31
-
31
-
31
-
30
-
29
-
29
-
27
-
27
-
27
-
26
-
26
-
26
-
26
-
26
-
25
-
25
-
25
-
24
-
24
-
24
-
24
-
24
-
24
-
24
-
Ce n'est pas une immigration, c'est une invasion !
En Amérique du Sud, ils sont de la même ethnie latino, ils sont tous hispanophones (sauf les brésiliens) et globalement chrétiens, mais une frontière c'est sacré ! On fait bien sagement la queue avec passeport à la main.
Il y a des échanges, des contrats de travail possibles (le Mercosur), des paraguayens travaillent à Buenos Aires et des argentins au Paraguay, mais tout est fait dans la légalité.
Et s'il y a des bidonvilles ce sont les locaux qui les occupent.
Rien à voir avec la France où c'est une invasion voulue et gérée par le mondialisme de Davos et de Soros.
Et en Europe l'Allemagne veut faire tomber tous les pays qui ont osé s'opposer à l'hégémonie du 3e Reich : la Grèce, la Pologne. Pour la France, c'est déjà fait, elle est devenue le caniche de l'Allemagne.
23
-
23
-
22
-
22
-
22
-
22
-
22
-
22
-
22
-
22
-
22
-
21
-
21
-
21
-
21
-
21
-
21
-
21
-
21
-
21
-
Albert Camus avait écrit "La ville est une fourmillière d'hommes seuls".
Pour ma part je suis un grand solitaire. Non voulu, mais je fais avec.
Toutefois je jalousais les petits ados de Stephen King (qui a très exactement mon âge et qui vient, comme moi, d'un milieu populaire) qui ont une vie après l'école alors que de mon côté on se quittait comme des camarades de bureau. Je n'étais pas asocial, j'avais de bons copains en classe mais... uniquement en classe.
Mais je ne suis en rien tombé dans la déprime. J'avais de grandes passions scientifiques (biologie, entomologie), je lisais beaucoup (époque des Bob Morane et des illustrés comme Spirou) mais je ne voyais personne ne fut-ce que pour partager mes goûts.
Ça s'est aggravé avec le temps et l'asociabilité ambiante, hormis l'époque de mai 68 qui fut une période sociale.
Mais par la suite, bernique !
Même en cherchant dans les forums spécialisés.
J'ai cherché des compagnons d'aventures marines pour mon voilier de 10 m. Quelles soient vacancières ou hauturières. Personne.
Du coup j'ai renoncé à la navigation qui peut être épuisante en solo (je n'ai pas la trempe d'un Moitessier). J'ai quand même 3 transats à mon actif. Je serais bien parti pour plus loin (Pacifique) et sur un 16 m mais il m'aurait alors fallu un matelot et un moussaillon, mais c'était "un rêve modeste et fou"
J'ai cherché, voyant que la vie en France devenait invivable, des compagnons d'expatriation. J'avais des projets concrets. Il y avait des forums pour ça. Mais ce n'était que le lieu de robinsonnades et de tartines de mal-être aussitôt oubliées qu'écrites.
Vivant alors en Amérique du Sud (j'ai de la site dans les idées et je me suis expatrié tout seul) et nanti qu'une camioneta quatquateuze, j'ai cherché des compagnons de vadrouilles dans la Cordillère. Personne là aussi. Mais au moins je pouvais voyager seul. Si je suis fatigué, je me met sur le bord de la piste, je tire mon frein à main, j'incline mon siège et je dors après avoir lu quelques pages d'un ebook sur ma liseuse. Jamais trouvé le frein à main sur un voilier.
Conclusion à 75 ans, la solitude j'ai fait avec toute mon existence en me consolant avec la maxime "mieux vaut être seul que mal accompagné".
20
-
20
-
20
-
20
-
20
-
20
-
20
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
19
-
Au temps lointain où j'étais encore en France, je discutais avec un jeune informaticien de bon niveau. Pas un job possible dans tout le grand Toulouse (la 4e ville de France, je rappelle). D'ailleurs c'est le règne du népotisme pour se faire embaucher.
Mais il avait trouvé un job, moyennement payé, en région parisienne. Il y était donc parti.
Mais, il étais revenu penaud. "Quand j'avais payé mon loyer, mes transports et les frais divers, il ne me restait même pas le RMI et j'étais crevé. C'était mieux pour moi de vivre dans le pavillon de mes parents où j'avais une chambre confortable et de toucher le RMI sans rien faire".
J'entends d'avance les figaronautes égarés sur ce forum hurler après ceux qui ne veulent pas vivre comme des esclaves.
D'ailleurs beaucoup d'esclaves, dans l'Antiquité, avaient plutôt la bonne vie, tout au moins en Grèce quand on lit les propos de Platon. Certes ils n'avaient aucun droit politique, mais ça ferait rire en France de les plaindre à ce sujet car il y a eu 56,31 % d'abstention aux dernières législatives (et on ne compte pas les non inscrits).
19
-
18
-
18
-
18
-
18
-
18
-
18
-
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
Toujours d'une brulante actualité, n'est-il pas ?
18
-
18
-
18
-
18
-
18
-
Je ne suis pas un économiste, mais je sais observer la sociologie autour de moi, ce que m'autorisent les ans et ma tête chenue.
Donc il faut constater le changement de paradigme dans l'économie, changement qualitatif où, du capitalisme keynésien, on passa au capitalisme financier. Tout cela dans un intervalle très court : le milieu des années 70.
Petites explications pour ceux qui dormaient :
Le capitalisme keynésien est appelé aussi fordiste. Parce que Henry Ford a trouvé peu rentable de fabriquer des voitures artisanales et vendues très chères à une élite. Les clients devaient être le peuple et non une élite bourgeoise. D'où la création d'une nouvelle catégorie : des producteurs qui devenaient aussi des consommateurs. Et pour l'être ils devaient avoir un salaire correct et du temps libre tout ça pour acheter les Ford T et les faire rouler pendant les congés payés.
Petit problème toutefois : pas de robots à cette époque, l'amélioration de la production se faisait sur la chaîne de montage où chaque poste de travail nécessitait des gestes simples qu'avait analysé l'ingénieur Taylor. Très efficace et rentable mais abrutissant. Ce qui avait incité Charlie Chaplin à créer son célèbre film, "Les temps modernes" qui faisait hurler de rire les prolétaires français qui étaient dans les grandes grèves de 1936.
Ce capitalisme fordien, dit de "la société de consommation" où le consommateur était aussi producteur, n'a duré qu'un temps et ledit changement de paradigme s'est produit quand les 100 premières sociétés financières eurent un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles.
Autrement dit on pouvait gagner davantage d'argent en trafiquant dans les marchés qu'en fabriquant des objets manufacturés (Black Rock, McKinsey, etc.).
Les producteurs étaient devenus inutiles !
Cela commença en France dans le milieu des années 70 où ce fut la destruction et la délocalisation à tout va de tout ce qui relevait de la production industrielle. La production résiduelle se faisait avec des travailleurs quasi esclaves et pas du tout consommateurs (Chine, Inde). Quand aux travailleurs restant en France c'étaient devenus "des gens qui ne sont rien" et "qui coûtent un pognon de dingue". Une répression policière féroce s'abattit sur les protestataires (les gilets jaunes).
Ce pouvoir féroce joua la carte de la soumission et de l'abrutissement des masses, aidé en cela par les capitalistes financiers précités qui détenaient aussi TOUS les médias. Le discours de soumission était matraqué depuis les petites classes et la manipulation du covid (une variante de grippe ne faisant pas plus de morts) fut couronnée de succès quand les dirigeants virent que les gens se laissaient enfermer en confinement sans protester. On pouvait donc les manipuler sans risque.
18
-
18
-
17
-
17
-
Cette méthode (les émeutes et le pillage) est typiquement africaine.
Il peut y avoir, au départ, des revendications très légitimes, mais, inéluctablement cela tourne à l'émeute, à la destruction et, surtout, au pillage.
Lors d'un séjour touristique au Bénin en 1984 il y avait un garage importateur et réparateur de camions Gastonnegre (un nom pareil en Afrique, ça ne s'invente pas). Ce garage avait été pillé et détruit dans une de ces émeutes périodiques dont l'Afrique a le secret. En discutant avec un flic celui-ci avait déclaré "Oui nous avons été un peu espiègles". Le qualificatif était ahurissant. Et il regrettait que Gastonnegre ne reprenne pas ses activités comme si de rien n'était.
Vu la tiers-mondisation de la France cette immigration délirante empêchera toute amélioration de ce pays (que j'ai quitté sans regret depuis 12 ans).
Macron va être, une fois de plus, la risée à l'international.
17
-
17
-
17
-
17
-
17
-
17
-
17
-
17
-
16
-
16
-
16
-
16
-
16
-
16
-
16
-
16
-
16
-
Pour Darmanin, mon biquet adoré :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Monseigneur Hélder Pessoa Câmara
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en.
15
-
15
-
15
-
15
-
15
-
15
-
15
-
15
-
15
-
15
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
14
-
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
Fini les habitats baba cool des années 70 et qui ne coûtaient pas cher. Je me souviens d'une vieille maison en pierre, plus que centenaire où on sentait le vent passer à travers les pierres. Cet inconfort aurait été résolu avec du mortier à l'extérieur et du plâtre à l'intérieur.
Toutes ces maisons et leurs terrains ne coûtaient pas cher à l'époque jusqu'à ce que la mode en fasse monter les prix de façon éhontée car les belges, allemands, anglais se sont jetés dessus dans les années 70-80.
Bon il faut vous rendre à l'évidence, mes biquets : la France et l'Europe en général va devenir (et l'est déjà) invivable.
Il vous faudra décaniller (à moins que vous préfériez crever sur place).
Je vous informe qu'au Paraguay, où je vis depuis 12 ans, si vous avez acheté un bout de terrain pas cher, vous pourrez y construire la pire des baraques personne ne vous dira rien.
Je me souviens d'un hameau, dans la Creuse, où nous avions demandé, pour une barraque provisoire, un branchement électrique. Refusé car notre prise de terre n'était pas bonne. Effectivement, comme on était sur du granit elle ne risquait pas de l'être. L'amusant (c'est qu'il faut garder le sens de l'humour, même avec les administrations françaises, sinon vous allez vous faire des trous dans l'estomac) c'est que tous les habitants du hameau avaient l'électricité mais aucun n'avait de prise de terre bonne ou mauvaise. On a résolu le problème en achetant un petit groupe électrogène.
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
Maintenant les touristes viennent dans le sud marocain pour voir passer les dromadaires.
Mais qu'est-ce qui vous intéressent tant, les français avec les dromadaires ? me demandait un jeune ami marocain à Errachidia, donc sur le bord du Sahara.
Simple, lui répondis-je, la curiosité ! En effet des chèvres on en a, des ânes on en a, des marocains on en a aussi, mais on n'a pas de dromadaires.
Il était ravi par ma réponse.
Le Maroc, c'est une civilisation de la parole, si vous savez raconter des histoires, vous leur plaisez.
13
-
13
-
13
-
13
-
13
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
12
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
11
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
10
-
9
-
9
-
À un moment, sous Jospin, il était question d'embaucher des profs qui ne soient pas issu du moule à profs (CAPES) mais d'autres cursus. Pour ma part, avec un 3e cycle de biochimie j'étais "présentable" et j'aurais pu postuler.
MAIS, vu l'état des lieux et de la faune qu'on y trouve, on se trouve plutôt dans un bataillon disciplinaire où il est préférable d'y envoyer des officiers aguerris. Et, puisqu'on est dans la métaphore militaire, j'aurais voulu avoir le pouvoir de décimation de la légion romaine en acceptant, en contrepartie, d'être jugé sur mes résultats.
Mais, faut pas rêver, c'est bien le contraire qui se produit, les "vieux" capesiens ont de bonnes planques dans des lycées tranquilles et ce sont les débutants, surtout les débutantes, qu'on envoie dans les ZEP où y règnent des petits beurs en furie. Après quelques dépressions, elles préfèrent devenir secrétaires dans un bureau. Alors qu'il aurait mieux fallu y envoyer un gradé (et néanmoins érudit) de la Légion.
9
-
@anniedestrade4832
Ouarf ! Il n'est nullement dans mes intentions de "sauver le monde". À en faire une lecture comme le matérialiste que je suis, il y en a un qui, en récusant tant soit peu l'impérialisme romain et les prêtres collabos de l'époque a fini cloué (encore que c'est pour rajouter au sadisme, les crucifiés étaient simplement ligotés).
Au stade où j'en suis d'analyse il s'agit, dans l'ordre,
1. de rendre les français un peu plus sociables car leur logique actuelle c'est "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs"
2. si le point précédent se réalise faire une base viable d'économie survivaliste. Donc pas en France car cela est rendu impossible.
3. éduquer, sur le monde qui nous entoure, ceux qui en sont capables et désireux de comprendre
Et, effectivement, si ma vie est menacée je détalerais comme toute bestiole encore nantie de tonus vital. L'actuelle jeunesse française qui préfère se suicider que de se révolter, ce n'est pas mon truc. Ils ne sont même pas capables de se barrer.
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
La guerre de 14-18 a eut pour but principal de supprimer la classe paysanne devenue par trop excédentaire avec le début du machinisme agricole.
En effet mettre tous ces ouvriers agricoles au chômage aurait produit des troubles sociaux, des insurrections et même des révolutions.
Ce sont ces derniers qui étaient envoyés au massacre dans les tranchées, les non-paysans (artisans, techniciens) étaient affectés à des postes moins exposés (les 4 frères de ma grand mère moururent dans les tranchées, mais mon grand père, artisan, étant artilleur, donc moins exposé, survécu à ce massacre)
En Russie ce fut le mécanisme inverse : le peuple russe était lassé d'être envoyé contre les troupes allemandes, mieux équipées, se faire massacrer pour faire plaisir au tsar. Celui-ci fut donc renversé.
Mais voilà que son remplaçant, Kerenski, adulé un temps par la population russe, voulut mettre à nouveau celle-ci en guerre.
Cela ne passa pas et ce fut donc un "octobre rouge". Aidé par l'Allemagne, Lénine qui était en exil, rejoignit la Russie en déclarant haut et fort son opposition au maintien de la guerre. La paix fut donc signée par le traité de Brest-Litovsk et l'Allemagne en profita pour qu'il lui soit très favorable. L'Ukraine passa alors dans le camp allemand.
La guerre est toujours une guerre de classes.
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
9
-
Contrairement aux pays hispaniques supposés plus machistes, en France les emplois de bureaux sont, au moins, à 90 % féminin. Pas compris qu'il faut être une femme pour se servir de Word ou d'un logiciel de compta. Dans les annonces on demande toujours UNE secrétaire, UNE comptable et ça doit être aussi le cas dans l'éducnat et ce n'est pas nouveau, dans mes dernières années scolaires pré soixante-huitardes, toutes mes profs, sauf celui d'allemand, était des femmes.
Alors que dans les pays hispaniques (et je vis dans l'un d'eux, le Paraguay) il y a autant d'hommes que de femmes dans les bureaux
Dans l'éducnat, c'est la même chose, on envoie des jeunes femmes nunuches dans des classes composés de petits beurs en furie là où un jeune retraité officier de la Légion aurait la manière et le charisme de l'emploi.
Pour les pauvres hères téros qui ont eu le malheur de se marier, ce qui ne dure pas longtemps, ils sont systématiquement condamnés par la magistrature femelle. Ma mère me citait un dentiste conseil de la Sécu, qui avait été marié à une autre dentiste, donc égalité de revenus, avait été condamné aux dépens et a verser une pension faramineuse à son ex femme.
Telles des mantes religieuses, elles les dévorent financièrement.
Mais les mantes mâles courent toujours se faire dévorer par leurs femelles.... Et ça dure depuis le Secondaire...
9
-
9
-
9
-
9
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
Moi je suis un immigré légal au Paraguay. J'ai donc produit tous les documents pour, passé des visites médicales, toutes ces opérations étant payantes même si le coût n'était pas prohibitif. Cela se passe ainsi dans la plupart des pays avec diverses conditions. Certains veulent des retraites, pas forcément importantes, mais plus que la mienne qui est de 100 EUR mensuel. D'autre veulent un capital d'investisseur qu'il faut déposer à la banque. Une promesse d'embauche envers un autochtone réduisant le capital nécessaire. Cela me semble une bonne formule.
Pourquoi la France est une poubelle de l'immigration où quiconque peut venir, légalement et illégalement et toucher des subsides ? Un français émigré dans un autre pays ne touche absolument rien de son pays d'accueil.
La France, de toute évidence, a activé le vieux plan de Coudenhove-Kalergi afin d'effectuer un remplacement ethnique des français pour les remplacer, essentiellement, par des islamistes. Et les français, le pire étant les jeunes, sont dans un état d'abrutissement médiatique qu'ils trouvent cela très bien.
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
8
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
En 1984, j'avais fait, avec un ami, notre Paris Dakar à nous avec ma camionnette Renault R4F6, pas climatisée, bien sûr. Ce fut une rare année où la frontière avec l'Algérie, depuis le Maroc, était ouverte à Béchar. Route jusqu'à In Salah et son célèbre marché aux esclaves raptés en Afrique noire dont la plupart mouraient en chemin, surtout les enfants castrés. Route plein Sud jusqu'à Tamanrasset, piste en plein désert jusqu'à Arlit où nous avons retrouvé le goudron (et de la limonade fraîche).
Ce périple, à cette époque, n'avait rien de dangereux, maintenant c'est le terrain de jeu des islamistes dingues et sanguinaires.
Quand je pense qu'ils veulent des centrales nucléaires... Mais où c'est qu'ils vont trouver leur uranium ? Au Niger ! Pour rien au monde je voudrais retourner au Niger actuel !
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
Remarquable exposé de Monsieur Asselineau ! Dans ma grande candeur je croyais que les poulets s'il n'étaient pas franco-français étaient au moins encadré par des règles sanitaires européennes strictes.
Mais ça devient dingue la France où tout est fabriqué à l'extérieur !
Au Paraguay où je ne me fais pas trop d'illusions sur la qualité d'élevage de ces bestioles, il y a deux élevage industriels de poulets qu'on retrouve dans les supermarchés : Pechugon et K-zero. Le moins pire étant K-zero, un jeu de mot sur casero, "fermier" en français, ce qui est loin d'être le cas. Mais les paraguayens qui vivent beaucoup en quasi autarcie alimentaire ont, eux, de vrais poulets caseros.
Bref ceci pour vous dire que faire une importation étrangère comme le fait la France serait inconcevable ici. Tout ce qui peut être produit au Paraguay se fait sur place. Le tournesol n'est pas cultivé car les conditions climatiques ne conviennent pas. C'est donc l'Argentine qui produit pour le Paraguay et il n'y a aucun risque de pénurie. En réciprocité le Paraguay fournit du sucre de canne car les plantations de cannes à sucre ont un climat idéal au Paraguay. Tous ces échanges se faisant dans le Mercosur, l'équivalent de notre ancien "marché commun" où les travailleurs aussi peuvent venir travailler dans les pays voisins. Ce marché commun était nécessaire et suffisant. Les monnaies restaient nationales et le "serpent monétaire" empêchait les spéculations d'une monnaie sur une autre.
L'Europe actuelle est un non sens, un désastre financier sauf pour les parvenus de ces grands groupes qui trafiquent ensemble avec les facilités que leur donne Ursula sur les dos des peuples.
On a guillotiné "l'Autrichienne", Marie-Antoinette, pour bien moins que ça.
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
Il y a un salmigondis sémantique entre anti-dépresseurs et tranquillisants et autres. Ce ne sont pas les mêmes effets ni les mêmes indications.
Il faut une analyse clinique préalable à un psychiatre pour qu'il décide à prescrire un anti-dépresseur, généralement associé à un neuroleptique car l'antidépresseur est, en fait, anxiogène.
Il y a longtemps (1970) j'étais visiteur médical dans un grand labo suisse. Mais les visiteurs de niveau 1, dont moi, n'avaient pas le droit de parler des anti-dépresseurs aux généralistes et nous ne visitions pas les psychiatres. Seuls mes collègues de niveau 2 s'en occupaient. Et ils y passaient du temps car il fallait collecter toutes les données observées par les psychiatres sur ces produits car, mal employés, les anti-dépresseurs pouvaient conduire des malades au suicide par le phénomène de "levée des inhibitions" engendré, dans un but thérapeutique, par l'anti-dépresseur. D'où la prescription concomitante de neuroleptiques.
Les 3/4 de ce que je lis ici montre bien que ceux qui y répondent péremptoirement ne connaissent rien au sujet.
On ne guérit pas une vraie dépression par "de la volonté" ou par des "méditations" puisque, par définition, le malade est devenu incapable de faire un travail d'autoréflexion.
En fait on ne guérit jamais réellement et complètement d'une dépression (une vraie).
7
-
L'islam est implanté de force en France depuis la fin des années 70. Avant c'était juste une immigration de travail qui n'a jamais posé problème, mais depuis c'est une immigration de peuplement, autrement dit une invasion voulue par le pays d'accueil et aidée par tout ce que le capitalisme international a mis en oeuvre pour tuer la spécificité des peuples indigènes avec les Soros & Cie.
Mais peut-on dire qu'il y a des victimes innocentes ?
Pour qui votent les français depuis 40 ans si ce n'est pour des immigrationistes islamophiles ?
Faut pas maintenant jouer les vierges effarouchées ! Vous l'avez voulu, vous l'avez.
Fuyant le coranovirus avent le coronavirus il y a 10 ans, je peux vous dire qu'au Paraguay où je vis, le premier ne passerait pas du tout en plus qu'un immigré légal (un illégal est tout simplement inconcevable), comme moi, ne touche pas un rond du pays d'accueil, et le second n'éteint pas les libertés comme en France (les déplacements, ici, sont libres et les masques ne sont que pour les lieux où on reçoit du public).
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
J'entends toujours parler des hôpitaux (donc de l'Assistance Publique avec le fameux Robert Hirch qui ne supporte pas les médecins indépendants comme Raoult, Perronne et autres) mais qu'en est-il des cliniques conventionnées ? On n'en parle jamais, pourtant bon nombre d'entre elles reçoivent aussi les urgences.
Il y a bien longtemps mes quelques tentatives de recours à ces hôpitaux m'en avaient complètement dégoutté alors que je ne pouvais que dire du bien, à tous les niveaux, des cliniques conventionnées.
Et ma mère aussi, chef de centre divisionnaire à la Sécu, qui était scandalisée par les prix de journées des hôpitaux de l'AP par rapport à la facturation à l'acte des cliniques.
Juste deux exemples :
- petit kyste sur le lobe d'une oreille devenant un peu douloureux. Travaillant à l'Institut Pasteur je demande une consultation à l'hôpital Necker, proche. Reçu mais pour me dire qu'ils allaient m'interner et m'opérer le lendemain. Je fuis épouvanté !
Ce kyste fut retiré (et sans récidive par la suite) par mon médecin de médecine générale en 15 mn, moi assis sur un tabouret.
Vous imaginez le différentiel de prix pour la Sécu ?
- Accident de moto, clavicule en 4 morceaux, transporté par Police-secours à l'hôpital Saint-Louis. On me fait une radio tout de suite, mais après je végète dans une salle commune, et on me donne un sac poubelle noire pour mettre mes affaires. Il est juste question de me mettre un "boléro plâtré" le lendemain (toujours le lendemain semble une pratique de l'AP ça permet de facturer 2 journées). A nouveau je fuis épouvanté, non sans avoir engueulé copieusement le personnel parce que, ne pouvant me servir de mon bras droit, j'avais demandé à une fonctionnaire de me composer le numéro de téléphone de ma mère et qu'elle avait refusé.
Je vais, en taxi, qui me fut remboursé, à la "Clinique du Sud" que je connaissais par un ami qui avait eu, avec succès, une opération délicate à l'épaule. J'arrive aux urgences, c'est d'une propreté impeccable, on me fait attendre que peu de temps et je suis reçu par le professeur agrégé Pinson qui m'explique que le fameux "boléro plâtré" est une sottise car cela provoque une ankylose permanente de l'épaule. Il m'assure que cela va se rétablir tout seul avec juste un harnais de contention qui me tire un peu les épaules en arrière.
Ma mère était horrifiée ! "Un sac poubelle pour mettre ses affaires ! Au prix où ils facturent les journées en orthopédie !"
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
7
-
6
-
C'est un naufrage et c'est voulu ! On n'a de bons soumis qu'illettrés. Ce n'est même pas un problème ethnique, j'ai connu dans le sud marocain, des garçons bien lettrés en français et qui étaient capables de mener une discussion sur des concepts qui auraient déboussolé des petits français. Et pourtant leur langue de base n'est pas le français mais l'arabe.
Mon grand père, comme beaucoup à l'époque, s'était arrêté au certificat d'études et était parti comme apprenti peintre. Pour lui, faire des fautes d'orthographe était inconcevable, et dans ces familles populaires, la lecture était un loisir important. L'un d'eux, qui allaient être prof agrégé d'Histoire, se débrouillait dans ses cours de lycée avec ses lectures de romans historiques populaires aux questions. "À moi, Michel Zévaco !" disait-il.
Comme je suis un authentique boomer, catégorie méprisée actuellement car trop lettrée pour les imbéciles, je suis un fossile vivant de cette ancienne époque. Et le crétinisme global de la jeune génération résulte d'une planification aussi soignée que la désintégration économique voulue par la bande des oligarques de Davos
6
-
6
-
6
-
Pas grave nous disent nos énarques et Soros il suffira d'importer en masse des islamistes.
Y a juste un petit détail : ces derniers ne viennent pas en France pour travailler, mais pour faire leur bisness entre eux et, surtout, toucher des allocs.
Avant que je fiche le camp de ce pays-Titanic il y a 10 ans, j'avais une préretraite de 75 EUR tandis qu'un immigré illégal, reconverti en demandeur d'asile, touchait 920 EUR.
Donc le discours paléo-marxiste digne d'Arlette Laguiller sur les "immigrés qui seront payés moins que des travailleurs français" ne tient pas la route parce que, de toute façon, du travail il n'y en a plus, et pourquoi un employeur irait se coltiner un islamiste alors qu'il a des petits français bien soumis et même qualifié professionnellement qui vont accepter des "stages en entreprise" payés des clopinettes (si seulement ils sont payés).
Pondre des mômes dans la société covidiste et islamophile actuelle serait un déni de la réalité. La natalité avait drastiquement chuté pendant l'occupation allemande et, celle-ci, était moins pire pour les français, que la dictature sanitaire actuelle. Seuls les juifs ont eu vraiment à en pâtir.
Que la dictature chute avec le Frexit et la volonté populaire de reconstruction du pays et la natalité repartira à la hausse.
Ce que je dis est biologique et expérimental : une population de rats dans de mauvaises conditions de vie et avec une disette ne se reproduisent quasiment plus.
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles." commençait Valéry, en 1924, dans son premier Variété.
Je ne suis pas d'accord pour qu'on emploie le terme de "libéralisme" comme un épouvantail, quasi religieux, de la nouvelle bienpensance des nouveaux intellectuels. Le libéralisme est, tout simplement, ne plus être sous la botte des États, même si le "laisser faire" a besoin de quelques règles pour que l'économie ne se transforme pas en combat de coqs.
On ferait bien, plutôt, de s'inquiéter de la perte totale de tonus vital qui a lieu surtout dans l'actuelle jeunesse qui préfère se suicider que de se révolter. Alors qu'en 1968 les psys n'avaient plus un client car le tonus vital était au beau fixe.
L'hypertrophie de l'individualisme que l'on constate en ce moment n'est pas un produit du libéralisme, car, dans celui-ci, pour créer des entreprises indépendantes des États il fallait bien que se fasse des associations. Toute la fin du 18e siècle et du début du 19e a vu la création des sociétés capitalistes modernes, des associations qui ne devaient rien aux vieux codes féodaux. Et ceci à tous les niveaux car il n'est pas nécessaire d'être pété de tunes pour créer une SARL de commerce ou d'artisanat.
Le problème actuel en ce qu'il est inquiétant, c'est la perte totale de la volonté de s'associer avec d'autres.
Il y a 15 ans j'ai compris que la France c'était foutu et qu'il fallait décaniller dans un pays globalement libre sous peine de finir sdf et criblé de taxes et d'impôts. Espérance de vie d'un sdf : 50 ans, je rappelle.
Pour que cela soit profitable, il fallait donc des associés pour développer, plus facilement qu'en France, une activité économique. Pas besoin d'un gros capital pour autant, cela dépendait de l'activité envisagée.
J'ai donc arpenté pas mal de forums d'expatriation afin de trouver des associés branchés sur la même perspective. Pas un ! J'étais même prêt à prendre sous mon aile de vieil oiseau de mer déplumé un p'tit jeune qui, sans avoir de capital, partageait mes analyses et mes projets.
Mais il fallu se rendre à cette constatation : pour les français la règle était devenue "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs".
Aggravé par le fait que la métaphore zoologique de prendre les français pour des moutons ne tient pas, car ces bestioles apprécient d'aller dans les montagnes l'été alors que les français, telles des moules (Mytilus edulis) n'envisagent pas de quitter leur rocher même si celui-ci est mazouté.
Bon, comme moi j'ai de la suite dans les idées, je suis parti tout seul à 10.000 km du Titanic en train de sombrer et j'arrive à vivre comme un petit rentier.
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
Cela n'a plus rien de politique ! Il faut faire appel aux sciences humaines pour expliquer cela. Et encore avec bien du mal. J'ai des éléments pour expliquer l'extraordinaire soumission de la jeunesse qui préfère se suicider que de se révolter, mais pour cela il faut faire appel à la psychanalyse lacanienne, à la linguistique, etc. Impossible de développer cela en quelques lignes, vous imaginez bien.
Bref tout ça montre que c'est un pays foutu, en particulier parce qu'il n'a plus de jeunesse.
Mais "nous autres civilisations savons à présent que nous sommes mortelles" démarrait, en 1924 le livre prophétique de Paul Valéry, "Variété".
N'ayant rien du martyr, comme ce brave Florian qui va y laisser sa santé, je crois plus sage d'évacuer ce La Palma qu'est devenu la France car, entre les coulées de propagande et les propos nauséabonds des politiques, il n'y a plus rien à espérer. Et surtout pas par une farce électorale comme il y en a eu tant.
Et quand un navire coule il faut s'en éloigner le plus vite possible avant d'être entraîné avec lui dans les fonds. Heureusement il ne manque pas de pays encore libres sur cette planète et ils apprécieront grandement des gens qualifiés qui viendraient s'y installer. Donc tout le contraire des pseudos "réfugiés" de Soros qui envahissent la France pour imposer leur religion mortifère (elles le sont toutes, mais celle là plus que les autres).
Ça fait 11 ans que je vis au Paraguay et c'est l'un de ces pays libres.
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
Mais, braves gens, pour qui les français ont-ils voté depuis 40 ans si ce n'est pour cette immigration, subventionnée de surcroît ?
Si les français sont suicidaires et ne sont pas capables de faire ce que toute bestiole fait : défendre son territoire, à qui la faute ?
La France est un des rares pays qui accepte de se faire envahir par des gens qui la déteste et elle leur donne du fric, de surcroît.
Moi ce n'est pas le coronavirus, inexistant à l'époque qui m'a fait fuir ce pays, originairement le mien, il y a 11 ans, mais le coranovirus qui contaminait en masse.
Donc vous l'avez voulu, vous l'avez ! Trêve d'hypocrisie !
Si vous êtes capables de manifester à près d'un million contre le mariage gay, sans que j'ai compris ce que cela retirait au mariage hétéro, mais nullement contre cette invasion c'est que vous êtes des hypocrites que je méprise.
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
Effectivement il y a plusieurs type d'inflations. Quand ma mère, en 1971, a acheté un deux pièces à crédit, l'inflation était très forte, mais il y avait de la production, donc du travail, donc les salaires suivaient l'inflation. Si le patronat aurait refusé cette mesure de bon sens cela aurait produit des grèves pas tristes, car on n'était pas loin de mai 1968.
