Youtube comments of TontonPourquoi TuGlousses? (@TontonPourquoiTuGlousses).

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  18.  @ncha3570  Comme je te l'ai déjà dit ailleurs sous une autre vidéo, le consensus est limpide concernant les apostas de l'islam, un concept que tu n'as jamais voulu entendre, tout comme ta compréhension superficielle et toute personnelle du terme « ijma` ». En résumé, la pragmatisation -- un euphémisme signifiant la séparation de la tête du corps -- est la sanction appliquée s'il n'y a pas repentance, deux écoles sur les quatre plus importantes de l'islam sunnite ne considèrent même pas qu'il y ait la possibilité de se repentir. De plus, l'apostasie peut, dans certains cas, être considéré comme de la corruption si elle implique une critique du dogme et celle-ci est passible d'une des peines les plus atroces: les membres opposés doivent être coupés. Quelle belle religion, vraiment. Et après, il y en a qui se demanderont encore pourquoi certains la détestent ou, en ont peur. Voilà l'un des thèmes majeurs sur lequel se fonde les apostas pour critiquer l'islam sunnite qui ne promulgue pas la liberté de conscience ni la liberté de culte et fait planer une ombre sur tous ceux qui ont quitté cette belle religion de paix et de tolérance. Quant aux autres thèmes, on peut rapidement les nommer: esclavage, condition de la femme, mariage des impubères, sectarisme assumé, mortification, nocivité, iniquité en droit. Bref, un joyeux mélange dont bon nombre d'adeptes seraient prêts à cacher les aspects sous le tapis s'ils le pouvaient. Honnêtement, nous avons déjà eu des échanges par le passé et je peux affirmer que, question sincérité, tu es mal placé pour parler. Tu ne peux pas le voir puisque tu es convaincu que ton dieu t'a sauvé lorsque tu avais 26 ans et que tu es endoctriné jusqu'à la moelle, mais sache que dès que tu commences à écrire, tu suintes le déni et l'hypocrisie à plein nez, prêt à tout pour défendre l'indéfendable, jusqu'à te voiler la face et te blottir sous tes couvertures. Fais-moi mentir.
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  30. C'est juste un sketch en fait. Citer Flavius Josèphe comme étant une source non-chrétienne qui supporterait l'existence du Christ alors que le passage en question ne fait que 3 lignes et qu'il fut écrit, au bas mot, 30 ans après la Passion alors que son auteur n'était même pas encore né, c'est aberrant. Par contre, éviter de dire qu'il n'y a pas de signe de miracles dans ses écrits, c'est assez représentatif de la méthodologie. Inutile d'attirer l'attention sur des arguments qui pourraient se retourner contre soi, il suffit de prendre une pincée de sable et de la jeter en l'air, c'est du plus bel effet. Et par la suite, citer les autres principaux historiens antiques qui n'ont fait que mentionner l'existence des chrétiens qui avaient comme idole le Christ, sans qu'il y ait eu la moindre preuve intrinsèque de son existence historique, mais plutôt des on-dit et rumeurs, c'est tout à fait risible de la part d'un "historien" moderne, un théologien qui a voué sa vie à étudier son propre culte pour en défendre les valeurs rétrogrades et confirmer ses propres biais de confirmation. Pourquoi fonder son argumentaire de prime abord sur des sources non-chrétiennes comme si elles avaient plus de valeur que celles issues de la liturgie chrétienne qui, elles, forcément, mentionnent Jésus mais qui n'ont pas pour autant plus de valeur quant à prouver son historicité. S'il y a une preuve de l'existence de Jésus, elle se trouve dans les quatre évangiles canoniques et nulle part ailleurs. Et après cela, il vient nous pondre un livre dont le titre est "Soyez rationnel, devenez catholiques !" On marche sur la tête, tout simplement. Croyance religieuse et rationalité sont deux antonymes, essayer de prouver le contraire par des paraboles alambiquées n'est certainement pas la meilleure façon de faire.
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  105.  @theoven344  Des amalgames? Des essentialisations? Des caricatures? Des affirmations péremptoires? Mais de quoi tu parles au juste? Tu as simplement décidé pour la forme d'associer une liste de noms qui n'ont en fait rien à voir avec mon raisonnement, dans le simple but de me dénigrer. C'est pitoyable. Par contre, lorsque tu dis que, et je te cite: "la pédocriminalité n'est absolument pas présente chez les bons Français de souche comme toi", ce n'est pas faire un amalgame, ni de l'essentialisme, ni des caricatures, ni des affirmations péremptoires. Clairement, tu m'enlèves les mots de la bouche, c'est juste un sketch. Comme si tu avais la moindre idée de qui je suis ou de quelles origines je suis, ni même de ma nationalité. Pour faire bonne mesure et en même temps t'éduquer sur des questions civilisationnelles et éthiques qui semblent te passer à des kilomètres, voire des années-lumière au-dessus de la tête, je dois reprendre point par point mon raisonnement sur l'islam sunnite. Primo, le coran et ses deux versets qui sont le verset 4 de la sourate 65 et le verset 49 de la sourate 33, autorisent de fait la consommation du mariage avec une jeune impubère -- terme directement utilisé dans le tafsîr d'Ibn Kathir et dans les conditions de la révélation. Le coran est la première source de jurisprudence dans l'islam sunnite. Secundo, la tradition sunnite de part les différents hadiths qui indiquent clairement que le prophète a consommé le mariage avec Aïcha lorsqu'elle avait 9 ans et qu'il y a de fortes chances qu'elle fut encore impubère, puisqu'elle jouait encore à la poupée et à la balançoire lorsqu'elle fut introduite chez le prophète. La sunna, c'est-à-dire la tradition hadithique, est la deuxième source de jurisprudence dans l'islam sunnite. La troisième source qui reprend et se base sur les deux premières est le consensus des savants des quatre écoles sunnites. Il stipule clairement que le mariage peut se faire dès le berceau, sans que la petite fille ait son mot à dire. Quant à la consommation du mariage, il est admis que cela doit être un arrangement entre le gardien et le futur mari, sans que ce soit préjudiciable à la fillette et que l'on suppose qu'elle est apte à subir le rapport sans que celle-ci n'ait toujours pas son mot à dire. Pour ce qui est de savoir comment le gardien et le mari peuvent savoir si la petite est apte ou pas, il n'y a pas de réponse autre que le fait de la "tester". Attends-moi quelques secondes, je dois vite aller vomir. Autrement dit, dans les deux cas, le consentement n'est qu'une vague notion occidentale qui n'a pour but que de déstabiliser cette croyance bénéfique et chaleureuse qu'est l'islam sunnite, cette religion de paix et de tolérance qui ne l'a jamais été en fin de compte. L'analogie, la quatrième source, est insignifiante dans le cas présent. Pour en revenir à l'exemple que je citais précédemment, il y a quelques mois à peine, au Yémen, une petite fille fut mortellement blessée après avec eu des relations avec son mari et cette exemple n'en est qu'un parmi tant d'autres. Donc, d'un côté, nous avons une civilisation occidentale qui se base sur des lois humaines et donc faillibles qui condamnent la pédocriminalité et de l'autre, une religion qui se base sur des lois divines et donc infaillibles qui l'autorisent sous certaines conditions et modalités. Et tout ceci n'est qu'un bref aperçu de ce qu'est l'islam sunnite. Avec le problème du port du voile, ce n'est que la partie visible de l'iceberg car il y a un monstre qui se cache sous les flots. Pour en finir, je te laisse un petit cadeau issu d'un autre commentaire, c'est mieux qu'une canette de pisse de chameau mais moins bien qu'un hadith sahîh: "Parce qu'il y a aussi deux idées auxquelles tu ne penses pas -- logiquement. La première est que, du point de vue d'un athée qui ne croit pas à toutes ces sornettes d'allah et de prophète choisi par dieu au fin fond du désert d'Arabie au 7ème siècle de notre ère, allah ne lui a pas demandé d'épouser Aïcha, c'est lui seul qui s'est octroyé le droit de se marier avec Aïcha, il a voulu de ce mariage avec une jeune impubère. Je ne peux pas être certain que ce n'était que pour assouvir ses pulsions malsaines mais cela m'amène néanmoins au deuxième point qui est qu'il a réussi à consommer le mariage avec elle alors qu'elle n'avait que 9 ans, qu'il a été sexuellement excité à la vue d'une fillette. Le meilleur des hommes, a qui tout bon musulman se doit de ressembler, a réussi à bander devant une fille de 9 ans." Allez bozo, bonne nuit et fait de beaux rêves.
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  110. Comment vous faire comprendre que l'on file tout droit vers l'apocalypse, que rien n'y fera et qu'aucun politique n'osera enclencher la marche arrière parce que cela reviendrait à signer son arrêt de mort sur la scène politique. Comment vous faire comprendre que la civilisation thermo-industrielle de l'abondance que nos ancêtres ont créée va bientôt disparaître et que les modèles économiques qui tablaient sur des moyens et des ressources illimités, modèles encore enseignés de nos jours dans les universités, sont d'ores et déjà dépassés sur tous les plans ? L'instabilité politique qu'entrainera le changement climatique et la fin de l'abondance énergétique créera un terreau fertile dans lequel vont s'épanouir les pires idéologies que l'on pensait disparues depuis près de 70 ans et d'autres, tout aussi nauséabondes, vont retrouver un regain d'intérêt parmi leurs adeptes qui auront les coudées franches pour perpétrer les atrocités qui leur sont permises dans leurs livres sacrés. Avez-vous déjà entendu parler du grand filtre qui est évoqué pour expliquer le paradoxe de Fermi ? Même si, à mon sens, le paradoxe de Fermi n'en est pas réellement un, nous allons nous retrouver les pieds dans une bonne grosse couche de marc de café et nous finirons par nous y enfoncer inexorablement et disparaître pour réémerger d'ici un certain temps, pourvu qu'aucun dictateur eschatologique n'appuie sur le gros bouton rouge. ☢ Vous, hommes politiques du monde entier, faites-moi mentir s'il vous plaît.
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  111. ​ @hocinedjehaich5144  Le but de son livre est d'attirer l'attention des gens sur la condition des apostats en général qui, dans certains cas, doivent éviter de faire des vagues pour pouvoir continuer à fréquenter leur famille et leurs amis, qui sont bien souvent contraints de cacher l'abandon de leur foi qui est perçu comme une trahison envers le groupe et la oumma. En France et ailleurs, pour pouvoir vivre sereinement dans certains quartiers, des femmes se sentent obligées de porter le voile malgré le reniement de leur ancienne foi. Lorsqu'ils apprennent l'apostasie d'un de leurs collègues, certains de leurs anciens coreligionnaires les mettent sous pression, les excluent et les ostracisent sans ménagement. Maintenant, pour ceux qui osent affirmer leur apostasie en public, il existe un risque non négligeable qu'ils se retrouvent en fâcheuse posture que ce soit dans des pays musulmans ou en France et en Europe, tandis que pour ceux qui critiquent ouvertement leur ancien dogme comme Majid, le risque est encore accru et c'en est même punissable selon la constitution de nombreux pays musulmans, passible d'amende, de prison, voire pire. Il existe de nombreux témoignages, vidéos, podcasts, et lives TikTok ou YouTube qui dépeignent leur vie fragmentée et parcellaire, marquée par le rejet social, la solitude et la quête d'une nouvelle identité, souvent au prix d'un profond sentiment de déconnexion, et ce, dans un contexte où la liberté d'expression et la diversité des croyances sont constamment remises en question, même en Europe. Dans l'islam comme ailleurs, on ne choisit pas sa croyance, ni sa famille. On naît musulman, on beigne dans cette culture religieuse et un jour, sans même y prêter attention, on arrête de croire. Tout ce qu'ils demandent, c'est de faire preuve d'un peu d'empathie à leur égard. Le minimum d'empathie qu'un être humain devrait offrir à un autre, c'est la compréhension de sa liberté de choisir ses croyances sans être jugé, ostracisé ou forcé à vivre dans l'ombre de ses convictions. Ils ne cherchent ni réconciliation ni justification, mais simplement la reconnaissance de leur droit à une vie digne, loin des chaînes de l'intolérance et du dogme.
