Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "FRANCE 24"
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Ces français n'étaient pas allemands, @Mustapha Sebaoui, et la France n'était pas l'Allemagne, les Harkis, eux, étaient Français, sous le statut de l'indigénat d'abord, certes, mais pleinement citoyens français après le 13 mai 1958, et l'Algérie c'était juridiquement la France. Aujourd'hui, les corses qui, dans leur grande majorité, ne sont pas indépendantistes, seraient ils des traîtres comparables aux collabos durant la seconde guerre mondiale ? Une fois de plus, on peut constater que "comparaison n'est pas raison".
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En effet, @CC 78 , Paoli n'a jamais servi autre chose que sa patrie et son peuple, alors que Napoléon, en bon arriviste opportuniste et calculateur, comme son père, Carlu-Maria, avec le génie en plus, tout de même, a surtout servi ses ambitions personnelles démesurées et l'enrichissement de son propre clan familial. Ainsi, quand, après avoir été un ardent patriote corse, admirateur inconditionnel de Paoli, il tourne soudainement casaque à la fin du printemps 1793 pour rejoindre de camp jacobin dirigé, dans l'île, par Christophe Salicetti, il écrit dans le même temps à son frère Joseph : "Les Jacobins sont des fous, ils n'ont pas le sens commun". De même, s'agissant de la répression de l'insurrection royaliste de Vendémiaire, en 1795, il écrira plus tard à Joseph, que la veille au soir, il s'était longuement "concerté" avec lui-même pour savoir quel camps choisir en fonction de ses propres ambitions et des intérêts de la famille, celui des royalistes ou celui de la Convention thermidorienne, concluant par "notre fortune est faite" comme conséquence de son choix final en faveur de la Convention.
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Merci de m'expliquer, @scrijver, en quoi une religion qui, après tout, n'est pas autre chose qu'une idéologie qui s'autoproclame sacrée et d'essence divine, devrait être plus respectable que n'importe quelle autre idéologie ? Il fut un temps où des millions de gens, à travers le monde, étaient sincèrement animés par un idéal communiste inébranlable les amenant, par exemple, à vénérer un tyran sanguinaire comme Joseph Staline, celui que Maurice Thorez, secrétaire général du Parti comministe français, appelait "l'homme que nous aimons le plus", fallait il pour autant respecter cette idéologie intrinsèquement totalitaire, comptable de quelques centaines de millions de victimes au niveau mondial ?
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Pas forcément, @marsoudu87 , le terrorisme des "Brigate Rosse" et de certains groupes néo-fascistes, en Italie, de la "Bande à Baader en Allemagne, d'Action directe, en France ainsi que ceux liés à divers séparatismes nationalistes, IRA, ETA, FLNC, par exemple, n'ont jamais rien eu de "religieux". Il y a "terrorisme" quand une action violente, voire meurtrière, est sous-tendue par des motivations idéologiques ou politiques plus ou moins claires ou confuses, qu'elles aient ou non un caractère religieux.
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