Donc, au début, les mensualités étaient lourdes, mais à la fin c'était comme un tout petit loyer.
Mais dans le contexte actuel de paupérisation d'un peuple de soumis et dans un pays qui ne produit plus rien (du temps de l'emprunt de ma mère il y avait encore une industrie, de voitures en particulier) l'inflation est compensée par rien et ils (les grands groupes financiers mondiaux) peuvent y aller à fond avec "des gens qui ne sont rien" comme le proclamait Macron.
C'est toute la différence entre le capitalisme keynésien et le capitalisme financier (que les imbéciles appellent libéralisme, car ils n'ont rien compris).
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
6
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
@sebs3155
Jeune homme il faudrait considérer l'étymologie d'anarchie. Ça veut dire un système d'organisation humaine sans État, ni plus, ni moins.
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
@alphonsegalurin7527 Mais Nicolas est un notable humaniste, cela n'a rien de péjoratif, mais, pour lui une révolution est inconcevable, il se raccroche aux règles constitutionnelles même si, Macron le premier, le pouvoir s'en tape.
Effectivement "« La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Monseigneur Hélder Pessoa Câmara
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ce n'est pas souvent que ça m'arrive.
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
Tout d'abord je salue François Gervais avec lequel j'ai beaucoup appris sur la climatologie faisant partie de mon cursus d'écologie (la vraie, la scientifique, faut-il le préciser).
Mais une petite réflexion géologique : l'élément chimique carbone est immuable quantitativement parlant selon l'aphorisme de Lavoisier "rien ne se crée, rien ne se perd". On peut avoir un apport d'eau par des météorites, mais rien, ou alors en quantité insignifiante, pour le carbone.
Autre point, et il faut remonter au Carbonifère, où les plantes de l'époque faisaient une honteuse chrématistique (pour reprendre le concept d'Aristote appliqué à la monnaie) avec le carbone qu'elle ne renvoyaient nullement dans l'atmosphère mais qu'elles enfouissaient dans leurs coffres-forts souterrains sous forme de lignite, de charbon, de gaz ou de pétrole.
Tout cela affamait littéralement les générations de plantes suivantes et ce jusqu'à notre époque. Quand, depuis la révolution industrielle, on a brulé avec entrain pétrole, gaz et charbon, cela a réjoui les plantes. "Enfin à manger !" se sont-elles dit et se sont développées avec entrain pour la plus grande joie, entre autres, des agriculteurs. Cela a été testé et constaté par les satellites dédiés "chlorophylle" car le développement agricole intéresse tous les businessmans de la planète et donne totalement raison au professeur François Gervais.
Personnellement je n'échangerais pas 2 barils (et même plus) de CO2 contre un petit pot de déchets radioactifs comme on nous le propose avec l'absurdité thermodynamique des voitures électriques.
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
« La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
5
-
5
-
Oui ce sont des excellentes paroles, mais "paroles, paroles, paroles" comme le chantait Dalida, on ne sait plus faire que ça. Or c'est d'une révolution dont on aurait besoin.
Oui, je sais, « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
Je ne dirais pas masochisme. Le masochisme se range dans la clase des névroses, hors Macron est un psychotique. Ceux qui ont étudié un peu la psychopathologie savent qu'il y a, en gros, deux catégories : les psychoses et les névroses.
Or Macron est un psychotique, ce que pensent les autres de lui, à commencer par les français ne le concerne pas. Jamais il ne se dit "Oh là ! J'ai gaffé !". Il est toujours dans son délire et son baratin logorrhéique où qu'il soit et sur n'importe quel sujet.
Plus rien n'importe pour lui pourvu qu'il se mette en avant avec sa logorrhée. Il est donc incapable de percevoir que quelque chose n'est pas passé dans son discours, il persiste. Rien ne l'atteint ! Avec son "en même temps" il peut dire tout et son contraire. C'est incohérent mais ce n'est pas son problème pourvu qu'il puisse se mettre en avant et parler, parler, parler.
C'est, en principe, un chef d'État, mais il est incapable de rester dans son bureau élyséen et de discuter avec ses collaborateurs sur les problèmes qui se posent en France. Au contraire quand une situation ne relève plus de son baratin, il prend l'avion et va discourir au bout du monde où la seule préoccupation de ses interlocuteurs est s'il va leur apporter quelques millions d'euros.
Voilà le personnages que vous avez élu, ou tout au moins que vous supportez sans vous rebeller.
Macron a développé une séduction perverse, "l'abject désir d'être aimé" de Michel Foucault
Foucault a développé cette idée dans son livre Surveiller et punir, publié en 1975. Dans ce livre, il analyse le développement des systèmes de surveillance et de discipline au cours des siècles. Il montre comment ces systèmes ont été utilisés pour contrôler les corps et les esprits des gens. Foucault soutient que le désir d'être aimé est l'un des principaux mécanismes de pouvoir qui permettent à ces systèmes de fonctionner.
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
Ce que je me suis dit il y a plus de 15 ans. Et depuis 12 je n'y vis plus. Ici, au Paraguay, mais c'est valable pour beaucoup de pays, il y a des conditions pour être résident, des formalités à accomplir et, au final, on se retrouve juste avec une carte de résident permanent, rien d'autre.
On doit tout se payer et c'est normal !
On appliquerait ces conditions en France, plus un seul africain ne voudrait y venir.
Or l'invasion continue inéluctablement. Elle est subventionnée, on réquisitionne pour eux des logements et pas des bidonvilles, dernier en date un château.
Ma mère, prioritaire pour avoir un HLM depuis 1948 n'a jamais eu la moindre proposition. Elle renouvelait sa demande tous les ans par LR-AR jusqu'en 1970 où elle a pu acheter un 2 pièces.
C'est le programme : détruire les français, leur économie, leurs finances, leurs boulots et jusqu'à leur territoire.
Mais ils ne se révoltent pas !
Au final ils ont ce qu'ils méritent...
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
@nuagenebulos6587
Un pays globalement libre (on l'a vu pendant la coronafolie) avec une population à la fois d'une crasse intellectuelle gigantesque mais d'un grand tonus vital. Ce ne sont pas les paraguayens qui se laisseraient envahir pas les islamistes.
De plus y être résident, c'est des tas de formalités d'État-Civil pour, au final obtenir une carte qui permet de... résider.
Mais il y a plein d'avantages : outre la monnaie qui est stable (comparer le guarani du Paraguay et l'euro sur le site xe.com sera impitoyable), les taxes sont très légères (dont l'IVA qui est moitié moins qu'en France) et se mettre à son compte comme artisan ou commerçant ne nécessite aucune taxe autre que s'inscrire au RUC.
Les créneaux : la rénovation-construction de maisons individuelles tellement ici ils travaillent mal (n'ont pas compris qu'il faut une pente pour évacuer l'eau et ils ne savent pas faire un béton armé élémentaire, l'électricité, n'en parlons même pas).
Il y aurait donc un créneau auprès d'une classe moyenne qui en a marre d'un travail de m***. D'autant que travailler bien ou travailler mal n'est pas fondamentalement plus cher. Une fois un peu connu, on refuserait des chantiers.
Il y a aussi l'importation de produits usuels qu'ils ne connaissent pas : les colliers atlas, par exemple, pour fixer des tuyaux et câbles sur un mur. Ils plantent un clou et entortillent un fil de fer !
Tous les corps de métiers ne sont pas aussi nuls, heureusement ! Le secteur médical est très bon (je me suis fait implanter un pacemaker il y a 8 ans) bien qu'essentiellement concentré sur Asunción. Il n'y a pas la dinguerie des voitures électriques, des médicaments interdits (seuls les opiacés nécessitent une ordonnance) et on n'y manquera jamais d'électricité car le grand barrage d'Itaipu fournit tout le Paraguay en électricité ainsi que les provines voisines du Brésil et de l'Argentine.
Voilà pour l'approche économique de base.
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
5
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
Essayez, je dis bien essayez, de connecter quelques neurones et on y va
1ere étape : la France a importé de la MO étrangère dans les années 60 car il n'y avait pas assez de travailleurs français
2ème étape : la génération du baby boom est arrivé sur le marché du travail, début des années 70
3ème étape : les travailleurs immigrés sont retournés dans leur pays avec leur pécule et certains avec une petite retraite.
4ème étape : mouvements sociaux importants (1968) et le vieux pouvoir gaulliste chancelle.
5ème étape : pour terroriser la population et maintenir son pouvoir le régime, sur conseil des USA, implémente des ghettos raciaux (le "regroupement familial")
6ème étape : ces derniers ne se veulent pas une variable d'ajustement et entreprennent une conquête islamiste du territoire
7ème étape : ce sont les attentats islamistes, les égorgement, les cités qui brûlent, etc.
8ème étape, l'actuelle : l'État est complètement dépassé par tout ce que certains avaient prédit (Laurent Obertone, Jean Raspail, etc.) et ne sait plus quoi faire.
Situation actuelle : tout a été programmé pour faire des français des moutons dociles : soumission aux piquouzes de la coronafolie, des confinements, des passes sanitaires. Mais aussi soumission à l'islam (qui veut dire soumission en arabe, tout un programme) qu'on importe en masse via les réseaux et les bateaux de Soros.
Et les plus futés, dont j'ai l'honneur de faire partie, regardent tout ça depuis 10.000 km, à la fois affligés d'avoir eu à ce point raison de partir et stupéfait que les français ne se révoltent toujours pas. Même réaction de tous les étrangers s'intéressant tant soit peu à la France et à sa (défunte) culture.
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
Il était dit, il y a longtemps, que chaque parisien nourrit son rat.
Ces bestioles, c'est ma spécialité (écologie et physiologie de la nutrition) et ce fut un des rares jobs où j'étais bien payé pour les étudier en Côte d'Ivoire à l'ORSTOM car ils faisaient des dégâts dans les plantations de palmiers à huile.
Il faut bien comprendre qu'ils vivent sur des territoires en mosaïque. Si un territoire est vide (son occupant est mort empoisonné) un autre prend immédiatement sa place. Donc c'est une lutte sans fin.
Pour les villes comme Paris, ce n'est même pas la peine d'essayer de les éradiquer, il faut vivre avec.
Les rats normaux, en bonne santé, ne sont pas dangereux, ce ne sont pas eux qui entrent dans les maisons, mais les souris. Ils vivent à l'extérieur et les espaces verts, ils adorent. Ils font leurs terriers dans les bosquets et vont quêter un peu de boustifaille au milieu des touristes. Très propres ils adorent se baigner s'ils disposent d'une étendue d'eau.
Les supprimer est impossible, malins ils repèrent les produits toxiques, genre graines empoisonnées et n'y touche pas. Le meilleur moyen c'est juste de réduire leur population (chaque parisien nourri son rat, mais pas 10 !) par des anticonceptionnels dans leur nourriture. Une population réduite de rats en bonne santé est la seule solution véritablement écologique car les rats sont associés à l'homme depuis la nuit des temps et les égyptiens adoraient la déesse chatte Bastet car ses chats protégeaient les réserves de grains des rongeurs.
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
La revue Nature, qui est une publication médicale sérieuse, relate 70 % d'effets secondaires avec le "vaccin"· Pfizer. "Du jamais vu pour un vaccin" a dit le Pr Raoult.
En cherchant bien on en trouvera toujours sur les "vieilles molécules" qu'ont pris des centaines de milliers de personnes, mais à la différence de ces vaccins ces cas seront rarissimes.
Par exemple, et dans le cas des vaccins, celui contre la fièvre jaune n'est pas anodin. Passé sans souci chez moi, il a valu une semaine d'hosto à mon équipier. Faut dire que lui est allergique à tout.
Ai-je dit qu'il ne fallait pas se faire vacciner si on va dans une zone où sévit la fièvre jaune ? Pas du tout ! Car le rapport bénéfice/risque est largement en faveur du vaccin car il n'y a pas de traitement et que la fièvre jaune est souvent mortelle. Tout le contraire de ce malheureux coronavirus, d'une mortalité globale de 0,05 %, touchant presque uniquement des très vieux (âge moyen des décès 83 ans) et pour lequel on a des traitements.
Car il faut faire "une analyse concrète d'une situation concrète", loin des délires des vrais complotistes : ceux des vaccinolâtres de la dictature sanitaire dont le but est tout autre que médical.
Eux ce sont les super soumis, comme l'étaient les collabos jusqu'auboutistes du régime Pétain, alors que la plupart avaient retourné leur veste en juin 44 comme Mitterrand, pseudo résistant.
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
Ah j'ai enfin compris ce fameux terme d'influenceur ! Car pour m'influencer il faut s'appeler Friedrich Nietzsche, Rosa Luxembourg, Jacques Lacan ou d'autres du même acabit.
Par contre je vois une foultitude de petits arnaqueurs qui sévissent sur Internet et ce n'est pas nouveau.
Ayant écrit 5 tomes d'une série de science-fiction "Les trafiquants des étoiles" et un roman dystopique orwellien, j'ai vite compris car je m'en doutais déjà que si on ne fait pas partie d'un petit monde - disons "influent" - on peut se brosser pour que les livres qu'on envoie aux éditeurs soient seulement lus. Ils vont directement à la poubelle ou, au mieux, on reçoit un courrier laconique de 2 lignes. Le même quand on écrit à une "offre" (sic) d'emploi. La seule possibilité est de mettre sa prose en dépôt sur Amazon en version e-book et broché. On a une belle page auteur pour présenter sa prose. Mais, perdues dans la masse, les ventes sont insignifiantes.
Mais sur cet aspect relationnel négatif se greffent des margoulins qui "offrent" des éditions à compte d'auteur plus ou moins déguisées, ou des "stages de formation" â l'écriture, à la relecture, ou au marketing de "comment vendre ses livres". Tout ça payant bien évidemment.
La dernière folie en date est cette IA ChatGPT, impossible à télécharger au demeurant (j'ai essayé), mais sur lesquels bon nombre de margoulins veulent vous offrir de devenir millionnaire, juste après un stage - payant - de formation. YouTube en regorge déjà.
On a eu exactement la même chose avec les cryptomonnaies où de bonnes âmes allaient nous aider à devenir millionnaires.
Le soufflé est retombé et il a fallu trouver autre chose comme ce chat GPT sorti d'un refuge de la SPA.
Je déconseille toutefois de spéculer sur les oignons de tulipe, cela a déjà été fait.
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
" Encore un siècle de journalisme , et tous les mots pueront "
Après avoir été un marxiste libertaire je deviens de plus en plus nietzschéen sur mes vieux jours.
" Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
J'aime bien Guy de la Fortelle ! Il nous annonce toujours des choses horribles avec un sourire en coin.
Chaque fois que je lis les infos du jour je suis conforté de voir tout cela depuis 10.000 km.
Ce qui n'empêche nullement les benêts de me vilipender parce que "j'ai fui" (eh oui, dans une maison qui brûle ou un rafiot qui coule, on fuit quand c'est encore possible...).
Tout cela implique le racket de plus en plus fort des peuples imbéciles qui vivent encore dans cette Europe. Mais ceux-ci sont ratiboisés à tous les niveaux : chômage, hausse de tous les prix, pénuries, taxes perpétuellement en hausse.
Et si on imagine que tous ne sont pas des crétins finis et ont décanillé à temps, comme moi, avec leurs brouzoufs, je me demande qui vont-ils pouvoir encore racketter vu que les citrons sont déjà pressés ? En tout cas ce ne seront pas leurs chers migrants qui, eux, sont subventionnés.
4
-
@andre 08140
« La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
Tout est basé sur une imposture sémantique : ce n'est pas le genre qui pose problème mais l'idéologie attachée par la société au genre physique. Ce que les sociologues US appelle le "sexual role". Ce trait sociologique est véhiculé actuellement par la publicité, mais il n'est pas nouveau, toutes les sociétés patriarcales, pas nécessairement islamistes, ont inculqués dans le psychisme des jeunes mâles ce qu'ils devraient être socialement.
La version actuelle, essentiellement publicitaire, a depuis longtemps inculqué que l'homme doit être un super macho et la femme une super putain.
Ce social role est cassé de façon ricanante par bien des gays qui signifient alors au système "être de super machos passe encore, mais nul besoin avons nous de super putains".
Le statu quo était donc posé et l'idéologie était donc bloquée.
Mais ça ne suffisait pas, il fallait inculquer, dès le plus jeune âge, le dénigrement sinon la haine de soi.
Pas question de risquer un nouveau mai 1968 (qui ne fut pas uniquement français faut-il le rappeler), la gouvernance mondiale inventa le "genre" en lui déniant tout caractère biologique et donc irréversible.
Toute l'idéologie actuelle veut que celle-ci impacte le corps physique, non pas dans la cosmétique, mais dans l'organique.
Une variante du suicide qui prend une forme plus progressive.
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
Sans le connaître j'étais sur les mêmes bases que Piero San Giorgio mais pas du tout sur les mêmes origines (moi j'étais un parisien ancien soixante-huitard libertaire).
Voyant la dégringolade inéluctable de la France, j'ai tenté, dans les forums immigration de regrouper des gens sur un projet commun. Je n'étais pas dogmatique, j'étais ouvert à toute proposition qui ne soit pas mystique.
Il était clair que cela ne pouvait se faire en France car, entre la gendarmerie et l'administration, aucune vie autonome n'était possible (je ne détaille pas). Toutefois il existe encore, dans ce vaste monde, des pays où une vie relativement libre est possible. Je m'amusais à penser que si on transférait toute la population du Paraguay en France, 80 % seraient sdf et sans ressources.
Mais ce fut impossible de rencontrer qui que ce soit sur un minimum de projet commun, des tartines de mal-être, des "robinsonnades" (l'expression est de Karl Marx) mais rien qui se veut un projet concret.
Bon, moi, comme j'ai de la suite dans les idées, je me suis délocalisé tout seul et je vis, pas trop pauvrement, mais sans gloire, comme un petit rentier.
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
Ce qui caractérise cette époque c'est l'extraordinaire soumission de tous ces gens qui ne veulent rien savoir.
Ce qui caractérise cette ancienne génération de Berkoff, Raoult et de moi-même pour me mettre immodestement dans le lot c'est que, selon la formule, "si c'est insupportable, on ne supporte plus" qui fut l'une des devises fondamentales de mai 1968, eux, supportent tout.
Ce que Aragon, en grand visionnaire, avait décrit :
"Rien ne vous sert, rien ne vous touche
Ni mes paroles, ni mes mains.
Et vous passez votre chemin
Sans savoir ce que dit ma bouche"
Je suis interpellé souvent par des imbéciles qui insistent pour que j'aille voter. Ils auraient insisté de même pour que je me fasse piquer.
Et inutile que je leur dise que ces élections, comme ces piquouzes, ne servent à rien, bien que cela a été cent fois prouvé, dans les deux cas.
J'ai d'ailleurs renoncé à toute vie sociale, je vis dans ma bulle culturelle. J'ai, un temps, prôné l'expatriation dans un pays possible à vivre, mais cela faisait flop. Outre que les français sont comme des moules accrochées à leur rocher, il y avait une sale mentalité que j'ai résumé par la formule : "plutôt crever tout seul que de s'en sortir â plusieurs".
Et épargnez moi le choeur antique "Meuh non, t'exagèèère !"
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
@siku8366
Hélas, cela n'a rien de sur ! Prophétisé en 1924 par Paul Valéry, je vous met le début de son Variété :
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.
Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux."
3
-
3
-
Refuser un emploi ? J'ai souvent été au chômage mais, au contraire, on ne m'a JAMAIS proposé un emploi !
Par exemple sortant de la liquidation de ma SARL d'informatique, donc hors champ ASSEDIC je n'avais rien à espérer que le RMI.
En m'inscrivant à l'ANPE je les avais prévenu : "Ne me focalisez pas dans l'informatique, d'autant que là dedans ils ne prennent que des stagiaires, je sais faire plein d'autres choses".
Bien sûr ils ne m'ont jamais proposé quoi que ce soit. Et pour cause... il n'y a rien.
Et "je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître", alors maintenant...
Mais ce qui est étonnant c'est que pour les petits français il leur faut un boulot salarié et dans leur région.
Or je leur ai expliqué que, au Paraguay où je vis, outre qu'on était hors de la coronafolie, il y avait du boulot à son compte dans la rénovation bâtimenet qui pouvait être très rentable avec peu de capital.
Mais aucun écho, la France, et ce n'est pas nouveau, est un pays de fonctionnaires. Une voisine, dans un temps ancien, était contente que sa fille "avait une bonne situation à la poste".
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
Les boomers, dont je suis à 75 ans, jeune homme, ont passé leur jeunesse à apprendre au lieu de se trémousser le bras en l'air sur une musique tap-tap boum-boumante. Nos chanteurs c'était Léo Ferré, Anne Sylvestre, Cora Vaucaire, etc.
Ce n'est pas nous qui nous serions fait manipuler par une petite psychotique sur "l'urgence climatique". Ce savoir nous a servi à ne pas tomber bêtement dans une propagande pourtant stupide et de surcroît répétitive (il vont la lâcher quand la coronafolie ?).
Et beaucoup, dont je suis, ont décroché de vivre dans ce pays de crétins qui va être complètement submergé par les bandes islamiques.
Apprenez donc, jeune homme, que ce n'est pas avec l'âge de ses artères qu'on peut déterminer si on a encore du tonus vital. La preuve : les psys sont débordés, les états suicidaires explosent alors qu'en mai 1968 les psys n'avaient pas un client.
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
J'ai juste expliqué sur un autre forum que ma grosse toto quatquateuze diesel avait un entretien minime en 12 ans d'usage (outre les vidanges, j'ai juste eu à changer récemment les pompes hydrauliques de l'embrayage et j'ignorais complet que c'était devenu hydraulique). Et que je ne me voyais pas arpenter l'Amérique du Sud avec une voiture électrique déjà qu'au Chili ou en Argentine quand mon grand réservoir de 55 litres n'en est plus qu'à un quart il est temps de faire des mamours à la prochaine pompe.
Mais, bien que mon propos soit principalement technique les partisans de la chaise électrique, bien que reconnue supérieure à la chaine à porteurs m'ont agoni d'injures. Difficile de faire admettre à certains qu'ils se sont fait berner. Même choses avec les covidiots, me direz vous.
Effectivement on ne peut pas tout faire, surtout si c'est mobile, avec de l'électricité. Le charriot électrique Fenwick que je bichonnais dans mon dépôt, se rechargeait la nuit pour être pimpant le lendemain matin et il avait l'indéniable avantage de ne produire aucun gaz désagréable quand il arpentait les travées.
Mais on ne peut comparer que ce qui est comparable. On peut imaginer une voiture électrique qui n'irait qu'au supermarché à 15 km et qui se rechargerait la nuit. Mais ça serait un peu cher . D'autant que les dits supermarchés vont passer de plus en plus à la livraison à domicile y compris avec les produits frais. Juste une question de bonne logistique, pour cela. Et un petit fourgon qui fait la livraison des clients du secteur, ce n'est pas la ruine.
De même que je ne perdais plus mon temps à chercher des fringues dans les boutiques "désolé mais on n'a pas votre taille" et, avec un peu d'appréhension, j'ai commandé chez La Redoute et c'était parfait.
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
Il faut voir historiquement le passé de l'Ukraine.
Opposé au traité de Brest-Litovsk validé par Lénine, l'Ukraine a été mis dans le camp allemand. Faut dire que Lénine n'avait pas trop le choix sinon la guerre avec l'Allemagne reprenait et c'était très dommageable pour la Russie.
L'Ukraine a eu une tentative d'émancipation libertaire avec Nestor Makno, mais cela a foiré (pas assez nombreux).
Pendant la seconde guerre les ukrainiens étaient en masse dans le camp nazi, fournissant des supplétifs à l'invasion de l'URSS qui massacraient les villages. Même leur férocité heurtait les nazis, c'est dire.
Il ne faut donc pas s'étonner que les russes actuels ne les aiment pas beaucoup.
Surtout s'ils veulent recevoir des bases de l'OTAN pour rejouer la crise de Cuba de 1962, mais dans le camp adverse.
Poutine ne pouvait pas supporter cela. C'est un tyran, certes, mais pas un imbécile.
C'était aussi prévisible que l'UE se coucherait dans le camp américain la Ursula étant plus américaine qu'allemande on l'a vu dans ses relations avec Pfizer.
J'l'avais dit depuis longtemps qu'il fallait vivre ailleurs ! Et bien avant la farce du coronavirus, le coranovirus pandémique en France montrait les perspectives. Et, pour ma part, j'ai foutu définitivement le camp de ce pays il y a 11 ans.
Vous allez donc vivre dans la misère (chez moi, Paraguay, le gasoil est à 0,83 EUR) et ce à tous les niveaux puisque plus rien n'est produit en France. Et soyez heureux si vous ne prenez pas une bombe atomique, ne fut-ce que tactique, sur la tronche.
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
La révolution ! Oui, je sais « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
Soyons réalistes et n'ayons pas peur de voir la vérité en face.
La pandémie/récession, donc intimement liées n'ont pas "éclaté comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu" (la réflexion est de Mao Zedong). Ce fut longuement préparé à l'avance.
Quand ? Eh bien c'est simple car bêtement quantitatif : quand les 100 premières société financières ont eu un chiffre d'affaire 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles. (Bernard Maris, Manuel d'anti-économie, tome 1). Et "les changements quantitatifs entraînent des changement qualitatifs" (Lénine).
Autrement dit c'en était fini du capitalisme keynésien (ou fordiste) où le travailleur était aussi un consommateur. En conséquence il lui fallait un salaire correct, du temps libre, ne fut-ce que pour faire rouler les Ford-T de Mr Henry.
Rappelez-vous les années 70 ! La grande offensive de la "mondialisation" : les délocalisations (en Chine principalement) les liquidations d'usines, même les performantes avec, bien sûr, le matraquage et le grenadage de ceux qui osaient s'insurger contre cela. Faut vraiment être pourri comme un journaliste pour appeler cette milice une "force de l'ordre".
À ce sujet Maurice Allais, prix Nobel d'économie, avait sorti un gros bouquin : "La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
Fin 2019 rebelote ! Tous les corps de métiers très remontés contre la Macronie, même les avocats. Les bénéfs du CAC 40 paradent (comme ce dernier jour à New-York) alors que la pauvreté explose. Les forces du désordre ne savent plus ou donner de la matraque, de la grenade et du LBD.
Et puis, miracle, miracle ! apparait le coronavirus, bien plus méchant que ses semblables, et pour cause, il a été trafiqué à Wuhan et le professeur Montagnier et ses collaborateurs y retrouvent des séquences du VIH.
Merveilleux ! On trouve ce prétexte en or pour enfermer tout le monde !
Et défense de se soigner ! L'hydroxychloroquine est interdite de prescription, le grand classique des macrolides pour les infections respiratoires, l'azithromycine est interdite aussi et les vieux dans les EPHAD sont achevés au Rivotril.
Un scénario issu des fantasmes nazis, mais que les français acceptent et s'y soumettent.
Et ça continue !
Malgré tout le respect que je vous dois, Monsieur Asselineau, il est tout à fait chimérique de croire qu'une élection présidentielle va changer quoi que ce soit. D'abord ce ne sont pas les français qui votent mais les médias tenus par le capitalisme financier. On l'a vu avec l'élection du pantin Macron.
Seule une révolution peut sortir de cet effondrement mortifère. Ce que je conclue dans ma dystopie orwellienne "2084 ou le confinement perpétuel" (se trouve en ebook et broché sur Amazon : https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD). Mais dans la vraie vie je ne crois pas que les français soient capables de se sortir de cette pulsion de mort. Il faut voir l'extrême soumission de la jeunesse actuelle.
Après tout "Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles." écrivait Paul Valéry en ouverture de son "Variété" de 1924.
Je crois que les civilisations qui émergeront au 21e siècle seront les civilisations asiatiques. Elles l'ont montré dans leur gestion de cette pandémie alors que l'Europe a été un désastre en plus de la corruption (plus d'un milliard d'euro pour acheter du Rivotril, inefficace et toxique et dénoncé depuis longtemps par le professeur Raoult et son équipe).
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
Alllons, allons, la nature humaine n'est pas si mauvaise que ça ! Même la mienne 😂
Dans l'un de mes jeux préférés, Fallout 4, je suis milicien et je gère et défend, entres autres aventures, des colons qui s'installent dans des parcelles dans un monde post apocalyptique nucléaire. Et les ennemis ne manquent pas. Je dois gérer au mieux, leurs ressources, leur armement, etc.
Il y a toutes sortes de factions : des zombies appelés goules sauvages, des mercenaires plus ou moins bien organisés, des pillards, des mutants, etc.
Dans la vraie vie, même si ça serait moins folklorique, il faudrait retourner à ce mode de vie, quelque peu moyenâgeux, même avec les ustensiles de l'entreprise Kalashnikov.
Mais les français auraient-ils encore du tonus vital ?
Au vu de ce qui se passe dans certains "territoires perdus de la République" on peut en douter.
Paradoxalement, au Paraguay où je vis et où le niveau intellectuel et même technique est désastreux, le tonus vital, lui, est intact, une soumission de type Macron ou une invasion islamique serait inconcevable.
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
Quand j'ai quitté définitivement la France il y a 12 ans, et c'était en préparation depuis 15, ce n'était pas le coronavirus l'épidémie, mais le coranovirus. Et je constate que mes pires prédictions se sont réalisées : malgré les pires attentats (Bataclan, Nice) et assassinats, l'islam continue sa progression en France en toute impunité, les politiques se couchant sur leur tapis à prière.
De toute façon le pli est pris et dans 20 ans il n'y aura plus la moindre culture française dans le Frankistan occidental.
Je voyais un reportage sur YouTube sur les enfants esclaves de Dakar. Sous la férule d'un maître musulman, ces gamins n'avaient que la contrainte d'apprendre le Coran et de mendier pour enrichir leur maître musulman. Et s'ils ne rapportaient pas assez ils étaient battus.
Alors que le Sénégal sous la colonisation française c'était les écoles, les hôpitaux, les routes, la voie ferrée avec Bamako, les instituts de recherches. Il n'en reste plus rien, la très belle ville de Dakar est devenue immonde et sale comme toutes les villes du tiers-monde.
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
La faillite des p'tits com n'a pas attendu le virus couronné depuis l'informatique, le Web et la VPC.
Et, par pitié, cessez de vous polariser sur Amazon ! De nombreux commerces spécialisés, pas forcément très grands, vivent exclusivement de VPC. Ce sont les sites de composants informatiques, les quincailleries pros et même les marchands de vêtements car les boutiques désolé-je-n'ai-pas-votre-taille, alors qu'on est dans un classique 42 c'est lassant outre la perte de temps. Au final de ma vie française, donc il y a plus de 11 ans, j'achetais avec satisfaction mes vêtements chez La Redoute.
Donc de grâce ne mettez pas tout sur le dos de notre virus et de notre Macron couronné l'évolution de la distribution.
Avec le pass sanitaire on va pouvoir faire du positif avec du négatif : finie la corvée des courses au supermarché, on achètera tout par VPC et on sera livré.
Le créneau d'emploi de livreurs débrouillards va monter en flèche.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
C'est fini les boutiques !
Et je ne parle pas de celles, techniques, où on achète des composants informatiques qu'on se fait livrer mais, même les vêtements. Perdre son temps dans les boutiques pour se faire dire "désolé mais on n'a pas votre taille" alors que la mienne, de taille, est standard.
J'ai donc un peu hésité, mais comme La Redoute, jurait qu'ils pouvaient reprendre si on n'était pas content de la forme ou de la taille, je me suis laissé tenté. Rien à redire, tout allait parfaitement et était de bonne qualité. Et je n'avais à aller nulle part.
Depuis je suis un fana de la VPC.
J'ajoute qu'il n'y a plus rien dans le Quartier Latin. Boulevard St Germain, tout comme la rue de Rivoli ce sont des boulevards fringues godasses. C'est bon pour de riches bonnes femmes oisives autocentrées mais pas pour des personnes normales.