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  148.  @Kassambre  Parce que maintenant, et seulement pour toi, l'expression 'la culture écrite' que tu mentionnes dans ton premier com' correspond à 'l'école pour tous' ? Je ne devrais même pas répondre à ce sophisme que je qualifierais d'homme de paille inversé, de diversion, de question biaisée. Mais c'est plus fort que moi, les questions biaisées, j'adore ça et la malhonnêteté intellectuelle m'agace. Le premier système qui est considéré par les historiens comme étant une école pour tous a été instauré en Prusse en 1763, une école rendue obligatoire pour les enfants de 6 à 14 ans, financée par l'État et structurée avec un programme défini et des enseignants formés. De là, on revient aux origines de « l'école pour tous », entre guillemets. Dans l'Antiquité, Athènes proposait une éducation destinée aux garçons citoyens, mais elle restait réservée aux élites, tandis que Rome offrait des écoles publiques accessibles à un plus grand nombre, sans pour autant être universelles ni obligatoires. Dès le VIIIe siècle, dans le monde islamique, les kuttabs et madrasas permettaient à une large partie de la population, y compris les plus démunis, d’accéder à l’apprentissage de la lecture, de l'écriture et des sciences religieuses, bien que l'éducation ne fût pas obligatoire pour tous. Au début du IXe siècle, Charlemagne instaura des écoles monastiques et cathédrales visant principalement à former l'élite religieuse et administrative, mais sans s'adresser à l'ensemble de la population. À la Renaissance, l'humanisme favorisa la diffusion du savoir, surtout parmi les élites urbaines, tandis que la Réforme protestante encouragea l'éducation pour permettre à chacun de lire la bible, sans instaurer un système universel. Enfin, au 17ème siècle, des penseurs comme Comenius prônèrent une éducation universelle et structurée, et des gouvernements, tels que celui de Colbert en France, tentèrent de réglementer l'instruction, mais sans la rendre obligatoire pour tous. Toutes ces étapes ont conduit au modèle prussien de 1763, considéré comme le premier système éducatif véritablement universel que l'on peut qualifier d' 'école pour tous'. Donc, si on va dans ton sens, si l'islam a permis une "école pour tous", comment expliquer que les taux d'alphabétisation, par exemple au Maghreb, soient restés aussi bas tout au long de la période musulmane et n'ont fini par décoller qu'après la 2GM ?
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  186.  @olnarks  Je viens de te dire que j''étais "désolé de t'avoir brusqué". Pas la peine de monter sur tes grands chevaux. Primo, avant d'aller plus loin, j'avoue m'être mal exprimé et avoir été peu inspiré lorsque j'ai voulu mettre des mots sur un concept. C'était compréhensible mais nébuleux. Je m'appliquerai donc cette fois-ci. Vu que tu utilises un appareil -- un PC ; un smartphone ou autre -- qui est issu de l'application concrète et indéniable d'une théorie scientifique qui ne saurait être remise en question, il ne manquerait plus que ça que tu ne fasses pas confiance à la science, en l'occurrence de la théorie des quanta et son application, l'électronique. De la même façon, faire confiance à la science par l'intermédiaire de la médecine, de la bio-chimie, de l'ingénierie, de l'astrophysique, de l'agronomie, etc. mais rejeter la paléontologie, la géologie ou la génétique sous prétexte que ces sciences avérées au même titre que les autres ne soient pas en adéquation avec des préceptes religieux, c'est simplement de la malhonnêteté doublée d'une hypocrisie. Je ne dis pas que cela s'applique à toi en particulier, j'énonce simplement une généralité, le constat que chez certains croyants -- croyants dans le sens large du terme, et quand je dis 'certains', je pourrais ajouter qu'ils sont majoritaires dans certaines communautés -- , il est préférable de remettre en question certains pans de la science plutôt que de se confronter à la réalité par peur de perdre leur acte de foi. Deux exemples notables parmi tant d'autres: le Suaire de Turin et le mythe d'Adam et Eve, plus que jamais imbriqué dans les croyances de l'islam. Secundo, si tu en viens à affirmer et à me soumettre des dingueries monumentales en m'interpellant directement, sans avoir au préalable cogité sur les réelles implications de tes propos, il est logique que je te corrige et au plus tes affirmations seront aberrantes, au plus je serai sarcastique. Et surtout lorsque tes propos sont laconiques et superficiels. Pour en revenir à mes propos, ils étaient de dire, dans mon commentaire original, que Sapiens est sorti de l'Afrique il y a 100.000 ans environ et qu'à cette période, celui-ci avait une couleur de peau noire, n'en déplaise aux créationnistes en herbe qui croient encore à l'intervention du divin pour expliquer la présence de l'être humain sur terre. Donc, si on remonte la lignée paternelle d'un Sapiens lambda moderne européen ou asiatique, arrivé à la limite de ce que l'on considère aujourd'hui comme le 'out of Africa' , il y a 95% de chance que cet ancêtre ait eu une couleur de peau noire. Pour les 5% restant, leur ancêtre était un Néandertalien ou un Dénisovien, de couleur de peau blanche. Maintenant, est-ce que les homininés africains vivant il y a 4 ou 3 millions d'années avaient une couleur de peau noire de base, la réponse est non. Mais pas pour les raisons que tu invoques. Même s'il n'y a pas de consensus scientifique sur la question, la perte de la pilosité est probablement due à une conjonction de facteurs, comme la thermorégulation, la bipédie, la protection contre les parasites ou encore la sélection sexuelle. La perte des poils entraîna un mécanisme de défense contre les UV qui étaient particulièrement nocifs toute l'année à ces latitudes et leur corps, soumis à l'évolution sur des centaines, voire des milliers de générations, commença à accumuler la mélanine pour pouvoir supporter les rayons du soleil. Ce n'est pas dû, comme tu le prétends, au climat chaud et humide dans ces régions. La recherche sur les allèles MC1R utilisant des hypothèses sur la taille de la population passée et une absence de goulots d'étranglement de la population suggère que l'allèle pour la peau foncée présente chez les Africains modernes est apparu il y a au moins 1,2 million d'années. D'ailleurs, il y a 1 millions d'années environ, lorsque les premiers individus proto-néandertaliens et dénisoviens se sont aventurés en Europe, étant donné la différence notable de l'incidence des rayons lumineux sous nos latitudes septentrionales, ils ont dû se réadapter à leur environnement pour subvenir à leur besoin en vitamine D et non pas parce qu'il fait plus froid et qu'ils se couvraient pour supporter nos températures plus tempérées, la déperdition de chaleur étant jugulée par leur taille et leur stature trapue et compacte. Pour revenir à mon 🤣, lorsque tu as dis: "J'ai des photos de primates et autres mammifères souffrant d'alopecie. Leur peau est rose pâle." comme étant la preuve que nos ancêtres n'étaient pas noirs, je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire. Plus particulièrement les termes 'photos de primates'. Étant donné qu'il n'y a pas temporalité dans tes propos, que l'on se sait pas de quoi ou de qui tu parles et que cette "preuve" arrive juste après avoir dit que "Nos ancêtres n'étaient pas noirs." , je me suis simplement représenté la scène. Toi, dans un imperméable brun, lunettes noires et cigare au coin de la bouche, te retournant vers la caméra en disant « Nos ancêtres n'étaient pas noirs. » et juste après cette phrase accrocheuse, tu tends ton bras vers la caméra en brandissant tes photos de primates, en disant: « J'ai des photos qui le prouvent. » Voilà le délire, il n'y avait pas de mal. Pour finaliser mon propos: oui, lorsque Sapiens est sorti d'Afrique, sa peau était noire et donc, nos ancêtres directs avaient la peau noire. Et oui, les premiers homininés n'avaient pas la peau noire et ils se sont adaptés à leur environnement, leur donnant un avantage évolutif sur les autres espèces ou, à minima, pour pouvoir survivre.
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  212.  @bouchekmalika6879  Visiblement, tu as buté sur des termes en faisant fi du mot le plus important que j'ai d'ailleurs repris de ton commentaire précédent: démocratique. Laisse-moi te citer quelques phrases tirées d'un article disponible sur le net. "Nous définissons une démocratie sur la base de deux grands principes qui sont le contrôle populaire sur le processus décisionnel public et l’égalité politique dans l’exercice de ce contrôle. Sur la base de ces deux principes généraux sur la démocratie, nous avons défini cinq éléments que nous pensons être essentiels pour une démocratie saine. Ces éléments sont un « gouvernement représentatif », élu démocratiquement par la population ; les « droits fondamentaux », comprenant par exemple les libertés civiles et les droits sociaux et l’égalité, y compris l’égalité des sexes ; les « contrôles du Parlement », à la fois formels tels que l’indépendance réelle du parlement et du pouvoir judiciaire ainsi que des contrôles informels par le biais des médias ; une « administration impartiale » qui inclut l’absence de corruption ; et enfin le cinquième élément concerne la « participation des citoyens » par le biais de la société civile et des organisations ainsi qu’à travers des élections. Jusqu’à la fin de l’année 2018, l’Algérie était classée dans notre rapport comme étant un régime hybride. Elle est classée comme tel depuis 1995. Le monopole des médias officiels, par exemple. Des règles qui désavantagent la capacité des partis d’opposition à s’organiser et faire campagne de manière efficace. L’usage des appareils de l’Etat pour restreindre l’opposition, etc. Dans le contexte de l’Algérie, on observe que certaines de ces caractéristiques sont présentes depuis une très longue période avec le monopole dont le FLN a bénéficié et que l’unique compétition dans la politique algérienne avant les récentes manifestations de masse était une opposition entre les factions du pouvoir et non entre le pouvoir et l’opposition. C’est un peu plus qu’une illusion dans la mesure où vous pouvez aussi avoir dans un régime hybride la possibilité pour certaines voix d’opposition de gagner des positions dans les élections municipales ou législatives, mais pas dans une magnitude qui serait le résultat d’une concurrence loyale qui pourrait menacer l’oligarchie au pouvoir. Il est possible pour ce système d’autoriser une ouverture sélective permettant à quelques voix de l’opposition de s’exprimer et à des médias indépendants d’exister tout en étant prêts à resserrer l’étau et à les contrôler si nécessaire." Donc, si tu n'es pas d'accord avec ce qui a été dit, tu peux aller débattre avec JackLeFou sur ce sujet et surtout un autre qui lui tient particulièrement à cœur, l'islam sunnite.
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  220.  @peacedawn5719  De mon point de vue et qui est sensiblement même que celui des apostats qui critiquent l'islam sur la scène francophone, islam est devenu en quelques décennies, une idéologie totalitaire indéfendable. On peut d'ailleurs remarquer que l'appellation occidentale 'islamisme' n'a pas contrepartie dans la langue arabe et le monde musulman car l'islamisme est l'islam et inversement. Il n'y a pas de différence à faire entre les deux termes. Maintenant, on peut faire un parallèle avec n'importe quelle idéologie qui serait soumise à la critique. Est-ce qu'il est possible de critiquer le communisme ou son antagoniste sans se voir affublé d'un surnom péjoratif du genre leninophobe ou adolfophobe? Est-ce que la critique d'une idéologie peut se faire sans qu'il y ait des redresseurs de tort qui empêcheraient toutes critiques, aussi véhémentes soit-elles parce qu'ils considèrent que cette critique implique une discrimination envers une minorité dans nos régions pendant que le reste du monde musulman continue d'aduler un dieu qui a rendu possible le mariage et la consommation de celui-ci avec une petite fille prépubère et qui autorise le mari à molester sa femme/ses femmes? En plus de cela, il y a beaucoup / "un certain nombre" de témoignages qui indiquent clairement que le fondamentalisme est beaucoup plus présent chez nous que sur le Dar al-Islam. Alors, on fait quoi? On peut se permettre de le critiquer ou on doit se bâillonner pour satisfaire les gens ayant une morale immaculée et une éthique irréprochable?
