Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "De SaIafisten van Frankrijk" video.
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Près de 300 personnes sauvagement assassinées en France, depuis dix ans, au cri d'Allah akbar, @lailahaouz4713 , en matière de "douceur de cœur" et d'"ouverture" on peut faire mieux, non ?.... C'est quoi la "musique mondaine" ?, le Christianisme n'a jamais proscrit la musique, figurez vous, bien au contraire, la musique sacrée sous toutes ses formes, des plus populaires comme les polyphonies sacrées corses de chez moi, par exemple, aux plus élaborées comme les grands Requiems et grandes Messes composés par tant de grands compositeurs, Bach, Haendel, Mozart, Verdi, Gounod, Fauré etc..., en passant par le chant grégorien, les gospels afro-américains, chants orthodoxes grecs et russes, etc...., a toujours tenu une place centrale dans toutes les liturgies chrétiennes.
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Pas du tout, @Laïla Haouz, le Christianisme n'a jamais proscrit aucune forme de musique dans la vie profane, le monopole de la musique sacrée n'étant réservé qu'aux seuls offices religieux. D'ailleurs, il n'y a pas de messe sans musique, parfois même à la guitare électrique de nos jours. Si le Christianisme interdisait la musique profane, c'est simple, le monde chrétien n'aurait jamais été le berceau et le réceptacle d'une richesse et d'une variété musicales uniques au monde. Un dernier mot, le voile intégral, quel "magnifique" symbole d'"ouverture", alors-même que le visage humain est le premier et principal vecteur physique de communication entre les êtres.
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C'est vous, @lailahaouz4713 , qui me traitez d'intégriste, moi, certes baptisé catholique, mais personnellement agnostique et, de surcroît, franc-maçon du Grand Orient de France depuis 24 ans ?, c'est vraiment l'hôpital qui se moque de la charité, ça. Je vous mets au défi de me citer, sources à l'appui, une seule bulle pontificale, un seul texte partie intégrante de la doctrine chrétienne interdisant de manière générale et absolue la musique profane. Même dans les ordres monastiques on a pu connaître, par exemple, le cas de "Sœur Sourire", éphémère vedette de la chanson de variété dans les années 60 et 70, ce qui n'aurait jamais été possible si sa hiérarchie au sein de son ordre monastique et de l'Église ne l'y avait autorisée.
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Pour les Chrétiens, @lailahaouz4713 , tout talent artistique, dans quelque domaine que ce soit, est "don de Dieu", quelque part, et on ne réprime pas un "don de Dieu". D'ailleurs, les papes, prélats et grands princes de l'Église n'ont jamais manqué parmi les grands "mécènes" protecteurs des artistes, compositeurs compris, dans l'Histoire de notre civilisation. Pas de plafond de la Chapelle Sixtine, chef d'oeuvre de Michelange, sans le pape Jules II, par exemple...... Au demeurant, dans l'iconographie chrétienne, les anges sont souvent représentés avec des instruments de musique dans les mains, trompettes, lyres et cimbales.....
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Arrêtez une fois pour toutes, @lailahaouz4713 , de dire n'importe quoi sur le Christianisme, racine spirituelle de notre civilisation, pour essayer de relativiser l'obscurantisme et le fanatisme propres à votre religion à vous, intrinsèquement politique depuis ses origines, fondamentalement rétrograde, voire réactionnaire, d'essence totalitaire à vocation théocratique, qui n'a absolument rien à faire chez nous. Le Christianisme a au-moins le mérite, dans sa théologie, de savoir distinguer et séparer domaine spirituel et domaine temporel comme en témoignent ces deux paroles attribuées au Christ par les Évangiles : "Rendez à César ce qui appartient à César et laissez à Dieu ce qui est à Dieu" ainsi-que "Mon royaume n'est pas de ce monde". À cet égard, la loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État et la laïcité eûrent au moins le mérite de rappeler l'Église catholique au bon souvenir de l'un de ses propres fondamentaux théologiques qu'elle avait eu singulièrement tendance à oublier durant des siècles en s'arrogeant un véritable pouvoir temporel ou, tout-au-moins, une sorte de magistère politique sur l'État et la société civile. C'est Aristide Briand, rapporteur de la loi de 1905, qui résuma parfaitement en quelques mots l'essence même du principe de laïcité : "La loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne prétend pas dire la loi"....
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Les vrais malades, @dz.8z210 , ce sont ceux qui ont sauvagement assassiné près de 300 personnes, ici, en France, ces dix dernières années, au cri d'Allah akbar, ceux qui trouvent normal d'appliquer à la lettre un corpus juridique, la Shariah, prescrivant, entre autres "joyeusetés", l'amputation des mains des voleurs, la lapidation ou la flagellation des femmes adultères, la peine de mort pour les "apostats" et les homosexuels, ceux qui, à Nanterre, le 8 décembre dernier, ont violemment pris à parti une procession mariale catholique avec menaces de mort : "Sur le Coran, je vais t'égorger", ceux qui obligent Mila et bien d'autres esprits libres à vivre sous protection policière tant ils les ont abreuvées de menaces de mort sur les réseaux sociaux, j'en passe et des meilleures.
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Merci de le réécrire en Français, @dz.8z210 , j'ai rien pigé, là. Ce que je peux te dire c'est que, pour les Chrétiens, l'Ancien Testament n'est qu'un héritage, un témoignage sur "l'ancienne alliance" avec Dieu, mais le corps de la doctrine chrétienne c'est bien le "Nouveau Testament", les Évangiles, témoignages des apôtres sur la vie du Christ et la Nouvelle Alliance avec Dieu incarnée par "son fils". Quant au mythe du "peuple déicide", il ne fut introduit dans la liturgie chrétienne qu'à partir du moment où, sous le règne de l'empereur Constantin, le Christianisme était devenu la religion officielle de l'Empire Romain, ils s'agissait donc du souci purement politique d'exonérer Rome de toute responsabilité dans la mort du Christ. Mais Jésus fut bien mis à mort par les Romains, pas par les Juifs, sinon, il aurait été lapidé pas crucifié, la crucifixion étant, à l'époque, un supplice proprement Romain.
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