Les supermarchés aussi vont s'y mettre. Les produits frais seront un peu plus difficile mais avec de la qualité et une bonne logistique ça devrait marcher. Finie la corvée des courses.
En plus de l'angoisse, à la sortie dans l'énorme parking : "Où j'ai mis ma bagnole ?". Pas original pour deux sous, j'avais acheté une Ford Focus gris métallisé. Et toutes les bagnoles qui étaient vendues en France étaient gris métallisé. Pas de choix ! J'ai tenté de demander au concessionnaire rose avec des étoiles vertes mais sans succès. Au moins, au Paraguay, j'ai pu acheter un pickup Isuzu rouge !
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
"Je n’en citerai qu’un exemple : les grandes vertus des peuples allemands ont engendré plus de maux que l’oisiveté jamais n’a créé de vices. Nous avons vu, de nos yeux vu, le travail consciencieux, l’instruction la plus solide, la discipline et l’application les plus sérieuses, adaptés à d’épouvantables desseins.
Tant d’horreurs n’auraient pas été possibles sans tant de vertus. Il a fallu, sans doute, beaucoup de science pour tuer tant d’hommes, dissiper tant de biens, anéantir tant de villes en si peu de temps ; mais il a fallu non moins de qualités morales. Savoir et Devoir, vous êtes donc suspects ?"
(Paul Valéry, Variété)
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
@philippecabourdin1082
Anecdote : Pause à Dakar et on décide, avec mon ami, d'aller le soir se trouver un petit restau. Soudain en face de moi un mec, passablement halluciné avec un couteau à la main. Et qui clame "Donne moi ton argent sinon je te tue au nom de Dieu !"
Bon, je ne sortais pas sans biscuit et j'avais, en holter, un poignard de l'armée japonaise. Je me disais juste : "Qu'est-ce qu'il nous expliquait notre maître de karaté sur les bagarres au couteau ? Ah oui la tenue du poignard dans un poing fermé".
Donc mise en main comme il faut et j'avance vers le cinglé qui me paraissait sérieusement drogué.
"Et moi je te tues au nom du diable !"
Il n'a pas insisté et s'est enfui. "Thank you Satan" (Léo Ferré)
Le lendemain matin je raconte notre anecdote à une secrétaire du BRGM.
"Mais il faut être fou pour sortir, la nuit, à Dakar"
"Non, que je lui répond, pas obligatoirement, mais ça aide..."
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Je suis totalement en accord avec ces propos. Auteur d'une série de S-F de 5 volumes : les trafiquants des étoiles, j'ai tenté de me faire éditer, sans y croire. En envoyant aux éditeurs du genre mon "manuscrit" (en fait un fichier Word) du tome 1, je ne me faisais aucune illusion et la suite me donna raison. C'était comme envoyer une "candidature spontanée" à une boîte où règne le népotisme.
Mais il faut les comprendre ces pauvres éditeurs : ils sont trop occupés à corriger les fautes dans le dernier bouquin d'Olivier Véran, de les envoyer en "office" à toutes les "maisons de la presse" et puis récupérer plus tard les 99,5 % d'invendus pour les envoyer au pilon.
Donc ma série n'a eu qu'une petite diffusion via Amazon et c'est tout.
Idem pour mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" qui était vilainement complotiste.
J'ai aussi écrit une nouvelle de fantastique : "Nous irons tous au paradis (même moi)" qui est un genre difficile surtout en nouvelles.
Toutefois on ne peut plus écrire de la S-F à la façon d'Asimov sur la robotique et les déplacements dans "l'hyper espace", il faut mentir (ce qui est la définition même de l'écrivain) mais que ce mensonge soit vraisemblable. Me suis-je cassé la tête moi qui ne suis qu'un biologiste-biochimiste avec l'astrophysique. Certes le diagramme de Hertzsprung-Russell des étoiles n'eut plus de secret pour moi et je fis des acrobaties dialectiques pour dépasser, sans la dépasser vraiment, la vitesse de la lumière. Mais j'ai lu qu'un théoricien de l'astrophysique avait émis une idée qui se rapprochait de la mienne. Quant aux fameux "trous de vers" que les astrophysiciens "sérieux" dédaignaient, j'ai lu qu'on en avait détecté un récemment.
Sur le plan humain : les "trafiquants" de ma série sont, en fait, des caboteurs de l'espace et ils livrent des marchandises à des planètes que les grands transporteurs ne peuvent livrer. De la même façon qu'un porte containers ne va pas en livrer un seul à une petite île.
Mais ces personnes ne peuvent plus vivre sur le plancher des vaches car le paradoxe de Langevin leur donne, par rapport aux autochtones une jeunesse presque perpétuelle et rend impossible une liaison avec une famille autochtone. "Terrien, t'es rien !" est l'expression favorite des trafiquants qui ne savent plus qu'elle est d'un certain Thiéfaine.
Au final, comme j'écris, quand même, pour être lu, j'ai renoncé à poursuivre malgré les idées qui me galopent dans la tête (j'avais écrit la moitié du tome 6).
Abonné aux actualités de Babelio, je constate que ce qui se publie actuellement sont essentiellement des histoires de femmes, écrites par des femmes et pour des femmes. Donc je peux me ramasser avec mes histoires...
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
J'ai passé deux dizaines d'années dans un pavillon au S de Toulouse. Dont les jardins communiquaient entre eux par des grillages à grosse mailles pour le bonheur des hérissons et mêmes quelques petits mammifères carnassiers que j'ai entrevu quelques fois.
Au niveau insectes c'était aussi très pourvu, non seulement les abeilles, mais aussi les belles cétoines installées dans les roses.
Mais tout ceci a disparu car la municipalité s'est mise, avec des camions spéciaux, à pulvériser des insecticides la nuit à tout va.
Résultat : plus de vie dans les jardins, plus de cétoines, plus d'abeilles, plus de moineaux, plus de hérissons et plus d'hirondelles qui venaient nicher dans leurs "maisons de campagne" sous les toits chaque été et dont je voyais les petites têtes noires et blanches qui me regardaient avec curiosité.
Consolation : on a toujours autant de moustiques car, les insecticides, c'est connu, s'en prennent aux espèces les plus fragiles, dont les libellules dont les larves s'empiffrent de larves de moustiques.
Il était temps, pour moi, de décaniller de ce pays de plus en plus invivable à tous points de vue. Au Paraguay, je vis dans un petit immeuble avec une grande terrasse qui donne sur des jardins avec de grands arbres, inaccessibles depuis la rue, même s'il venait à l'esprit de la municipalité, la stupidité d'envoyer des camions pulvérisateurs d'insecticides
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
@christophedutt9658 La boussole est trop imprécise, tu dates, mon GPS Garmin, pas plus grand que le plus petit des téléphones portable me donne ma position à 3 m près. Le problème des cartes IGN et autres, c'est qu'elles ne sont pas carroyées comme les cartes marines que j'ai beaucoup pratiquées. Donc tu as un point précis que tu ne peux par mettre sur la carte, idiot, non ?
J'allume un feu, non pas avec un silex (pas de silex ici), mais avec un mini briquet et, où je vis, il est parfaitement légal d'acheter un automatique 9 mm. le mien est un CZ avec 16 balles dans le chargeur, donc même en tirant comme un pied...
Car je crois que le "survivalisme" va être sérieusement à l'ordre du jour. Pas en France bien sûr où on a juste le droit de se faire égorger comme des moutons, il faut quand même se trouver un pays de vie possible comme je l'ai fait en quittant la France, il y a 10 ans, pays qui crève et qui veut crever.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
@julosx Les sociétés "alternatives" que j'appellerais plutôt marginales sont, effectivement, un mode de vie qui serait intéressant. Cela a été creusé, expérimenté, puis... abandonné dans les années post soixante-huitardes.
Je serais pour un certain survivalisme inspiré de ces tentatives.
Mais ça serait impossible à réaliser en France. Plutôt dans le pays comme le mien où je vis actuellement.
Mais c'est totalement inenvisageable avec les français qui sont dans l'hyperindividualisme morbide que je résumerais par la formule "plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs". Mon expatriation remonte à 11 ans, mais avant de passer à l'acte j'ai cherché, dans les forums spécialisés, s'il n'y avait pas des gugusses dans mon genre, marginal, certes, mais pas asocial pour autant. Mais il n'y avait que des rêveurs et personne de concret.
2
-
2
-
2
-
2
-
Ce n'est pas nouveau et la coronafolie n'a fait qu'amplifier les choses.
Le problème est autre : dans la société française actuelle l'enfant est enfermé avec ses parents ! Il n'a plus de contact avec les autres, que ce soient d'autres enfants comme lui ou des adultes (immédiatement taxés de pédophiles). Pas étonnant que cela en fasse de petits psychotiques.
Autre point : scotchés devant la téloche avant même le stade du langage, le registre du symbolique est très pauvre, ils ne savent pas lire, ne comprennent pas la subtilité des mots et tout est perçu comme une totalité qu'ils acceptent ou refusent en bloc (Jacques Lacan et ses confrères l'ont bien expliqué).
Vient ensuite l'adolescence où, enfermé chez papa-maman (les grands parents sont rares car ils ne vivent pas avec eux) jusqu'à bac+5 cela en fait les crétins soumis que nous connaissons (comparé à ceux de mai 68).
Pour remonter seulement à mes grands parents, on allait généralement à l'école jusqu'au certificat d'études, puis on partait souvent du milieu familial comme apprenti ou mousse. Ceci vers 13 ans. On ne restait pas seul ! On copinait avec d'autres de son âge, mais aussi avec des adultes qui, souvent, prenaient sous leur aile ces petits jeunes.
Donc bien qu'issu de ce milieu populaire, ma mère me racontait que mon grand-père que je n'ai pas connu était un lettré, amateur d'opéras et de bons vins (plutôt de Bourgogne) et pour qui faire une faute d'orthographe était inconcevable. Il critiquait même les plumes dures, "sergent major" de l'école de ma mère car elles de permettaient pas de faire des pleins et des déliés.
Cette époque était la France, la vraie, celle qui n'existe plus.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
« En quelque soir, par exemple, que se trouve le touriste naïf, retiré de nos horreurs économiques... »
Arthur Rimbaud dans les Illuminations, intitulé « Soir historique ».
Cette expression, "L'horreur économique", fut reprise par Viviane Forrester, grande dame du Femina, pour la paupérisation qui commençait en son temps en France et qui n'avait jamais connu cela depuis la Libération.
On peut même parler d'une horreur sans fin que nous montre Marc Touati avec ses beaux, et explicites, graphiques.
Mais la question sociologique est : "Y a-t-il des victimes innocentes ?"
La soumission perpétuelle, à la paupérisation croissante, à l'invasion islamiste et à la coronafolie des piquouzes (dangereuses) et des confinements, ne donne pas une bonne impression du dynamisme vital des français.
Car "nous autres civilisations savons maintenant que nous sommes mortelles" écrivait en 1924 Paul Valéry en commençant son premier "Variété"
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
La monnaie dite fiduciaire est donc basée sur la confiance.
Si cette monnaie n'a qu'une confiance accordée QUE dans un pays, c'est comme les billets de Monopoly dans une partie en cours. Le cas du dirham marocain, par exemple, car il n'est pas échangeable en dehors du Maroc.
Mais sur quoi repose la confiance qu'on a dans une monnaie ?
Ce sont des valeurs mobilières et immobilières.
Par exemple la France vaut pour tout l'immobilier construit privé, industriel, commercial, agricole qui s'y trouve.
Plus difficile à chiffrer : la population et son niveau de savoir professionnel. Un ingénieur "vaudra" donc plus qu'un chômeur ou un sdf.
La production industrielle et agricole au niveau export. Par exemple un petit pays comme le Paraguay est assuré d'avoir une monnaie solide car il produit, à l'export, de la viande, du lait et du soja. Par contre il ne fabrique rien. Tout le contraire du Japon, par exemple, qui n'a rien d'agricole à exporter mais des voitures et autres produits manufacturés à valeur ajoutée. Le yen n'est donc pas de la gnognote. Alors que la France chute vertigineusement au niveau de ses produits exportables (liquidation de l'industrie depuis les années 70 et impasses idéologiques sur des modes comme les voitures électriques).
D'accord avec tout ce que j'ai écrit ?
Bon passons donc aux cryptomonnaies. Certes les transactions sont fiables, elles ne sont pas piratables et possède l'avantage de ne pas dépendre d'une seule et unique banque. Comme bibi, jeté comme un malpropre de Boursorama Banque où j'étais un client modèle (jamais de découvert et "d'incidents de paiement") depuis 15 ans. Et impossible de migrer sur une autre banque française malgré tout ce qu'on raconte sur le "droit au compte". Râler auprès de la Banque de France ne sert à rien, ils ne répondent pas, c'est tout.
Le dilemme est donc : faire confiance en une monnaie, sécurisée, certes, mais basée sur rien ou une monnaie, autrefois basée sur les valeurs sus décrites mais qui ne sont plus ça actuellement et qui part dans la planche à billets (d'autant plus aisée qu'il n'y a rien à imprimer) du koikilenkoute.
Ou être un super malin comme Waren Buffet pour flairer les variations de valeurs des actifs capitalistes.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
À propos de Noam Chomsky 2 citations :
« Tout gouvernement a besoin d’effrayer sa population et une façon de le faire est d’envelopper son fonctionnement de mystère. C’est la manière traditionnelle de couvrir et de protéger le pouvoir : on le rend mystérieux et secret, au-dessus de la personne ordinaire. Sinon, pourquoi les gens l’accepteraient-ils ? » (Noam Chomsky, Comprendre le pouvoir : Tome 1)
« On avait parfaitement compris, longtemps avant Georges Orwell, qu’il fallait réprimer la mémoire. Et pas seulement la mémoire, mais aussi la conscience de ce qui se passe sous nos yeux, car, si la population comprend ce qu’on est en train de faire en son nom, il est probable qu’elle ne le permettra pas. » (Noam Chomsky, La doctrine des bonnes intentions)
2
-
2
-
2
-
Comme toujours avec Monsieur François on a eu un remarquable exposé de la situation.
Mais, en vieux dialecticien retord, je suis toujours partisan de faire du positif avec du négatif.
Et si l'abstention massive (56,31 %) auquel s'ajoute le nombre sûrement considérable des non inscrits parmi les jeunes majeurs étaient une force de la conscience et non une faiblesse ?
Certes ces jeunes (ou moins jeunes) abstentionnistes n'ont pas la culture et la rhétorique nécessaire pour expliquer vraiment ce qu'ils ont réalisé, sans en avoir même la volonté politique. Mais les faits sont là et sont têtus. Et cela s'aggrave de scrutin en scrutin. Il s'agit, non pas, de faire barrage à un parti, mais à un système politique qui a montré pire que son inefficacité, mais sa malfaisance. "Castors de tous les avis, unissez-vous" dirais-je dans la métaphore politique animalière.
Rien qu'au niveau sanitaire les mesures autoritaires imposées ont causé plus de morts que l'épidémie, au demeurant banale.
Et on peut appliquer cette analyse et cette conclusion sur la santé à TOUS les domaines : les retraites, l'éducation, l'industrie, l'agriculture, sans oublier la désastreuse immigration considérée comme une obligation de se faire envahir par les islamistes en les subventionnant par dessus le marché.
Les magouilles politiciennes de Macron n'intéressent personne même si les merdias nous bassinent avec. Pire elles accentuent le rejet de ce monde politique.
Cela débouchera-t-il sur une explosion salutaire ou finira-t-il dans une décomposition silencieuse ? On ne peut pas le dire. Mais, pour ma part je suis bien content de voir ce désastre depuis 10.000 km.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
J'ai osé écrire un roman dystopique orwellien "2084 ou le confinement perpétuel" où il n'y aura JAMAIS de "sortie de crise", plus exactement de libertés retrouvées.
Cela est décidé par la poignée de super capitalistes financiers qui dirigent la planète. Avant la seconde guerre mondiale on parlait des "200 familles" depuis c'est drastiquement réduit je crois qu'il n'en reste plus que 29, mais qui dirigent tout (groupe Bilderberg, forum de Davos).
Le capitalisme keynésien (ou fordiste) est à la ramasse depuis que les 100 premières société financières ont eu un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles (c-f Bernard Maris, manuel d'anti-économie, tome 1)
Donc c'en était fini de la société dite "de consommation" où le prolétaire producteur était aussi un consommateur. Car le capitalisme financier ne produit plus rien ou bien alors dans des pays où, le moins que l'on puisse dire, c'est que leurs prolétaires ne sont nullement des consommateurs.
Dans la société française on a tout cassé ou délocalisé dans les années 70 et Maurice Allais, prix Nobel d'Économie, a écrit un gros bouquin "Le mondialisme, la perte des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
Maintenant on vise la suppression physique de ces gens inutiles et potentiellement séditieux (interdictions des médicaments utiles, vaccins au mieux inefficaces et dangereux) car, comme disait Macron en visite dans une gare "On y voit ici des gens qui ne sont rien" et, au sujet des retraites et des chômeurs "qui coûtent un pognon de dingue" (mais il n'a pas dit ça pour le remdesivir acheté par l'UE pour un milliard d'euros).
Le lien pour mon bouquin : https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Dans le 5e volume de ma série de S-F "Les trafiquants des étoiles", j'aborde le problème de l'IA a un niveau très évolué avec de super robots. Ces derniers ont des maîtres créateurs organiques dont le niveau de savoir et de conception robotique dépasse l'entendement des plus évolués des robots. Mais ces créateurs sont victimes d'une maladie dégénérative que, malgré tout leur savoir, qui n'est pas aussi fort en médecine qu'en robotique, ils n'arrivent pas à soigner. Ils disparaissent donc tous.
Or ces robots, peuvent, mais ne sont pas motivés pour être autonomes. Ils se définissent comme une civilisation de services, ils sont donc comme de super rônins, samouraïs dont le maître est mort alors que eux ne peuvent vivre, en tant que samouraïs, comme des personnes ordinaires.
Ils en sont donc à se demander s'ils ne doivent pas se faire seppuku, mais à la mode robotique. Mais une minorité les incite à perdurer, ne fut-ce qu'en effectifs réduits, afin de rencontrer une civilisation, digne de leurs créateurs, qui pourrait donc les remplacer.
Mais voilà qu'ils détectent, dans cet espace vide, un vaisseau d'explorateurs surgit de nulle part. Et si ceux-là pouvaient être eux, éléments d'une civilisation évoluée, pouvant remplacer leurs défunts maîtres et créateurs ?
Pour ceux que cela intéresserait voir https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
J'assume être vieux con ex soixante-huitard, mais je n'ai jamais vu l'intérêt des réseaux dits sociaux car je ne vois pas quelle sociabilité il y a là dedans.
Pourtant je m'intéresse à beaucoup de choses et ne pouvant plus supporter la vie en France par manque maladif de soumission, j'aurais bien aimé rencontrer des acolytes pour mener une activité rentable dans un pays plus vivable, mais, à défaut des réseaux sociaux, j'ai écumé les sites Web ayant une rubrique expatriation et y ai passé des messages, tout cela en vain.
J'ajoute que cela n'est pas l'apanage des pays occidentaux dits "développés". Au Paraguay où je vis les femmes, surtout, se collent leur smarphone sur la main gauche au réveil et ne le lâche pas de la journée et elle y tapote interminablement je ne sais quoi. Outre l'addiction au Coca Cola, le smartphone fessebouqué est une nouvelle caractéristique du tiers-monde.
Fraîchement arrivé dans mon nouveau pays j'avais sympathisé avec une mère de famille qui était ma voisine. Devant me rendre à Asunción à 70 km de là elle me demande si je peux prendre son fils ainé (env. 25 ans) qui devait s'y rendre aussi. J'accepte bien sûr et je m'attendais, pendant le trajet, à un échange concernant la vie dans nos deux pays. Rien de tout ça ! Le jeune homme en question est resté le nez dans son smartphone tout le long du trajet et a continué, à pied, et en se butant aux passants une fois arrivé en ville.
Je me dis que je suis bien content d'avoir 75 ans, au moins ai-je vécu des périodes plus intéressantes dans ma vie et que je ne demanderais pas une prolongation à Méphisto.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
@michel.b5752
Le plus grand mal car, et c'est dans ma partie (toxicologie expérimentale), le mercure se concentre le long de la chaîne alimentaire.
Dans un lagon au Japon : Minamata, une usine rejetait un fifrelin de mercure dans ses déchets liquides. Mais, de l'avis à cette époque, on était loin d'une dose toxique.
Mais on ne connaissait pas la concentration dans la chaîne alimentaire de tous les métaux lourds dont le mercure. Or les thons que récupéraient les pêcheurs du cru, qui sont donc en fin de chaîne alimentaire, avait des doses très toxiques de mercure, avec des atteintes neurologiques. L'usine a reconnu sa responsabilité mais ignorait un tel processus.
Et la grande laminaire des côtes bretonnes, que j'ai étudiée en histochimie à Roscoff, peut concentrer jusqu'à un million de fois les métaux lourds ambiants. Ce qu'ignore les bobos de la "nourriture bio"
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
L'écologie est une science pas un gloubi-boulga pour bobos dont le capitalisme financier international tire les ficelles pour instaurer l'austérité globale sur les populations.
Petit rappel : le climat c'est l'affaire des dieux, pas de nous, pauvres mortels ! C'est Aton qui envoie plus ou moins de rayons, Éole qui les capte dans ses masses d'air et Poséidon dans les courants marins. Et tout cela change et a changé aux cours des millénaires et l'humain n'y a aucune part (ou si peu).
Deuxième sottise pseudo écolo : la détestation du gaz carbonique orchestré part les lobbys du nucléaire. Or le gaz carbonique, le carbone plus précisément, a été indument mis sous terre par les grandes plantes avares de l'époque carbonifère. Or "rien ne se crée et rien ne se perd" disait Lavoisier. Le carbone brûlé par la révolution industrielle a donné à manger aux plantes qui étaient en disette. Observé par les satellites dédiés qui scrutent la chlorophylle (c-f François Gervais, spécialiste de la spectrophotométrie infra-rouge).
Dernier point, que je développerais ici mais il y en a plein d'autres : la synécologie ou dynamique des populations. Les bestioles, qu'elles vivent en solitaires ou en groupe ont un territoire et il n'est pas bienvenu que d'autres viennent l'envahir (touristes caillassés au Kenya car un petit parking idéal pour faire des photos de la vallée du Rif était le territoire des babouins). Or les écolos-bobos nient complètement ce fait et sont les tenants de l'invasion migratoire islamiste que les gouvernants successifs depuis Giscard-Chirac nous ont imposé ce qui est un non sens écologique pour ne parler que de cet aspect. De plus une notion, plus sciences humaines, vient se greffer sur ce territorialisme : l'identité. Un ensemble culturel et linguistique commun à une population. Ce que les populations musulmanes n'ont rien en commun avec les populations européennes. Ce n'est même pas une spécialité humaine : un goéland commun transplanté dans un autre territoire ne comprend pas ce que disent les autres goélands et il est visiblement perturbé.
Donc, comme le disait le professeur Raoult dans son domaine : "Il faut faire de la science, pas de la politique" et "il est permis d'être intelligent".
Votre serviteur est diplômé 3e cycle de biologie et d'écologie.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Nicolas, comme Florian, sont des apparatchiks issus de l'ENArchie. Certes ils sont bien meilleurs que les macroniens, mais ce ne sont pas des leaders révolutionnaires. Car c'est bien d'une révolution dont ce pays à besoin, pas un changement bidon de président.
Oui, je sais, « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
L'enfermement familial est un phénomène sociologique assez récent. 60 ans tout au plus. En même temps - comme dirait Macron - mômes et ados ne doivent pas sortir du giron familial alors que celui-ci est très pauvre et se résume à la trivialité ménagère et à la contemplation de la télévision.
Tout questionnement est devenu obscène au sens étymologique "Tu verras ça à l'école !" dit la mère rabrouant sa fille, la relation avec d'autres est même interdit. Toute cette vacuité tourne autour de l'idole familiale : la télévision.
Essayez de papoter si vous êtes invité à manger dans une famille française. Vous ne pouvez aborder aucun sujet et vous voyez la personne louchant en permanence sur la télévision, située dans un coin de la pièce, et dont on a réduit le volume sonore, mais qu'on m'irait pas jusqu'à ce sacrilège : l'éteindre.
On a d'ailleurs la même chose avec les ados qui se retrouvent dehors. Mais eux ils emportent leur smartphone. Pourtant j'en ai eu un, mais juste un téléphone, car j'étais souvent en vadrouille donc injoignable.
« D’abord, nous devrions garder à l’esprit qu’une forme d’isolement social très dommageable est présente depuis ces dernières années. Allez à McDonald’s et regardez les groupes d’ados autour des tables en train de manger un burger, et vous verrez deux conversations en cours. Une discussion creuse entre eux, et une autre que chacun a sur son téléphone avec des individus ou amis à distance. Cela a réduit et isolé les gens d’une manière extraordinaire. Le principe de Thatcher — la négation de la société — s’est intensifié, le mauvais usage des réseaux sociaux a transformé les gens en des créatures très isolées, en particulier les jeunes. » (Noam Chomsky, Un entretien de Srećko Horva)
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Les gens ont moins de mômes car, contrairement aux africains, ce n'est ni dans leur logique, ni dans leurs moyens de pondre des mômes et d'aller en France à la CAF.
Et pour en faire quoi ?
Des petits illettrés incapables de comprendre ce qu'est une fraction en 6e ?
Dans le pays où je vis, le Paraguay, j'avais vu une femme qui avait 11 enfants, tous des garçons, tous illettrés et dont certains avaient les stigmates de l'alcoolisme héréditaire. En effet le père, perpétuellement bourré, s'était viandé en moto. Sinon combien en aurait-il fait encore ?
Pourtant il n'y a pas d'allocations familiales au Paraguay et je ne sais pas ce qu'ils peuvent toucher comme aides.
À l'inverse ma propriétaire, avocate, n'en avait que deux, mais s'en occupait. L'un deux, passionné de taekwondo allait dans des compétitions internationales.
Effectivement cela peut-être écolo, au vrai sens du terme, car la synécologie (dynamique des populations) montre que l'effet de masse est mortel pour les populations, qu'il s'agisse d´éléphants ou de pucerons.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche :
« Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Ah la Sainte Famille !
Mais elle s'est effondrée toute seule la famille !
"Familles, je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées ; possessions jalouses du bonheur." (André Gide).
Avant c'était un ensemble multiforme, tout au moins dans la classe populaire mêlant la hiérarchie génétique aux relations diverses et affinitaires.
Un enfant, dans ce type de famille, trouvait toujours quelqu'un pour l'écouter, le conseiller, en dehors de la filiation directe. On était même dans le trop plein de relations humaines.
Aujourd'hui la famille c'est quoi ? Elle est réduite à papa-maman, tout juste si les grands parents y ont une part, à condition qu'ils ne s'incrustent pas trop.
L'enfant, dans ce type de famille, navigue dans l'isolement, entre un père surmené et une mère qui ne sait dire à ses interrogations que "tu verras ça à l'école".
Dans ces micro familles modernes la télévision est omniprésente, c'est la nounou. On plante le bambin devant elle et on est "tranquille", il n'ira pas "jouer dehors", d'ailleurs un enfant moderne ne joue plus car il risque de "faire de mauvaises rencontres" (c'est à dire des personnes avec lesquelles il se sent des affinités, même s'ils sont en dehors de "la famille").
"Tu veux aller à la piscine, on t'en construira une", déclare le magnanime tyran familial. Alors que pour l'enfant, aller à la piscine (municipale) était aussi s'émanciper quelque peu de cette tyrannie domestique, de se faire des amis, etc.
Pas étonnant que cela donne cette génération de jeunes crétins asociaux et suicidaires.
2
-
2
-
Cette jeunesse, et ça ne remonte pas à la coronafolie, est ratatinée sur la contemplation de son nombril.
Tout juste s'ils se rassemblent en bandes du même âge mais pour ne rien échanger que des borborygmes et nullement une discussion. Fréquenter quelqu'un de plus de 5 ans de différence d'âge est impensable pour eux.
D'ailleurs ils n'ont rien à apprendre, ni des gens, ni des livres, leur existence n'est faite que d'immédiateté, de modes, passagères par définition.
La seule chose qui les préoccupe c'est la distinction, au sens de Bourdieu. S'ils mettent une casquette sur leur tête, il faut qu'elle soit à l'envers.
Internet, c'était une ouverture au monde, aux savoirs, puisque c'était, à la base, une création universitaire. Mais ça ne les intéresse pas, ils préfèrent leurs smartphones qui sont le niveau quasi zéro de la communication.
Et sur ces ustensiles on n'emploie pas des mots (leurs claviers ne le permettent pas) mes des codes issus de leur sous-culture.
Sans la sociabilité langagière ils ne peuvent qu'évoluer vers des psychopathologies graves et irréversibles.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Merci Monsieur Marc Touati ! Toutes vos explications sont claires car beaucoup de vos collègues noient le poisson dans des digressions absconses.
Pour en revenir à l'épidémie et son coût, il faut rappeler la détestation officielle de tous les médicaments pas chers, éprouvés et dont on connait depuis longtemps tous les effets secondaires.
C'est donc une volonté délibérée de la clique à Macron de balancer du fric aux trusts pharmaceutiques. Pas seulement lui, bien sûr, car il est pieds et poings liés dans cette Europe qui a payé 1 milliard d'euro de remdésivir, inefficace, néphrotoxique, et produisant des variants et ce depuis ebola nous apprend le professeur Raoult.
Un vaccin, je le rappelle, ne se justifie que contre une maladie grave à mortelle (le coronavirus n'a qu'une mortalité de 0,05 %) et dont on n'a pas le traitement. Le cas pour la fièvre jaune et le tétanos mais pour ce virus on en a pléthore de médicaments et des pas chers.
Des vaccins dont les prix sont tenus secrets, les effets secondaires aussi (une chose est certaine : les labos se dispensent de toute réclamation sur les effets secondaires).
Il y a donc eu, dès le départ, une volonté des politiques de ne pas soigner les gens et leur donner des mauvais substituts "qui coûtent un pognon de dingue" comme n'a pas dit Macron à ce sujet son expression d'origine concernait les retraites.
La situation économique de la France n'était déjà pas bien brillante avant. Mais, il y a 10 ans c'était le coranovirus qui faisait des dégâts financiers et pas seulement. Maintenant ça va être l'enfer ! Outre que le gasoil coûte le double que chez moi (au Paraguay, où il vient par camions depuis le Brésil), vous allez avoir un super racket de gendarmerie chaque fois que vous sortirez vos quatre roues. Je me demande combien à rapporté le racket piétons des derniers confinements.
Je vois une évolution à la libanaise : les autochtones ayant pu garder un minimum de capital fuyant ce pays qui n'a pas d'avenir. Comme je l'ai fait il y a 10 ans.
Il ne faut pas compter sur une révolte salutaire des français pour se sortir de cette situation. La jeunesse est complètement abrutie et accepte toutes les soumissions (= islam, en arabe) et je ne parle pas des adultes qui en redemandent et sont près à dénoncer leur voisin s'il ne se soumet pas.
La seule chose que j'ai pu faire pour aider, un peu, moralement, les français ça a été d'écrire un roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel". Se trouve en ebook et broché sur Amazon : https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD
La fin du bouquin se conclue sur une révolution salutaire et une réappropriation de la France par les français. Car je n'aime pas les fins tristes. Mais je ne crois pas du tout à cela dans la vraie vie. Mais les écrivains ne sont-ils pas tous des menteurs ? Encore pire, même, que les économistes...
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
De toute façon tout ce qui est État...
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
Toujours d'actualité le vieux moustachu...
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Ça marche encore ces salades ? On est pourtant loin du maccarthisme et de tout ce qui allait nous arriver sur la tronche venant des vilains soviétiques idéalisés en petits homme verts. Avec les OVNI dont tous ceux dont j'ai vu les photos étaient flous, ça pouvait être n'importe quoi, un lampadaire dans le brouillard nocturne ou un nuage lenticulaire et une formation électro magnétique visible sur un radar.