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  243.  @filo-W-W  La religion n'a plus son mot à dire dans une société laïque dans le sens strict du terme. Vu que ce n'est pas la morale qui fait les lois, c'est la raison par l'intermédiaire de la science qui donne les outils au législateur pour légiférer et promulguer les lois. Quant à la prétention religieuse qui veut que l'âme soit factuelle, il faudrait pour cela au préalable attester de la véracité, preuve à l'appui, de ce récit issu de l'âge de pierre. Or, il s'avère qu'aucune des trois religions abrahamiques ne parvient à expliquer le fait qu'il n'y a rien d'autre dans leurs textes que les idéaux, les concepts, les mœurs, les connaissances d'hommes de leur temps, à une période donnée, dans une région géographique donnée, et qu'il n'y a absolument rien de novateur dans leurs écrits. De quoi tu me parles avec ton "L'avis du patient exécuté quoiqu'il arrive ?" ? Ça ressemble plus à un homme de paille qu'autre chose. On parle d'euthanasie ici, on parle d'une personne apte à décider par elle-même -- dans l'extrême majorité des cas -- si elle veut en finir avec une vie de souffrance physique voire psychologique dans certains pays avant-gardistes. On ne parle pas d'une injection létale administrée par un tiers, on parle de l'ingestion volontaire de substances par le patient lui-même. Et j'insiste encore, les états d'âme des religieux et leur avis naturellement biaisé sur la question, on s'en tamponne le coquillard. Ils font ce qu'ils veulent dans leur sphère privée mais qu'ils n'essayent surtout pas de nous imposer leur morale objective et absolue dictée par un dieu imaginaire, son fils auto-proclamé ou son prophète, le meilleur des hommes qui a trombiné une gamine de 9 ans qui n'était probablement pas encore pubère. S'ils n'y arrivent pas, qu'ils changent de métier, un métier qui sera plus en adéquation avec leurs principes.
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  244.  @filo-W-W  Ben si, clairement, il faut pouvoir évacuer des idées sectaires et rétrogrades issues de l'âge du bronze de la scène politique moderne et d'une société qui se veut laïcisée. Les religions abrahamiques basent leur prémisse majeure sur l'existence d'un dieu unique, omniscient et omnipotent, créateur de l'univers et de l'Homme. Dès qu'un raisonnement plus élaboré découlant de cette prémisse est mis en œuvre, il est d'ores et déjà bancal. La rationalité découlant de la logique n'a strictement rien à voir avec les religions, les lutins, les farfadets, les fées, le père Noël, la vierge Marie et le petit Jésus, le bien et le mal. Au contraire, la rationalité sape toute crédibilité à ces idéologies basées sur la foi et des croyances par essence irrationnelles et dogmatiques. Est-ce les auteurs susmentionnés ont été influents? Bien évidemment que leurs réflexions ont permis à d'autres de parvenir là où nous en sommes. Mais dès qu'ils basaient leur raisonnement sur des prémisses absolues et biaisées, partagées par la majorité de leurs pairs à leur époque, qui ne pouvaient être remises en question, la pertinence de leur avis n'en est de tout de suite fait ressentir, comme dans le pari de Pascal qui ne restera pas dans les mémoires comme étant le plus futé des arguments favorables aux religions. D'ailleurs, c'est bien simple, il n'y en a aucun qui leurs soient favorables. Quitte à citer des auteurs chrétiens, on pourrait simplement citer Spinoza plutôt qu'un saint Thomas d'Aquin qui a bon nombre de dingueries à son actif dans sa penderie. Il considère l'esclavage comme faisant partie de l'ordre naturel des choses, qu'il est nécessaire d'instaurer la peine ultime pour les hérétiques, que la sexualité dénuée de plaisirs ne sert uniquement à la procréation dans le cadre légal du mariage et, entre autre, qu'il voit la femme comme une erreur de la nature. Telle est sa modernité basée sur une prémisse fallacieuse. Les régimes qui sont fondés sur la raison sont les états modernes démocratiques laïcs "à l'occidentale". Les régimes totalitaires ne représentent en aucune façon le paroxysme de la raison, l'application des principes et de la méthode scientifiques dans la promulgation des lois, ni le respect des droits et libertés individuelles. Et encore une fois, ce n'est pas la morale qui fait les lois, bien heureusement pour nous. Par exemple, on peut arguer que l'inceste est moralement réprouvé mais il est autorisé dans nos sociétés s'il est pratiqué dans un cadre légal entre deux adultes consentants. La morale, qu'elle soit de tout un chacun ou issue d'un divinité imaginaire, est tenue à l'écart des considérations de l'état en terme de lois. Pour en revenir au sujet de cette vidéo, on parle bien d'euthanasie, la finalité d'une assistance palliative dans le cadre d'une mort volontaire. Les cas d'euthanasie forcée sont extrêmement minoritaires et ils sont d'ailleurs un problème éthique et déontologique dans nos sociétés. Là-dessus, nous sommes d'accord. Et pour encore en revenir à ce que je disais avant, puisqu'il faut le répéter: si une personne désire en finir mais qu'elle se trouve dans un état tel qu'il lui est physiquement impossible d'agir, une assistance devrait lui être prodiguée. Si cette personne se trouve dans l'impossibilité de répondre aux besoins du patient car cela irait à l'encontre de ses propres scrupules religieux, elle devrait changer de profession, tout simplement. Regarder quelqu'un souffrir parce que 'mon dieu m'a dit que' devrait passible d'une peine correctionnelle.
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  246. ​ @Kassambre  Au nom de quoi tes hommes de paille inversés, tes questions qui n'ont servi qu'à détourner l'attention de ta première bévue sont des arguments ? Tu sais quoi: je vais t'aider, puisque tu sembles être à bout de souffle. Quelle fut la première civilisation ayant offert une « éducation ouverte à tous » -- dans les grandes lignes: la civilisation musulmane était sans conteste la plus avancée. Les écoles de bases recevaient des subventions étatiques, elles étaient parfois ouvertes aux filles et permettaient même aux non-musulmans d'apprendre les bases -- sous couvert d'influencer cette la nouvelle génération de dhimmis religieusement. Contrairement aux idées reçues, les Francs n'ont pas instauré un système éducatif qui s'adressait à tous, mais principalement à une élite aristocratique et au clergé. Il ne peut tout simplement pas être comparé au système musulman à la même époque. Il faudra attendre le 19ème siècle en France pour pouvoir tenter une telle comparaison. Cependant, les Grecs ont proposé un système éducatif, qui, d'une certaine manière, a pu inspirer le système musulman. L'école primaire restait libre d'accès pour les garçons citoyens libres. D'une certaine manière, il est possible de le considérer comme le premier qui fut « ouvert à tous ». Est-ce que ce système censé éduquer tous les enfants a réellement changé les choses sur le Dar al-Islam ? Absolument pas, les taux d'alphabétisation sont restés très bas jusqu'en 1945, principalement dans les zone rurales. Bien que le système dit supérieur, méritocratique, était censé s'adresser à tous sur le papier, dans la pratique, c'était les élites, le clergé et parfois les marchands qui étaient privilégiés. C'est comme si cette "éducation ouverte à tous" présente depuis des siècles n'avait pas eu l'effet escompté ou n'avait pas été appliquée comme il se doit. Je vais faire l'impasse sur toutes tes affirmations bancales pour répondre uniquement à celle-ci, ta première en somme: "Renoncer à l'islam signifie renoncer à ce que celui-ci a apporté, à savoir la culture écrite" L'islam n'a jamais, au grand jamais, privilégié une éducation fondée sur la réflexion critique, mais s'est avant tout attaché à l'inculcation des dogmes et des doctrines religieuses dans le but d'assurer un contrôle accru sur les masses, et ce, dès leur plus jeune âge. De plus, une fois son âge d'or révolu, l'islam s'est progressivement replié sur lui-même, affichant une réticence persistante face à toute forme d'innovation. Cette attitude a rendu les idéaux de progrès et d'ouverture au monde particulièrement difficiles à atteindre, entraînant un isolement inévitable ainsi qu'une stagnation sociétale profonde, dont les racines remontent aux premiers siècles de son expansion. Plutôt que d'encourager la pensée critique, les dogmes religieux – principalement ceux issus des traditions abrahamiques – ont souvent constitué un puissant levier de contrôle social, freinant la remise en question de l'ordre établi et limitant l'exploration de nouvelles idées. À quoi sert une éducation « ouverte à tous » si l'on ne met pas à la disposition des enfants les outils critiques nécessaires à leur épanouissement ?
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  251.  @Fannycioc  D'ailleurs, il a fallu d'abord remettre en cause le dogme chrétien et que certains des esprits les plus brillants, dont Galilée, Bruno, etc s'opposent directement à l'Église pour que la science prenne son envol à l'avènement de la méthode scientifique, chose qu'elle n'aurait pas pu faire si l'Église gardait le monopole des vérités bibliques et les tenants, leur appel à l'autorité religieuse. Il n'y a qu'à se souvenir de Darwin lorsqu'il soumit sa théorie de l'évolution des espèces à la communauté scientifique encore très fortement attachée à la religion. On peut aussi se rendre compte de la stagnation qu'impose la religion lorsqu'on regarde le monde musulman sunnite, qui vit encore dans un état d'esprit comparable à ceux des bédouins du 7ème siècle, pour lesquels la terre était plate, les montagnes soutenaient le ciel et l'embryologie se résumait aux travaux de Galien. L'innovation est dangereuse pour les tenants qui risquent, s'ils laissent se propager des idées novatrices, de perdre leur autorité artificielle que leur a conféré dieu en personne par l'intermédiaire du coran. Et vu que nous en sommes à partager nos expériences, le médecin de mon père était lui aussi un chrétien, ce qui ne l'empêchait pas d'être un excellent médecin, prévenant et compatissant. Cependant, lorsque mon père fut atteint par un cancer et qu'il commença, dans la dernière semaine de sa vie, a purement et simplement agoniser dans son lit, ma sœur et moi lui avons demandé de faire quelque chose pour mettre un terme à la souffrance de notre père. Quelle ne fut pas notre surprise de nous entendre dire que cela allait à l'encontre des préceptes de son dieu. Autrement dit, ce coxxard a préféré laisser souffrir mon père pour s'arroger les faveurs d'un dieu imaginaire et de se conformer à sa morale immaculée. Voilà pourquoi j'affirme que le rationnel n'a rien à voir avec la superstition. Comme ça, ce sera encore plus explicite.
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  252.  @Bidencenseur  Avant toute chose, je te remercie pour ta sollicitude. Pour remettre un peu de contexte, mon père était une force de la nature en terme de résistance et de résilience, un véritable dur au mal, un athée qui n'a eu de cesse de nous le montrer au cours de sa vie et son stoïcisme nous a étonné plus d'une fois. Il y a 17 ans, lorsque vint la dernière semaine de sa vie, la douleur était si intense qu'elle était littéralement tatouée sur son visage, il était dans l'incapacité de réagir avec son environnement. Il est resté recroquevillé dans son lit en laissant échapper des gémissements plaintifs pendant ces longues heures interminables, abandonné à son sort par son médecin traitant qui s'en lavait les mains et jugeait ce cas comme étant hors de sa responsabilité, somme toute, un cas banal parmi tant d'autres, qui ne présentait aucune circonstance particulière et ne requérait aucune action de sa part. Je me répète par rapport à ce que j'ai déjà dit plus haut: on ne laisse pas souffrir les animaux comme mon père a souffert. Quiconque viendrait à se retrouver dans la même situation -- je ne le souhaiterais pas à mon pire ennemi, si j'en avais un -- , c'est-à-dire sans avoir au préalable écrit sa volonté de mourir dignement, j'estime et maintiens que c'est au(x) médecin(s) de prendre ses (leurs) responsabilités sans que ses (leurs) convictions religieuses n'entrent en ligne de compte dans sa prise de décision d'une fin de vie assistée.
