Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "Napoléon Ier, gloire et chute d'un Empire" video.
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Non, @brahimchalh2851 , ce n'est pas faux, il convient simplement de préciser, que, si, dans un premier temps, du 10 novembre 1799 au 13 décembre 1799, les deux autres consuls furent Emmanuel-Joseph Sieyès et Roger Ducos, par contre, dans un deuxième temps, du 13 décembre 1799 au 18 mai 1804, ils furent bien Jean-Jacques-Régis Cambacères et Charles-François Lebrun.
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D'abord, "ils étaient italiens à 100% pas corses", ça ne veut absolument rien dire dans le contexte de l'époque. @ad-fu1ok . En effet, en ce temps-là, l'Italie n'existait pas encore en tant qu'entité politique nationale, c'était une simple "expression géographique" pour reprendre l'expression du chancelier autrichien Matternich, tout au plus une aire civilisationnelle et linguistique ayant peu à peu acquis en partage la "lingua toscana" comme langue littéraire et savante commune au-delà d'une infinité, où l'on parlait d'ailleurs, non-pas du "peuple italien" mais des "peuples De l'Italie", être "Italien" ayant alors un-peu la même signification qu'être latino-américain aujourd'hui. Aussi, dans ce contexte et ce sens précis, géographique, civilisationnel, culturel et linguistique, les corses étaient naturellement "italiens" quelques soient leurs origines, étant justement un de ces "peuples de l'Italie". Ensuite, la famille Bonaparte d'Ajaccio, descendant d'un mercenaire arbalétrier à cheval natif de la ville de Sarzana, située à la limite entre la Ligurie et la Toscane, Francesco Buonaparte, surnommé "Il moro" à raison de son teint bistre, arrivé là à l'extrême fin du XVème siècle, s'engagea très tôt et de manière continue dans une série d'alliances matrimoniales avec des familles de notables ruraux des villages de l'intérieur, par exemple, les Tusoli de Bocognano, les Costa de Bastelica, les seigneurs Boszzi du Taravu et Istria d'Olmeto, de même, d'ailleurs que la famille de Laetizia dont la mère était une Pietrasanta de Sartène. Napoléon évoquait parfois la foule de cousins qu'il avait à Bocognano, par exemple. Concusion, ce que vous dites est non-seulement faux, mais n'a également aucun sens.
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Bonaparte ùn hé mica a francisazione di Buonaparte, @ad-fu1ok , ma a so cursisazione, parchi, in corsu, "buono" e "buona" si so sempre prununciati "bonu" e "bona". Sta famidda aiaccina ha dunque sempre usatu, secondu e circunstanze, una urtugraficazione o l'altra di a so casata. Per esempiu, Carlu, u babbu di Nabulione, era "Bonaparte" in Corti quand'ellu era acantu a Paoli, per ridivintà "Buonaparte", dopu Pobenovu e lu so ritornu in Aiacciu per ramintà a i novi maestri francesi a luntana sterpa liguro-tuscana di a so casata. Tamantu più tardi, Nabulione scelse "Bonaparte" parchi ghjé veru chu sunnava più francese all'arechja.
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E tamante derivazioni d'un rughjone di l'isula a l'altru @ad-fu1ok . Per esempiu, u cane si dice u ghjacaru in a metà meridiunale di l'isula e guarda si dice feghja, fideghja o fighjula, chjode a porta si dice sarrà a porta, a tavula si dice a tolla et ancu a todda a parte di u Taravu. E in lu quartu u più meridiunale di a Corsica si dice bedda per bella, ziteddu e zitedda per zitellu e zitella, iddu e idda per ellu e ella, pidda per piglia, tadda per taglia ecc..... In fine, u vechju parlatu Bunifazincu ùn era mica corsu mà vechju genuvese, solu vechjissimi bunifazinchi u parlanu sempre oghje.
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