Alors qu'on peut repérer quasiment un boulon satellisé et que les télescopes satellisés ne font plus des photos floues même dans l'infiniment loin.
Et on continue à inventer des civilisations aliens qui nous rendent visite, mais toujours en catimini pour les seuls "initiés" avec une technologie infiniment supérieure, mais dont on n'a même pas la moindre explication, etc.
Même les auteurs modernes de science-fiction dont je suis n'oseraient plus raconter ces vieilles salades moisies.
Les civilisation extraterrestres possibles, fussent-elles super avancées, sont, tout comme nous, primates à peine évolués, confinés dans leur secteur d'espace-temps bien limité même en fantasmant sur un déplacement atteignant 99 % de la vitesse de la lumière.
Bon tout ça remplit des sites ne YouTube où on trouve tout et n'importe quoi.
2
-
Très content des explications de Marc Touati ! Je ne suis pas économiste, je n'en ai que de vagues notions, mais quand même, dans mon bouquin qui est un roman dystopique orwellien "2084 ou le confinement perpétuel", je me suis permis, petit biologiste-biochimiste, à m'avancer sur la planche savonneuse de l'économie. Avec deux concepts de base :
1. la chrématistique (définie par Aristote) qui caractérise l'argent (monnaie fiduciaire) qui n'est pas utilisé dans un achat. C'est tout simplement de l'épargne si la personne n'a rien à acheter sur le moment. Aristote alors déclare cela de la "bonne chrématistique". Mais il y a aussi la mauvaise, la spéculation sur la monnaie (ou sous forme d'actions) devenue une fin en soit, découplée complètement du commerce et de ses valeurs.
2. le capitalisme financier (que d'aucun appellent "libéralisme", alors que ce n'est pas ça du tout, même précédé "d'ultra"). Cela s'est produit quand les 100 premières sociétés financières ont eu un chiffre d'affaire 1000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles (Bernard Maris, manuel d'anti-économie, tome 1).
Cela changeait tout ! "Les changements quantitatifs entrainaient des changement qualitatifs" (Lénine). C'était la fin du capitalisme keynésien, (ou fordiste) où le travailleur est aussi un consommateur. Rappelez-vous les années 70 et les démantèlements/délocalisations des industries françaises. Il y en a eu des manifs des gens qui se retrouvaient sur le carreau, avec la même réponse de l'État : la répression policière. Maurice Allais, prix Nobel d'économie, avait sorti un gros bouquin : "La mondialisation, la suppression des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
Donc tout cela se passait mal, la pauvreté explosait avec le chômage, la pyramide de Ponzi des retraites par répartition s'effondrait. Et le nouveau président issu des médias et des financiers déclarait que "ceux qui ne sont rien" "coûtent un pognon de dingue".
Cela se passait mal fin 2019 ! Tous les corps de métiers étaient remonté contre ce régime. Et puis, miraculeusement, le virus couronné est apparu, donnant le prétexte de boucler tout le monde...
Et on continue en jouant les prolongations...
PS : au sujet de mon bouquin, vous le trouverez en ebook et broché ici : https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Pas nouveau tout ça ! Un correspondant installé en Argentine me disait, il y a 15 ans, "La France c'est foutu".
Rien que sur un plan économique imaginons la compétition que pourraient avoir des produits français (qu'on ne produit plus, de toute façon) grevés par les coûts de cette immigration subventionnée délirante.
Immigration qui n'est pas seulement invivable économiquement, elles est invivable socialement car tous les meurtres, viols, vols et dégradations commis par cette population composée, au mieux, de français de papiers.
Quand on va vivre dans un pays étranger (mon cas au Paraguay), c'est tout un flot de paperasses (y compris Interpol) qui aboutit à un droit et un seul résider (mais aussi d'y travailler). Mais on doit tout se payer, santé incluse.
Il y aurait eu ces simples bonnes mesures la France ne serait pas envahie comme elle est par ces allogènes coûteux et dangereux.
Mais faut croire que c'est ce que les français aiment car ça dure depuis 50 ans et ça s'accélère.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
Ne croyez surtout pas que vous pourrez y échapper ! Si vous ne produisez pas un certificat de vaccination, vous ne pourrez plus voyager, travailler, vous rendre à des spectacles, des restaurants, etc. et même être locataire.
Le refus individuel ne servira à rien. Il faut une révolution !
Oui, je sais, "La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une oeuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre." (Mao Zedong, le petit livre rouge, 1966)
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@TheIK2009
Perso j'ai profité d'un avantage psychologique. Outre que j'ai vécu mes deux premières années sous la tente, en bordure du Sahara car mon père était chef de chantier pour des pistes au sud Marocain. Je vivais donc, sous la tente comme un vrai petit saharaoui. Plus tard je voyageais beaucoup et dans des coins paumés. En France, dans les Pyrénées et, plus tard, avec un ami, on a fait notre Paris-Dakar à nous avec ma vielle camionnette Renault R4F6.
Plus tard je devins marin au long cours, Corse, Sardaigne et Baléares sur un voilier de 7 m puis, sur un 10 m, 3 transats.
Quand je retournais en France, outre que je ne pouvais trouver aucun travail à cause de mon âge (passé 40 ans c'est plié quoiqu'on sache faire), la mentalité de ce pays, soumis à tout et, en particulier, à l'invasion islamique, fait que je considérais l'expatriation comme inévitable. à moi de choisir le bon pays. J'avais un contact sur place, j'ai choisis le Paraguay.
J'ai pensé faire un petit chantier naval aux Philippines avec quelques moussaillons locaux que j'aurais sorti de leur vie misérable., mais, tout seul, ce n'était pas possible et un ami, partant pour ce projet et excellent bricoleur, est mort à 40 ans d'un cancer du foie et du pancréas. Donc, comme le chantait Jacques Brel "On se retroiuve seul".
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
DenisLamour
Quelle commentaire apocalyptique !
Je ne connais pas la vie profonde des paraguayens, mais, par exemple, les sorties des écoles ne sont soumises à aucune violence.
Asunciòn un coupe gorge ? Jamais eu cette impression. Seul le quartier du Mercado Quatro a mauvaise réputation la nuit. Idem pour certains quartiers et uniquement la nuit. Donc pas pire qu'en France, plutôt moins.
Pour le reste concernant la vie quotidienne et intime des paraguayens entre eux je ne peux rien en dire vu le peu de contacts que j'ai avec eux.
Pénuries d'eau ? Jamais connu dans mes habitats successifs. Le réseau routier s'est grandement amélioré depuis que j'y suis. Habitant Coronel Oviedo il y a la nouvelle ruta 2 qui est une véritable autoroute mais qui abouti à San Lorenzo qui est un bouchon de maisons taudis.
Jamais vu de pénuries dans les supermarchés. Un produit peut manquer pendant quelque jours mais pas plus. Aucune pénurie de carburant. Le réseau téléphonique ? Celui, filaire, de COPACO était un désastre, il a été remplacé par le réseau GSM et les opérateurs (Tigo, Personal) ne manquent pas. Au début l'Internet c'était de l'ADSL poussif quand on pouvait seulement en avoir. Maintenant tout est câblé en fibre optique et Speed Test m'indique 94,80 Mbps à l'instant en trafic descendant. Je paye 120.000 PYG/mois pour cela.
Au niveau santé tout est au top dans des sanatorios (cliniques) très modernes. Et la consultation c'est dans la semaine et l'urgence c'est tout de suite alors qu'en France c'est 2 mois pour un RV avec un cardiologue et 3 avec un ophtalmo (je connais). J'en suis à mon 2e pacemaker et cela n'a pas été la ruine.
Juste un exemple : Je me traine au Pérou à Juliaca alors que j'avais l'intention d'aller voir le lac Titicaca avec ma camioneta quatquateuze. Je mets ça sur le compte de l'altitude, mais en descendant ça ne va pas mieux. À Asunción je me traîne jusqu'aux urgences de Juan Bautista. Reçu tout de suite, diagnostic immédiat complété par des analyses : la dengue. Immédiatement hospitalisé 4 jours avec des perfusions.
La seule chose, au final, que je reproche aux paraguayens, c'est leur manque de sociabilité avec les étrangers. C'est la mentalité guarani car ce ne sont pas de véritables hispaniques. Même avec mon mauvais espagnol j'avais de meilleurs contacts en Uruguay, Argentine, Chili et même Pérou et, bien sûr en Espagne.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
D'abord un fait psychologique : on est drogué avant même que d'avoir touché à une drogue.
C'est une question d'attirance et de prédisposition psychique.
Certains vont lutter contre cette attirance et beaucoup, comme moi, n'en ont aucune donc c'est plus simple. De même que je n'ai jamais eu envie de fumer.
Poussons même le cynisme plus loin : ceux qui ne peuvent pas se retenir et se droguent à mort, ils l'ont fait de leur plein gré, ils en savaient les risques. Pourquoi interviendrait-on sur leur volonté de se suicider ?
Moi ce qui me gêne chez un drogué ce n'est pas qu'il se drogue, c'est son choix, il en accepte les risques, mais c'est qu'il peut m'attaquer et même me tuer pour récupérer du fric pour s'acheter sa drogue.
Vivant au Paraguay, les gringos ont été la cible de réseaux de voleurs n'hésitant pas à tuer (j'ai visité une maison de retraités belges qui avaient été assassinés et il y avait les impact de balles). Du coup les policiers nous ont incité à nous armer. Ça ne risque pas d'être le cas en France, on n'a pas le droit de se défendre. Ici, comme aux USA, la vente d'armes est libre sur pièce d'identité. Tout mais seulement en semi-automatique.
Puis les bandits ont compris que les gringos n'avaient rien à leur domicile (à la différence des paraguayens qui adorent stocker du fric chez eux, les dits gringos n'ont rien sur eux que de la petite monnaie et leur carte bancaire, sauf des armes pour les accueillir).
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
"La France c'est foutu !" me disait il y a 15 ans un français installé en Argentine mais qui, comme, moi, ne manque pas une info sur la dégringolade spectaculaire de ce pays, connectés, que nous sommes à Internet.
Et il n'y a rien à espérer du côté de la jeunesse.
Et, sur un Titanic qui coule, la seule solution est de s'en barrer au plus vite sur un radeau de sauvetage.
Les derniers fossiles vivants, comme moi, attachés à la culture française et qui n'ont personne à qui la transmettre, s'éteindront et leurs bibliothèques finiront à la broyeuse.
"Nous autres civilisations nous savons maintenant que nous sommes mortelles" avait écrit Paul Valéry en 1924.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Toujours très claires les analyses de Monsieur Asselineau. Il me fait penser aux grands fonctionnaires de Louis 16 qui voyaient bien que sans de significatives réformes (comme avait su faire l'Angleterre), la royauté était foutue.
Maintenant que tout ce qui était du domaine légal a été rejeté, le peuple français ne voit alors qu'il n'y a plus qu'une alternative : la révolution ! Car les mouvements populaires vont être réprimés avec férocité. Les flics de Macron sont des tueurs. Pour l'instant ils sont encore (un peu) bridés, mais si on les lâche et qu'ils se croient tout permis il y aura des morts.
Oui, je sais, « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@yveskyjaan590
Oui Monsieur le Président, mais je ne vous ai pas fait une lettre, que vous lirez peut-être, si vous avez le temps.
Question de goût, il y en a qui préfèrent être soumis.
Décidément mon histoire familiale se répète : Mon père est parti, en 1940, sur une barcasse, pour l'Angleterre et s'est engagé dans les SAS. Il est revenu, dans sa Normandie natale, en juin 1944, au bout d'un parachute (c'est mieux que ces fichues péniches où on a le mal de mer).
Moi j'ai pris, sans gloire, un avion transatlantique avec ses inconfortables sièges charter.
Il est clair que je vis nettement mieux dans un pays libre.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Affligeant d'être entré dans le système (il n'y a pas d'autre mots) en appelant à voter MLP !
C'est une européiste et elle en vit grassement, elle est donc en opposition contre tout ce qui est souverainiste. Donc quoi qu'elle en dise elle est pour le déferlement des islamistes en France et de toutes les mesures anti sociales que veut imposer l'UE. Au niveau stratégique est donc pro OTAN qui est consubstantiel à l'UE, etc.
Elle a été remarquablement muette sur toute la coronafolie et la dictature à prétexte sanitaire qui s'en est ensuivit. Idem pour l'invasion islamique subventionnée où elle a été au niveau minimum de critique. Au moins son père avait résumé en quelques mots : "Europe = fiscalisme, immigration, chômage"
Non ! La seule solution aurait été de décrédibiliser cette élection truquée, car dirigée par tous les milliardaires qui tiennent les médias et la rendre illégitime par une abstention massive.
Je pense qu'un tel message aurait été perçu par le peuple car, sans qu'il soit formulé, cela avait été bien le cas lors des élections régionales.
Car, et c'est programmé, Macron repassera.
Mais Florian Philippot, malgré toutes ses qualités et son humanisme indéniable, reste, de part sa culture personnelle, un énarque et que, bouh, l'horreur ! L'abstention ce sont les anarchistes !
Effectivement ! Joseph Proudhon, lui, n'était pas un énarque et a cru, en toute bonne foi, au suffrage universel qui était nouveau à son époque. Il y a même participé et s'est fait élire comme député. Mais il s'est vite rendu compte que ces élections n'étaient que des magouilles et ne servaient nullement les intérêts du peuple qu'elles étaient supposées représenter. Il devint donc abstentioniste, tout au moins dans cette forme parlementaire, et toute la lignée des anarchistes qui ont suivit aussi (dont votre serviteur).
Du coup, moi aussi, "j'suis pas content" 😮
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
C'est toujours ce que j'ai ressenti et ce depuis longtemps, mais n'étudiant pas ce domaine, je le formulais pas aussi bien que Jean-Baptiste Noé, bien sûr.
Toutefois il y a un "truc" qui n'est jamais passé, c'est ces mamours franco allemands. Ma fréquentation des anciens FTP du 13e arrondissement de Paris, peut-être. Les "revanchards allemands" méritaient bien leur réputation car, dans les grenouillages de l'Allemagne en Europe, leurs alliés étaient bien les anciens alliés du Reich (oustachis, croates, turcs) et leurs ennemis leurs anciens ennemis (grecs, serbes). La guerre se faisant par la monnaie interposée. Et cette conne de France laissait tout aux allemands (technologie, direction d'Airbus, etc.)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Toute cette période de coronafolie s'est retrouvée, si j'en juge par tous les commentaires de Youtube car, fort heureusement je ne vivais plus dans ce pays de dingues, dans une soumission incroyable.
Je me faisais insulter pour oser dire cette évidence que je connaissais depuis longtemps qu'on ne devait pas vacciner pendant une épidémie. Que tous les médicaments du groupe des antipaludéens empêchaient l'accrochage du virus sur les cellules.
Pour ces soumis hargneux et militants de la macronie c'était du charlatanisme, Didier Raoult en tête (malgré ses 340 publications scientifiques).
Cet épisode m'a fait comprendre que la France était un pays devenu délirant, où il n'y avait plus de discussion possible, le saint vaccin était aussi indiscutable que le sang du Christ dans le ciboire de l'Eucharistie, que ce n'était plus le mien, le pays de la raison, et que j'avais bien fait de m'en barrer il y a 12 ans.
Maintenant les mêmes hargneux vont nous dire que s'il y a du chômage en France c'est que les gens ne veulent pas travailler, etc.
Imbuvable ce pays à part son pinard (encore qu'il y en a de très bons où je vis qui viennent de Mendoza, Argentine et de Valle Central, Chili).
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Nietzsche anarchiste ?
Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits.
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
En ce moment on veut nous vendre du Jésus. La marchandise est pourtant frelatée, mais, face à l'islamisme, la vieille droite veut nous vendre les vielles lunes du christianisme.
Ça manque sacrément d'imagination tout ça !
Les auteurs qui ne croyaient pas un mot sur les dieux qu'ils écrivaient, nous en ont inventé des bien plus novateurs, comme Sauron, chez Tolkien.
C'est, au final, une faillite de marketing : un produit, en fin de vie, ne se fera pas une nouvelle jeunesse malgré tous les moyens de la pub, il faut inventer autre chose, et du novateur.
Il y en a qui veulent nous relancer les OVNIS, mais là aussi c'est du réchauffé des années 1950-60 de la guerre froide. D'ailleurs la forme "soucoupe volante" est peu maniable et instable dans une atmosphère. Même les auteurs modernes de S-F que ce soit dans les livres ou dans les jeux, ne conçoivent pas du tout des vaisseaux spatiaux lenticulaires.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Les écologistes font, une fois de plus, la démonstration qu'ils sont des crétins et des ignorants.
L'amiante est un produit naturel, très peu transformé. Mais sa poussière est très dangereuse pour les poumons.
Mais, au fond d'un océan, où les bestioles à poumon sont plutôt rares, il retrouve sont inertie naturelle.
Et, comme sur toute épave, d'autres bestioles les enrobera dans du calcaire achevant ainsi sa dangerosité potentielle.
Une épave, soigneusement débarrassée de son huile et de son gasoil, est un super HLM pour toutes les bestioles qui y nicheront avec bonheur.
Les plongées sur des épaves pas trop profondes est d'ailleurs la grande distraction des amateurs qui peuvent y faire de belles photos de tous ces squatters.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Braves gens, il faut ouvrir les yeux !
Le capitalisme financier, improprement appelé "libéralisme" n'a plus besoin de vous comme producteurs/consommateurs. Ça c'était le capitalisme keynésien et celui-ci est mort quand les 100 premières sociétés financières ont eu un chiffre d'affaire 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles (Bernard Maris, Manuel d'anti-économie, tome 1). Dans les années 70 on a cassé toute l'industrie française pour délocaliser en Chine. Maurice Allais, prix Nobel d'économie, à fait un gros bouquin là-dessus : "La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
Donc vous pouvez crever et ce n'est pas une clause de style !
Il l'avait dit pourtant Macron quand il est allé dans une gare où il a dit qu'il y avait "des gens qui ne sont rien" et que tous les laissés pour compte de cette situation : chômeurs, retraités "coûtaient un pognon de dingue".
Ce virus, fabriqué dans ce fameux laboratoire P4 à Wuhan, a fugué ! Et il ne provient pas des amours coupables entre un pangolin et une chauve-souris, puisqu'on a trouvé dedans des séquences du VIH.
Car les coronavirus sont des virus respiratoires, certes, mais qui n'ont pas la réputation d'être très méchants, sauf, bien, sûr, pour des sujets très vieux et chargés de comorbidités.
Mais il s'est débarrassé de ses casseroles et s'est associé avec d'autres pour faire des réplicants (Raoult nous explique bien qu'il ne faut pas confondre avec mutants). Certes ils sont bien là mais leur pathologie est très légère. Toute l'intox médiatique consiste à traiter les cas positifs (faux car l'amplification PCR est trop forte) comme des "contaminés" alors qu'ils n'ont pas de signes cliniques.
Le prétexte est bien de faire une dictature sanitaire pour priver le peuple de toute réflexion et de toute action collective.
Cette hydroxychloroquine + azytromycine embête bien Big Pharma. Alors, c'est simple, on l'interdit.
Et le plus fort c'est que ça marche !
Venez donc dire après que la France est un pays de liberté...
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
il faut bien comprendre ce qui arrive, mes petits camarades. Et pourquoi c'est la mort. En ce jour anniversaire de "ceux qui se massacrent et ne se connaissent pas, au profit de ceux qui se connaissent et ne se massacrent pas".
Je l'ai dit à de multiples reprises TOUT A CHANGÉ à partir du moment où les 100 premières sociétés financières ont eu un chiffre d'affaire 1.000 fois supérieur au 100 premières sociétés industrielles (c-f Bernard Maris, manuel d'anti-économie , tome 1). Et "les changements quantitatifs entraînent des changements qualitatifs". Autrement dit c'était fini le capitalisme keynésien (appelé aussi fordiste).
Qu'était ce capitalisme ? Initié par Henry Ford, il considérait que le prolétaire était aussi un consommateur, donc il lui fallait un salaire correct et des congés, ne fut-ce que pour acheter et faire rouler les Ford-T (un malin, Mr Henry). C'était le début de ce qu'on a appelé "la société de consommation".
Mais avec le capitalisme financier qui ne produit rien d'industriel, que se passe-t-il ? Il n'a plus besoin de ces prolétaires, il a donc détruit et délocalisé à tout va toute les productions dans les pays comme la France au profit de la Chine dans les années 70. Rappelez-vous cette époque : les gens au chômage, les grèves, les manifs et la réponse habituelle des forces du désordre : matraques et grenades (les LBD n'existaient pas encore). Maurice Allais, prix Nobel d'économie a écrit un bouquin à ce sujet "La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
L'Union Européenne a aggravé tout ça et, pour terroriser un peu plus la classe ouvrière, on a fait déferler l'invasion islamiste dans les villes ouvrières.
Toutefois la colère montait ! En décembre 2019 tous les corps de métiers étaient vent debout contre ce gouvernement impopulaire. Même les avocats. Et les retraités étaient taxés encore un peu plus (CSG). Les écarts de fortunes se creusaient (Henry Ford avait dit que l'écart de revenus dans une entreprise ne devait pas être supérieur à 15 et on en est à plus de 400). Comme avec Don Salustre "les riches sont destinés à être très riches et les pauvres très pauvres". Ça ne pouvait pas durer sans une explosion sociale malgré l'abrutissement généré par les médias.
C'est alors que ce virus est apparu miraculeusement. Mais je ne crois pas aux miracles. De nombreux témoignages indiquent qu'il a été créé à Wuhan. Les coronavirus ne sont responsables que d'infections respiratoires légères.
Donc on enferme tout le monde, fini les mouvement sociaux. Et on prive les malades des seuls médicaments utiles (HCQ et AZT)
et on achève les vieux au Rivotril (20.000 morts évitables a écrit le Professeur Perronne)
N'oubliez pas les propos de Macron : dans une gare il disait "ici il y a des gens qui ne sont rien" et pour retraités et chômeurs "qu'ils coûtaient un pognon de dingue!".
Car c'est bien une suppression physique du peuple français qui était mis en oeuvre et "la solution finale" continue. Les survivants doivent être des abrutis au cerveau dégradé par le confinement et la sous-oxygénation par les masques et, dès l'enfance, on apprend à considérer les autres comme des ennemis contaminants.
Si les français ne se révoltent pas ils finiront bientôt dans "la poubelle de l'Histoire".
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles." (Paul Valéry, Variété, 1924)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@cyrilaubligine1828 Un vrai de vrai migrant qui fait toutes ses formalités passe très bien dans beaucoup de pays.
Il y a, toutefois, différents critères :
- retraités, certains exisgent un montant minimal
- investisseurs : en ce cas il faut déposer un capital à la banque. Capital pas forcément important, d'ailleurs. Et si on a trouvé, sur place, des personnes sérieuses pour travailler avec vous, vous signez une promesse d'embauche. Ces promesses permettent de réduire le montant du capital nécessaire.
Des spécialités sont très appréciées. Par exemple les infirmières (sans oublier les infirmiers) ont une bonne formation reconnue internationalement.
Pour le Paraguay il n'y avait aucun critère, juste les formalités d'État Civil, ma retraite étant ridicule mais, si j'avais un petit capital, je n'ai pas eu à obtenir le statut entrepreneur.
Dans tous les cas il faut avoir fait du "tourisme appliqué" avant afin de tester le pays, sa géographie, son climat, ses gens et leur culture. Les plus nuls, comme moi, en linguistique, se contenteront d'un pays de langue facile pour nous, comme l'espagnol.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Moi, ce qui me réjouis dans cette vallée de larmes ce sont les soumis qui vont se faire injecter cette saloperie de thérapie génique qu'on appelle - fallacieusement - un vaccin. La déformation du sens des mots étant le b-a-ba de la manipulation politique.
Mais, chuttt, n'aller pas leur parler de transcryptase inverse, l'astuce que pratiquent tous les virus à ARN pour s'immiscer dans l'ADN de l'hôte (l'analyse de l'ADN humain montre des séquences venues des dites transcryptases inverses virales mais, fort heureusement, "non codantes", autrement dit inertes. Laissez les se contaminer eux, et leur descendance. Il y aura, comme hypothèse vraisemblable, une explosion des cancers.
Dans un registre plus optimiste, je vous rappelle mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" en version ebook et broché sur Amazon (https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD) avec une fin honteusement optimiste : le peuple français se réveille, s'insurge et reconquiert son territoire.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Bon mes biquets, avoir fait une grosse manif, c'est bien, mais c'est complètement insuffisant.
Je fouille dans ma mémoire de boomer et, le 13 mai 1968, il y avait eu une manif de 1 million de personnes après la célèbre "nuit des barricades" du 10 mai. Du coup la Sorbonne, occupée par les flics avait été libérée.
Mais, me petits loulous en sucre comme dirait Nicolas, c'eut été insuffisant si ça s'était arrêté là. Or la jeune classe ouvrière (importante à cette époque car on fabriquait des choses en France) avait été très réceptive à l'assertion "perdre sa vie à la gagner" car la retraite ils s'en foutaient c'était le présent qui comptait.
Aussi quelques usines furent en grève et occupées et cela se répandit comme une traînée de poudre et je me souviens d'une affichette de cette époque, d'une naïveté juvénile, certes, mais qui était réconfortante :
"Le pouvoir avait ses universités et nous les avons prises
Le pouvoir avait ses usines et nous les avons prises
Le pouvoir avait ses rues et nous les avons prises
Le pouvoir n'a plus que le pouvoir et nous allons lui prendre"
Bien sûr l'époque n'est pas du tout la même et l'opposition au système est un leurre car la bataille est perdue d'avance, la soumission a été trop bien implantée depuis la petite enfance.
La seule chose que je vois possible est un replis survivaliste, non pas en France car cela est devenu impossible (on n'est plus dans les années 70 avec la Creuse, les Cévennes, l'Aude et l'Ariège de l'époque) car il faut aller plus loin, dans des pays encore libres et qui ne verraient pas d'un mauvais oeil des gens autonomes pouvant dynamiser, par l'exemple, leur propre population.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
La nécessité objective du travail humain dans une société véritablement moderne a complètement fondu avec la technologie.
Vous entrez dans une usine Toyota (ou Tesla), fini les petits ouvriers serviles des "Temps modernes" de Charlie Chaplin, mais d'étranges machines qui gesticulent dans tous les sens et qui vous assemblent en très peu de temps une voiture complète. Seuls quelques super techniciens humains, sur une tour de contrôle surveillent la bonne exécution de la chaîne de montage. De toute façon si une machine robotique détecte un problème, elle s'arrête et génère un rapport.
Mais les arriérés de la comprenette en sont restés à la malédiction biblique du travail : "Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". Donc pas de sueur, pas de pain !
À ceci près que même en créant toutes sortes de boulots inutiles de fonctionnaires, il ne peut plus y avoir assez de sueur à produire pour tout le monde.
Ces nostalgiques de l'esclavage salarié crient donc haro sur "les loisirs" car, haine de classe oblige, ils en sont eux, bien exemptés physiquement du travail, et gagnent leur vie en décriant, dans les médias, les réfractaires à l'anachronisme du travail.
En effet, d'où viennent les richesse de notre époque ? Des loisirs, plus précisément de libres activités hors du salariat.
Le meilleur exemple en est Internet.
En 1983 les militaires US ont commandé un nouveau réseau informatique aux universitaires car l'existant de l'époque (NetBEUI) était très mauvais. Ce réseau, en particulier devait "passer" en contournant un noeud de répartition s'il était détruit ou tout simplement HS. Ce protocole nouveau fut appelé TCP/IP.
Les militaires, tout contents, partirent avec leur nouveau réseau, mais les universitaires se dirent que cela serait bien pour communiquer entre universités (je rappelle qu'il n'y avais que le fax à l'époque). Dans leurs loisirs ils se mirent à bricoler ce nouveau réseau, y ajoutant des protocoles (HTTP, mailto, FPS) et toutes sortes d'utilitaires (navigateurs).
Et ce fut le réseau mondial Internet qui apparut, "bricolé", presqu'en totalité, par les loisirs d'informaticiens. Un système propriétaire UNIX, vendu très cher fut supplanté par un système gratuit, LINUX qui était le fruit, outre son fondateur, de milliers de contributeurs bénévoles, Microsoft vendit son Windows à très bas prix, etc.
Voilà l'exemple typique de ce que les loisirs produisent des richesses en même temps que le travail, à l'ancienne, a de moins en moins de raison d'être.
Une société véritablement moderne, même en restant capitaliste, devrait attribuer une "allocation d'existence" à toute personne qui, il est évident, ne passera pas sa vie sur sa chaise longue les doigts de pieds en éventail. Le rare travail classique existant encore serait un revenu, en plus, mais pas à la place.
Ainsi la créativité, source de richesses et de profits, serait propulsée par cette gratuité où on ne mourrait pas de faim pour autant.
Mais cela est inconcevable pour les tenants de l'esclavage par le travail, même s'ils sont confrontés à ce petit détail : le progrès technique fait son oeuvre et il y a de moins en moins besoin de prolétaires au sens du 19e et 20e siècle.
Je rends hommage ici au grand visionnaire de cette modernité, le docteur Paul Lafargue, gendre de Karl Marx, qui écrivit, en 1883, le pamphlet "Le droit à la paresse. Réfutation du droit au travail de 1848", dans la prison des politiques de Sainte Pélagie et que vous pourrez trouver en téléchargement sur mon site : http:\\wmarie.free.fr. En effet, en son temps, les filatures et les premiers tracteurs agricoles ouvraient la voie à la suppression du travail pénible ou inutile.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
En fait la seule attitude sensée face à ce virus, dont la mortalité est très faible, je le rappelle, et ne concerne pratiquement que des personnes en fin de vie, c'est la prévention (vitamines D3, C et zinc) et les traitements, le plus tôt possible, dès l'apparition des symptômes confirmés par des tests (des tests sans symptômes, c'est absurde).
Je me demande si l'hydroxychloroquine ne devrait pas être utilisée, en préventif, dans les zones contaminées, comme nous le faisions dans les zones impaludées. Pour ma part j'en ai pris pendant un an en Côte d'Ivoire et je n'ai jamais attrapé le palu et mes collègues aussi.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@claudinesoucry1106
Il ne faut pas mettre toute la volaille dans le même panier. Il y avait, dans ma jeunesse la "police-secours" un peu réacs psychologiquement, mais ils assumaient, sur le terrain des multiples interventions : bagarres d'ivrognes, collisions de véhicules, transports de blessés légers. Ces flics là vivaient avec le peuple et en connaissaient tous les aspects bons et mauvais.
Mais eux n'allaient jamais aux manifs.
Pour celles-là ce sont des "professionnels" spécialisés en particulier la gendarmerie mobile qui ne fait que ça, ne se prépare qu'à ça : être une armée de guerre civile.
Ils ont un lourd passé ! Alors que sous l'occupation allemande beaucoup de militaires s'étaient égayés en rejoignant des forces de libération extérieures (Afrique du Nord avec Leclerc et mon père en Angleterre dans les SAS), la gendarmerie, elle, n'était pas de simples pétainistes, ils collaboraient activement avec la SS et la Gestapo avec le fichier des juifs et les rafles de ceux-ci. On en voit un, avec son casque de gendarme, gardien du camp de Pithiviers (?) dans le documentaire "Nuit et brouillard".
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Ce n'est pas par l'espoir que ça se résoudra, "l'espoir est la laisse de la soumission" (Raoul Vaneigem) mais par la révolution ! Oui, je sais « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
C'est clair que le tourisme de masse, la gouvernance mondiale du capitalisme financier n'en veut plus.
Il y avait, même avant le virus, des déchainements de la presse officielle contre ces pauvres qui osaient aller massivement en vacances, au lieu de réserver cela à la petite élite des très riches. Un retour pré congés payés en quelque sorte.
Je rappelle que le capitalisme keynésien ou fordiste, c'est terminé ! les prolétaires à la fois producteurs et consommateurs c'est fini.