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  291. Outre le fait que l'islam n'est pas plurimillénaire puisqu'il n'a que 1.400 ans, mon analyse est factuelle et elle repose sur l'état de l'islam sunnite actuellement, de ce qu'en disent les oulémas, les maîtres à penser de la oumma. La méthodologie sunnite n'a pas bougé d'un iota depuis 1.200 ans, ainsi que ses interprétations exégétiques et hadditiques (certains hadiths authentifiés ou déclassés, rien de plus), son consensus et sa jurisprudence comme je l'ai déjà dit. Les avis minoritaires qui s'élèveraient ne doivent pas être pris en compte, et encore faut-il qu'ils suivent la méthodologie, qu'ils s'appuient sur du concret, et encore, en oubliant pas qu'il est interdit d'interdire ce que allah a rendu licite et inversement. De tous les sujets qui fâchent dans l'islam aujourd'hui, aucun n'a été remis en cause, a subi de modification ou n'est plus enseigné dans les grandes madrasas. Ce qui a changé depuis 1946, ce sont les pressions diplomatiques qui sont exercées pour faire respecter les conventions internationales signées et ratifiées par les pays musulmans pour tempérer les ardeurs de l'islam sunnite dans leur constitution. Mais cela n'empêche pas des pratiques arriérées de subsister dans certains pays ou dans certaines régions rurales comme en Algérie et celles-ci ne sont pas culturelles, elles font partie de l'islam sunnite depuis près de 1.200 ans et même plus. Pour en finir: la réinterprétation est un mythe sur lequel se repose certains pour se conforter. Il ne suffit de dire qu'il y a réinterprétation, il faut prouver cette assertion grâce à un livre de fiqh enseigné de nos jours dans les universités qui prend à contrepied toutes ou une partie des interprétations et modifie les lois chariatiques attenantes. Il ne faut pas oublier qu'il n'appartient pas aux croyants d'interpréter eux-mêmes le coran, ni de remettre en cause ce qui a été autorisé par allah et son prophète. Et même si certains sont capables d'ijtihad car ils ont les connaissances suffisantes, leur avis minoritaire reste personnel et de toute manière, les exégètes ont déjà remis leur copie infalsifiable et immuable depuis bien longtemps déjà.
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  350.  @olnarks  "Je crois en Dieu et je crois en la science." Tant mieux pour toi. En même temps, je l'espère vu que tu es en train d'utiliser un appareil qui en est une application, la preuve que la science n'est pas de la poudre aux yeux. Par contre, en prendre certaines parties pour rejeter le reste parce qu'il n'est pas en adéquation avec nos préceptes religieux, c'est de la malhonnêteté. J'espère que ce n'est pas ton cas. "Un pieds dans chaque monde ouvre bien des perspectives." Alors, quelles sont tes perspectives sur l'histoire mythique d'Adam et Eve, et sur les principes indéniables de la théorie de l'évolution, du registre fossile et de la génétique qui prouvent sans aucune équivoque possible que dieu n'a pas créé l'homme à son image? "Nos ancêtres n'étaient pas noirs." Ça dépend comment tu appréhendes les choses mais dans la logique évolutive, si, ils l'étaient bel et bien. Le berceau de l'humanité se trouve en Afrique, que ce soit pour les humains archaïques et pour notre propre espèce. La génétique est intransigeante à ce niveau-là. Donc, même si les premiers hominidés n'avaient pas une couleur de peau noire, ils se sont adaptés et ont évolué pour supporter les conditions d'ensoleillement à ces latitudes. À l'inverse, lorsque Néandertal s'est retrouvé sous des latitudes septentrionales, la carence en vitamine D induite par une peau sombre a provoqué une réadaptation à son nouveau milieu en diminuant la pigmentation de sa peau. "J'ai des photos de primates et autres mammifères souffrant d'alopecie. Leur peau est rose pâle." 🤣J'ai du mal à écrire tellement je me tiens les côtes. As-tu déjà entendu parler de la mélanine? Évidemment que la pigmentation et la dépigmentation de la peau sont consécutives à une adaptation, une lente évolution qui s'est probablement étalée sur plusieurs centaines de générations d'individu. Toutes les informations concernant les faits que tu avances sont disponibles en accès libre, il suffit juste d'aller les vérifier sur des sites ad hoc.
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  427. Hé, sérieux, bats les steaks d'Adam et Eve, ou des fruits de la connaissance, ou de n'importe quel autre sujet insipide qui vous pousse à chercher dans vos livres poussiéreux des passages pour conforter vos croyances dans une espèce de frénésie argumento-circularo-concordiste. J'aimerais dire la même chose de Mahomet, malheureusement, ce n'est pas le cas vu que ses dire et faits et gestes sont utilisés dans la jurisprudence de l'islam sunnite pour légiférer entre autres, le mariage et la consommation de celui-ci avec une jeune impubère ou l'esclavage. Quand la morale d'un bédouin du 7ème siècle devient une vérité absolue qui ne peut souffrir la critique sous peine de voir sa tête être détachée de son corps. La critique de l'islam, jusqu'ici, fut principalement interreligieuse, uniquement dans le but de savoir qui a le meilleur ami imaginaire. La critique humaniste et démocrate, rationnelle et logique, constructive qui met en évidence les textes misogynes, sectaires, mortifères, iniques, en un mot, rétrogrades qui sont présents dans les livres les plus sacrés de l'islam sunnite, n'a jamais été produite à cette échelle. Chaque jour, des milliers de personnes se pressent sur les lives Tiktok ou sur Discord pour débattre ou écouter ce qui se dit de l'islam sunnite, et ceux qui veulent défendre cette idéologie se retrouvent dans la majorité des cas les quatre fers en l'air en pleine crise de dissonance cognitive car l'indéfendable ne saurait être défendu. Une minorité de musulmans qui ont accepté les textes sans rechigner sur ses atrocités, passent pour des êtres humains au sang froid, insensibles, détachés de la réalité, se soumettant volontiers au diktat de l'horreur qu'ont pu dire un dieu omniscient et son prophète mégalo. Ce sont ces personnes qui reflètent et représentent l'islam sunnite et sur lesquelles nous comptons pour créer le contraste entre la civilisation et l'obscurantisme.
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  440.  @doubledor912N  Calomnier: Un imam dit: "Aïcha, 9 ans." On dirait qu'il ne fait que répéter ce qui est indiqué dans les textes mais qu'en plus, il est payé pour dire ça. Un apostat ou un mécréant le dit, il est catalogué comme islamophobe. Tu comprends la nuance ? Si tu n'en as rien à faire des apostats qui critiquent l'islam, pourquoi laisser un commentaire comme s'il avait valeur d'exutoire. La vérité, c'est que les apostats savent ce qui se trame dans l'islam puisqu'ils ont été des croyants comme les autres, intégrés dans la oumma. Cela leur donne une plus-value qui les rend particulièrement dangereux pour l'islam, que celui-ci soit sunnite ou pas d'ailleurs, ça n'a pas d'importance. Ils sont ceux qui ont quitté la "Vérité", la "perfection", le droit chemin, une religion qui ne peut souffrir la critique car elle est encore vue aujourd'hui comme une vérité absolue par ses adeptes. Les apostats des autres religions abrahamiques ne sont pas dans une recherche spirituelle. Leur statut d'apostats indique seulement qu'ils ont cessé de croire en ce dogme bien précis, point barre. Et dire qu'ils ne s'attaquent pas à leur ancienne croyance, c'est absolument être déconnecté de la réalité pour ce qui est des apostats chrétiens et ce, pour deux raisons. La première, c'est parce que sur le papier, le christianisme, la partie qui se réfère au nouveau testament et aux enseignements de Jésus, même si elle est imparfaite et forgée, est infiniment plus soft que les deux autres religions réunies. D'ailleurs, il y a un gouffre majeur, inexorable, profond, qui sépare les prophètes du christianisme et de l'islam. Ne pas pouvoir le voir, c'est symptomatique en soi. Une lecture de la Sîra s'impose pour en prendre pleinement conscience. La deuxième, c'est qu'il y a beaucoup plus d'apostats chrétiens qui critiquent leur ancienne doctrine que tu le penses. D'où mon questionnement sur le fait que tu ne vois pas ce qui se passe. Pour ce qui est du judaïsme qui est encore plus hermétique que l'islam, la religion a été désacralisée depuis bien longtemps et même si elle reste excessivement sectaire, elle n'impacte guère plus qu'une quinzaine de millions de personnes disséminées à travers le monde. Si les gens critiquent plus l'islam que les autres religions, c'est qu'il y a une raison. C'est évidence, non ? Même un enfant de 5 ans trouverait logique qu'il y ait effectivement un lien de cause à effet intrinsèque entre le contenu des textes et sa critique (Patty, Bernard, Charlie, Bataclan, ainsi que tous ceux qu'on le peut pas nommer tellement ils sont nombreux, notamment en Afghanistan, au Pakistan, en Irak et en Iran). D'où mon deuxième questionnement, cette blague: as-tu lu le coran ? L'as-tu seulement lu, et je ne te parle même pas d'avoir un avis critique dessus puisque de toute façon, comme la majorité des gens qui se revendiquent d'une obédience sont incapables de critiquer leur propre livre sacré, tu en serais tout autant incapable. Et laisse-moi te le dire une bonne fois, ouvre tes chakras: le sacrosaint contexte que beaucoup invoquent pour justifier l'interprétation de certains textes troublants est en totale -- TOTALE -- contradiction avec la parole intemporelle d'un dieu omniscient. Je te demande de prendre deux minutes pour au moins méditer cette dernière phrase.
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  484.  @LaVieDesSavants  "Étant donné que vous partez du principe que Dieu n’existe pas votre avis ne peut qu’être biaisé" De la même manière que tu pars du principe que dieu existe. La charge de preuve incombe à celui qui avance l'existence d'un être surnaturel. As-tu des preuves tangibles de son existence que tu aimerais partager avec nous? Non, S'il y en avait eu, toute l'humanité se serait convertie à une des trois religions abrahamiques depuis belle lurette. Or, ce n'est pas le cas et le nombre d'athées ne fait qu'augmenter, même sur les terres de l'islam, où il peut pourtant être sévèrement puni selon les pays et leur législation et où il est plus que jamais mal accueilli au sein même de la Oumma. Le problème est aussi que le coran, qui est censé être le verbatim, la parole inaltérable et immuable d'allah, d'un dieu omniscient retranscrite mot pour mot, fait mention de l'existence de Moïse et de Jésus alors que ceux-ci n'ont, à plus forte raison, pas existé en tant que tels. Pour Moïse, il n'y aucun doute qu'il n'ait pas existé et pour Jésus, les chances sont très minces en réalité. Les contradictions sont légion dans l'ancien testament et les évangiles, quant à leur historicité supposée, elle peut tout simplement être balayée. Ils ne sont que des allégories sur lesquelles se sont bâties les deux premières religions et à fortiori, auxquelles l'islam a emprunté la cosmogonie pour fonder son mythe et ainsi asseoir de façon naturelle et pratique, sa légitimité. Donc, vu que sa divine parole est vraie en tout temps et en tout lieu, et qu'il ne peut s'être trompé, les croyants ne peuvent remettre en cause son bienfondé et sont condamnés à s'emmurer dans une tautologie absurde, un raisonnement cyclique qui n'a aucune issue, "c'est vrai parce qu'il l'a dit et il l'a dit parce que c'est vrai". Est-ce de ce raisonnement dont tu te vantais dans un autre commentaire? Je n'ai rien vu d'autre qu'un endoctrinement qui ne fait transparaître aucun esprit critique, aucune valeur, aucun intellect dont tu es manifestement dépourvu. Tu es l'exemple-type de la réussite de ces sectes et une métaphore vivante, résumée dans ces deux paroles d'évangile: "Heureux celui qui croit sans avoir vu" et "Heureux les simples d'esprit, car le royaume des cieux leur appartient". Continue donc d'étaler ton ignorance, tu sers la cause de l'athéisme et dessert celle de ton dieu.
