Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "Napoléon Ier, gloire et chute d'un Empire" video.

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  7. D'abord, "ils étaient italiens à 100% pas corses", ça ne veut absolument rien dire dans le contexte de l'époque.  @ad-fu1ok  . En effet, en ce temps-là, l'Italie n'existait pas encore en tant qu'entité politique nationale, c'était une simple "expression géographique" pour reprendre l'expression du chancelier autrichien Matternich, tout au plus une aire civilisationnelle et linguistique ayant peu à peu acquis en partage la "lingua toscana" comme langue littéraire et savante commune au-delà d'une infinité, où l'on parlait d'ailleurs, non-pas du "peuple italien" mais des "peuples De l'Italie", être "Italien" ayant alors un-peu la même signification qu'être latino-américain aujourd'hui. Aussi, dans ce contexte et ce sens précis, géographique, civilisationnel, culturel et linguistique, les corses étaient naturellement "italiens" quelques soient leurs origines, étant justement un de ces "peuples de l'Italie". Ensuite, la famille Bonaparte d'Ajaccio, descendant d'un mercenaire arbalétrier à cheval natif de la ville de Sarzana, située à la limite entre la Ligurie et la Toscane, Francesco Buonaparte, surnommé "Il moro" à raison de son teint bistre, arrivé là à l'extrême fin du XVème siècle, s'engagea très tôt et de manière continue dans une série d'alliances matrimoniales avec des familles de notables ruraux des villages de l'intérieur, par exemple, les Tusoli de Bocognano, les Costa de Bastelica, les seigneurs Boszzi du Taravu et Istria d'Olmeto, de même, d'ailleurs que la famille de Laetizia dont la mère était une Pietrasanta de Sartène. Napoléon évoquait parfois la foule de cousins qu'il avait à Bocognano, par exemple. Concusion, ce que vous dites est non-seulement faux, mais n'a également aucun sens.
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