Et cela n'a pas attendu un virus couronné trafiqué.
Cela a commencé dans les années 70 avec le démantèlement/délocalisations des usines et la mise sur le carreau de ceux qui y travaillaient.
Ce qui a valu à Maurice Allais, prix Nobel d'économie, d'écrire un gros bouquin : "La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance, l'évidence empirique".
Et la voiture est en voie de suppression ! C'était un moyen de liberté et on a tout fait pour en dégoutter les gens (taxes, rackets, arguments escrologiques).
Donc fini les hôtels ! Sauf pour une poignée de très riches qui se rassemblent à Davos...
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@djilane8708
La colonisation était la prise en charge d'un pays où il y avait tout à faire et les locaux n'étaient pas plus exploités que mes grands parents en usines. C'est qu'il y en avait eu des grands travaux dans ces colonies ! Des ports, des routes, des lignes de chemin de fer, comme la voie Bamako-Dakar que j'ai suivie en R4 fourgonnette, avec des rails de 1912 (c'était écrit dessus), des écoles (car on voulait sortir les enfants de l'inculture en étant confinés dans leur dialecte local), des hôpitaux, des centres de recherches (Instituts Pasteur, ORSTOM, etc.)
C'étaient les francs maçons qui étaient les artisans du colonialisme, au moins eux ne limitaient pas la colonisation à l'esclavagisme moderne. Mais on a préféré tout laisser tomber car il était plus rentable de donner une commission aux pourris qui gouvernent ces pays et importer à bas prix les matières premières que de prendre en charge le pays tout entier comme dans l'époque coloniale. Ils peuvent donc se massacrer entre ennemis et dans les variantes islamiques alors que c'était impossible dans l'époque coloniale, l'armée servait à ça.
Soyez certains que les chinois qui s'implantent actuellement en Afrique y viennent juste pour piller les ressources et traiter les locaux en esclaves. Il n'est nul question pour eux de développer ces pays et d'améliorer la vie de ses habitants.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Tout cela relève de l'imposture idéologique. C'est analogue à "l'urgence climatique", d'ailleurs, la folle idée que l'humanité pourrait changer le climat en bien comme en mal. Elle peut ravager la biosphère, c'est ce que l'on voit, mais le climat, c'est le cas de le dire, est au-dessus d'elle.
Mais venons-en au sujet : le genre.
Là aussi on fait une confusion entre le biologique et le social (psychologique, comportemental).
Si le premier est immuable et que ce serait folie de l'altérer (on a renoncé depuis longtemps à castrer les enfants pour qu'ils aient de belles voix une fois adulte, comme Farinelli) il en est tout autrement de celui, social et comportemental.
"Il faut être un homme !" ne s'adresse pas à la biologie, mais au comportemental. C'est donc psycho-sociologique. Il faut être un mâle dominateur, régnant en despote sur sa petite famille.
Mais ce modèle date un peu et ne fait pas vendre. Que révèle la publicité et la marchandise ? Rien de nouveau depuis Marx et son livre 1 du Capital qui commence ainsi :
"Une marchandise paraît au premier coup d'œil quelque chose de trivial et qui se comprend de soi-même. Notre analyse a montré au contraire que c'est une chose très complexe, pleine de subtilités métaphysiques et d'arguties théologiques. En tant que valeur d'usage, il n'y a en elle rien de mystérieux, soit qu'elle satisfasse les besoins de l'homme par ses propriétés, soit que ses propriétés soient produites par le travail humain. Il est évident que l'activité de l'homme transforme les matières fournies par la nature de façon à les rendre utiles. La forme du bois, par exemple, est changée, si l'on en fait une table. Néanmoins, la table reste bois, une chose ordinaire et qui tombe sous les sens. Mais dès qu'elle se présente comme marchandise, c'est une tout autre, affaire. A la fois saisissable et insaisissable, il ne lui suffit pas de poser ses pieds sur le sol ; elle se dresse, pour ainsi dire, sur sa tête de bois en face des autres marchandises et se livre à des caprices plus bizarres que si elle se mettait à danser."
Appliqué à notre sujet et sous la toute prégnance des médias et de la publicité, le mâle biologique doit être un supermacho et la femme une super putain. Et une union entre deux personnes de même sexe est inconcevable pour certains. On se souvient de l'hystérie anti mariage gay sans que l'on dise une seule fois, comme je l'ai demandé à maintes reprises, en quoi le mariage gay allait changer et priver de quoi que ce soit le mariage hétéro.
Pourtant on ne craint plus de faire étalage de la sexualité, "normale", bien sûr (pas un film actuel ou une série sans une scène de baise hétéro en longueur jusqu'à l'éjaculation finale).
Cette hypertrophie du "sexual role" a de quoi en dégoutter plus d'un sans qu'il soit homo pour autant. Tout changement à la norme, ne fut-ce que vestimentaire va, offusquer les machistes.
1
-
1
-
1
-
1
-
@rosaliedubois8978
C'est le moment de placer mon copier coller en stock car j'en avais toujours marre de répéter les mêmes choses.
Le voici donc :
C'est vrai que ça manque d'un site sérieux et actualisé qui ferait la liste des pays "expatriables" avec les conditions d'entrée, la politique sanitaire, le coût de la vie, les secteurs d'activité, les statuts de travail, etc.
Pour ma part je suis au Paraguay depuis 12 ans.
Petite liste des caractéristiques :
- Résidence permanente obtenue par formalités d'État civil, de non condamnation, de visite médicale. Pas de conditions de revenus (retraite). Voir auprès du consulat si cela n'a pas changé.
- Accès à tous les secteurs professionnels en statut commerçant ou artisan en étant inscrit au RUC. Pratiquement aucun impôt pour les petits CA (donc marge nette = marge brute). Un fort marché potentiel auprès des classes moyennes dans la rénovation bâtiment et la construction de maisons de qualité tellement ici ils travaillent mal (ignorance crasse et ils ne veulent rien apprendre, même les jeunes).
- Au niveau humain, si l'on excepte Asunción et Ciudad del Este, ce sont des guaranis, sorte d'indiens dégénérés et roublards et non des hispaniques (comme en Argentine). Et ce n'est pas brillant ! Impossible de travailler avec eux. C'est l'erreur commune que font tous les gringos et beaucoup y ont laissé des plumes.
- Pas de politique sanitaire dictatoriale de type passe sanitaire. Accès aux soins (de qualité) sans conditions dans tous les "sanatorios" (cliniques). Tout est payant, mais bien moins cher qu'en France hors Sécu. Il existe aussi des assurances privées.
- Monnaie stable et échangeable suivant, en gros, le cours du dollar sans ses à coups spéculatifs.
- La ressource principale du Paraguay est l'agriculture (4e pays producteur de soja), le lait et l'élevage. Très peu d'industrie.
- Logement locatif difficile à trouver. Pas mal de maisons à vendre (mais de qualité variable). Construction libre sur tout terrain que vous avez acheté.
- Ressources : aucune pénurie. Électricité pour tout le Paraguay et les provinces voisines du Brésil et de l'Argentine par l'un des plus grand barrages du monde : Itaipu. Carburants venant du Brésil par camions. Prix du gasoil stable depuis 6 mois (8 300 PYG soit 1,12 EUR)
- Toutes les agglomérations (mêmes les petites) sont câblées fibre optique de très bonne qualité (15,18 EUR pour 120 MBPS mensuel)
- Pays nul au niveau touristique (que des vaches à voir car c'est une immense Normandie et que l'État n'a pas aménagé pour la promenade les petits coins nature) mais idéalement situé au centre de l'Amérique du Sud pour aller dans les pays voisins plus touristiques.
- Grandes routes en notable amélioration mais les petites sont souvent désastreuses. SUV recommandé et même 4x4 (j'ai un pick-up Isuzu D-Max de 12 ans d'âge et qui est toujours en parfait état).
Je n'ai rien oublié ?
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@Yeshoua..la..seule..issue.
Si on est encore les pieds dans le réel, on peut analyser les mythes du christianisme comparés aux autres mythes antérieurs.
Le "jugement dernier", par exemple, qui est celui d'Osiris. En plus de la récupération de toutes les fêtes païennes par le christianisme : Noël fête solaire de la perception du rallongement des jours, Pâques célébrant le retour des beaux jours avec ses oeufs, la Pentecôte, fête juive des moissons, etc.
Si on fait l'analyse de la "passion du Christ" du chrétien Mel Gibson, très fidèle au texte de Matthieu, on peut l'analyser de façon très profane comme le fantasme classique d'un enfant dit "naturel" qui imagine son père comme étant un surhomme. Un grand classique dans la psychanalyse.
La fin de Jésus sur la croix en s'exclamant "Eli, eli, lama sabactani" montre bien le retour au réel.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Tout solitaire - non choisi - que je suis, je ne suis pas assez souple des vertèbres pour me contempler le nombril. Ma curiosité se porte sur le monde extérieur : la biologie, la nature, l'astronomie (j'ai même écrit une série de 5 livres de science-fiction, un bide au niveau de la diffusion, mais j'étais content de les avoir écrits). Je me suis assemblé (en plus je suis informaticien) un super ordi avec un moniteur 4K de 27 pouces. Je navigue à fond sur Internet sans réduire ma voilure (j'ai une très bonne connexion fibre optique), j'engrange des blu-ray et des super jeux et des centaines d'ebooks.
Tiens, pas plus tard qu'aujourd'hui et sur YouTube j'ai vu un excellent documentaire sur le Tambora, volcan indonésien qui a fait la plus grande explosion dévastatrice de l'époque humaine en 1815 provoquant des famines jusqu'en Europe.
https://www.youtube.com/watch?v=-8_Fk8b1BsA
Donc, en étant un curieux universel, je ne m'ennuie jamais même si ma solitude est limitante.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
La chappe de plomb de la soumission éclate et plus elle fut lourde plus l'explosion est brutale.
Tout, absolument tout, est à revoir dans ce pays qui, dans l'état actuel, n'est pas viable.
Personnellement si je m'en suis barré définitivement il y a 12 ans, ce n'est pas par attrait par l'exotisme. J'ai fait de grandes vadrouilles dans ma vie, par terre ou par mer, mais j'avais toujours mes racines en France. Mais il y a 15 ans que je ne les ai plus. Et 12 ans que j'ai quitté définitivement la France.
Bon courage aux insurgés, la bataille va être rude, les forces de répression vont être féroces. Il y aura des morts, mais c'est le lot de toute insurrection. Relisez Les Misérables et n'oubliez pas la phrase de Victor Hugo : "Paris qui n'est Paris qu'arrachant ses pavés"
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
N'allez pas faire les innocents, mes biquets ! Ça fait au moins 40 ans que vous votez immigrationniste hallal. Vous n'allez pas nous faire le coup des victimes innocentes. Commémorez avec vos bougies et vos nounours mais ne nous racontez pas de salades (pas fraîches).
Moi il y a 11 ans que j'ai foutu le camp de ce pays qui me débecte !
"La France, vous l'aimez ou vous la quittez !". Tu l'as dit bouffi, je ne l'aime pas et je l'ai quittée il y a 11 ans (mais c'était préparé depuis 15 ans).
Impossible de trouver un boulot passé 50 ans, jeté statutairement du RMI à 60 ans avec une préretraite de 75 EUR alors qu'un illégal, reconverti en "demandeur d'asile" touchait 920 EUR, plus les petits cadeaux des assoces.
Donc à l'époque ce n'était pas le coronavirus le repoussoir mais le coranovirus. Je me demande si en "accidents de trottinettes", autrement dit en espérance de vies perdues, il n'a pas tué plus que le vrai de vrai covid qui, lui, ne tue que des personnes en fin de vie.
Je constate que l'invasion islamiste continue de plus belle avec la logistique de Soros et que les enseignangnants sont toujours vautrés dans l'islamo-gauchisme.
Vas victis !
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
En tout cas ça ne manquera pas de surpopulation humaine.
Il faut être, soit un fou, soit un démographe nataliste pour s'imaginer que sur un monde fini une population à croissance exponentielle est possible.
Pourtant les exemples ne manquent pas dans la nature ! De ces vagues de proliférations, d'insectes qui se font, ravagent tout et disparaissent. Observé avec des bestioles nettement plus grandes comme les éléphants qui arrivaient à ravager toute la végétation et à crever de faim.
Pour l'humain ça sera plus grave car il ne ravagera pas sa seule espèce mais aussi toutes les autres. On le voit directement aujourd'hui et c'est observable par n'importe qui, dont moi. En 15 ans le jardin autour de la maison de ma mère était fourni en bestioles diverses, d'autant que les jardins des pavillons communiquaient car ils n'étaient séparés que par 3 lignes de fils de fer sur des piquets en bois.
Mais la mairie, imperturbablement, venait y passer la nuit des gaz-poisons. Il n'y avait alors plus rien de vivant ! Ni les cétoines dans les rosiers, ni les moineaux dans les taillis, ni les hirondelles dans leurs nids perchés, ni les hérissons la nuit sur les pelouses.
Mais... toujours autant de moustiques car ces gaz tuaient surtout les prédateurs naturels des moustiques comme les libellules dont les larves se gavent de celles des moustiques.
Je ne sais pas combien ces trusts chimiques arrosent les municipalités pour vendre leurs poisons, mais le scandale est du même niveau que les pseudo-vaccins de Pfizer.
Si au moins ces derniers pouvaient exterminer les crétins qui ont couru aller se faire piquer, il y aurait alors de l'espace libre en France et ailleurs...
1
-
1
-
1
-
@hvm7-h5e
Expatrié est l'appellation classique. On peut dire émigré, bien sûr.
"Ouvre largement ses portes" est toutefois abusé, il y a des tas de critères administratifs et même sanitaires pour y être résident.
Et ces nouveaux immigrés, non dépourvus de tunes seront des consommateurs donc rapporteront de la IVA.
De plus les dirigeants voient bien que leur population vit uniquement dans une mauvaise autonomie et ce n'est pas un problème financier, c'est ethnique. En effet il est impossible d'apprendre quoi que ce soit à un paraguayen fut-il jeune, ils se foutent de tout. Même des vendeurs dans des services techniques. 2 exemples (mais il y en a plein) :
- J'achète une jante pour mon pickup pour avoir une roue de secours de plus. Une fois sortie du carton chez le monteur de pneus la jante c'est du 15 pouces au lieu de 16. Le 15 pouces c'est pour les moteurs 2,5 litres moins employés que les 3 litres. Mais le vendeur ne m'a nullement posé la question de la cylindrée.
- J'achète dans une ferreteria "professionnelle" un compresseur et le tuyau de sortie. Une fois à la maison je vois que ce tuyau ne peut pas se brancher sur le compresseur.
Rapportés dans les deux cas, cela me fut changé, mais pas un mot d'excuse, comme si je faisais un caprice de vouloir autre chose.
Tout est à l'avenant car ici ce ne sont pas des hispaniques, mais des guaranis, sorte d'indiens dégénérés.
Avec ma naïveté de gringo fraîchement débarqué j'ai pensé former des p'tits jeunes comme apprentis. Impossible ! S'ils viennent chez moi c'est juste pour me voler.
Rien à voir avec le pays voisin, l'Argentine où ce sont de vrais hispaniques. Toutefois leur monnaie et désastreuse.
Les dirigeants savent donc très bien que ce sont des étrangers qui ont fait la richesse du pays avec le lait, la viande, la charcuterie, le sucre et le soja (4e producteur mondial) en particulier la secte des mennonites qui était persécutée en Europe et qui sont des bosseurs.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@Jevousdemandedevousarrêter111 Un massacre d'oiseaux et de chauve-souris ??? Qu'est-ce que c'est que ce délire ? J'ai été souvent dans des parcs d'éoliennes en France et en Espagne. En fait les pales tournent lentement avec un léger Wouf-wouf si on est juste en-dessous et on n'entend plus rien quand on en est à 50 m. Pas un seul cadavre d'oiseau.
Et puis une éolienne, c'est de la ferraille recyclable en fin de vie.
Si les écolos détestent les éoliennes c'est parce que leurs maîtres, les lobbys nucléaires, ne les aiment pas.
De même qu'ils sont près à défoncer un paysage pour faire passer leurs trains (électriques). Et une voie ferrée c'est ultra coûteux et nécessite de l'entretien, alors qu'une route c'est du bête cailloux concassé avec du goudron qui, de toute façon, est produit par les raffineries, qu'on l'utilise ou pas.
C'était donc une petite analyse matérialiste loin des délires écolos.
Réchauffement ? Moi je vous prédis autre chose : avec les volcans en furie de ces dernières années il va falloir s'attendre à de petites périodes glaciaires. C'est que j'avais oublié un dieu dans l'histoire : Héphaïstos, parce que des particules fines projetées dans la stratosphère, ça fait un écran sérieux au rayonnement solaire. L'éruption du Tambora, en 1815, a provoqué des famines y compris en Europe.
Eh oui, la climatologie est une science et pas un délire de pseudo écologistes !
1
-
1
-
@Jevousdemandedevousarrêter111 La science à ses variantes en fonction de l'influence des idéologies. Pour avoir des crédits de recherche il faut faire allégeance à la doxa en cours. Celui qui lancerait un programme de recherche sur "le peu d'influence anthropique sur la modification du climat" serait certain de ne pas avoir un kopeck. À ce niveau François Gervais, professeur émérite, donc intouchable et spécialiste de la spectrophotométrie infra rouge (qui sert à suivre le gaz carbonique) était au GIEC au tout début. Puis, comme beaucoup de ses collègues il a vu la tournure idéologique que ça prenait, et il en est sorti.
Finalement l'Histoire se répète que ce soit la coronafolie avec Big Pharma ou le réchaufisme avec le lobby nucléaire.
Ceci dit je ne nie pas la nocivité d'un certain virus ou qu'il y ait une évolution à la hausse des températures, mais qu'on en fasse, dans les deux cas, du catastrophisme et de l'anthropocentrisme ne passe pas.
Comme dirait Raoult "Moi je fais de la science, pas de la politique".
Je suis pourtant bien placé, en tant que navigateur à voile, pour savoir qu'il y a des évolutions dans le climat. Lors de 2 transats cela s'est comporté comme jamais avec tous les relevés de ces zones pourtant très fréquentées où on a des graphiques de probabilités de vents établis sur 50 ans, ce qu'on appelle les "pilots charts".
Pas d'alizé la première fois et un vent dans le nez du SW. Or il n'y a JAMAIS ce type de vent. La norme c'est le NE avec de faibles variantes angulaires. Bis repetita 2 années plus tard où on a été encalminé dans la pétole 3 semaines et où on a failli - réellement - crever de soif. Dans un état de fatigue propre à la déshydratation je guettais, sur l'AIS, un cargo pour lui envoyé un "distress message". On a enfin pu atteindre la ZIC (pot au noir) où sous un orage on a pu recueillir 250 litres d'eau ruisselant sur la grand voile.
Donc ce n'est pas à moi qu'il faut dire que le climat n'évolue pas, mais le mettre sur le compte de l'humain est une foutaise.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@gerard5181
Ma vieille expérience des candidats non médiatisés depuis 50 ans.
C'est même encore pire que dans mes jeunes années car les veaux qui veautent ne décollent pas de la téloche.
Par exemple aucun argument scientifique contre la coronafolie ne peut les atteindre. Le masque c'est le pied, même quand ce n'est plus obligatoire. Ils sont persuadés, ces cons, que ça arrêtera les virus. Quant à leur expliquer ce qu'est une injection transgénique, que les mutants sont engendrés comme réaction de défense à ces piquouzes...
Ils se sont vautrés dans la bêtise volontairement. Dans mes jeunes années les ouvriers de base n'étaient pas hostiles à apprendre quelque chose, maintenant... Et rien à espérer des jeunes, c'est pire que les adultes.
Bon, Dupont-Aignan il a son job de maire, c'est toujours ça, mais Florian Philippot je me demande de quoi il vit. Il se ruine la santé en pure perte.
J'ai été militant libertaire dans mes jeunes années, c'était sympa, on approfondissait des trucs et, tout content de notre savoir et de nos analyses on mettait ça en forme sur un beau tract (en offset) et on avait notre petit courant de lecteurs sympathisants.
Et puis la chape de plomb de la soumission est arrivée et, en 1974, on a décroché du militantisme et on a cherché à se trouver des coins sympas pour y vivre (Ariège, Cévennes, Aude). Avec un ami on a rénové une grange dans un coin perdu de la Creuse. C'est toujours possible, mais plus en Europe que je regarde avec affliction depuis 10.000 km. Les allemands, oui, ils décrochent et vivent en communautés, mais pas les français.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Ah la violence ! Avec les BFM-TV qui pose la sempiternelle question aux invités "Condamnez-vous la violence ?". Celle des manifestants bien sûr.
Voici donc la prose de Monseigneur Hélder Pessoa Câmara à ce sujet (pour une fois que je cite un évêque, profitez-en car ce n'est pas souvent que cela m'arrive) :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
La France, devenue un nain politique et économique, n'est plus qu'un vieux coq déplumé sur son tas de fumier (mettez tout ce que vous voulez dans le concept de fumier, vous avez l'embarras du choix) et qui prétend intimider l'ours russe, lequel, effectivement vendra son gaz et ses céréales au dragon chinois qui ne crachera pas dessus.
Raisonnons un peu ! Oui, je sais c'est fatigant et les français ont perdu l'habitude, et puis il y a BFM-WC et autres pour penser à leur place.
Juste un rappel historique :
En mai 1945 l'armée rouge contrôlait toute l'Europe jusqu'à Berlin, l'armée allemande ayant été ratiboisée.
Territoire trop grand à gérer, l'URSS s'est retranchée en laissant/créant des pays plus ou moins satellites entre l'OTAN de la guerre froide et la Russie.
Mais l'OTAN n'a eu de cesse de soumettre tous ces pays à son influence étatsunienne. Avec des guerres locales (Kosovo) pour ceux qui ne se soumettaient pas à l'OTAN.
Mais l'OTAN vise l'Ukraine pour y installer ses bases de fusées. C'est encore pire que les missiles de Cuba en 1962 que Kennedy a eu vite fait de les faire remballer.
Bien sûr les russes ne pouvait accepter cette menace directe.
Mais la France c'est l'Europe, et celle-ci est le roquet aboyant de l'OTAN avec, à sa tête Ursula von der Layen, nullement élue, compromise avec Pfizer, et qui décide toute seule d'envoyer des armes à l'Ukraine, les pays européens n'étant que des petits toutous obéissants à ses caprices.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
En dehors de tout ce qu'on met sur le dos de Macron, il y a cette évidence sur le travail.
Et comme toute évidence elle n'est pas évidente.
Tout ce qui relevait du travail est remplacé par le machinisme, l'informatique et la bureautique à 80 % aujourd'hui et le sera à 90, 95 % dans les années à venir.
Donc toutes ces histoires d'annuités, de temps de travail, d'âge de la retraite, c'est comme parler de bases de données à un diplodocus.
Le travail vraiment utile dans une société bien gérée n'existera pratiquement plus, tout simplement.
Certes les gens ne resteront pas sur leur transat les doigts de pied en éventail, mais bricoleront des "trucs", parce que c'est dans leur nature depuis le paléolithique.
Le meilleur exemple récent c'est Internet, produit par la gratuité de presque tous ses acteurs.
Donc, bien qu'à 75 ans, vous me faites marrer avec vos âges de la retraite, vos heures de travail et autres anachronismes.
Car comme le disait, il y a plus de 10 ans, en réunion un ami prof d'électrotechnique, l'histoire de faire avaler le martini de certains : "les 35 heures c'en est encore 30 de trop".
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
L'informatique et l'éducnat, j'ai vu ça depuis les origines, puisque j'avais une SARL d'informatique en 1984.
Déjà au niveau humain : aucun informaticien n'a été recruté.
Ensuite l'éducnat a freiné des quatre fers. les ordis (mauvais) étaient livrés mais il n'y avait pas de prises pour les brancher.
Installer des prises me direz vous, ce n'est pourtant pas compliqué ? Sauf que vous ne connaissez pas cette immonde bureaucratie : ce n'était pas dans le budget, il faudrait attendre l'année prochaine, etc.
Et les profs, qui n'y connaissaient rien et ne voulaient rien apprendre freinaient des 4 fers. Ils ont fait leur programme en début de carrière et comptaient bien le répéter jusqu'à la retraite.
Ensuite sont venu les "portables" ces immondes petites choses à l'obsolescence programmée (un an et demi de fonctionnement avant la panne, en moyenne).
Pourtant la solution était simple, si j'avais été conseiller :
Des ordis classiques en tour, assemblés par des... assembleurs (ce qui pouvait être, d'ailleurs, l'objet d'un TP). Le outil pour cela c'est un tournevis Phillips nº1. Et un composant défectueux se change avec le même tournevis.
Et des disques durs par groupes d'élèves montés sur des tiroirs amovibles.
Bref une solution pérenne et économique (je jette des composants obsolètes mais qui sont encore en parfait état de fonctionnement).
Mais, voilà, c'est la France...
Parmi les directives de Martine Aubry il y en avait une qui n'était pas idiote : dispense de 2 ans de charges sociales pour une municipalité qui recruterait un chômeur de longue durée dans sa commune. Et bien non ! Informaticien confirmé, mes rapports avec ma municipalité se contentait juste, pour elle, de me reprocher d'être au chômage, alors, qu'à vu de nez, il aurait fallu 3 informaticiens minimum (la municipalité et les écoles communales).
Publicité gratuite pour cette municipalité qui sait si bien faire envoler les impôts locaux : Villeneuve-Tolosane à 12 km au S de Toulouse.
Vous comprenez maintenant, mes biquets, que j'ai foutu le camp sans regret de ce pays depuis 10 ans ?
1
-
1
-
1
-
1
-
Entrepreneur en France ? Jetez-vous plutôt d'un pont, la corde au cou, la mort sera plus rapide.
Vous êtes calé et débrouillard en rénovation/construction de maisons individuelles, vous aurez un marché en or au Paraguay, où je vis, et je ne parle que de ce que je connais, tellement ici les "professionnels" travaillent mal (incapables de faire un béton armé élémentaire et de comprendre qu'il faut une pente pour évacuer l'eau).
La classe moyenne qui en a marre de ce travail désastreux vous fera une pub d'enfer et vous devrez refuser des chantiers.
Certes il faut un minimum de capital, mais ce n'est pas énorme. Une fois que vous aurez acheté le pickup 4x4 qui vous servira aussi de voiture standard, vous aurez acheté le plus cher. Un compresseur, une projeteuse, une bétonnière et des outils à main pour le reste.
C'était mon projet au départ et j'avais un ami super bricoleur (meilleur que moi, c'est tout dire :face-blue-smiling:) et qui était partant. Mais il n'a rien de trouvé de mieux à faire que de mourir à 40 ans d'un double cancer foie et pancréas. Je me suis donc retrouvé tout seul, mon capital fut alors placé en comptes à terme ce qui m'assure une petite retraite.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Sont mimis les français ! Ils sont envahis, mais ils bichonnent leurs envahisseurs : ils les logent, les nourrissent, les subventionnent, les soignent, les éduquent (pour ceux qui veulent), etc.
Tout ça sans que cela leur coûtent un rond.
Alors qu'un migrant légal, dans un autre pays, comme le mien (Paraguay), il y a des conditions financières (pas au Paraguay, mais il est implicite qu'il faut avoir de quoi vivre), des formalités d'État-Civil, des attestation de non condamnation (y compris Interpol), une visite médicale.
Une fois obtenue la résidence permanence, il faut tout se payer.
Mais la France, qui est un pays au bout du rouleau, n'a plus le moindre dynamisme vital, et veut être néantifiée par une invasion voulue.
Sont rigolos les militaires avec leur sous-marin atomique...
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
"Si vous traversez l'enfer, surtout ne vous arrêtez pas en chemin" (Winston Churchill).
J'écoutais sur un autre reportage ce qu'il en était des fameux 5.000 EUR que touchait un raffineur à Total Énergie selon BFM WC. Devant un journaliste, un vrai, montrait son bulletin de paye avec 24 ans de métier : 2.650 EUR.
Mais les français se sont rué sur le bobard, il n'y a qu'à lire les commentaires du Figaro (eux, depuis 1968, c'est simple, ils crachent leur haine sur tout mouvement social). Je les connaissais bien. La France des calomnies et des dénonciations façon torchon pétainiste "J'essuie partout" même pas sponsorisé par Sopalin. À l'époque c'était les juifs, maintenant ils sont intouchables.
Bref, toujours rigolo à observer ce pays, mais depuis 10.000 km. Ici, Paraguay, tout va bien malgré que le gasoil est à 8.300 PYG (1,20 EUR) mais ça fait 2 mois. Aucune peine urie (sauf pour les hypertrophiés de la prostate).
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Très bien rapporté par François ! D'une lucidité et d'une logique imparable.
M'est avis que cela va bientôt chauffer en France. !
Mais il ne faut pas trop s'illusionner sur ce peuple de soumis et de collabos. Que de fois ai-je lu dans les commentaires du Figaro, que ce soit pour la ZAD de Notre-Dame des Landes ou pour les manifs des gilets jaunes, des imprécateurs fascistes appelant la police et l'armée "à tirer à balles réelles" contre ceux qui osaient s'opposer à la politique répressive de Macron.
Un manifestant fut d'ailleurs tué par une grenade de guerre de la gendarmerie.
Ils doivent y en avoir qui piaffent d'impatience parmi ces forces de répression d'y aller en force.
Le Chili était devenu un pays civilisé, mais un général fasciste, manipulé par Nixon et Kissinger, firent un coup d'état sanglant qui fit 4.000 morts. Tout ça parce que le président Allende constatait que la principale ressource minière du pays : le cuivre, était bradé à l'état brut.
La situation actuelle c'est que des réfractaires à la soumission vaccinale, pourraient amputer les revenus phénoménaux de Big Pharma.
Et cela justifie que l'on tire sur le peuple ?
Je crois savoir que dans l'hymne national officiel il est question de "Aux armes, citoyens !" et que les kalashs n'ont pas vocation à ne servir que dans les règlement de comptes des trafiquants des quartiers Nord de Marseille...
Allez, pour vous remonter le moral, une petite chanson de Jean Ferrat, sur un poème d'Aragon :
https://www.youtube.com/watch?v=iXYjkjT7zYo
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Il est remarquable que les grands singes avec lesquels nous partageons 95 % de notre ADN ne montrent aucun signe de religiosité. Et un individu mort, passé le chagrin, n'est plus qu'un déchet.
Le déisme est donc bien une psychopathologie propre à l'espèce humaine, mais qui se répartit selon des critères encore inconnus. On nait déiste, comme on nait homosexuel. Ce n'est pas de l'acquis mais de l'inné. Et il faut faire avec. Comme dans toute psychopathologie tant qu'ils ne menacent pas de massacrer les autres on peut les tolérer.
Dans ma série de science-fiction "Les trafiquants des étoiles" qui fut un remarquable insuccès de librairie (juste en dépôt sur Amazon), je démarre par des grands vaisseaux qui sont de véritables villes autonomes et qui voyageront vers des exoplanètes habitables pendant 200 à 300 ans. Donc des générations s'y succèderont. Pour remplir ces vaisseaux des psychologues scrutèrent les candidats de tous âges et de toutes spécialités professionnelles, mais il y avait un point inflexible : il ne devait pas y avoir d'esprit religieux. En effet dans ce monde clos, même s'il avait tout le confort, des conflits religieux auraient massacré tout le monde avant que d'atteindre l'orbite de Saturne. Les bouddhistes firent hésiter les recruteurs, mais un grand lama expliqua, textes à l'appui, que le bouddhisme était une spiritualité sans dieu.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Le bitcoin n'est pas une monnaie mais un joujou spéculatif pour super friqués ! On peut acheter des bitcoins dans des officines mais on ne peut rien payer avec ! Il n'y a pas de cartes de paiement en bitcoins comme j'en ai pour les deux monnaies que je possède l'euro et le guarani du Paraguay.