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  528.  @VolkaTheGoat  T'es sérieux? Est-ce que je peux être sur une vidéo dans laquelle un théologien biaisé par sa propre croyance a absolument voulu sortir un livre pour réfuter la théorie mythiste réchauffée par Onfray sans que je n'ai à te demander ton avis d'abord? J'ai toujours été athée, je ne considère pas la bible et encore moins le coran comme étant d'origine divine. De la même façon, je ne considère pas Jésus comme étant le fils d'un dieu imaginaire qui faisait des miracles mais sa parole et ses actes, aussi dénués d'originalité pour cette époque, vaudront toujours mieux qu'un Mahomet, braqueur de caravanes, collectionneur de femmes et assassin, ou plutôt, commanditaire. Et le coran est truffé d'erreur, de contradictions et de falsifications en tous genres. C'est juste que tu ne peux pas l'admettre, puisque cela revient à nier ta propre croyance. Jack n'a jamais affirmé être un fin connaisseur de l'islam, il en sait juste assez, le strict minimum, pour mettre les croyants en PLS. Par contre, je n'ai pas eu l'impression qu'il ait affirmé que la femme ne pouvait pas divorcer dans l'islam. Et j'ai revu les 5 heures de débat 2 fois, dont une vidéo qui était analysée par des apostats qui étaient, eux, de fins connaisseurs de l'islam. Mais c'est beau que tu dises que tu n'en a rien à cirer de JM, j'applaudis. Ce type qui était censé représenter l'islam sunnite sur la scène francophone, n'a fait que tourner en rond pendant 5 heures au point où il a failli devenir coraniste. Il s'est même fait charrier par sa propre communauté, c'est dire s'il a été mauvais.
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  553. @ShushuDesvilles Si, clairement, je peux le faire et je le dis haut et fort: on ne laisse pas souffrir les animaux comme mon père a souffert lors de sa dernière semaine de vie. Et j'estime qu'un membre d'un ordre qui a choisi d'aider les autres doit être prêt à mettre de côté ses scrupules religieux pour justement éviter à son patient de souffrir le martyr. Quant au serment d'Hippocrate, il n'est plus d'actualité depuis longtemps et il ne devrait même plus être prêté pour pouvoir exercer. Un reliquat d'une époque révolue qui vient encore s'imposer à nous et à notre monde contemporain comme le font les trois religions abrahamiques, complètement dépassées sur tous les points mais qui pourtant, sont toujours considérées par les croyants comme le système de moralité absolu. Regarde bien à travers l'histoire, ce que ton modèle irréprochable et immaculé a fait: les écrits de Paul qui ont permis à l'Église de normaliser et de légaliser la traite atlantique, idem pour ce qui est de l'homosexualité toujours vue comme immorale par les croyants alors qu'elle est tout à fait naturelle. Des croisades aux abus des prêtres en passant par les guerres de religions, elle est belle ta religion rétrograde. Heureusement que le christianisme n'a plus son mot à dire en politique et que les tenants ne sont plus conviés à donner leur avis comme par exemple sur l'avortement, comme s'ils avaient la primauté de la pensée et de la connaissance sans pour autant savoir de quoi il retourne et en ne basant que sur des dogmes. Si on part du principe que nous vivons dans un système laïque, les prélats ne devraient plus donner leur avis en politique, les insignes religieux ne devraient plus apparaître et les croyances des médecins ne devraient plus interférer avec le bien-être de leur patients. Et surtout, crois en ce que tu veux, pense de moi ce que tu veux mais épargne-moi tes sermons pitoyables. Tu ferais peut-être pleurer les nonnes de ta paroisse mais certainement pas un athée endurci qui ne voit dans les religion qu'un moyen d'avilir et d'asservir les êtres humains.
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  554.  @herbomannn  C'est certain que le cerveau de tout un chacun peut être parasité et que l'athéisme n'est pas un gage d'esprit critique, là n'était pas mon propos. D'ailleurs, je dis plus haut que certains des plus grands esprits que le monde ait jamais connu étaient des croyants convaincus et même des récipiendaires du prix Nobel. Il était de dire que dès que l'on remet en question les croyances religieuses d'un individu, celui-ci est généralement peu enclin à utiliser la raison et la logique pour contrecarrer l'influence de l'endoctrinement et ce, même si son esprit critique est présent et fonctionnel dans tous les autres aspects de sa vie. Il faut tout de même et autant que faire se peut, différencier la croyance de la non-croyance. Elle ne sont pas à mettre sur le même pied d'égalité. C'est tant mieux que tu parles du covid, ça me permettra de rebondir. J'ai pris l'habitude de m'intéresser à l'islam depuis quelques mois et dans les sections commentaire sous certaines vidéos, les théories complotistes vont bon train. Certains y voient même l'influence néfaste de l'abolition de l'esprit critique qui trouveraient dans les esprits de personnes endoctrinées depuis leur plus jeune âge, guidées par la oumma et même empêchées de penser par elles-mêmes, un terreau fertile qui ferait éclore et perdurer ces théories plus facilement. Mais surtout, qu'est-ce que le scientisme délirant? Est-ce que la théorie de l'évolution en fait partie? Quid de la paléontologie, de la géologie, de la théorie des quanta et de son application directe, l'électronique? On aime à remettre en question le bienfondé de la science uniquement quand ça nous arrange et dans le cas des croyants, ils doutent de la théorie de l'évolution mais acquiescent opinément lorsqu'il s'agit d'utiliser leur ordinateur pour envoyer un message via internet.
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  558. Sommes-nous devenus des hypocrites? Nous tous, là, nos Luc visé sur nos chaises, qui regardons ce genre de vidéos et qui connaissons les tenants et les aboutissants d'une situation qui risque de déraper à tous instants, nous préférons nous justifier en nous disant que soit ; on ne peut rien y faire, soit ; nos décideurs politiques ont la mainmise sur nos sociétés, soit ; nous sommes débordés par la tâche à accomplir, soit; nous ne voulons pas voir notre pouvoir d'achat diminuer, soit ; notre action individuelle sera insignifiante, soit ; nous préférons nous concentrer sur des problèmes tangibles, nous, nous sommes devenus bien plus que des hypocrites en réalité. Nous sommes des lâches, de méprisables égoïstes en train d'attendre un déclic providentiel qui nous réveillera de notre torpeur, mais utopique car nous savons pertinemment que lorsque les premiers contrecoups se feront ressentir, il sera inévitablement déjà trop tard. Nous, les putains d'hypocrites que les générations futures maudiront de toutes leurs forces, nous attendons sagement la fin du monde, frivoles ou résignés, à la limite de la sérénité, telles des vaches sacrés qui, n'ayant aucune conscience du danger environnant, se seront aventurées sur des rails et n'auront pas la moindre d'idée de se demander pourquoi le sol commence soudain à trembler tout autour d'elles. Alors, que nous reste-t-il à faire pour endiguer le raz-de-marée inarrêtable qui va dévaster notre monde vers la fin du siècle? Pour toi qui me lis d'ici une vingtaine d'année ou plus, qui aura assisté à la fin des énergies dites "gratuites", qui aura échappé à l'instabilité politique mondiale croissante induite par la raréfaction des ressources ou l'afflux migratoire, et à bien plus encore, lorsque je serai mort et délivré du poids qui repose actuellement sur mes épaules dont je me défausse allègrement par pure lâcheté individualiste, je t'autorise à venir cracher sur ma tombe, puisque c'est tout ce que mériteront la plupart ; l'extrême majorité des gens qui auront vécu à cette époque.
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  582.  @zedryelmeldrygor1070  Déjà et avant toutes choses, je dis qu'il faut réfuter ceux qui argumentent que "l'absence de preuves n'est pas la preuve de l'absence." lors d'un débat ontologique. Toi, tu inverses mes propos en disant que "selon toi l’absence de preuves est la preuve de l’absence" C'était bel et bien un homme de paille dans lequel tu as inversé mes propos. Mais soit, passons ceci. Pour expliquer brièvement mon argumentaire, je vais prendre l'exemple du père Noël. Je supporte que le père Noël existe et toi, tu ne le crois pas. Après avoir vu mes arguments logiquement fondre un à un, si je devais invoquer le fait que l'absence de preuve n'est pas la preuve de l'absence dans une ultime tentative désespérée de défense de ma croyance qui reviendrait plus simplement à jouer à chat perché, une défense qui voudrait laisser planer un doute plutôt que de se résoudre à l'inéluctable réalité des choses, tu trouverais ce dernier argument comme étant tout à fait irrationnel et irrecevable. En tout cas, c'est comme cela que je le verrais. Donc, dans un débat sur l'existence d'un être intangible issu de l'imagination humaine, que cet argument soit utilisé en avant propos ou en dernier recours, il devrait être balayé d'un revers de la main. Je vais le formuler autrement: Moi: As-tu des preuves de l'existence de dieu? Toi: Oui, elle sont innombrables. J'ai l'argument ontologique, la contingence, Kalam, le fine-tuning et la watchmaker analogy, parmi d'autres. Après quelques heures de débats houleux, je parviens, non sans peine à réfuter la totalité de tes arguments. Moi: As-tu d'autres preuves à me soumettre? Toi: Non, mais sache que l'absence de preuve n'est pas la preuve de l'absence! Moi: * rire gras * Évidemment que dans un tout autre débat, l'absence de preuve n'est pas la preuve de l'absence, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit, mais que dans ce cadre spécifique, c'est bel et bien un sophisme, un simple appel à l'ignorance -- vu que tu ne sais pas, moi, je sais à ta place. Pour couper court à tous les débats dans lesquels des théistes en herbe parviendraient à prouver l'existence de dieu en se prenant pour des déistes, cela ne prouve en aucune manière l'existence de leur dieu théiste ou plutôt, de leurs dieux théistes puisqu'ils sont si différents les uns des autres.
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  636.  @noahbeer325  Et si on se dit que tous ces actes appartiennent à une période révolue et qu'ils n'auraient plus cours à la nôtre -- malgré le fait que les paroles d'allah soient valables en tout temps et en tous lieux, donc de manière intemporelle et universelle -- , il faut au préalable nous renseigner sur le régime de la charia imposé comme base législative dans certains pays à majorité musulmane ou de comparer les actions du prophète avec celles commises par ceux 'au drapeau noir en Syrie et au Levant', des hommes et des femmes reconnus comme musulmans par les grandes écoles islamiques, ayant simplement voulu appliquer la parole d'allah au pied de la lettre et suivre le modèle du prophète qui est vu comme un exemple à suivre d'une moralité éminente, encensé comme tel par allah lui-même dans le coran. Telle est la réalité de l'islam sunnite, cette idéologie qui est encore vue aujourd'hui comme une religion de paix et de tolérance, basant ses préceptes sur un livre saint prétendument révélé par allah lui-même par l'intermédiaire de l'ange Gabriel, un dieu fabriqué de toutes pièces qui n'est autre que la marionnette de Mahomet, un dieu perçu comme omniscient et infaillible dont le verbatim est inaltérable et indivisible alors qu'il n'est rien d'autre que l'instrumentalisation de la politique de domination de l'Arabie d'un chef de guerre bédouin du 7ème siècle qui a voulu légitimer la religion qui venait de créer en la plaçant dans la lignée des deux religions abrahamiques précédentes, allant même jusqu'à reprendre des passages de la bible et du talmud écrits par des hommes ; les faisant passer pour la parole de son dieu, une religion qui sera opportunément reprise par les successeurs de Mahomet dans le but de contrôler la masse des croyants dociles et endoctrinés, et de s'en servir dans le cadre des expansions territoriales du califat naissant. Ce livre ne reprend aucune idée novatrice, aucun concept qui s'éloignerait un tant soit peu de ceux en vigueur à cette époque mais bien les concepts, idéaux, aspirations et connaissances d'êtres humains du 7ème siècle dans cette région désertique d'Arabie.