Donc le bitcoin ne sera qu'un phénomène de mode qui cessera quand les joueurs de la planète comme Elon Musk se lasseront de jouer avec.
L'euro n'est pas, non plus, une monnaie crédible. D'abord ce n'est pas une monnaie, là aussi comme j'en donne la définition ci-après.
Une vraie monnaie, par exemple, n'aurait pas permis à ses banquiers d'acheter pour un milliard d'euros de remdesivir, inefficace et néphrotoxique, quelques jours avant que l'OMS, pourtant devenu la propriété de Bill Gates, en déconseille l'usage.
Qu'est-ce donc que la monnaie, telle que Karl Marx, en bon logicien matérialiste, s'est cassé les dents à la définir et a préféré étudier le mécanisme de la valeur dans son ouvrage de référence : Le Capital ?
Je vais tenté, immodestement, de la décrire !
Pour cela il faut un territoire avec des frontières autour. Donc pas le cas pour la France.
La monnaie est donc une évaluation des actifs basé sur
- le territoire, le prix de ses terres, des propriétés agricoles, des usines qui s'y trouvent et de ses investissements (centrales électriques, etc.)
Cela s'évalue comme le ferait un expert.
- le travail qui s'y effectue : la valeur travail permet d'évaluer le développement économique dans les années suivantes.
- les valeurs au passif : retraites, indemnités maladies et allocations chômage. Mais qui définissent la cohésion sociale du pays.
Autrement dit le frexit, préconisé par Florian Philippot, mais pas seulement lui (je suis un marxiste libertaire et je dis la même chose) à savoir, la "reconquista" de l'unité territoriale France, de ses frontières, de son économie, de ses frontières et de sa monnaie (définie sur les bases que j'ai développé plus haut) et de son unité nationale. Donc éjection des envahisseurs indésirables et ceux qui veulent s'intégrer à la France sont, eux, les bienvenus.
Voilà quel serait la base d'une monnaie crédible.
La forme papier est, effectivement, devenu un anachronisme, la carte bancaire étant plus simple et plus sure.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Ouarf ! Les totos en France ! Vous avez l'affliction de Zuzu-la-Roja, camioneta quatquateuze, qui est, comme moi, une résidente permanente au Paraguay depuis qu'elle a quitté sa nursery au Japon chez Isuzu. Et ici le gasoil est à 0,70 le litre.
Ouais, c'est beau tout ça mais elle et moi sommes coincés. Alors qu'on aimait bien baguenauder ensemble dans la Cordillère argentine et chilienne.
La malheureuse ne va plus qu'au supermarché pas bien loin et, comme dans une cour de récréation d'école communale, elle subit, comme le chêne de La Fontaine, les moqueries des petites Toyota Vizz et Fun Cargo. "Ouah la frimeuse ! Avec ses deux roues de secours boulonnées et son filtre à air prolongé jusqu'au toit".
Je rappelle aussi que le crédit social à la chinoise existe bien en France pour les voitures ! Rouler à 70 au lieu de 60 est une abomination qui ne se contente pas de vous racketter, cela retire 2 points à votre crédit social automobile. En peu de temps vous ne roulerez plus qu'avec votre petit vélo écologique.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Zemmour est indubitablement brillant, mais c'est un menteur au sens où il écrit le passé en fonction du présent.
En effet pour lui tous les malheurs viennent de mai 68, de la même façon que le CNPF mettait toute la dégradation de l'économie sur les 35 heures mais nullement sur les liquidations/délocalisations.
Son morceau de bravoure étant que mai 68 aurait soumis la France à l'islam. Rien de plus faux puis-je dire en tant qu'acteur de cette période, mais moi on ne risque pas de m'inviter sur les plateaux télés.
En effet, à cette époque, il n'y avait que des travailleurs immigrés. Dans le mouvement social de mai 68 on ne les aimait pas spécialement, craignant qu'ils servent de briseurs de grève pour le patronat. Ce qu'ils n'ont pas fait. Quant à l'islam, c'était considéré comme une religion absurde et autoritaire, mais, pareil, à l'époque, le problème ne se posait pas. Les immigrés précités, même s'ils étaient musulmans n'étaient nullement prosélytes.
Eh, bien sûr Zemmour ne s'arrête pas là ! Cette époque de liberté, tout au moins dans les consciences, est chargée de tous les péchés par ce catho réactionnaire. Pensez donc, les ados avaient une sexualité et avaient bien l'intention de la pratiquer et pas seulement dans l'hétérosexualité la plus conventionnelle (j'allais écrire confessionnelle).
Je suis bien d'accord sur le concept actuel d'islamo-gauchisme, mais c'est une invention récente car les gauchistes de l'époque n'étaient nullement concernés par l'islam. Toutes les religions étant renvoyées comme tyrannies des consciences.
La "perte d'autorité" est là aussi une confusion zemourienne entre l'autorité en tant que force d'un savoir et d'une sagesse et l'autoritarisme d'un pouvoir aux abois comme l'actuel qui n'est plus respectable car il est dans la confusion permanente. La phrase "Il est interdit d'interdire" n'étant qu'un jeu de langage de son inventeur : Marguerite Duras. Un oxymore en réalité.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Le problème posé est pourtant simple : toute l'idéologie véhiculée par les politiques et, surtout, la publicité et la "culture" cinématographique est basée sur le "sexual role" (le terme venant des psychologues américains je le laisse sous sa forme anglo-saxonne".
Quel est-il donc ? : simple : l'homme doit être un super macho et la femme une super putain.
Ceci est véhiculé essentiellement par la publicité et le cinéma (la série des James Bond étant un modèle du genre).
Ne se passe pas une vidéo sans qu'il y ait une scène de baise hétéro jusqu'à l'éjaculation finale. Aucun rapport avec l'histoire, mais vous n'y échapperez pas.
À une idéologie répond souvent une réponse non adaptée. Ainsi est venu cette "théorie du genre" où le biologique serait porteur de l'idéologie du sexual role. Ce qui est un non sens scientifique. Par exemple l'homosexualité déclarée "non naturelle" alors qu'elle est très commune chez les mammifères et surtout les oiseaux et que certaines bestioles peuvent changer de genre biologique, ce que ne peuvent pas faire les mammifère.
Par contre on peut être d'un sexe biologique mais ne pas se sentir investi du rôle correspondant par la société
Chez certaines civilisations, indiens du N et du S de l'Amérique, cela est parfaitement accepté, Ce sont les grandes religions monothéistes (christianisme, islam) qui en maintiennent le tabou.
On peut s'avancer aussi sur le terrain de la sociologie : c'est parce que les couples hétéros "modernes" ne tiennent plus ("l'amour dure 3 ans" a écrit Frédéric Beigbeder). Pourquoi ? Parce qu'ils s'obligent à vivre en promiscuité permanente. Autrefois, la tâche de reproduction effectuée les hommes vivaient entre eux et les femmes entre elles et ça se passait bien (Socrate a eu une femme Aspasie, et lui a même fait des socratillons).
Là on observe ce paradoxe : les couples hétéros s'efforcent de vivre comme des couples homos (ils font leur gymnastique ensemble et j'en ai vu souvent en randonnée avec des vélos sacoches sous le soleil, la femme, toute rouge, au bord de l'apoplexie). Dans beaucoup de domaines ils nient la différences des sexes.
Et le dictateur Poutine, pas plus que le dictateur Zelenski ne sont des modèles pour des sociétés libres et épanouies.
1
-
1
-
1
-
1
-
Décidément les seules personnes que rencontrent André Bercoff sont des petits garçons de son âge ! Les seuls à voir une grande culture et une grande intelligence. Ça ne se bouscule pas pour la relève parmi les trentenaires.
Quand aux d'jeun'z n'en parlons même pas !
Nous vivons un temps de peuples qui se meurent et, si les cataclysmes humains ne les auront pas détruits, ils ne restera que des livres pour les historiens du futur.
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.
Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux."
Paul Valéry, Variété, 1924
(Note : Lusitania était un grand paquebot qui a fini comme le Titanic)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
J'en ai subis des matraquages et des grenades ! Manif contre la guerre US au Vietnam, en particulier contre le massacre de Mi-Laï (comme Oradour, mais bien pire). Ça m'avais valu de me faire recoudre le crâne à l'Hôtel Dieu de Paris avec les félicitations du chirurgien de garde et du personnel médical. Il y avait un reporter ayant reçu le même traitement que moi mais du côté droit du crâne. Il avait brandi sa carte de presse, mais c'était comme agiter un chiffon rouge devant un taureau furieux.
Ensuite il y eut les grenades à gaz de plus en plus chargées en gaz toxiques. Je me souviens de certaines, qui ne furent employées qu'une fois et qui ralentissait les muscles. On voulait courir, mais on ne le pouvait pas et on dégueulait vautré sur le capot des bagnoles. Du coup on ne fut pas matraqués les cognes n'approchant pas de ce nuage de gaz. Repli dans mon logis étant à peine en état de conduire. Le lendemain au boulot dans mon laboratoire de l'INSERM, une laborantine disait qu'on reconnaissait ceux qui avaient été à cette manif par leur figure blanche. Le midi impossible d'avaler quoi que ce soit. Les professeurs de biochimie se demandaient ce qu'on avait reçu. Probablement un gaz organo-arsénié utilisé au Vietnam.
Maintenant tout cela n'est plus de mon âge car il faut une force physique pour aller aux manifs. Casque avec protection faciale indispensable.
Le "jeu" consiste à terroriser les manifestants en les visant soigneusement avec des LBD (Jérôme Rodriguez, papotant loin des cognes et immobile fut éborgné). On se souvient aussi d'une vieille femme de Marseille qui fut tuée par un très efficace lancé de grenade dans son logis au 4e étage).
Mes recommandations de vieux soixante-huitard : renoncez aux manifs, c'est beaucoup trop dangereux, avec ces chiens fascistes enragés que sont les BRAV-M. Il vaut mieux faire des occupations de lieux de travail. Vous y êtes chez vous et vous pouvez vous défendre.
Par exemple la manif anti bassine de Sainte Soline s'annonçait comme une regroupement festif, ça me rappelait les rassemblements contre l'extension du camp du Larzac. Mais ce ne fut pas ça ! Un pilonnage de grenades et les BRAV-M en quad pour tabasser tout le monde. Résultat 2 blessés en urgence absolue et SAMU interdit d'accès.
1
-
1
-
1
-
Je ne vais pas faire plaisir à certains mais tant pis, c'est ma nature nietzschéenne ("Je ne suis pas la bouche pour les paroles qu'ils veulent entendre", Zarathoustra, Prologue)...
à 73 ans j'ai vu l'évolution des restaurants depuis mon enfance.
Les conditions de vie dans les vieux immeubles étaient médiocres, les cuisines rudimentaires, juste pour faire un café au lait le matin et guère plus.
De plus les approvisionnement se faisaient chez les petits commerçants et c'était cher.
Il y avait alors une foultitude de restaurants de quartier où, au final, ce n'était pas plus cher que de faire la bouffe chez soi.
Mais la situation a évolué ! Passé 1970 les prix des restaurants se sont envolés ! Fini la clientèle populaire !
De la même façon que les p'tits commerçants, chers à la famille Le Pen, n'avaient plus de clients en vendant 2 fois plus cher qu'au supermarché le plus proche.
J'ai donc cessé définitivement de fréquenter les restaurants à partir de 1975 environ et les p'tits commerçants je n'y ai plus mis les pieds bien avant ayant une bagnole pour gagner les supermarchés avec leurs parkings. De plus je payais tout avec ma carte VISA.
Il y a des bobos qui font l'éloge des marchés en plein air, tout y est cher, il faut payer en espèces, on ne peut pas se garer car la flicaille municipale rode autour pour mettre des PV. Faut aimer !
Je suis bien d'accord pour une action radicale contre la dictature sanitaire, mais nullement pour faire l'apologie de la ringardise passéiste.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Je ne vois pas trop qui est concerné par les délires du wokisme. On voit plutôt une rétractation sur les sexual roles patriarcaux, même s'ils sont devenus intenables.
Permettez-moi de rester désuettement marxiste, mais si l'ouvrier hyperexploité de l'époque de Zola pouvait encore être le patriarche tout puissant chez lui (à cette époque la femme ne travaillait pas) cela s'affale complètement à notre époque et depuis un moment.
Dans sa petite famille le patriarche déchu voit les idéologies de sa marmaille partir dans tous les sens, fussent-ils délirants.
La télévision qui fut, un temps, le remplacement de la messe du dimanche, explose aussi, les enfants ont leur télé à eux, dans leur chambre, ne pouvant supporter de voir des émissions "de vieux".
Encore que même la télé ne fait plus recette avec Internet et tous les réseaux dit sociaux (car il n'y a aucune sociabilité là dedans ce n'est que l'exposition de son paraître).
Monde en décomposition, c'est un truisme de le dire, mais le fait est historiquement inédit dans l'Histoire.
Mais cela ne sera pas "l'ère des soulèvements" de Michel Matesoli, mais un mélange indicible que, seuls, les auteurs de science fiction, ont pu anticiper. Car, on va sortir du système capitaliste, mais ça sera pire.
"Socialisme ou barbarie" était le seul choix possible avait écrit Rosa Luxembourg.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Ouarf ! Il faut être un incorrigible menteur pour trouver de "belles choses" dans le Coran. Moi qui l'ait lu (quelle galère tellement c'est mal écrit) il n'est question que d'asservissement ou de massacrer ceux qui ne se soumettent pas. Et les hadits, c'est pire ! Mais je n'ai pas poussé le masochisme à les lire.
Les versets 89 ET 90 de la sourate 4 des femmes, An-Nissa, suffiraient pour déclarer l’islam comme un danger mortel pour l’humanité au titre de l’article 7 du Statut de Rome de la Cour Pénale Internationale dans ses articles 6 et 7 sur le génocide et sur les crimes contre l’humanité.
En effet, lesdits versets sont des véritables commandements de tuer tous ceux qui sont différents de soi et qui refusent de faire de se soumettre à la loi de l’islam. Compte-tenu de l’immuabilité et de l’intemporalité des textes coraniques, il n’y a pas lieu de les contextualiser. Ils sont toujours de mise autrement les doctes de l’islam les auraient déclarés obsolètes et caduques.
Point de débat autour des versets des plus éloquents quant à la nature ultra-violente et génocidaire de l’islam qui a fait de la haine de l’autre un dogme religieux qui devrait choisir entre l’islam ou la mort:
4.89 : « Ils voudraient qu’à leur instar vous sombriez dans la mécréance afin que vous en soyez au même point (sawâ’) qu’eux. Ne les prenez pas pour alliés tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. Et ne les prenez ni pour alliés ni pour partisans ! »
4.90 : « [tuez-les où que vous les trouviez] à l’exception de ceux qui visitent une tribu (qawn) à laquelle vous êtes liés par un traité ou de ceux qui viennent vous trouver le cœur serré à l’idée de vous combattre ou de combattre leur tribu ; si Dieu l’avait voulu, Il les aurait rendus maîtres de vous et ils vous auraient combattus. Aussi, s’ils vous évitent, ne vous combattent pas et vous offrent leur soumission, Dieu ne vous permet pas de leur témoigner de l’hostilité. »
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@argospanoptes4826
Oui je suis un immmmensssse complotisssse, l'argument contre ceux qui n'adhère pas à leur religion.
Résumons, avec bon sens (et donc complotisme) :
- une centrale gaz/charbon (elles font souvent les deux) moderne ne rejette que du gaz carbonique et de la vapeur d'eau, éléments naturels de la biosphère. Et, en fin de vie, elle est aisément recyclable (comme l'est une éolienne).
- une centrale nucléaire est le moyen le plus compliqué, le plus dangereux et le plus cher de faire chauffer de l'eau (voir la centrale EPR qui n'en fini pas de ne pas être finie). Une centrale nucléaire produits des déchets ultratoxiques, non recyclables et d'une grande durée de vie. Et, en fin de vie, tout y est bloqué (les radiations déforment le métal) de surcroît elle est donc indémontable (sinon il y aurait longtemps qu'ils auraient démonté celle de Fessenheim, mais ils n'osent pas y toucher).
Voilà "l'analyse concrète d'une situation concrète" ! C'est du réel pas de la religion ! Dans le jeu vidéo Fallout 4 il y a des fondus qui vénèrent Atome et sont complètement irradiés.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
J'ajoute que ces assassinats islamistes n'ont pas éclaté comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu. Ça fait 40 ans, depuis Giscard-Chirac qu'on nous impose cette invasion subventionnée et sanguinaire.
Et que font les français ? Ils continuent à voter pour les mêmes immigrationistes droite-gauche, financés par les Soros et autres tenants de la liquidation des nations.
"Le verrou qui doit sauter a présent, c'est la nation" E.Rothschild , 1970
"Il faut détruire l'unité interne des nations de l'Europe , la soumettre a une immigration massive , changer les structures des populations" -P.Sutherland , directeur du comite Bilderberg , ONU , BBC , Chambre de Lords , juin 2012
On ne peut pas dire que ce sont des victimes innocentes...
« Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »
Houari Boumedienne, ancien président algérien dans un discours à l'ONU, 1974
Rien qu'avec ces trois citations, si vous n'avez toujours pas compris...
1
-
1
-
@kamykro5427
C'est toi qui a une vision bien passéiste de ces centrales. Le 19e siècle, c'est déjà fini ! Les centrales à charbon, tout comme les cimenteries ne rejettent plus rien à l'extérieur. Il y a fort longtemps, notre groupe d'écologistes (scientifiques, je précise) nous avait fait visiter, avec son directeur, la centrale thermique de Montereau (au S de Fontainebleau). Centrale mixte qui fonctionnait au charbon (broyé) et au gaz. Tous les effluents étaient traités afin, qu'au final, il ne reste, à la sortie, que du gaz carbonique et de la vapeur d'eau.
Dans le même domaine d'amélioration, les cimenteries, finie la poudre grise qui se déposaient tout autour. J'en veux pour preuve la centrale de Port La Nouvelle (Languedoc) aucune poussière autour d'elle.
De même je ne critique pas les centrales nucléaires sur des rejets, ils sont, je l'espère, bien contrôlés, c'est le devenir de ces centrales en fin de vie qui est préoccupant car elles sont indémontables.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
La retraite, mes biquets, il ne faut même pas l'espérer. Ces pyramides de Ponzi se sont écroulées encore plus que les mauvais immeubles de Turquie.
Quand je pense qu'il y a des lycéens qui manifestent pour les retraites !!!!
J'ai toujours dit que les actuels jeunes étaient séniles, mais ils en font l'évidente démonstration.
Franchement, quand j'avais leur âge, outre les combats à mener, 0n VIVAIT ! On attendait pas d'être à la retraite pour ça.
Dans nos humanités classiques (juste latin, pas grec, pour moi) nous avions étudié le dilemme d'Achille : préférions nous une vie courte mais passionnante à une vie longue, riche, mais sans intérêt. Presque toute la classe avait choisit la première option.
Effectivement j'ai connu des camarades de cette époque qui étaient partis voyager au bout du monde (comme je l'ai fait) ou bricoler une vie déjà à visée survivaliste dans une cambrousse un peu perdue (comme je l'ai fait aussi et je continue même à 75 ans).
Vraiment plus rien à espérer de ce pays et de ses habitants.
Pour qu'ils me surprennent il faudrait qu'ils chassent Macron de l'Élysée à la pointe des baïonnettes.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Depuis 40 ans (et les grandes destructions/délocalisations d'usines) les français, fussent-ils soumis, se rendent compte qu'il n'y a plus d'avenir, que le lendemain sera pire que la veille.
Mais ça ne les incite pas à s'insurger comme l'ont fait nos ancêtres et comme le font les chinois avec la coronafolie made in China.
Ils se soumettent à un niveau incroyable, ils envoient leurs mômes bâillonnés aux écoles où on n'apprend rien. Ils acceptent d'être confinés et de payer des PV à 135 EUR sans moufter.
Comme cette soumission n'est quand même pas conforme au moi, dirais-je de façon freudienne, ils somatisent par tous les bouts de leurs personnes.
Que de fois leur ai-je dit que, s'ils n'étaient pas capables de se révolter en France, ils pouvaient au moins aller vivre, comme je l'ai fait, dans des pays libres où ils ne seraient plus angoissés, avec la seule nécessité de disposer d'un petit capital.
Mais ils s'autoparalysent et, pire encore, sont incapables d'avoir des relations sociales. Ce que j'avais résumé par la formule "Plutôt crever tout seul que de s'en sortir à plusieurs".
Je crois qu'il est impossible de sortir les français de ce masochisme mortifère et, parmi la jeunesse, c'est encore pire.
Ils disparaitront bientôt et physiquement en tant que civilisation (ils sont déjà envahis à 30 % par le tiers-monde islamiste) et personne ne les regrettera. La culture française étant déjà une culture morte.
"Nous autres civilisations, nous savons à présent que nous sommes mortelles" écrivait Paul Valéry, dans son premier Variété en 1924.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
C'est là que j'ai compris que la France c'était foutu ! Un peuple tombé dans la coronafolie et le masochisme du pseudo vaccin, ça ressemblait au peuple allemand acclamant le national-socialisme avec la haine pour ceux qui ne se soumettaient pas à cette nouvelle idéologie.
Les réfractaires à la piquouze étaient des untermenchen bon à être déportés dans des camps. Il y en eu d'ailleurs quelques uns appelés "camps de quarantaine".
Heureusement que j'avais quitté définitivement ce pays qui n'était plus le mien.
Ici, au Paraguay, il y avait certes des piquouzes mais rien d'obligatoire, et après un certain succès pour la première dose, les autres sont tombées rapidement en désuétude.
C'est au 4e trimestre 2020 que j'ai écrit mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" où j'ai imaginé une France, confinée à perpète, donc avec une certaine organisation de ce confinement afin qu'il soit quelque peu vivable sur la durée.
Bien sûr ce bouquin je n'ai même pas cherché à le faire éditer, car il faut faire partie d'une certaine nomenklatura, tout manuscrit venant d'une autre source est mis au panier par la secrétaire qui ouvre le courrier. Cela avait déjà été le cas d'une série de 5 volumes de science-fiction dont le tome 1, envoyé à des maisons d'éditions publiant de la SF, n'a même pas eu l'honneur d'une lecture. J'ai donc auto édité toute ma prose et l'ai mis en dépôt sur Amazon.
Je regarde donc le merdier français depuis 10.000 km et avec un certain amusement nietzschéen car on ne peu pas dire que les français, à ce point soumis, sont des victimes innocentes.
1
-
1
-
1
-
1
-
Cette intox du covid a très bien marché ! Les français ont montré qu'ils étaient de parfaits idiots soumis et pas racheté sur le niveau de la subversion par les syndicats et la jeunesse de l'époque. C'était à qui serait le plus stupide et le plus soumis.
Bon puis le temps est passé. Si abrutit soient-ils ils ont, au fond, bien loin, de leur cerveau, l'impression que c'était une énorme manipulation et qu'on les a prit pour des cons. Rien que du très réel me direz-vous.
Mais, en technique de vente, j'avais appris une chose : vous pouvez vendre très bien un mauvais produit mais il faut
1. que cela soit nouveau
2. qu'il y ait un gigantesque battage publicitaire.
À ce niveau là tout à très bien marché et les télévisions montraient tout ce qu'on voulait qu'elles montrent.
MAIS, toujours en technique de vente, malgré tout le battage un mauvais produit ne se vend plus au bout d'un temps assez court et relancer la pub le fera détester.
Je crois que la bande à Macron ferait bien d'aller dans un séminaire de techniques de ventes, car il y en a et des bons, je suis passé par l'un d'eux. Et ça se recoupera avec les enseignements de Noam Chomsky.
Ainsi ils devraient en sortir un peu moins stupides, en principe...
1
-
"Familles je cous hais ! Portes closes, volets refermés" (André Gide)
En fait ce n'était pas si grave, même au temps de Gide, sauf peut-être dans les civilisations méditerranéennes ou famille est souvent synonyme de mafia.
Dans les familles de prolétaires c'était des espaces ouverts, on ne se coupait pas de ses amis pour autant, il y avait un ensemble informel de la famille et de toutes les relations qui gravitaient autour. Bien sûr il n'en était pas de même dans les familles bourgeoises où il fallait être de leur rang et de leur coterie.
Mais ça s'est gâté dans les années 60. La prostration devant la télévision, les logement plus exigus, mêmes les grands parents se retrouvaient exclus de fait. Bref la famille se réduisait au couple marié.
Je n'emploierais pas des noms d'oiseaux pour qualifier ce phénomène sociologique, mais les faits sont là. Du coup cette famille réduite à la promiscuité du couple va évoluer, selon la loi de la thermodynamique qui définit l'évolution d'un système isolé, vers un état d'entropie maximum. Du coup cette micro-famille ne dure pas ("L'amour dure 3 ans" a écrit Frédéric Beigbeder) et "l'solement à deux ne résiste pas à l'isolement de tous" (Raoul Vaneigem).
Non je dirais plutôt que "fonder une famille" c'est anachronique et voué à l'échec.
Il faut "inventer", ou plutôt retrouver, d'autres relations humaines.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
"Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,
Des divans profonds comme des tombeaux,
Et d'étranges fleurs sur des étagères,
Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux.
Usant à l'envi leurs chaleurs dernières,
Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.
Un soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclair unique,
Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ;
Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les miroirs ternis et les flammes mortes."
Charles Baudelaire, La mort des amants.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Mon, moi, ça va, je suis à 10.000 km de l'amère patrie et au milieu de pays dont les bourgeoisies nationales se demandent si c'est bien raisonnable de rester à la remorque des USA. Ce qui ne les a jamais enrichi, d'ailleurs. On a vu le renouveau dynamique du GIEC et de la volonté de l'Argentine (le 2e plus grand pays d'Amérique du Sud après le Brésil) d'y adhérer. Et, entre Brésil et Argentine le Paraguay, où je vis, sera aussi intéressé car c'est un pays exportateur, de viande, de lait et de soja.
Bon, je retourne jouer à Fallout 4, un jeu qui raconte la survie dans un monde post atomique avec, comme sous-titre pour le jeu "la guerre ne meure jamais !"
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Dans tous les saccages que commet l'humanité sur cette planète la seule chose sur laquelle elle n'a aucune pouvoir autre que microgéographique, c'est bien le climat.
En vérité je vous le dis, pauvres vermisseaux, le climat c'est l'affaire des dieux, pas des mortels !
À commencer par Aton, le dieu soleil, qui envoie ses rayons pas toujours avec la même énergie.
Ensuite c'est Eole qui capture cette énergie dans ses masses d'air et Poséidon dans les masses océaniques.
Or les vents sont changeants. Sur deux transats sur trois je me suis retrouvé, à la sortie des Canaries avec des vents venant du SW. Or les pilots charts (moyenne des vents enregistrés depuis 30 ans) disent qu'il n'y a JAMAIS de vent du SW. Et lors de la dernière nous fumes encalminés 3 semaines dans la pétole intégrale, sous un soleil de plomb. On a failli mourir de soif. Alors que les mêmes pilots charts nous promettaient un force 5 dans la bonne direction. Un alizé ça s'appelle.
Ensuite il y a Poséidon qui capte les rayons dans les masses d'eau et leurs courants. Et quoi de plus instable qu'un courant d'eau dans de l'eau... On s'intéresse beaucoup à El Niño, vu son importance économique pour la pêche. Mais que le gulf stream s'arrête (ça s'est déjà passé) et les merdias ne la ramenaient plus avec leur "réchauffement climatique" car on se caillerait les miches.
C'est aussi Gaia la Terre qui vient s'en mêler surtout si les imbéciles qui la peuple plantent uniquement des résineux et s'étonnent ensuite si ça brûle. Et puis Gaïa a la bougeotte et n'arrête pas de se retourner sur son orbite comme un insomniaque sur son lit. Ce sont les cycles de Milankovitch.
Et pour finir il y a Héphaïstos et ses volcans. Lesquels s'ils projettent leurs poussières dans la stratosphère produisent une période glaciaire temporaire. Ce que l'on a observé depuis la très grande explosion du Tambora, en Indonésie en 1815, qui a eu des sévères répercussions jusqu'en Europe et aux USA.
Voyez, pauvres vermisseaux, comme vous êtes ridicules avec votre prétention à perturber le climat global de la Terre, avec vos voitures électriques et l'interdiction les laques à bonnes femmes avec la fable sur le "trou de la couche d'os jaunes", bizarre trou observé au-dessus d'une zone peu peuplée d'Amérique du Sud. Et pour cause : un volcan chilien, dans une zone heureusement peu peuplée du Chili, a fait une grosse colère sulfureuse qui a été envoyée jusqu'à la stratosphère. Je vous fait un cours de chimie sur le gaz sulfureux et l'ozone ou vous êtes capables de le comprendre tout seul ?
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@CapitaineNemo1
Mais c'est parce que eux ne le veulent pas. Tout simplement !
Ils veulent rester dans leur crasse et ignorance à tous les niveaux.
Tout le contraire des petits africains que j'ai connu dans les années 70. Eux adoraient apprendre, par curiosité naturelle d'abord et par désir de promotion sociale.
C'est pourquoi il ne faut pas confondre les guaranis avec les hispaniques qui, eux, ont, globalement, une mentalité de type européen.
La pratique de la langue conditionne aussi la mentalité. Les guaranis ne parlent pas naturellement l'espagnol, mais leur dialecte, non écrit et que l'on suppose d'une grande pauvreté.
Alors que l'ethnologue Jacques Lizot qui avait vécu longtemps chez les yanomamis du Haut Orénoque avait rencontré une langue, non écrite, vu que le papier est impraticable dans ce lieu, mais d'une très grande richesse, supérieure à celui d'un américain moyen.
Le moteur psychique qui fait la différence est la curiosité et les guaranis ne s'intéressent à rien.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Ah la tarte à la crème de la violence ! Ce ne sont jamais la flicaille répressive les violents. Eux ils peuvent matraquer, gazer, éborgner en toute impunité.
La violence c'est les vilains du peuple !
On va faire un saur au Brésil :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Il s'agit de Monseigneur Hélder Pessoa Câmara.
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ça ne m'arrive pas souvent.
Et pour nos camarades des Antilles : Courage ! Ne lâchez rien !
1
-
1
-
1
-
@billenplum Il faut utiliser un maximum les techniques alternatives. Mais ça ne plait pas aux escrologos qui sont manipulés par le lobby du nucléaire. Faut voir les sottises qu'ils sortent sur les éoliennes ! Lesquelles sont de la bonne ferraille recyclables en fin de vie (mais leur vie est longue, on doit sûrement changer l'alternateur au bout d'un temps d'usage, mais le reste a une bonne longévité).
Elle ne font rien comme bruit ! Je m'étais couché sous l'une d'elle pour faire des photos spéciales, je n'entendais qu'un "wouf, wouf" quand la pale passait à 5 m de ma tête. À 20 m en n'entendait plus rien. Que ça allait tuer les oiseaux ! Mais ils les voient les oiseaux !
Que ça ne fonctionne pas quand il n'y a pas de vent ! Ça c'est sûr ! C'est pourquoi on les installe dans des zones où le vent souffle en permanence. Pas très loin de chez moi, quand j'étais encore en France, sur les hauteurs de Villefranche de Lauragais car cette zone a un vent permanent. Très développées en Espagne, assez réticente envers le nucléaire, elles sont légion sur les hauteurs de Gibraltar. En face, au Maroc, rien ! Cela ne doit pas être admis dans l'islam comme les cerf volants en Iran.
Pour le solaire il y a moins onéreux que le photovoltaïque : des panneaux souples argentés montés sur des structures métalliques qui focalisent leurs rayons sur un tube avec un fluide caloporteur qui fait fonctionner une turbine à vapeur. Pas cher et tout est recyclable. Utilisés en Australie, cela fournissait suffisamment d'électricité pour alimenter les climatiseurs d'une petite ville voisine et comme ceux-ci ne fonctionnent que la journée, l'extinction nocturne de production n'était pas un problème.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@nospamnc2075
Pas compliqué pourtant de chercher et de trouver.