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  667. ​ @mounir9899  Ah ben oui, effectivement. Si un apostat cache le reniement de son ancienne foi, alors il ne sera pas inquiété. Il peut faire semblant toute sa vie, aller prier à la mosquée, faire le ramadan et ne jamais divulguer son absence de foi, rien ne le distinguera d'un autre musulman. Il est écrit dans le fiqh que si quelqu'un est au courant qu'un apostat a abandonné l'islam et qu'il ne le dénonce pas, cela indiquerait un soutien ou une protection, une atteinte à la hisba et qu'il soit jugé en conséquence. Cela ne fait que démontrer que ton affirmation "C'est autorisé de quitter l'islam" était plus que bancale, ou alors tu n'as pas utilisé le verbe ou le terme adéquat. Un problème de définition en somme. Ensuite, si quelqu'un tient des propos tels que tu les décris, non seulement il ne sera PAS emprisonné mais il écoperait d'une amende dans la majorité des cas, à condition qu'une plainte pénale ait été déposée, qu'un dossier judiciaire ait été constitué, et qu'un tribunal compétent ait statué sur ce chef d'inculpation. Cela relève de l'incitation à la 'Hène' , une infraction qui est, à juste titre, condamnable dans de nombreux systèmes juridiques. Si selon toi, le fait de contrevenir aux lois est assimilé à de la persécution, il faut revoir la définition du verbe 'persécuter'. Mais j'aurai beau rechercher toute ma vie, je ne vois pas en quoi les termes que tu emploies viennent définir "l'idéologie sur laquelle la société est fondée". Tu es à côté de la plaque, et pourtant, elle était énorme et difficile à manquer.
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  669.  @mounir9899  T'es sérieux ? Tu es passé à côté de la totalité de mon message. Évidemment que si un apostat cache le reniement de son ancienne foi, alors il ne sera pas inquiété. Voilà, period/point. Ça s'arrête là. Le reste n'était là que pour accentuer l'absurdité d'une telle situation. Et ça, devoir se cacher, ce n'est pas une vie. Vivre à moitié, en cachant son apostasie, en faisant attention à ce que l'on fait ; ce que l'on dit, en évitant les impairs, en restant sur le qui-vive et en calquant sa vie sur celle des autres, c'est dégradant et traumatisant pour la personne qui le subit. D'où, tes affirmations : "C'est autorisé de quitter l'islam" et "la peine peut seulement s'appliquer aux apostats publiques" ne sont pas véridiques, elles sont dénuées d'empathie à l'égard des apostats et manquent sévèrement de réalisme et de pragmatisme. Je ne dis pas qui faut dénoncer, je dis que c'est écrit dans la jurisprudence, que c'est considéré comme un manquement à la hisba et que celui qui savait sans l'avoir dit peut être jugé en conséquence. Lorsque je stipule 'dans la majorité des cas' , il faut comprendre qu'il y a des cas qui aboutiront à une peine de prison. Ensuite, ton fameux 'Benzemonstre' n'a pas été condamné uniquement que pour cela. Et ses propos, même s'il se défend d'avoir simplement voulu faire rire l'assemblée, étaient tout de même borderline psychopathiques, des incitations à peine voilées, carrément dangereuses. Et le reste, c'est une dinguerie. J'en reviens pas que je vais devoir approfondir mes propos sur le point qui suit. Attention, tu voulais du pavé, tu vas être servi. Les lois sont des règles établies pour organiser la vie en communauté. Elles existent pour garantir la sécurité, l’égalité et le respect des droits de chacun. Si une personne ne respecte pas ces règles, il est normal qu’elle subisse des sanctions, comme une amende, une interdiction ou une autre conséquence prévue par la loi. Ces sanctions ne sont pas personnelles : elles s’appliquent à toute personne dans la même situation. Certains peuvent percevoir les sanctions liées à la désobéissance comme une forme de persécution. Cependant, cela revient à mal comprendre ce qu’est la persécution. La punition pour avoir enfreint une loi est un mécanisme neutre (du moins en théorie), basé sur le comportement de la personne, et non sur qui elle est ou ce qu’elle croit. Il est important de ne pas confondre les conséquences normales de la désobéissance aux lois, qui sont prévues pour tout le monde, avec des actes de persécution, qui ciblent injustement une personne ou un groupe. Et c'est précisément le cas des apostats. Le maître-mot ici est l'injustice dont ils sont la cible. Et je ne vois toujours pas en quoi les termes que tu emploies dans ton deuxième commentaire viennent illustrer "l'idéologie sur laquelle la société est fondée". Si ton but, c'est de répondre systématiquement à côté ou de me faire des hommes de paille, passe ton tour.
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  691. "comme tant d'autres d'ailleurs" C'est faux, les mythistes sont extrêmement minoritaires, pour autant que je sache. Le fait d'être mythiste n'implique pas d'être matérialiste, en aucune manière. De la même façon qu'un athée n'est pas obligatoirement matérialiste ou humaniste, ou démocrate, ou autre. "Car pour le matérialisme (1er degré, le plus bas, forme primitive de la CONSCIENCE" La conscience émane de la matière, jusqu'à preuve du contraire. On attend toujours des preuves de l'existence de l'âme. Des preuves fondées, empiriques, reproductibles, pas le témoignage de ma tante Yvonne qui a vu le Christ dans sa salle de bain, ou celui de MégalineJS qui veut croire parce qu'elle a lu la bible. La matière est la seule chose qui mérite d'être vénérée ? Eh bien, j'en ai déjà vu des hommes de paille mais celui-là, c'est du lourd. Il est en acier trempé. Ou bien un déshonneur par association avec la matière. Ils ne pourront pas s'en remettre de sitôt, ça leur apprendra à être si confiants. S'il y a des preuves de l'historicité de Jésus, elles se retrouvent dans les évangiles, aussi paradoxal que cela puisse paraître. Cf. Les critères d'embarras d'Ehrman. "Histoire n’est que matérielle, factuelle, temporelle" L'histoire est avant tout relative, surtout lorsqu'on remonte dans le temps. Elle n'est pas une science à proprement parler, ou, à minima, c'est une science molle.elle inclut aussi des aspects interprétatifs, narratifs, parfois idéologiques, reconstructionnels, culturels, symboliques ou évolutifs. Dire que, pour ceux qui ne vont pas dans ton sens, l'histoire est matérielle, c'est complètement absurde, digne des bruits de couloirs qu'on peut entendre dans des asiles de fou. Sérieusement, j'aimerais te voir discuter 10 minutes avec Onfray, juste pour voir comme cela se passerait. 😂 Au bout de 3 minutes, tu lui mangerais dans la main. Dire qu'il est insignifiant car il a osé aller à l'encontre de ta chère petite croyance, c'est assez symptomatique et révélateur d'un certain état d'esprit. Le pardon des offenses et tout ça, ça te dit quelque chose ou tu fais dans le cherrypicking ? Jean XIII:26-27. Ah ouais carrément, c'est quoi cette alliance au juste ? Jésus utiliserait-il son "ennemi" pour réaliser sa prophétie au dépend de Judas ? Je me demande ce que tu pensais de l'Abbé Pierre avant que son affaire n'éclate au grand jour. Cela doit être fort instructif tout cela. Pour résumer: Confusion autour de la notion de mythe, caricature du matérialisme, un vocabulaire parfois abscons, évitement de la question historique, attaque ad hominem contre Onfray, mauvaise compréhension de l’histoire. Le compte est bon !
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  692. "Charmant plaidoyer accusatoire" Et le tien, on en fait quoi ? C''est une blague ? La paille et la poutre, ça devrait te dire quelque chose pourtant. Sûr, tu n'as fais qu'émettre des raisonnements sur diverses questions, sur un ton péremptoire et accusatoire. On marche sur la tête. Et tu te rends compte, bien sûr, que je n'ai fais que déconstruire tes raisonnements, et que je t'ai a à peine attaqué. Je t'ai titillé tout au plus, contrairement à ton pamphlet qui s'en prend aux matérialistes, aux mythistes, à Onfray, aux athées et à ceux qui mettent en doute ta croyance si on généralise ton propos. "objectif systématique de condamner les personnes" C'est pourtant ce que je ressens lorsque je te lis. Le pire, ce sont tes hommes de paille. Tout est bien carré et nette dans ta tête mais en réalité, est-ce qu'un propos de mon "plaidoyer" t'a fait changer d'avis sur un point en particulier ? J'imagine que non. Et non, Lavagna ne répond pas à la thèse mythiste, puisqu'en tant que théologien englué dans sa croyance, il est incapable de critiquer de manière objective le bouquin sacré auquel il est soumis. C'est le b.a.-ba, rares sont ceux qui y parviennent et ceux-là ont toute mon estime. Il ne comprend même pas que les écrits de Tacite, par exemple, dans lesquels il cite le nom de "Christos", datés d'environ 120, ne cautionnent en aucune manière l'existence de Jésus, mais bien l'existence du culte déjà présent dans l'Empire à cette époque. Je n'ai même jamais entendu Lavagna parler des critères d'embarras qui valident l'existence du Christ -- ou des Christs, mais ça, c'est une autre histoire. Tu n'as pas simplement cité Onfray, c'était une banderille gratuite en bonne et due forme, uniquement parce qu'il n'adhère pas à ton paradigme. Je ne peux pas me sentir ciblé par une attaque ad-hominem puisque je n'ai pas été cité dans ton commentaire initial. Sais-tu seulement ce que ce sophisme signifie ? Ouais, je vois. Je suis illogique mais toi, tes raisonnements sont on ne peut plus étayés, ils reposent sur de bonnes bases robustes qui fleurent bon la rationalité. On résume ce genre de réponse/argument: retour de flamme sur l’accusation d’attaque personnelle, dénonciation de tes hommes de paille, remise en cause de ton objectivité et de celle de lavagna, exposition de tes contradictions et de ta rhétorique bancale, déconstruction ironique de ta posture de supériorité intellectuelle. On a fait le tour. Bonne chance pour une remise en question madame, parce que ça risque de prendre du temps et de l'énergie.
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  693. Mais je n'ai pas été personnellement attaqué (dans le premier commentaire) et je ne l'ai même pas pensé une seule seconde. Pour ce qui était du deuxième, là, il n'y a pas de sentiments qui tiennent: « Alors plutôt que de "glousser" dans tous les sens et sans aucune logique » (sic) Même si je suis anti-théiste et que je navigue quelque part entre matérialisme et 'ce qui se situe juste à côté que je ne parviens pas à définir', ce sont tes hommes de paille, tes réductions minimalistes de concepts et tes idées arrêtées qui m'ont fait réagir, principalement. Le ton employé y était aussi pour quelque chose, c'est certain. Pour le reste, tu as le droit d'exprimer ton opinion en place publique, tout comme j'ai le droit de ne pas y souscrire et de te le signaler. Je vais te passer ton "l’infinité de l'essence de l’Esprit du christianisme" , il y aurait beaucoup à en dire mais ce sera pour une prochaine fois. Mais là où je ne suis pas du tout d'accord, ce sont sur les "paradigmes de maternelles" car, nous y sommes ; en plein dedans. Il y a presque 2 000 ans, des hommes ont rapporté qu'un être hors-norme était le fils de Dieu et qu'il accomplissait des miracles. Et nous devons leur faire confiance, croire en leurs paroles, avoir foi en eux – je me répète : en eux, pas en lui. Cette foi, qui est en réalité un espoir, le comblement d'une quête spirituelle qui dépasse la vie, se transmet de génération en génération, de mère en fille, et de fille en enfant, en s'appuyant sur l'instillation de cette croyance et c'est uniquement grâce à ce schéma que cet espoir a perduré jusqu'à nos jours. Alors qu'on aurait pu penser qu'après 2 000 ans, certains auraient réussi convaincre leur semblable que tout ceci n'était qu'une farce à leur dépend et qu'on aurait évolué vers l'université de la vie, on se retrouve encore dans la cour des maternelles à croire en ces bêtises comme d'autres ont cru en Zeus, Odin et Juju sur la montagne. Et si l'Église a été obligée de lâcher son emprise sur la civilisation, à la suite d'un bras de fer avec l'humanisme dont elle est dépourvue -- il ne faut pas se le cacher -- , dans l'islam, l'autorité religieuse est encore extrêmement puissante et influente. D'ailleurs, le christianisme aussi pourrait récupérer son autorité religieuse au fil du temps et c'est un véritable bienfait de critiquer le christianisme pour qu'il reste à sa place, dans les cerveaux inexorablement -- soupir -- mais surtout hors de la société civile.
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  723.  @LaVieDesSavants  "J’ai appris ma religion" Dans une cave, à même le sol? "J’ai appris ma religion contrairement à toi qui ne fait que répéter les bêtises que tu vois sur internet, si tu avais pousser un peu plus tes recherches tu ne dirais pas ce genre d’énormités, en plus de nous dévoiler ton ignorance de l’islam, tu nous dévoile par la même occasion ton ignorance de la langue arabe…" J'ai l'impression que tu as été copié/collé un passage sur un site coranique et je le sais parce qu'il n'y a pas de fautes d'orthographe dans celui-ci. Effectivement, je n'ai aucune connaissance en la langue arabe (ce qui est dommage, c'est une langue est magnifique) mais cela ne m'empêche pas d'exposer les mensonges de ta religion.🤗 Alors, non seulement Warsh et de Hafs sont deux variantes du coran, mais il en existe encore plus. Les compagnons du prophète détenaient leur propre codex coranique qui était tous différents dans la forme et dans le contenu. Selon Mohammad Ali Amir-Moezi, islamologue de son état, il existe même deux courtes sourates dans la recension de "Ubayy" qui n'apparaissent pas dans la version officielle. Toujours selon lui, il y avait 4 recensions différentes et plus de la version officielle. Il y a aussi un hadith sahîh qui stipule qu'un verset leur a été révélé alors que celui-ci n'apparaît dans aucun coran. J'ai pas la source mais vu que tu as appris ta religion, ça ne devrait pas te poser de problème pour la retrouver tout seul. Pour que ce soit clair, puis ce que le coran est le verbatim, la parole d'un dieu omniscient et infaillible, retranscrite mot à mot et que celle-ci est immuable, inaltérable et indivisible par essence, comment expliquer qu'il en existe plusieurs versions, que le sens de certains versets soit carrément altéré et certains versets manquants?
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  737.  @nickbrow267 " ... and brought before them the brother of Jesus, who was called Christ, whose name was James, and some others ... " Citer Flavius Josèphe pour, je l'espère, ce passage -- car l'autre fut ajouté à postériori probablement au Moyen Âge -- équivaut à simplement se tirer une balle dans le pied car s'il a bel et bien mentionné Christos et son frère -- encore faudrait-il qu'il soit celui dont on parle actuellement, là encore, il y a débat -- , il a malheureusement oublié d'énumérer ses nombreux miracles et les évènements surnaturels qui sont survenus pendant son magistère et après la Passion. (Matthieu XXVII:52) Étonnant qu'il n'y fasse pas mention puisqu'après tout, même s'il écrit ce passage environ 30 ans après les faits, ces évènements devraient être gravés dans la mémoire de chacun des contemporains qui ont pu y assister et forcément, être transmis par la tradition orale. Pour tous les autres auteurs, ils n'ont fait que mentionner le nom sur lequel repose la croyance de cette jeune religion. Mais pour autant que je sache, reprendre ce que disent les adeptes qui font un acte de foi performatif, ne peut être considéré comme la preuve de son existence à part entière. - Tacite, 58-120, écrit vers 116 : "Ce nom leur vient de Christ, qui, sous Tibère, fut livré au supplice par le procurateur Ponce Pilate." Rumeurs, des on-dits, qui émanent de la croyance. Elles ne prouvent en rien l'historicité du Christ mais bien l'existence du culte. Il est à noter que ces écrits et tous les écrits qui vont suivre dans cette liste l'ont été au bas mot, un siècle après la Passion et ils ne sauraient constituer un témoignage direct. - Pline le Jeune, 61-113, écrit vers 111 : "... ils chantaient tour à tour des hymnes à la louange du Christ ..." Encore une fois, un motif qui va commencer à devenir récurrent, il n'y a pas de preuve si ce n'est de l'existence du culte. En plus de cela, le récit de Pline est mis en doute par certains qui y décèlent un problème de narratif dans sa temporalité. - Suétone, 70-140, écrit vers 120 : Il mentionne un certain Chrestos à Rome en 42. À Rome en 42 ?? On va dire qu'il a marché à Rome en ce temps-là mais que la liturgie a oublié de se remémorer de manière incompréhensible ce moment totalement inoubliable, ou plutôt qui aurait dû l'être. "Le livre peut être décrit comme audacieux, excessivement sensationnaliste, rempli de ragots, de drame et parfois d'humour. Le livre s'appuie fortement sur des rumeurs et des ouï-dire, et parfois l'auteur exprime subjectivement son opinion et ses connaissances." Ce n'est pas ce que l'on pourrait appeler une preuve de l'existence d'un homme qui a vécu environ 100 ans avant ces écrits, dans une autre partie de l'Empire. - Mara Bar Serapion, a peut être vécu vers 50, écrit estimé entre 75 et bien après le 4ème siècle. "pour Kathleen McVey, ce texte a probablement été écrit au IVe siècle par un chrétien « prenant la posture d'un païen cultivé admirateur de Jésus et de ses disciples ». Certains ont même pensé à un simple exercice rhétorique datant de l'Antiquité tardive (cf. le dernier paragraphe à la troisième personne)." Peut-on réellement prendre ce récit pour une preuve de quoi que ce soit? Il n'est pas étonnant qu'il ne soit pas repris comme étant une source fiable. - Lucien de Samostate, 120-180, écrit après 150 : « celui que l'on avait adoré en Palestine et qui subit là-bas le supplice de la croix, coupable, aux yeux de ses semblables, d'avoir inventé de nouveaux mystères pour l'humanité. » Il ne le nomme pas expressément bien que il fasse aucun doute que ce récit parle du Christ. Cependant, comme pour les autres, un auteur qui parle du personnage central d'un culte n'est pas une preuve de son historicité si ce n'est, encore une fois, de l'existence du culte. - Phlégon de Tralles, début du 2ème siècle-fin du 2ème, est mentionné par Origène: "Maintenant Phlégon, dans le treizième ou quatorzième livre de ses Chroniques, non seulement attribuait à Jésus une connaissance des événements futurs (bien qu'il se soit parfois trompé au sujet de certaines choses qui se réfèrent à Pierre, comme s'il les avait attribuées à Jésus), mais témoignait également que le résultat correspondait à ses prédictions." Cependant, le passage qui est repris par Origène sera repris par Eusèbe de Césarée qui ne fit aucune mention à Jésus. - Celse, écrit vers 178, même combat que ces prédécesseurs que tu as cités, à ceci près qu'il était un satiriste et qu'il a abondement critiqué les chrétiens et leur culte. "D’après Celse, témoin contemporain, les textes sont modifiés pour réfuter une « hérésie » (une autre façon de voir), pour préciser un point de la doctrine ou simplement pour ajouter une nouvelle invention théologique." Origène ne l'a même pas contredit. Silence radio de la part des historiens et théologiens qui ne prêtent aucune attention à ses affirmations, « NO COMMENT ». Circulez, il n'y a rien à voir qu'on vous dit. Quant au Talmud de Babylone, c'est juste une blague, n'est-ce pas? Autrement dit, s'il y a des preuves de l'existence du Christ, elles se trouvent dans les évangiles et dans les épitres, comme le dit Bart D. Ehrman. J'ajoute, inutile de se référer à des textes non-chrétiens comme s'ils étaient une preuve de quoi que ce soit d'autre que de l'existence même du culte chrétien naissant.
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  794.  @alexandrerobert4100  Transformer l'ensemble du parc énergétique en panneaux solaires est irréalisable en raison de l'intermittence de l'énergie solaire qui nécessiterait un stockage massif, du coût et des ressources indispensables pour produire et installer les panneaux à grande échelle, du besoin en vastes espaces pour les déployer et leur entretien dans les zones désertiques qui semblent plus appropriées pour ce gigantesque étalage de panneaux, de l'impact environnemental lié à leur fabrication et au recyclage, des risques pour la sécurité énergétique d'un système peu diversifié, et des limites technologiques actuelles pour stocker l'énergie de manière fiable et abordable, notamment par la diminution déjà annoncée du lithium à notre disposition -- et de tous les métaux en général. Pour revenir à l'impact environnemental, la construction de ces panneaux entraînerait une augmentation massive de la hausse des émissions de CO2, pour une durée de vie d'environ 30 ans. Cf. Jean-Marc Jancovici. Il reste la possibilité de créer une sphère de Dyson pour palier à ce problème mais dans les faits, il faudrait la construire en un temps record dans un colossal effort de l'humanité toute entière, sans détériorer d'avantage notre environnement, ce qui semble là aussi irréalisable. Mais quoi qu'il en soit, lorsque je parlais de l'abondance énergétique de notre civilisation thermo-industrielle, je pensais avant tout au pétrole qui devrait, normalement, se raréfier et devenir de plus en plus onéreux à l'extraction d'ici une quinzaine d'années, rendant son exploitation impossible. (1 baril utilisé pour 5 barils produits) Sans pétrole, le matériel agricole reste dans les hangars ainsi que les camions, les portes-conteneurs et les chalutiers restent à quai. Les voitures électriques, pour autant que l'humanité ait réussi le prodige de transformer tout le parc énergétique en énergie renouvelable -- ce qui me semble irréalisable comme je le suppose mais on va faire comme si -- ne suffiront pas à alimenter toute la population du globe en terme de transport de matières premières. Pour ce qui est d'une collision avec un astéroïde du type 'planet killer', selon l'échelle de Turin, les chances restent très maigres d'un impact avec la Terre. Si on s'en tient à l'impact de Chicxulub, l'astéroïde n'a pas annihilé la vie, ni même les dinosaures puisque leur descendants terrorisent encore les basses-cours du monde entier et assombrissent l'éclat du soleil lorsqu'une vague d'étourneaux nous passe au-dessus de la tête. Et plus on avancera dans le temps, moins on rencontrera ce genre d'astéroïdes susceptibles de mettre fin à la vie sur terre. Il ne suffit pas de me dire que ma vision est biaisée, il faut le démontrer. Il ne suffit pas de dire que l'humanité a toujours rebondi et qu'elle continuera de rebondir ad vitam æternam en se servant de ses prétendues capacités d'adaptation -- et cela aussi reste à être démontré -- pour que cela soit réellement le cas. Reposer entièrement sur la découverte opportune d'un miracle scientifique alors qu'un nombre excessivement limité de chercheurs travaillent sur cette problématique est, à mon sens, une gageure disproportionnée compte tenu de la fin de vie attendue d'un nombre considérable de nos semblables. Le truc, c'est que l'Homme, de mémoire d'homme, n'a jamais été confronté à un effondrement massif et mondial, et que se faisant, cela reste très difficile pour lui de l'envisager. Pour lui, tant qu'il n'est pas directement confronté à un problème, il ne s'en soucie guère. En l'occurrence, lorsque le problème surgira, il sera déjà trop tard depuis plus de 30 ans. Nous avons donc, pour reprendre une analogie qui a été utilisée par Pablo Servigne il me semble, l'humanité est dans une voiture qui dévale le pan d'une montagne à toute vitesse, sans pédale de frein, tous feux allumés mais dans un brouillard dense et oppressant. Tout ce que l'on sait, c'est que l'on va bien finir par heurter quelque chose de plein fouet ou que l'on ira s'écraser au fond d'un ravin. Il ne nous reste qu'une seule alternative: le frein à main mais on doit tous s'y mettre pour le faire fonctionner. Nous les Occidentaux, nous avons connu et nous connaissons encore aujourd'hui l'abondance, nous pourrions le tirer. Les populations qui ne l'ont pas encore connue, les pays émergents, auront du mal à se résoudre à abandonner le rêve qu'ils caressent depuis près de 50 ans et à condamner leur enfant à cet avenir incertain qui pourraient les guetter. Alors ils continueront et ils nous emporteront dans cette course effrénée vers le +4° Celsius à l'horizon 2100 jusqu'à ce que le pétrole et les autres énergies fossiles se tarissent d'elles-mêmes. L'autorité des états s'effritera pour laisser place à une autonomie locale indépendante où la loi du plus fort refera une entrée triomphale. Les conditions météorologiques à la ceinture équatoriale deviendront invivables pour les populations locales, ce qui entraînera un exode massif tel que les problèmes d'immigration actuels nous sembleront dérisoires à côté. Le stress hydrique induit par le changement climatique provoquera des famines sans précédent. Il ne fera pas bon vivre pour l'Homme à cette époque. En réalité, tout était déjà acté avec le graphique 'World 3'. Le système va simplement et inexorablement se remettre à l'équilibre pourvu, encore une fois, que l'Homme ne laisse pas son empreinte nucléaire sur la surface du globe.