"La transcriptase inverse ou rétrotranscriptase (en anglais reverse transcriptase ou encore RT) est une enzyme utilisée par les rétrovirus et les rétrotransposons qui transcrivent l'information génétique des virus ou rétrotransposons de l'ARN en ADN, qui peut s'intégrer dans le génome de l'hôte. " (Wikipedia)
La preuve en est qu'il y a, dans le génome humain, plein de ces bouts de codes d'origine virale qui se transmettent donc de génération et génération. Fort heureusement pour l'espèce humaine ils ne sont pas codants. Et, s'ils l'ont été, le groupe humain les hébergeant a donc du disparaître.
C'est pourquoi il est imprudent de faire joujou avec ces choses a fortiori pour un coronavirus qui ne peut, au maximum, que donner une mauvaise grippe. Mais qu'il est interdit de soigner par la foultitude de substances (groupe des antipaludéens comme l'HCQ, la méfloquine et autres et des anti parasitaires comme l'ivermectine). Substances qui ont la propriété d'empêcher les virus de s'accrocher aux cellules avec leurs petites pattes griffues (les protéines quaternaire spike). Et, si le mal est fait il faut utiliser des antibiotiques spéciaux poumons comme l'azithromycine (également interdit) et un, que je préfère pour les pneumonies : l'amoxiciline + acide clavulanique, le tout à 3 comprimés par jour et non 2 comme écrit dans la notice. Bien sûr ce n'est moi qui le dit mais des professeurs de pneumologie.
Et toc, mon petit troll, tu viens à nouveau de te ramasser.
Question (indiscrète ?) : tu es payé par Pfizer ou McKinsey pour ta soumission militante aux piquouses ?
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@claudy725
Justes préoccupations !
Et rien à craindre de ce côté là. Je dirais même que c'est meilleur qu'en France car on n'attend pas. Un RV c'est dans la semaine et pas deux mois, comme en France, pour un cardiologue et 3 mois pour un ophtalmo.
En plus c'est un pays sans coronafolie la seule mesure étant : mettre un masque dans les lieux fermés qui reçoivent du public.
2 exemples : implantation d'un pace maker dans une salle réservée à cet usage dans un grand hôpital d'Asunción.
J'ai le pied gauche qui gonfle anormalement et qui est très douloureux, mon cardiologue craint la thrombose. Ils m'envoie en urgence dans un service d'imagerie par scanner ultra-sons. Tout y est très moderne. Le spécialiste scrute ma jambe dans toutes les positions. Pas de thrombose, juste un œdème traité par un diurétique.
Certes on paye tout ça, mais c'est bien moins cher qu'en France hors Sécu et, pour ceux qui le veulent, il y a des assurances privées. Il faut juste prévoir une cagnote santé.
Maladies : outre l'indispensable vaccin fièvre jaune, valable à vie (que j'ai, idem avec le tétanos, comme quoi je ne suis pas un antivaxx avec de vrais vaccins utiles) il y a à craindre une vacherie : la dengue. Je l'ai eu et ça m'a valu 4 jours d'hosto.
Si les paraguayens se tapent pas mal du covid (une grippe d'une semaine, m'a dit l'un d'eux) ils craignent la dengue qui peut être mortelle pour les enfants et on n'a pas de traitement.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
"Français ! Encore un effort si vous voulez être républicains !" (D.A.F. de Sade)
Il va falloir combattre sans relâche TOUS LES JOURS et ne pas céder un pouce de terrain.
Il va y avoir des blessures sérieuses, des yeux amochés et peut-être des morts, comme on l'a vu à Nantes à la fête (sic) de la Musique ou à Notre-Dame des Landes. Mais pour toute révolution, car il faut l'appeler par son nom, contre une dictature, il y a le prix du sang à payer.
Car « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
Ça sera le prix à payer si vous ne voulez pas finir esclaves (et encore, sous l'empire grec ou romain, certains esclaves avaient une bonne vie)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
De la part de quelqu’un que j’aime bien malgré (ou à cause) son côté très sérieux. Monsieur François Asselineau. Avec lui on ne peut dire que « Monsieur ».
Pourtant l’UPR, pour le libertaire que je suis n’était pas, a priori, ma tasse de thé (ou plutôt mon cocktail molotov).
Cette situation me fait, toute référence gardée, penser aux années 40 où les anarchistes survivants de la « colonne Durruti » se sont engagés dans la 2e DB du général Leclerc, lequel étant plutôt droite Action Française.
La constitution d’un « front républicain » contre l’inacceptable ?
Ça serait, effectivement, une bonne chose.
Bon, moi, je ne vis plus - fort heureusement - en France et ce depuis 9 ans.
J'ai donc juste écrit un roman dystopique orwellien "2084 ou le confinement perpétuel", à 10.000 km de l'amère patrie, je ne pouvais rien faire de mieux. Vous le trouverez sur Amazon, en version ebook ou broché, sur ce lien : https://www.amazon.fr/-/e/B07J6R8TRD
Vous y trouverez de quoi titiller votre esprit avec des infos et des citations. Le tout dans une histoire que j'espère agréable à lire.
Et merci à Monsieur Asselineau de nous faire partager votre légitime indignation.
C'est sûr qu'il n'y a rien à tirer de la gauche. À la dernière manif d'icelle on a vu les permanents de la CGT, en nombre, lesquels ont appelé à voter Macron et avec une banderole de tête "contre l'islamophobie". Bons pour "la poubelle de l'Histoire" de Lénine.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Au Paraguay ils ont fait un battage merdiatique sur les téloches mais rien n'a été obligatoire.
Résultat : 1ere dose : 2/3 de la population piquée, 2e dose : 1/3 seulement, du coup il ne parlent plus de la 3e dose.
J'ajoute que tous les médicaments sont en vente libre et que la grande chef de l'épidémiologie au Paraguay, n'a jamais cru à la dangerosité réelle du coronavirus et était bien plus préoccupée par la dengue qui, ici, fait des infections très sérieuses à mortelles. Et il n'y a pas de traitement efficace, ni de vaccin car, avec eux ça serait pire que pire car la dengue est la reine des anticorps facilitants. Il y a 4 "formes", vous vous en choppez une, vous êtes bien malade, mais vous êtes immunisé pour la forme en question, mais si vous vous en choppez une autre ça sera bien pire !
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@Isabelle7516-n9w J
ustes propos qui nécessiterait de longs développement avec les sciences humaines. Et je n'ai que des bribes de savoir à ce niveau.
J'ai juste étudié le passage de la matriarchie primitive à la patriarchie dans la religion grecque. Celle-ci a évolué par le rôle des dieux.
Héra était la souveraine, plus que Zeus. Et la charmante coutume issue du néolithique impliquait la mise à mort du roi à la 13e lunaison (d'où la superstition du nombre 13). Celle-ci a été adoucie : on virait le roi sans le tuer. La raison en était qu'il ne devait pas avoir trop de pouvoir.
Ce fut alors une phase de conquête du pouvoir par les hommes dont, bien sûr, on n'a pas de témoignages historiques et qu'on doit retrouver à partir de l'évolution des mythes, les seuls qui ont passé les siècles car l'Histoire est toute mythée 😁.
Ce fut significatif quand Hébé, fille d'Héra, qui avait la tâche importante d'apporter le nectar et l'ambroisie aux dieux pour leur assurer l'immortalité, fut remplacée, sous un prétexte futile, par le charmant Ganymède dont Zeus fut amouraché. On retrouve d'ailleurs le mythe de cette immortalité à prendre le matin à jeun en gélules chez le polythéisme nordique des vikings. Fréia est enlevée par les géants Fafner et Fasold et les dieux dépérissent et supplient leur chef Wotan, de rétablir l'immortalité (c-f le cycle de l'anneau des Nibelungen)
Comme quoi, tout est affaire de structures comme l'a démontré Lévi Strauss.
Les femmes n'étaient pas méprisées pour autant, il y avait même de grande prêtresses, telle Diotime, dans le banquet de Platon où Socrate n'est que son élève. Mais elles vivaient dans leur monde séparé des hommes. Je me souviens d'une femme ethnologue exploratrice qui eut l'immense honneur de pénétrer dans la hutte des hommes (je ne sais plus si c'est en Nouvelle-Guinée ou en Amazonie) car, de par son savoir elle était considérée "comme un homme".
Ce sont les sociétés agricoles qui sont matriarchiques et qui détestent l'homosexualité masculine car elle n'est pas reproductrice (pour maintenir le foncier des agriculteurs). Il y a donc, structurellement parlant, de grandes similitudes entre la Grèce antique et le Japon des samouraïs.
Bon, j'arrête là, je ne vais pas en écrire un bouquin.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Non ! Le choix n'est pas entre Le Pen et Macron, mais entre voter pour des politicards coupés des populations et l'abstention pour signifier que l'on ne veut pas d'eux.
Macron, pas besoin d'en parler, mais qu'à fait Marine le Pen pendant toute cette époque de la Macronie ? A-t-elle défendue les intérêts du peuple ? Non, elle est resté dans son petit monde européiste puisque c'est là dedans qu'elle fait son beurre.
Elle a été extraordinairement absente sur tous les problèmes de ce pays et n'est sortie de son cercueil de vampire qu'au moment des élections.
Mais les français aiment bien voter, c'est d'ailleurs très latin. Ça fait 40 ans que ça dure, on en voit les résultats, mais non, ils continuent.
Au moins moi j'ai voté avec mes pieds et j'ai tout de suite eu l'amélioration de ma vie quotidienne. Et en solitaire, de surcroît, alors que cela aurait été encore meilleur avec une petite communauté.
Mais il y a longtemps que j'ai compris la logique (?) des français : plutôt crever tout seul que de s'en sortir a plusieurs.
Où je vis - Paraguay - c'est un pays fétiche des allemands depuis un siècle (comme l'était l'Argentine pour les français). Beaucoup ont fuit l'Allemagne qui devenait aussi invivable que la France et ils vivent ici en communauté. Moi j'y suis depuis 11 ans et je ne connais pas un seul français.
1
-
1
-
1
-
Rien de nouveau depuis le philosophe moustachu (Nietzsche) et l'économiste barbu (Marx) :
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
L'autoentreprenariat est un piège ! Vous êtes racketté par les impôts, les caisses de retraite, l'URSSAF, etc. avant même d'avoir engrangé un euro.
La solution est ailleurs "loin, loin, ici la boue est faite de nous pleurs"
C'était ma conclusion il y a 15 ans et, il y a 13 ans j'étais parti définitivement.
Où ça ? Au Paraguay, un pays qui n'a rien de spectaculaire qui est une vaste Normandie avec des milliers de vaches. Donc premières ressources : la viande et le lait. Mais aussi le soja (4e producteur mondial), la canne à sucre.
Ceci pour l'économie globale avec une monnaie stable en quasi parité avec le dollar. On peut donc placer son fric dans les banques dont les comptes à terme rapportent 8 % net annuel.
Il y a beaucoup d'opportunités. Par exemple en rénovation/construction de maisons individuelles tellement ici les locaux travaillent mal (ne comprennent pas qu'il faut une pente pour évacuer l'eau et sont incapables de faire un béton armé élémentaire). Ceci exaspère une classe moyenne montante. Une entreprise sérieuse d'expatriés ferait fortune.
Mais voilà, faut pas rêver, les français sont d'une asociabilité absolue et je n'ai trouvé personne en 13 ans de résidence ici même en écumant les forums expatriations. Je vis donc de mes placements bancaires, c'est toujours ça.
Les allemands aussi déboulent en masse, mais en famille et en groupe car ils sont plus sociables que les français.
Décidément les français sont nuls pour vivre dans leur pays, mais sont aussi nuls pour vivre ailleurs.
Mais "Nous autres civilisations savons maintenant que nous sommes mortelles" écrivait Paul Valéry en 1924 dans son premier Variété.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Tiens, chez moi, au Paraguay, le gasoil est à 5.730 PYG soit 0,71 EUR. Pays enclavé, je le rappelle, et tout vient par camions du Brésil.
J'ajoute que les contraintes de la coronafolie n'existent pas (juste un masque sur le tarbouif avec lavage des mains à l'entrée d'un bâtiment qui reçoit du public). Mais pas de masques dehors, déplacements libres, il n'y a jamais eu de couvre-feu et de confinement. Et les masos qui veulent se faire vacciner le peuvent mais ne l'imposent pas aux autres.
L'ivermectine est en ventre libre et on ne manque ni de vitamines C et D3, ni de zinc.
J'imagine si, ici, on décidait qu'il faut un passe sanitaire pour aller au supermarché ! Ça ferait des émeutes sanglantes ! C'est que c'est un peu comme aux USA ici tout le monde peut acheter légalement une arme. Pour ma part un automatique 9 mm CZ. C'est que les paraguayens ne sont pas des génies, mais ils ont gardé intact leur tonus vital.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@domthierry4981 C'est marrant tu t'adresses à moi sans connaître mon (grand) vécu puisque j'ai 73 ans.
Bon, au départ, j'aurais pu, mais je ne voulais pas travailler en permanence. C'était un choix de vie. Ils étaient très content de moi au Crédit Lyonnais quand j'y travaillais pendant les vacances à 18 ans, je tenais le guichet de change à moi tout seul. Un p'tit mot en anglais, en allemand et en espagnol aux touristes qui venaient changer leurs billets (l'agence était boulevard Haussmann).
J'aurais pu y faire carrière. Mais l'esprit de 1968 était en maturation 2 ans avant les faits : je ne voulais pas "perdre ma vie à la gagner".
J'acceptais ma situation d'intermittent du spectacle du salariat. Mais, avec les années Mitterrand c'était le début de la fin du salariat du capitalisme keynésien. Délocalisations et destructions d'emplois en masse allaient venir.
Donc de travailleur occasionel je devins travailleur précaire.
Amusant que tu me donnes, à moi, des conseils : de l'intérim ? Mais il n'y en avais plus si ce n'est sous la forme de petits boulots que seuls les d'jeun'z acceptaient (magasiniers de supermarchés, j'en ai connu) payé une misère. Moi j'aurais pu faire de l'informatique en intérim car je venais de dissoudre ma SARL au CA insuffisant. Mais pas un job là dedans. "Ils vivent avec les stagiaires pas payés ou alors des clopinettes", me disait un chef d'agence.
Plus malin et débrouillard je faisais de la rénovation bâtiment. Tant que c'était technique (plomberie, électricité) ça allait mais pour le coup de patte du pro (plâtre, peinture) je déléguais aux pros.
Mais là aussi le marché se tarit.
Il était temps de ramasser ses avoirs et de fuir le Titanic...
Ma mère ayant passé l'arme à gauche (90 ans moins 3 mois c'est un âge honnête pour mourir) je récupérais ses placements, sa maison (immédiatement revendue après une rénovation, mais comme c'était ma partie...)
Liquidités placées sur des comptes à termes sur 2 ans dans une monnaie stable, ça rapportait 10 % net par an. Ça s'est tassé depuis, c'est plutôt du 7,5 % maintenant.
Mais ça me permet de vivre dans un grand 3 pièces avec terrasse au premier étage d'un petit immeuble dans le centre ville de la 4e ville du Paraguay, Coronel Oviedo pour 1.500.000 PYG/mois soit, au cours du jour, soit 190,20 EUR avec 2 climatiseurs et 3 ventilateurs de plafond. Pas d'impôts locaux, l'eau c'est gratuit car c'est un forage, l'électricité c'est 27,50 EUR la dernière facture mensuelle et Internet fibre optique (on a mis du temps à l'avoir, mais on l'a !) c'est 12,70 EUR/mois pour 50 Mbps (et même 55 dit Speedtest). Et le gasoil, bien que ce soit un pays enclavé où tout vient par camions citernes du Brésil c'est moitié moins cher qu'en France.
Conclusion et "analyse concrète d'une situation concrète" : la vie ici est bien meilleure et sans tout le cirque de la dictature sanitaire.
En France pour vivre bien il faut à la fois être très riche et très soumis. Généralement ça ne va pas ensemble...
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@michel.b5752
Oh que oui je ne suis pas un puit de science et que je peux me tromper ! Mais ce n'est pas en restant dans la doxa, tout particulièrement dans l'ortho-doxa, qu'on progresse, il faut traquer le para-doxa. Tous les scientifiques restent limités s'ils n'ont pas recours, à un moment, à la philosophie. C'est le cas de Didier Raoult pour l'épidémiologie, d'Étienne Klein pour la physique quantique et de bien d'autres. Sans me comparer à ces grands, je suis sur leur construction intellectuelle car j'ai fait - aussi - un cursus en sciences humaines (sociologie et psychanalyse).
Nous vivons dans une époque ou la novlangue a cours dans tous les merdias. C'est le crimepensée (appelé improprement complotisme) contre ceux qui ne chantent pas les louanges des "vaccins" pour ne prendre que cet exemple.
Mais qu'est-ce que la novlangue ?
Une formulation psycho-sociologique de George Orwell, dans 1984, de la toute puissance du langage en tant qu'il est facteur de soumission mieux que les LBD. Conception proto lacanienne.
Explication en forme de cours sur la novlangue :
https://www.youtube.com/watch?v=bxuWO71hrkE&t=18s
"Lecteur paisible et bucolique,
Sobre et naïf homme de bien,
Jette ce livre saturnien,
Orgiaque et mélancolique."
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@jean-marcelaubry366
Là je raisonne en biologiste (ma formation) même pas en politique. Quand une bestiole ou un groupe de bestioles n'a plus de tonus vital, elle disparait.
Les civilisations c'est pareil.
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles.
Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux."
Paul Valéry, Variété, 1924
PS : Lusitania était un grand paquebot qui a fini comme le Titanic.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
C'est logique ! Pourquoi l'humain à créé un ou plusieurs dieux ? C'était pour expliquer le monde. Depuis la foudre qui les terrifiait, les tremblements de terre, les éruptions volcaniques et autre joyeusetés cataclysmiques.
Puis vint la connaissance sur ces phénomènes. Quand Napoléon demanda à l'astronome Laplace qui venait de calculer les orbites des planètes du système solaire "Et Dieu dans tout ça ?", Laplace qui était un farouche athée lui répondit : "Sire, je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse !".
Mais se forgent d'autres dieux, c'est ce qu'on appelle l'idéologie. "Le penseur explique le monde en fonction des idées alors qu'il faudrait expliquer les idées en fonction du monde" (Friedrich Engels).
Ainsi, à défaut de Jéhovah, nous avons actuellement le dieu travail avec sa devise "Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". Donc pas de sueur, pas de pain. Alors que le machinisme, l'informatique et la robotique peuvent supprimer 90 % de ce travail humain. Mais c'est tabou d'en parler.
Les 35 heures, timide prise en compte de la robotique et de l'informatique était une abomination pour les tenants de l'esclavage salarié. Et un ami prof d'électrotechnique a échappé de peu au bûcher quand il proclama : "Les 35 heures c'en est encore 30 de trop !".
Ainsi si notre époque n'a plus besoin d'un dieu avec toute sa cohorte de serviteurs et de curés, il n'en reste pas moins des idéologies, élevées à un niveau supérieur et indiscutable, mais plus dans la détestation que dans la phyllie. Par exemple la détestation de l'homosexualité marche toujours très fort chez les esprits qui ne peuvent vivre s'ils n'ont pas des catégories à détester dans le dernier carré des religieux que ce soit chez Poutine où dans les pays islamisés.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Quand j'ai décidé de quitter la France il y a 15 ans ce n'était pas, bien sûr, le coronavirus le problème, mais la soumission de plus en plus grande au coranovirus comme l'atteste le vote depuis 40 ans des français, dans le sens immigrationniste halal.
L'Europe, c'est ça : la destruction des peuples, leurs cultures, leurs économies et même leur ethnicité.
À ce niveau on voit bien que Zemmour, malgré ses gesticulations n'est qu'un pantin puisqu'il ne veut pas sortir de cette Europe.
Partant de cette constatation il n'y a que deux solutions, pas trois :
1. Faire une "reconquista" par le Frexit et la réappropriation par les français de tout ce qui a été vendu, bradé ou donné aux étrangers. Ainsi que de la monnaie. Et reconstruire l'économie et l'industrie. Il y aura du boulot ! Comme en 1945, les gravats en moins à évacuer.
2. Expulser tout étranger qui est indésirable ou incompatible avec la culture française. Les allocations familiales et les indemnités chômage ne sont pas pour les étrangers. Aux USA, par exemple, un français qui y perd son travail, bascule en statut touriste et n'a plus que 3 mois d'autorisation de séjour pour retrouver, éventuellement, un autre job. Cela devrait être la règle en France.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Quand je vois un mamba vert je fais de l'herpétophobie, mais nullement quand je vois une couleuvre à collier.
Toute ressemblance du vert du mamba et celui de l'islam ne serait du qu'à une fortuite coïncidence et que les escrologos "les verts" soient islamophiles 😂 n'a rien d'étonnant
Pour être un court moment sérieux (plus c'est ch**nt) quel gourou de secte pourrait, actuellement, écrire un livre comme le Coran, sans qu'il soit illégal selon une avalanche de délits relevant du Code Pénal.
Pourtant le coranovirus a tué bien plus de personnes d'âges moyens (Bataclan, Nice, etc.) que le coronavirus (ça apparait d'ailleurs sur les statistiques des décès par tranche d'âge).
Mais la soumission (= islam en arabe) est le maître mot de toute cette racaille politique. Les mêmes qui veulent des français bâillonnés et dociles, les veulent soumis, sinon pratiquants, de cette religion mortifère.
Nous sommes en 1940, les députés, y compris le PS de l'époque, ont voté les pleins pouvoirs à Pétain. Qui se lèvera pour prôner la Résistance ?
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Ne pouvant être un salarié classique, de type fonctionnaire, embauché à 18 ans et passant toute sa vie dans le même boulot, je ne risquais pas de m'illusionner avec une retraite.
Le plus fort c'est que j'avais un voisin de mon âge dans le 13 e arrondissement qui était entré fonctionnaire au ministère de l'Éduc Nat. Et bien il y a passé toute sa vie. Pourtant on n'a qu'une vie.
On m'aurait dit tu vas être fonctionnaire toute ta vie à partir de 18 ans, je me serais tiré une balle dans la tête pour abréger la souffrance.
Certes finir sdf et dans le caniveau n'est pas une fin de vie bien réjouissante non plus.
Donc j'ai fait, outre les boulots qu'on pouvait trouver, de la rénovation bâtiment, les 3/4 au noir ce qui a été très bénéfique pour mes placements.
Idem quand j'ai hérité du pavillon de ma mère. 3 mois de travaux et il avait gagné le tiers de sa valeur de départ.
C'est comme ça, mes p'tits loulous que vous pouvez faire du fric si les combines à Warren Buffet, ce n'est pas votre truc et que vous ne sauriez qu'y faire.
Toutefois j'aurais pu continuer dans la même veine au Paraguay tellement les locaux travaillent mal.
Mais à 65 ans je ne pouvais faire ça tout seul, j'ai donc cherché des acolytes dans le même état d'esprit, mais personne ! Un pays de fonctionnaires, je vous dit.
Bon j'ai placé mes picaillons à la banque. â défaut de faire des petits, au moins ne perdent-ils pas de valeur à 8-10 % d'intérêt net.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@luna-po1id
Tout au moins la fin de la civilisation française et de certaines de la vielle Europe.
Le signe patent, tout au moins pour la France, c'est qu'elle n'a plus de jeunesse.
Mais l'Histoire n'est-elle pas jonchée de civilisations disparue ?
"Nous avions entendu parler de mondes disparus tout entiers, d’empires coulés à pic avec tous leurs hommes et tous leurs engins ; descendus au fond inexorable des siècles avec leurs dieux et leurs lois, leurs académies et leurs sciences pures et appliquées, avec leurs grammaires, leurs dictionnaires, leurs classiques, leurs romantiques et leurs symbolistes, leurs critiques et les critiques de leurs critiques. Nous savions bien que toute la terre apparente est faite de cendres, que la cendre signifie quelque chose. Nous apercevions à travers l’épaisseur de l’histoire, les fantômes d’immenses navires qui furent chargés de richesse et d’esprit. Nous ne pouvions pas les compter. Mais ces naufrages, après tout, n’étaient pas notre affaire.
Élam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie... ce seraient aussi de beaux noms. Lusitania aussi est un beau nom . Et nous voyons maintenant que l’abîme de l’histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les œuvres de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus inconcevables : elles sont dans les journaux." (Paul Valéry)
Mais, fort heureusement ce n'est pas le lot de tout ce qui vit sur la Terre malgré les efforts du Nouvel ordre Mondial.
Mais nous devrons être des transfuges, des réfugiés civilisationnels, dans des pays qui voudront bien nous accueillir.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Sans oublier les super riches qui paradent en devenant de plus en plus riches dans cette crise à prétexte sanitaire qui, non seulement ne les gênent pas, mais leur permet d'être encore plus riches.
Rien à espérer de la farce électorale rituelle. On l'a vu depuis 40 ans.
Il faut motiver les consciences qui peuvent l'être encore, à la lutte, à la résistance.
Il n'y a qu'une option : la révolution. Renouer avec un passé dont on peut être fier.
Car "Tout ça n'empêche pas Nicolas, qu'la Commune n'est pas morte"
Oui, je sais, « La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
Et vous êtes un notable, Monsieur Nicolas, on ne peut vous le reprocher car vous avez toujours été soucieux des infâmies faites au peuple. Mais avez-vous d'autre choix que de devenir un révolutionnaire ?
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Il n'y a plus un seul pays de langue anglaise dans cette Europe, mais on continue à faire des rapports et de jacter en anglais.
J'avais émis l'idée, il y a bien longtemps, quand une langue d'échange commune avait été envisagée, de revenir à la vieille langue européenne commune : le latin. Non seulement c'était une langue très riche, mais elle était, comme l'anglais, en ASCII 7 bits donc tous les claviers européens (sauf les grecs) pouvaient l'écrire. Du coup tous les écoliers de cette Europe pourraient papoter en latin.
Nous avons donc la confirmation de Lénine que l'impérialisme est bien le stade suprême du capitalisme.
Et ce que démontre Monsieur Coûteaux, avec l'offensive contre la Russie, c'est que les impérialistes étatsuniens sont bêtes.
La bêtise aussi c'est de s'imaginer qu'ils vont continuer avec leur piquouzes-à-covid à perpète jusqu'à la 256e dose. Les français sont stupides et soumis et il n'y qu'à voir ce qu'ils votent (Macron-Le Pen, c-f le très bon pastiche des Goguettes) mais la répétition n'est pas une bonne tactique.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Moi je n'ai pas attendu le coronavirus ! Avec le coranovirus qui infectait la France, j'ai compris que je devais aller vivre ailleurs.
Contemplant le naufrage de ce pays depuis 10.000 km, j'ai le plaisir, égoïste, certes, de dire que pour moi ça va très bien, merci.
Enfin pas si égoïste que ça car, avant de partir il y a 10 ans j'ai tenté de rameuter sur les forums d'expatriation (routard.com) d'autres lascars qui seraient sur le même projet avec une option création d'activité en plus.
Rien de prédéterminé, cela aurait été à voir en commun. Bien sûr il fallait avoir un minimum de capital. J'étais même décidé à prendre, sous mon aile, un p'tit jeune désargenté pourvu qu'il ait du dynamisme et de la bonne volonté.
Eh bien je n'ai trouvé personne ! Juste des tartines de mal-être, mais rien de concret.
Non seulement les français préfèrent crever dans la soumission, mais n'ont même pas le dynamisme vital comme certains libanais que j'ai connu de par le monde de fuir leur pays en perdition.
1
-
1
-
1
-
Amusant ! La dictature sanitaire arrive, non seulement à se couper du peuple qu'il méprise totalement ("qu'ils mangent de la brioche" pourrait dire Brizitte), mais de l'armée qui est pourtant, de façon classique, le rempart des États tyranniques contre les révoltes de leurs peuples (c-f les derniers jours du despotisme tsariste en 1905).
Ceci dit il faut relativiser, ce ne sont pas les massacres de manifestants pacifiques à coup de LBD (gilets jaunes) ou de grenades (Notre Dame des landes) ou les fêtards de la musique (un matraqué-gazé-noyé à Nantes) qui indignent nos officiers retraités, mais le meurtre d'une de leur collègue dans le contexte, perpétuellement impuni, de l'invasion islamique criminelle perpétuelle, elle aussi.
J'ai tenté un commentaire analogue sur un post précédent, mais il a été immédiatement censuré (Youtube ? Sud Radio ?)
Si celui-ci saute je saurais qu'il n'est plus utile que je commente quoi que ce soit.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Propos de Monseigneur Hélder Pessoa Câmara.
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en car ce n'est pas souvent que ça m'arrive.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
À la question rabâchée par les merdias est-ce-que-vous-condamnez-la-violence il y a une réponde argumentée :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Ces propos sont de Monseigneur Hélder Pessoa Câmara
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ce n'est pas souvent que ça m'arrive.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@nathaliecayrol5159
Chance ? Ce n'est pas le terme qui convient.
Petite discussion socratique :
À l'époque lointaine, bien lointaine, où des petits boulots se trouvaient en 2 jours, j'expliquais à une brave secrétaire que mon idéal de vie n'était pas de bosser en permanence. Donc je bossais 3-6 mois et m'arrêtait un an pour vadrouiller sur ce vaste monde.
La secrétaire soupirait : "Mais vous, vous avez de la chance, vous n'avez pas de charge de famille !"
J'étais songeur...
"On peut m'obliger de payer taxes et impôts", lui rétorquais-je, "mais on ne peut pas m'obliger à avoir une charge de famille !"
Et dans le cas de la situation présente, je peux vous dire que les allemands, dont la vie dans leur pays est aussi mauvaise qu'en France, se barrent bien plus de leur Vaterland que les français et en famille en plus.
Cet exil n'est donc pas réservé aux célibataires purs et durs.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Il y a un autre problème et celui-ci est biologique. Je suis effectivement biologiste-biochimiste et écologiste (la vraie, la scientifique, je précise).
Posons déjà le fondamental : toute bestiole (humain compris) ou groupe de bestioles, a un territoire. Et les autres qui voudraient l'investir sont mal reçus.
Anecdote : en vacances au Kenya, à la sortie de Nairobi, il y avait une route qui descendait des hauteurs avec un endroit idéal pour se garer et faire de superbes photos de la vallée du Rift en contre-bas.
"Surtout ne vous arrêtez pas là !" nous avait prévenu un chauffeur de taxi, "c'est le territoire d'une bande de babouins et vous serez accueilli à coup de pierres !"
Ayant pas mal étudié les rats en Côte d'Ivoire (la seule fois de ma vie où j'étais bien payé) c'était la même chose mais les territoires étaient individuels. On avait vite compris que d'empoisonner les rats qui faisaient des dégâts dans les plantations des palmiers à huile ne servait à rien, car leurs petits camarades considéraient comme une aubaine de pouvoir occuper des territoires devenus libres.
On avait d'ailleurs fait une expérience en vraie grandeur sur le terrain. Une population A de rats allaient boire à un point d'eau et la population B à un autre point d'eau. Sans les empoisonner on avait juste mis un tranquillisant dans le point d'eau A. En peu de temps les rats du point d'eau A avaient été envahis par ceux du point d'eau B qui avaient gardé leur tonus vital, donc le sens de la défense de leur territoire et avaient donc conquis le territoire des autres.
On peut appliquer cette expérience aux petits français (mon prof de biologie considérait que le comportement des rats n'était pas fondamentalement différent de celui des humains) gavés de tranquilisants et de BFMWC, ils gobent du padamalgam en permanence et acceptent de se faire envahir comme ils le font depuis 40 ans. L'explication n'est même pas politique, elle est biologique.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
« Tout gouvernement a besoin d’effrayer sa population et une façon de le faire est d’envelopper son fonctionnement de mystère. C’est la manière traditionnelle de couvrir et de protéger le pouvoir : on le rend mystérieux et secret, au-dessus de la personne ordinaire. Sinon, pourquoi les gens l’accepteraient-ils ? »
(Noam Chomsky, Comprendre le pouvoir : Tome 1)
« On avait parfaitement compris, longtemps avant Georges Orwell, qu’il fallait réprimer la mémoire. Et pas seulement la mémoire, mais aussi la conscience de ce qui se passe sous nos yeux, car, si la population comprend ce qu’on est en train de faire en son nom, il est probable qu’elle ne le permettra pas. »
(Noam Chomsky, La doctrine des bonnes intentions)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Chaque jour, j'effeuille Youtube ! Et si je suis fasciné et admiratif pour les petits drones, habilement manœuvrés et qui survolent volcans et coulées de lave en Islande, je suis effaré par la décomposition de la mentalité française !
Pour un Nicolas, un Florian, un François et des résistants, on peut dire malgré eux, comme cette dame médecin et ce Pr Raoult qui a toujours dit qu'il ne faisait pas de la politique, mais de la science, combien de soumis et qui en rajoutent en profession de foi soumise.
Heureusement que je vois cela depuis 10.000 km.
Rien de plus à rajouter que la phrase de la dernière lettre de Missak Manoukian : "Bonheur à tous ! Bonheur à ceux qui vont survivre !"
PS : pour les soignants qui n'ont pas peur de se délocaliser (après tout ce n'est pas réservé au seul MEDEF) il y a beaucoup de pays qui les apprécieraient de les voir s'établir chez eux. La réputation des soignants français, à tous les niveaux, étant excellente.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Moi je n'achète rien aux p'tits com mais aux (gros) supermarchés avec ma carte VISA.
Les p'tits coms, jeune homme, mais c'est impraticable ! Outre qu'ils vendent le double du supermarché (testé sur une plaquette de beurre). Pas étonnant qu'ils n'ont plus personne et disparaissent.
Déjà ils sont aux centres des patelins, donc stationnement interdit ou payant et la police municipale rode le carnet à la main.
Et puis c'est une galère de se trimbaler des billets et des pièces et de faire la queue à chaque boutique. La queue, j'exagère car ils n'ont plus personne et ferment les uns après les autres. Surtout que de faire son pain est tellement facile. Au milieu de l'Atlantique les boulangeries sont rares tous les dauphins vous le confirmeront. Et moi je n'ai jamais manqué de pain frais dans mes transats.
Au Paraguay où je vis je paye tout avec ma carte VISA, laquelle est gratuite. Donc je peux suivre ce que j'ai acheté sur mon compte en ligne en plus du détail sur mon ticket de caisse.
Il y a un truc que j'ai vu mais pas chez les Castorama et autres : les serrures électroniques ! Plus besoin de sortir sa clé, de trifouiller sa serrure, en plus une clé ça s'use et ça n'ouvre plus ladite porte. On en a un double, dont on ne se sert pas et qui sert à faire une copie quand la clé usuelle ne veut plus fonctionner. Donc une carte, format bancaire, qu'on met dans son portefeuille et qui ouvre la porte quand on en est à 50-60 cm avec des paquets plein les bras. Et la serrure est inviolable. Un système qui sera (et qui l'est peut-être déjà) utilisé pour sa bagnole.
Cela n'est pas un contrôle social car rien ne se communique en dehors de la serrure et la carte dans mon portefeuille.
La lutte contre le contrôle social ne se fait pas par la ringardise passéiste, mais, au contraire, par la bonne connaissance de ces outils du contrôle social afin de pouvoir les hacker.
Même les cryptomonnaies qui se prétendaient inviolables avec leur blockchain se sont fait hackées par des as de cette spécialité.
Sachant que tout ce qui vient du gouvernement est bogué et mal fichu (c-f les ParcourSup) il sera aisé pour quelques hackers de bon niveau de mettre tout ça dans les choux.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
La voiture ils l'ont tuée ! C'était le fleuron du capitalisme keynésien appelé justement fordiste car c'était l'idée de génie de Henry Ford de faire de la production artisanale des voitures une production de masse et que les ouvriers devenaient aussi des consommateurs, auquel cas il leur fallait des salaires corrects, du temps libre, ne fut-ce que pour faire rouler les Ford-T. Ce fut donc le début de la "société de consommation".
Mais c'est fini tout ça ! Depuis quand ? Depuis que les 100 premières sociétés financières eurent un CA 1.000 fois supérieur aux 100 premières sociétés industrielles.
On peut situer cela dans le milieu des années 70 où explosèrent fermetures d'usines et délocalisations mettant un prolétariat dans la misère.
Et puis la voiture c'était un symbole de liberté de circulation, de vacances, de voyages plus ou moins grands.
Et vous savez comment, maintenant. on n'aime plus la liberté, particulièrement en France.
Donc envolées des taxes sur les carburants, rackets policiers permanents et même automatiques et culpabilisation du peuple par les escrologistes qui expliquent tout ce dont ils doivent se passer pour le "climat" ou autre sottises.
La voiture ne servant plus qu'à aller au boulot (pour ceux qui en ont encore) ou au supermarché une fois par semaine.
Faut donc pas s'étonner qu'il ne s'en vend plus, surtout si ce sont des électriques.
Bon, vous avez le salut de ma camioneta quatquateuze diesel qui peut encore gambader librement (mais pas en France).
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Éric Zemmour est brillant, intelligent et séducteur. Je l'apprécie moi aussi car il n'aime pas l'islamisation de la France. D'ailleurs si je suis parti depuis 11 ans de ce pays où je ne pouvais pas avoir le moindre job passé 40 ans, mais où un illégal, reconverti en demandeur d'asile avait 920 EUR/mois à l'époque et la sollicitude et des compléments de différentes associations, ce n'était pas le coronavirus à l'époque mais le coranovirus qui se développait.
Ceci étant dit Zemmour dit des bêtises quand il fait remonter cette immigration islamiste à mai 1968 ! Outre qu'il n'y avait pas cet aspect conquérant actuel, les seuls travailleurs immigrés de l'époque ne venaient que pour leur job et repartaient chez eux à la fin de celui-ci. Parmi les gauchistes de l'époque toutes les religions étaient méprisées, mais on ne se polarisait pas sur l'islam qui était ultra minoritaire et n'était pas un problème. L'islamo-gauchisme est bien une réalité mais il a fallu attendre Mitterrand pour cela.
L'islamisation de la France, par l'immigration, non pas de travail, mais de peuplement, est venue avec Giscard et Chirac et n'a pas cessé après. Sarkozy y mettant un point d'orgue en en faisant une religion d'État.
Et Zemmour est un catho réactionnaire, version Monseigneur Dupanloup (que j'ai connu à la communale par la petite chanson cochonne à son sujet). Il enverrait les homosexuels au bûcher s'il le pouvait et voudra abroger le mariage gay.
En Amérique du Sud où je vis, la plupart des pays, pourtant très catholiques, ne sont pas haineux comme les cathos français et le mariage gay est passé sans souci et avec l'option d'adoption que je soupçonne avoir été ajouté par certains gouvernants ne sachant plus quoi faire des multiples orphelins et enfants abandonnés.
Il y a un courant progressiste dit "Théologie de la libération". Un exemple d'un propos de Monseigneur Hélder Pessoa Câmara (pour une fois que je cite un évêque) :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Le moins qu'on puisse dire c'est que ce n'est pas ce que dit le très catholique Zemmour...
1
-
Ces jeunes ne sont pas des victimes innocentes ! Leur soumission, leur niveau zéro de révolte est hallucinant si on les compare à ceux des années 68. Tout ce qui les branche c'est leur musique et leur drogue. Ils manifestent "pour le climat", "contre l'islamophobie". Qu'espérer de cette génération de jeunes crétins ?
De plus ils ne vivent qu'entre eux car fréquenter quelqu'un qui aurait 5 ans de plus qu'eux serait inconcevable.
Nous étions vingtenaires, pour la plupart, en 1968, mais nos maîtres à penser (Lyotard, Vaneigem, Deleuze, Baudrillard, Lacan, Foucault, etc.) étaient des quinquas. On a tout appris d'eux.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
S'ils veulent se mettre sur le terrain de la psychanalyse, allons-y vraiment, pas de faux semblant. Jacques Lacan a catégorisé le psychisme en 3 registres : le symbolique, l'imaginaire et le réel.
Je ne parle pas du réel qui est en rapport avec la linguistique et si Lacan l'a définit comme "l'impossible à supporter" c'est qu'il est un trop plein de signifiants.
Restons sur les deux autres :
- le symbolique : c'est tout ce que véhicule le langage, les sens donc les pluralités symboliques. Le fait que tout n'est pas tout blanc ou tout noir, qu'il y a d'énormes variétés de gris entre les deux. Le langage amène donc, par définition, à la discussion fut-elle polémique.
- l'imaginaire : c'est la perception que l'on a d'une image pour toute chose. C'est donc une totalité. On ne "discute" pas de ou avec une image. On l'accepte en bloc ou on la rejette complètement.
Et puisque vous êtes là à me lire sur Youtube vous êtes familiarisé avec l'informatique. Vous savez donc que sous Word et sous Photoshop vous pouvez créer une zone de texte. Ce texte vous pouvez le modifier à votre guise. Mais si vous "aplatissez" votre composition (sous Photoshop), autrement dit que tout ce qui s'y trouve sera donc réduit à de simples pixels, donc une image, vous ne pourrez plus rien modifier dedans, texte y compris. Si votre image ne vous plait pas vous ne pouvez que la détruire et en recomposer une autre.
Voilà ce qui se passe dans pas mal de psychismes humains qui ont été conditionnés par la télévision (donc un générateur d'images) bien avant le stade du langage, enrichissant le symbolique (l'écriture, la parole). Pour ces gens il n'y a pas de discussion possible, l'autre est une totalité imagière, on l'accepte ou on le rejette, parfois par le meurtre. Ce qui explique aussi la grande pauvreté des relations humaines à notre époque.
Voilà ! C'est la vieille querelle entre la psychanalyse et la psychologie laquelle est une baliverne qui n'explique rien autrement qu'avec des lieux communs.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Creutzfeld-Jacob et les maladies à prions, prophétisées par le professeur Montagnier peuvent s'expliquer à mon (petit) niveau de biochimiste.
Qu'est-ce qu'un prion (tous que Dieu nous veuille absoudre 🤡) ? C'est une protéine complexe effondrée, un peu comme une étoile qui devient une naine (blanche, rouge ou noire, il y en a pour toutes les races 🤡) avec une pesanteur effroyable en surface.
Comment une protéine peut-elle s'effondrer ?
C'est une molécule complexe, depuis la forme primaire (la kératine des cheveux), secondaire et tertiaire (et j'ajouterais quaternaire avec la protéine spike qui est un composant de plusieurs protéines tertiaires, d'où sa facilité de mutation).
Ce qui maintient sa structure c'est un haubanage interne qu'on appelle "liaisons hydrogène", mais ces liaisons chimiques n'ont pas la "solidité" des liaisons covalentes.
Si ce haubanage claque, la protéine s'effondre et donne un composant très toxique s'il est dans le système nerveux : le prion, qui donne alors une dégénérescence cérébrale fatale.
Ce sont des conditions métaboliques particulières qui effondrent ces protéines. La maladie de la vache folle fut induite par des protéines animales, ajoutée à l'alimentation des bovins. Ces farines animales n'avaient rien de toxique en soi et provenaient de déchets d'abattoir d'animaux approuvés pour la consommation humaine.
L'hypothèse retenue est que ces protéines animales ne convenaient pas au métabolisme de l'alimentation herbivore et induisait donc cet effondrement toxique.
On peut supposer la même chose de la protéine spike générée en masse par ces thérapies géniques à ARNm.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Le déclin de la France fut programmée dans le milieu des années 70 où tout, absolument tout, devait venir d'ailleurs.
Les vieilles usines ne furent pas modernisées mais détruites en masse. Toutes les autres activités furent délocalisées et passèrent sous contrôle américain, chinois et autres.
Les français, pourtant accros à leur téloche, n'en achetaient plus "made in France" car toutes venaient d'ailleurs. Le monstre de bureaucratie soviétique Thomson-CSF disparut. Ce fut la même chose avec l'électroménager et, un peu plus tard, les voitures.
Là où une poignée d'ingénieurs fabriquaient à Taïwan des PC, les français avec leurs grosses entreprises bureaucratiques en étaient incapables.
Bien sûr tout s'accéléra et on en est arrivé au niveau tel que même l'agriculture et l'élevage furent dépendants ou même supprimés.
On importa de la viande congelée de Nouvelle-Zélande. On ne peut pas faire plus loin à moins d'importer depuis la lune.
Ce fut un délire total de dirigeants en pleine folie.
Mais on ne peut pas dire que les français étaient des victimes innocentes : ils votaient et revotaient pour les mêmes, il n'y eut aucun mouvement social contre ce délire. Et on importa massivement des populations islamistes dans le seul but de nous détruire physiquement et civilisationnellement.
Ce fut donc la généralisation de la misère alors qu'une poignée de capitalistes qui ne sont que des purs spéculateurs s'enrichissent perpétuellement.
Quelques lucides, dont je suis, prirent la fuite, individuellement, dans les quelques pays encore vivables. Mais certains du troupeau les insultaient de ne pas vouloir crever en France.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Eh oui ! La soumission à l'esclavage ne fait plus recette...
Juste un exemple, et il est ancien, 15 ans au moins car je ne vis plus en France depuis 12 ans. Un jeune homme, informaticien - je l'avais rencontré sur un forum ad hoc - vivait, comme moi, en région toulousaine. Impossible pour lui de trouver un boulot car ici ça marche avec le népotisme.
Il trouve un job, mais en région parisienne.
Mais il se plaint amèrement : "une fois que j'ai payé le transport - crevant - le loyer, les taxes et les impôts, je me retrouvais net avec un RMI que j'aurais pu avoir, peinard, en vivant dans ma grande chambre dans le pavillon de mes parents."
1
-
@Fred-jh5we
Moi j'avais plié ma SARL d'informatique au CA insuffisant. J'étais donc au top technico-commercial. J'ai cherché donc du taf. Rien ! Quand on me répondait - rare - c'était pour me dire que "j'étais trop vieux". À 40 ans, pensez, un immonde vieillard, comme le Nosferatu de Murnau...
Au chômage, donc, portion RMI puisque en tant que gérant de SARL j'étais hors-champ ASSEDIC, je vais donc voir l'ANPE
"Ne vous focalisez pas sur ma spécialité informatique", je savais qu'il n'y avait pas de boulot là dedans, juste des stagiaires corvéables, "je sais faire plein d'autres choses". Mais ils n'ont pas levé le petit doigt.
"Fuyez, pauvre fous !" dirais-je de gandalfienne façon.
Si vous avec de la débrouillardise et un minimum de capital, vous vivrez mieux ailleurs. J'en suis la preuve vivante.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Braves gens vous n'avez pas compris qu'un médecin n'est pas un scientifique, mais un idéologue
Comme un curé il croit ce qu'on lui dit de croire. Surtout quand ce sont des laboratoires qui le disent et le rétribuent.
Parce que la science, c'est le doute. Elle a été développée là dessus.
Rappelez-vous Galilée, il n'a échappé à la mort que de justesse, par une rétractation.
Et puis ses théories sur la chute des corps dans le vide. Une sottise pour l'époque où, de toute façon, on était incapable de faire du vide.
La médecine cela a toujours été de l'idéologie. Seuls les chirurgiens (les "barbiers") s'en tiraient mieux car les blessures étaient apparentes et on pouvait "bricoler" dessus.
Le docteur Louis Ferdinand Destouches, dit Céline, a fait sa thèse de médecine sur Semmelweis, un médecin qui prônait l'asepsie opératoire, en particulier des mains des chirurgiens. Il fut persécuté.
La première chose qui devrait être faite c'est de dissoudre cet "Ordre des médecins", fondé par Pétain.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
"il faut" est du domaine de l'incantation et non de "oser lutter, oser vaincre". Ou on continue à se soumettre (comme le font si bien les français depuis 40 ans) ou on s'insurge, les incantations ne servent à rien.
Oui, je sais, "La révolution n’est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une œuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s’accomplir avec autant d’élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d’amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d’âme. La révolution, c’est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre. »
Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 1966
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Pôv'ti flic ! Il ne peut plus matraquer, grenader, éborgner les gens sans que ceux-ci résistent.
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
Monseigneur Hélder Pessoa Câmara
Pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ce n'est pas souvent que ça m'arrive.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@Yeshoua..la..seule..issue.
La réponse définitive à l'attrait de la religion fut analysée par Marx en 1843. Il ne jette pas la pierre aux croyants mais il expliquent comment ils furent bernés sur de vraies et légitimes préoccupations.
C'est une réponse définitive à cet embrouillamini spirituel.
"Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : l’homme fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme. La religion est en réalité la conscience et le sentiment propre de l’homme qui ou bien ne s’est pas encore trouvé, ou bien s’est déjà reperdu. Mais l’homme n’est pas un être abstrait, extérieur au monde réel. L’homme, c’est le monde de l’homme, l’État, la société. Cet État, cette société produisent la religion, une conscience erronée du monde, parce qu’ils constituent eux-mêmes un monde faux. La religion est la théorie générale de ce monde, son compendium encyclopédique, sa logique sous une forme populaire, son point d’honneur spiritualiste, son enthousiasme, sa sanction morale, son complément solennel, sa raison générale de consolation et de justification. C’est la réalisation fantastique de l’essence humaine, parce que l’essence humaine n’a pas de réalité véritable.
La lutte contre la religion est donc par ricochet la lutte contre ce monde, dont la religion est l’arôme spirituel.
La misère religieuse est, d’une part, l’expression de la misère réelle et, d’autre part, la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans coeur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple.
Le véritable bonheur du peuple exige que la religion soit supprimée en tant que bonheur illusoire du peuple.
Exiger qu’il soit renoncé aux illusions concernant notre propre situation, c’est exiger qu’il soit renoncé à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc, en germe, la critique de cette vallée de larmes, dont la religion est l’auréole. La critique a effeuillé les fleurs imaginaires qui couvraient la chaîne, non pas pour que l’homme porte la chaîne prosaïque et désolante, mais pour qu’il secoue la chaîne et cueille la fleur vivante. La critique de la religion désillusionne l’homme, pour qu’il pense, agisse, forme sa réalité comme un homme désillusionné, devenu raisonnable, pour qu’il se meuve autour de lui et par suite autour de son véritable soleil.
La religion n’est que le soleil illusoire qui se meut autour de l’homme, tant qu’il ne se meut pas autour de lui-même.
L’histoire a donc la mission, une fois que la vie future de la vérité s’est évanouie, d’établir la vérité de la vie présente. Et la première tâche de la philosophie, qui est au service de l’histoire, consiste, une fois démasquée l’image sainte qui représentait la renonciation de l’homme à lui-même, à démasquer cette renonciation sous ses formes profanes. La critique du ciel se transforme ainsi en critique de la terre, la critique de la religion en critique du droit, la critique de la théologie en critique de la politique."
Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel (1843)
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Ah la citation de l'Écclésiaste ! Je l'ai souvent mise dans les forums de Youtube au sujet de Macron.
Aggravé par le fait que l'actuelle jeunesse, sauf exception, est une bande de jeunes crétins incultes que les parents ont mis, bien avant le stade du langage, devant la nounou-télévision. Il ont donc tout gobé sans avoir la capacité intellectuelle critique et - le plus grave - ne cherchant pas à en avoir. Tout est, chez eux, une question de mode à défaut d'analyse. Et quiconque a plus de 5 ans de différence d'âge n'est pas fréquentable.
J'ai découvert leur expression fétiche "OK, boomer" qui signifie qu'on réfute immédiatement tout propos d'une personne dont les années ont permis une réflexion critique sur l'époque.
En 1968, fin d'une époque, la jeunesse propulsée dans un mouvement quasi révolutionnaire, a, au contraire, recherché tous les vieux intellectuels de l'époque : Gille Deleuze, Jacques Lacan, Guy Debord, Raymond Baudrillard, etc.
J'avais personnellement sorti de leur incurie intellectuelle quelques ados de banlieue (pas de "migrants" à l'époque) en leur faisant découvrir Léo Ferré et quelques chanteurs de ce niveau.
Maintenant...
Mais "Nous autres civilisations savons maintenant que nous sommes mortelles" commençait Paul Valéry dans son Variété écrit en 1924.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Quand j'ai quitté définitivement la France il y a 11 ans c'était un projet mis en route il y a 15 ans.
Ce n'était nullement le coronavirus qui m'a poussé vers la sortie, il n'existait pas à cette époque, tout au moins sous sa forme qui a conduit à une dictature sanitaire, parce que les coronavirus sont très nombreux et existent bien avant l'humanité
Non c'était un mal plus récent : le coranovirus et qui ne se contentait pas de tuer des gens en fin de vie.
Mais les français, qui sont les champions toute catégorie de la soumission ont laissé faire cette invasion et certains en redemandaient, la majorité râlotait un peu mais laissait faire et, tous les 4 ans, et ce depuis 40 ans, revotaient pour les mêmes qui avaient favorisé cette invasion.
Et quand il y avait des massacres les bonnes âmes se précipitaient avec leurs bouquets de fleurs, leurs bougies et leurs nounours.
Pour moi c'était clair, je ne pouvais plus vivre au milieu de ces gens.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@attaiharding5229
Exact ! Le Cap-Vert est très chrétien. Dans la hiérarchie des valeurs morales les chrétiens sont les moins pires sinon les meilleurs.
Alors qu'en France le dernier carré des cathos a écumé de rage dans des grandes manifs contre le mariage gay. Sans une seule fois répondre à ma question : En quoi le mariage homo retire quoi que ce soit au mariage hétéro ? Dans beaucoup de pays d'Amérique du Sud, pourtant bien catholiques, c'est passé sans rage. Interrogé sur ce sujet la réponse des intéressés était "Dieu est amour". Ce courant, propre à l'Amérique du Sud, s'appelle "la théologie de la libération" et fut souvent persécuté par les dictatures se réclamant aussi du catholicisme.
Un exemple flagrant est donné par Monseigneur Hélder Pessoa Câmara (pour une fois que je cite un évêque, profitez-en, ce n'est pas souvent que ça m'arrive) :
« Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Tout est fait dans le délire mondialiste ! On va même importer de la viande de... Nouvelle Zélande. On ne peut pas faire plus loin (autrement il faudra la faire venir de la Lune ou de la planète Mars). Et je ne vous dit pas la technologie de containers de congélation, ultra sécurisés et buvant leur gasoil pour le moteur frigorifique.
Idem pour ces absurdes tours de verre de bureaux où il faut 2 barrages l'été pour les refroidir et 3 barrages l'hiver pour les chauffer.
Or j'ai habité, au Paraguay, une maison dans le style "colonial" : pas d'étage, plafonds très hauts, petites fenêtres et patio de 5 m de large faisant le tour de la maison. Malgré les grandes chaleurs d'été je pouvais me contenter des ventilateurs de plafond, c'était très rare quand j'avais besoin des climatiseurs.
Une chose est certaine : il n'y aura jamais de changement de paradigme en France. Je ne sais pas si nos politiques sont les plus corrompus du monde, ce sont, par contre, sans nul doute, les plus stupides.
Même au Paraguay, pays le plus corrompu d'Amérique du Sud (derrière le Venezuela, impossible à battre à ce niveau), on n'a pas eu la dictature sanitaire comme en France. Les piquouzes, c'était juste pour ceux qui en voulait (ça a bien marché pour la première, mais en faire tous les 3 mois cela n'a plus été).
À défaut d'avoir savoir et culture, les paraguayens ont du tonus vital, donc une telle soumission ne passerait pas. Ils se sont débarrassés de leur dictateur Strössner, ce n'est pas pour remettre ça avec Big Pharma. Les médicaments interdits en France sont autorisés ici (seuls les opioïdes sont soumis à ordonnance).
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Toutes les indignations des gens honnêtes ne peuvent rien contre la soumission et l'abrutissement des français.
Donc au lieu de vous faire des trous dans l'estomac, allez dans des pays sinon absents de malversations, tout au moins qui n'impactent pas les peuples.
Mon exemple : je vis au Paraguay depuis 12 ans. Ce pays a une mauvaise réputation (c-f Transparency International qui le met en 2e position des pays ripous d'Amérique du Sud, derrière le Venezuela (difficile de faire mieux)), mais cela n'impacte pas la population qui vit sans être rackettée comme les français.
Et, pour ne rien arranger, la presse qui est assez libre ici (Ultima hora), quand elle a un ripou dans son collimateur, elle ne le lâche pas. Toutefois c'est peine perdue car il est vite remplacé par un autre. Ainsi des procureurs (2 ces derniers temps) se sont fait descendre par des gangs de trafiquants de drogues. Mais, au moins, cela n'a pas pu être étouffé.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Un grand merci pour ce cours historique de l'organisation de la France et sur ce gloubi boulga en cours afin de s'intégrer à la germanisation-américanisation voulue par les maîtres du Monde.
Les français résisteront ils à ce processus ?
Je ne crois pas, c'est un peuple d'une docilité affligeante depuis au moins 50 ans, qui votent et revotent pour les mêmes, se laissent confiner, contrôler, interdire d'accès aux soins et aux médicaments usuels, sans la moindre révolte.
Incapables de réfléchir sur les dangereuses substances qu'on leur injecte, refusant toute explication et analyse statistique sur les effets secondaires gravissimes, comment voulez-vous qu'ils aient une conscience critique sur ces organisations territoriales et ce qu'elles impliquent ?
Bonne soumission (volontaire ou involontaire, de tout façon vous n'avez pas le choix) à ceux qui restent, moi je préfère voir ça depuis 10.000 km.
1
-
1
-
1
-
1
-
Le véhicule électrique est une absurdité thermodynamique quand on voit le circuit depuis la centrale électrique (nucléaire avec son approvisionnement douteux en uranium depuis les pays islamiques), la déperdition dans des câbles, jusqu'à l'arrivée au chargeur (grosse déperdition aussi) pour ensuite aller dans une batterie aux composants toxiques, de faible durée de vie et difficile à recycler.
Le problème des moteurs qui polluent ne vient pas d'eux mais de l'urbanisme. Les vieilles villes il faut faire avec mais les nouvelles ne doivent pas être construite comme les anciennes. Il faut que cela soit large et que l'air circule.
À ce sujet il y a une ville ancienne que j'aime bien, c'est Buenos Aires. Comme son nom l'indique elle est exposée au vent marin, les avenues sont archi larges, on ne sent pas les gaz d'échappement.
Tout le contraire, en comparaison, d'Asunción, puisque je vis au Paraguay, l'air n'y circule pas, les voies sont étroites et on baigne dans les gaz d'échappement.
Conclusion : la voiture électrique est un piège à c**s car JAMAIS il y aura suffisamment de bornes pour recharger les batteries. C'est tout simplement impossible pour le circuit électrique existant.
Et les "biocarburants" permettent de saccager les dernières forêts et leurs habitants qui existent encore. Le programme de Bolsonaro pour détruire l'Amazonie.
Donc vive le pétrole (dont on ne manque pas) ! Si on fore proprement ça ne pollue pas et ça ne prend pas de place.
1
-
1
-
1
-
Ce qui est dingue à Toulouse c'est qu'il est impossible, par le train, de faire un itinéraire direct avec Barcelone qui est la plus grande ville voisine (moins loin que Bordeaux). Il faut 3 correspondances sans horaires adaptés. J'ai passé une nuit dans la salle d'attente pas confortable de Cerbère.
Toujours pareil : la ringardise ! La plupart des pays n'ont, soit jamais eu de trains, soit les ont supprimé. Il ne gardent que des lignes pour les minéraliers vu le poids. De plus, autour de la gare, il n'y a pas de parking gratuit pour les voitures.
Un train c'est lourd et pas modulable en fonction des usagers. Une voie ferrée c'est sophistiqué et chère et nécessite un entretien quasi permanent. Une route c'est des cailloux et du goudron qui est, de toute façon, un résidu dans les raffineries. Sur cette route on y fait rouler des cars climatisés très confortables sur des longues distances, j'en ai assez pris en Amérique du Sud pour le savoir. Et un car ça s'adapte aux trajets (allez donc passer par une ville non prévue avec un train...) et aux passagers (on en affrète en fonction du nombre de ces derniers).
Au Brésil, sur la côte Est, c'est tout plat et ils auraient pu y construire un TGV depuis São Luis jusqu'à l'Uruguay, mais ils ont dû estimer que cela n'était pas rentable.
Mais les français, parmi les pires passéistes de la planète, s'accrochent à ses trains qui, comme les hôpitaux publics, sont des bureaucraties staliniennes.
1
-
Faut être un bourgeois sûr de ses revenus comme Hervé Juvin pour faire du "localisme" en France.
Pour ma part j'ai enchaîné les petits boulots où, passé 40 ans, j'étais "trop vieux" pour être embauchable, en même temps que déferlaient les envahisseurs islamistes. Je finis par être jeté statutairement du RMI (pas plus de 60 ans) et obtenir une pré-retraite de 75 EUR. En même temps qu'un immigré illégal reconverti en demandeur d'asile touchait 920 EUR/mois plus tous les à cotés apportés par les assoces en tout genre. Mais moi je n'intéressais personne, aucun service social ne se demandait comment je pouvais vivre avec 75 EUR/mois.
Par chance j'héritais du pavillon de ma mère ce qui, à sa revente, me rapporta un confortable petit tas de fric que j'ai mis, avec ma personne, dans un pays encore libre il y a 11 ans.
Donc je reste culturellement français, mais ça s'arrête là. La France, et ce qu'elle est devenue, n'est vraiment plus mon pays. Si les français se complaisent dans une dictature à prétexte sanitaire c'est leur problème. Où je vis (Paraguay) rien de tout ça et le masque obligatoire pour entrer dans un lieu public (supermarché, etc.) ne l'est plus depuis un mois. Il n'y a aucune pénurie, le gasoil est moitié moins cher qu'en France et les voitures ne sont pas prêtes à devenir électriques.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
Comme toujours les propos de Monsieur Asselineau sont dans une logique de béton !
Bon ça ne retire en rien ma "profession de foi"... abstentioniste car, dans un esprit libertaire je n'aime pas la délégation de pouvoir à quelqu'un qui devient alors incontrôlable (on l'a vu en Grèce avec Tsipras et en Italie avec Salvini).
J'ai toujours dit que le conseil d'administration d'une SA capitaliste est plus démocratique car l'assemblée des actionnaires peuvent, en assemblée générale, démettre immédiatement le PDG s'il a failli sur ses objectifs.
Les libertaires, en fait, respectent trop le principe du vote pour ne pas cautionner un système incontrôlable.
Et puis, tralala lalère, je suis membre du premier parti de France : les abstentionnistes.
Les intoxiqués à l'urne sont d'ailleurs dans l'illogisme total. Aux élections qui opposaient Chirac à le Pen l'un d'eux me disait qu'il "n'avait pas voté Chirac, mais anti Le Pen". Je lui demandais alors où il avait trouvé un bulletin de vote "anti le Pen".
Hypocrisie totale car, si aucun candidat ne vous plait, l'abstention est l'option logique.
Donc je persiste dans l'abstention.
Sans flagornerie aucune, j'aurais toutefois compris qu'on fasse une exception pour François Asselineau. Car il s'opposait à un danger fatal, car même si on n'est pas du même bord que lui, si le capitaine vous demande de boucher les fuites du Titanic, on le fait, ou, au moins on tente de le faire.
Et ni Mélenchon ni Le Pen qui ont roupillé, tels des vampires dans leur cercueil, pendant que la Macronie passait toutes ses mesures de dictature au prétexte sanitaire ne mérite mon crédit.
Bien sûr s'il y avait un référendum "Êtes-vous favorable à l'instauration du RIC", je m'empresserais d'aller voter Oui. mais ça ne risque pas d'arriver.
Heureusement que je vois tout ça depuis 10.000 km !
Et pour finir en chanson je vous mets "Faut plus d'gouvernement"
https://www.youtube.com/watch?v=gZU7C-U2kOg
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1