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  844.  @janussiho1366  Déjà et avant tout, l'islamisme n'existe pas. L'islamisme et l'islam ne sont qu'une seule et même idée, il n'y a pas de différenciation à faire entre les deux termes. Il n'existe d'ailleurs aucune traduction du terme "islamisme" en arabe, puisque cela n'a de sens que chez nous. Le musulman moderne est englué dans un dogme inepte duquel il ne peut se sortir. Il se doit de respecter la parole de dieu, le coran étant le verbatim de ce dieu censé être omniscient et infaillible, sous peine d'être puni dans l'après-vie. Si on prend les musulmans vivants en Occident, ils ont la possibilité d'insuffler un semblant d'humanisme sur leurs textes sacrés qu'ils ne connaissent pas -- ils sont effectivement très peu à les connaître. Mais dès qu'ils sont confrontés aux nombreuses aberrations issues des taffasirs, des haddiths et autres biographies, ils sont soudain complètement démunis et voire même carrément sous le choc -- cf. la dissonance cognitive -- , lorsqu'ils entendent par exemple que l'islam permet à un homme de 50 ans d'épouser une petite fille prépubère et de consommer le mariage avec elle à cet âge-là (Sourate 65:4) ou encore que l'islam permet à un être humain de posséder un autre être humain comme son bien, de le léguer à ses enfants à sa mort et même de pouvoir en disposer de manière "récréative" (Sourate 4:24). Même leur prophète Mahomet, encore censé être de nos jours un exemple à suivre pour tout musulman qui se respecte, a lui-même épousé une fillette de 6 ans et consommé le mariage lorsqu'elle avait 9 ans (Sahih al-Bukhari 5134) et je passe sur toutes les autres dingueries qu'il a pu commettre au cours de sa vie. Même si l'islam à la sauce occidentale est apparemment préservé de telles horreurs, la charia islamique légifère à l'heure actuelle la quasi totalité des pays musulmans à travers le monde et donc, permet les horreurs que j'ai citées précédemment. Par exemple, il y a à peine quatre mois de cela, au Yémen, une fillette est décédée d'une hémorragie interne suite à des rapports avec son mari de 50 ans passés. Dans nos contrées, il est impensable qu'une musulmane se fasse battre par son mari ou bien que celui-ci n'épouse 3 autres femmes, ou encore que sa voix ne vaille que la moitié de celle d'un homme devant la justice. Pourtant, dans les pays sous régime chariatique, un homme qui battrait sa femme n'encourrait aucune peine et c'est d'ailleurs pour cette raison que les violences conjugales dans les pays musulmans sont parmi les taux les plus élevés au monde. L'homme peut épouser 4 femmes sont qu'elles aient leur mot à dire. Et la voix d'une femme y vaut moitié moins que celle d'un homme devant la justice. Et ce ne sont que deux exemples parmi tant d'autres, ils y en a des dizaines qui feraient sursauter les humanistes que nous sommes et qui devraient même faire sursauter les communautaristes s'ils avaient le cran de faire face au problème que constitue l'islam. Le chrétiens et les juifs ont, eux, eu l'occasion de voir leur culte moqué et remis en question, principalement au cours du 19ème siècle pour ce qui est du christianisme en Europe occidentale, ce qui a débouché sur des lois protégeant le blasphème comme faisant partie de la liberté d'expression et favorisant de fait la laïcité au début du 20ème. Ce processus leur a permis de se dissocier de leur religion et ils ne peuvent plus faire appel à l'autorité religieuse pour appuyer leur point de vue politique dans la société. Les musulmans, eux, n'ont pas encore eu cette chance et ils n'ont de cesse de faire appel à cette autorité lorsqu'un laïc essaye de leur présenter un projet de vie qui placerait l'islam sur la touche. Pour les musulmans, les lois de dieu sont parfaites et s'ils le pouvaient -- au moins pour une partie d'entre eux -- , elles remplaceraient nos lois occidentales humaines considérées comme imparfaites. Par contre, en quoi suis-je raciste par le simple fait de dénoncer les aberrations contenues dans un livre saint. Si je faisais la même chose avec la bible -- et je le pourrais, je l'ai déjà fait plus d'une fois -- , tu me qualifierais aussi de raciste? Et que dire du fait que je supporte les apostats qui ont rejeté le joug de leur religion mais qui continuent d'en payer le prix, socialement mais encore plus car ils ont en permanence une épée de Damoclès bien réelle qui est pointée sur leur cou. Suis-je toujours raciste ou était-ce une tentative désespérée de m'attribuer des valeurs que je ne supporte pas et par la même occasion, de me dénigrer?
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  858.  @zedryelmeldrygor1070  C'est-à-dire? Le message n'était pas assez explicite en soi pour que tu aies peur de répondre. Parce que si tu veux, moi, je veux bien assumer ma fuite si tu assumes de ton côté ta peur viscérale de te confronter à la réalité et au tangible. Pas de soucis. Je vais même coller mon réponse par soucis de transparence et ce, même si tu ne mérites manifestement pas. Avec tes messages envoyés pour qu'ils apparaissent dans mes notifications puis effacés pour qu'ils n'apparaissent pas dans le feed, j'ai l'impression de parler avec un gamin, des pratiques dignes de la cour d'école. « Le sophisme de l'épouvantail, par traduction de l'équivalent anglais « straw man », qui consiste à présenter la position de son adversaire de manière volontairement erronée. C'est exactement ce que tu faisais. Pile poil, tu en as fait un exemple parfait, un cas d'école. À parti du moment où tu commets un homme de paille et que c'est effectivement le cas, prouvé et estampillé par les plus grands sophistes du monde antique, je ne comprends pas comment tu oses la ramener comme tu le fais. En plus, j'ai même spécifié que tu me faisais dire ce que je n'avais pas dit et tu prends ça comme une confirmation de ma part. Honnêtement, je me demande d'où te vient cette suffisance, tu n'as manifestement pas inventé le fil à couper le beurre, mon grand. Redescends de quelques étages, tu risques de tomber en syncope à cause de l'hypoxie induite par la raréfaction de l'oxygène en altitude. Je n'ai jamais prétendu être omniscient mais tu ne l'es décidément pas non plus et tu es loin de l'être d'ailleurs. Tu me reproches d'être partial pendant que toi, selon la rigueur de ta propre logique et ta morale sans doute rigoureusement objective, tu places toi-même ton dieu comme étant le créateur de cosmos, du tout -- c'est tout de même beaucoup moins révérencieux lorsqu'il n'y a pas toutes ces majuscules ronflantes et inutiles qui sacralisent un être imaginaire -- , en étant convaincu de son existence. L'exemple du père Noël que j'ai utilisé -- que je n'ai été chercher chez personne ceci dit, ne t'en déplaise -- est on ne peut plus pertinent. dieu = père Noël. Tu n'as pas à m'imposer ton paradigme sous prétexte qu'un être omnipotent imaginaire doit être différencié d'un autre être imaginaire parce que ce dernier aurait moins de pouvoir, on se croirait dans un shonen pour ado boutonneux. Affirmer que le père Noël existe sans preuve équivaut à affirmer que dieu existe sans preuve et comme c'est le cas pour le père Noël, il n'y en a aucune pour l'existence de dieu. Et on s'en fout du champ du possible, tout est possible à partir du moment où un concept naît dans l'imagination d'un être humain, de la même manière lorsqu'on affirme sans sourciller qu'Harry Potter a bien existé et que la magie est réelle. L'imagination débordante des êtres humains ne doit pas être prise en compte pour catégoriser un être ontologique et vouloir le faire rentrer dans la case du réel au forceps. Qu'est-ce qui t'arrives? Comment quelqu'un comme toi, disposant d'un égo surdimensionné et d'un tel sentiment de supériorité a-t-il fait pour passer à côté d'une telle banalité. Alors mon bichon, pour être le plus clair possible, le dieu, ton dieu ou même n'importe qui se faisant passer pour le fils d'un dieu, je m'en cogne. Ils ont été créés il y a de ça des milliers d'années, possiblement il y a plus d'un million d'années et sont issus, à la base et sans le moindre doute, de l'imagination des êtres humains apeurés, soit par le monde qui les entouraient, soit par la mort et la fin de toute conscience qui accompagne inexorablement l'état de non-vie. Ils ont donc été créés dans l'esprit des hommes qui cherchaient désespérément un moyen d'appréhender le monde qui les entouraient, la nature, les saisons, le feu, les éléments, les éclipses, les tremblement de terre, les raz-de-marée, les étoiles, le processus des naissances, toute cette connaissance qui leur faisait défaut à l'époque -- et qui a été comblée à plus de 99% depuis -- , jusqu'à leur propre existence et, forcément, le créateur du tout. Ces hommes se sont créés une cosmogonie ex-nihilo pour se réconforter, se donner la possibilité d'interpréter les signes à leur gré, et donner un sens à leur existence dans un monde souvent incompréhensible à leur yeux dont certaines mécaniques s'apparentaient à de la magie. dieu existe bel et bien, mais uniquement dans l'esprit de tous ceux qui ont été endoctrinés à penser qu'un être intangible allait les secourir après leur mort parce qu'ils le méritent, parce que leur maman leur a dit qu'ils étaient des êtres d'exception et vu que ce sont leur maman qui leur ont raconté toutes ces histoires abracadabrantesques avant d'aller dormir, ils les ont naïvement crues, comme de braves petits moutons bêlant de mécontentement pour qu'on leur apporte leur lait chaud. Le tien, ton propre dieu personnel de poche, que tu estimes tant au point de passer pour un 'absolute beginner' qui vient de revoir vite fait ses plus beaux arguments, un gougnafier de première calé dans ton délire métaphysique, s'il existe vraiment, tu es à des milliards d'années-lumière de pouvoir l'appréhender tellement il dépasse les limites de ta connaissance, de tous ceux qui ont cru détenir la science infuse et de ton imagination. Donc, venir avec des termes et des explications complètement éclatés du genre transes, l'état de flow etc, comment veux-tu rester crédible après avoir dit de pareilles dingueries, tu t'en rends compte au moins? Tu viens littéralement de confirmer tes propres biais et de niquer la logique, celle dont tu te targues de maîtriser les fondements. Je comprends mieux pourquoi il faut paraître intelligent puisque paraître, c'est tout ce qu'il te reste. Des preuves directes et indirectes qui représenteraient les attributs arbitraires d'un être imaginaire, supposément réel puisqu'il entre dans le champ du possible, un être qu'il a lui même défini comme il le voulait sans pour autant parvenir à un consensus avec lui-même sur ce terme employé de manière générique, pour qu'il puisse le faire rentrer dans des cases qu'il avait préalablement cochées. C'est juste un sketch en fait, elles sont où les caméras. Tu clames être déiste alors pourquoi ne viens-tu donc avec des arguments ontologiques plutôt qu'avec tes idées arrêtées et tes convictions risibles à outrance. Alors, on commence par quoi? Prémisse 1: dieu existe? »
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