Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "Europe 1" channel.

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  80. Une vue de l'esprit @hassanelmessiri  ? décidément, il n'est d'aveugle que celui qui ne veut pas voir. Bien sûr que, conceptuellement parlant, l'expression "islamo-gauchisme" est absurde, l'Islam, religion intrinsèquement politique depuis ses origines, fondamentalement rétrograde, voire réactionnaire, infériorisant la femme et violemment homophobe, d'essence totalitaire à vocation théocratique, se situant aux antipodes de ce que sont censées être les valeurs progressistes et laïques de la gauche, mais il n'empêche que, concrètement, on constate bien, aujourd'hui, une sorte d'alliance contre-nature entre la partie la plus radicale de la gauche et l'Islam politique, pléonasme d'ailleurs, le second n'utilisant la première, que, dans le fond, il méprise profondément, que comme une "idiote utile", un "Cheval de Troie" pour arriver à ses fins. C'est d'ailleurs un véritable marché de dupes pour cette partie de la gauche surtout motivée par le seul électorat potentiel d'importance demeurant à sa portée, car n'oublions pas que lorsque les grecs eurent pris Troie il brûlèrent le Cheval de bois grâce auquel ils avaient pu investir cette cité. Ne jamais oublier le précédent de cette gauche iranienne, révolutionnaire, progressiste et laïque qui, il y a environ 45 ans, fut la première victime de la théocratie des mollahs après avoir si naïvement contribué à sa mise en place. Rien à voire donc, avec le thème fantasmagorique de jadis du prétendu "judéo-bolchévisme" basé simplement sur la présence de quelques individualités juives dans les rangs du parti de Lénine, ce qui pouvait très bien s'expliquer par la haine d'un régime tsariste qui n'avait cessé de les persécuter, car, par-contre, il n'y eut jamais aucune alliance organique, ni même conjoncturelle, entre le Bolchévisme et le judaïsme en tant que religion, voire le sionisme en tant qu'idéologie politique.
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  144. Cette proposition ne tient pas juridiquement la route, Marine. En effet, le voile ça se combat sur le terrain des idées et de la pédagogie, pas sur celui du droit et de l'interdiction légale, ce qui ne ferait que braquer encore plus celles qui le portent. Je rappelle d'ailleurs que la Laïcité c'est, très précisément, la liberté, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun sous la garantie de la distinction et la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", dont la traduction juridique est la séparation entre les cultes religieux et l'État, et de la stricte neutralité en matière de dogmes, religieux ou pas, de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rattache aux affaires publiques, à l'action et aux missions de la Puissance publique dans l'intérêt général sans distinctions de croyances et de non-croyance, laquelle ne se confond en aucune manière avec la notion purement géo-spatiale de simple espace public désignant simplement tout lieu ouvert au public où la règle est la liberté d'afficher et d'exprimer tout ce qui relève de la sphère privée, en particulier ses convictions, religieuses ou pas, sous réserve de respecter la liberté d'autrui et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes et intempestives. La Laïcité ce n'est pas une opinion, c'est tout simplement la liberté d'en avoir une dans le respect de la liberté des autres d'avoir la leur, sous la garantie de la neutralité de la sphère publique telle que je viens de définir celle-ci. En cela, elle se distingue à la fois de la notion de religion d'État ou de religion officielle, d'une-part, et de celle d'Athéisme d'État, par exemple de type Marxiste, d'autre-part, puisque, dans ces deux cas de figure, l'État n'est justement pas neutre. Aussi, une interdiction légale générale et absolue du port du voile et autres signes d'appartenance religieuse dans le simple espace public reviendrait à rompre cette neutralité de la sphère publique censée garantir la liberté de tous dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, et aboutirait donc à l'exact contraire de l'essence même du principe de Laïcité.
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  156. C'est "Islam laïc" qui ne peut exister sur le plan conceptuel,  @AndréAgass-i9y  , cette "religion-Loi et intrinsèquement politique depuis ses origines, qui a toujours ignoré le principe de la distinction et de la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel inscrit dans les Évangiles chrétiens à travers ces deux paroles attribuées au Christ : "Rendez à César ce qui appartient à César et laissez à Dieu ce qui est à Dieu" et, surtout, "Mon royaume n'est pas de ce monde", étant conceptuellement incompatible, non-seulement avec notre République laïque et ses valeurs, mais également, de manière plus générale, avec tout principe démocratique et notre civilisation elle-même fondée sur la distinction et la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, mais, par-contre, en tant que personne humaine, un musulman peut très bien avoir une approche et une pratique individuelles de sa foi compatibles avec ce que j'ai évoqué, c'est-à-dire une approche et une pratique pratique individuelles de sa foi exclusivement spiritualiste, piétiste et quiétiste, et, surtout, distanciée par rapport au dogmes de cette religion et à la "Loi" islamique. Ici, en France, c'est à la pratique de l'Islam de s'adapter à notre République laïque, à ses valeurs et à ses lois, à notre civilisation fondée sur la distinction et la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", pas l'inverse, et si ça ne vous convient pas, c'est simple, la Hijra est à votre entière disposition.
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  162. Dans le simple espace publique, hors de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rapporte aux affaires publiques, à l'action et aux missions de la Puissance publique au service de l'intérêt général sans distinctions de croyances et de non-croyance, où la règle est la neutralité laïque s'imposant aux seuls agents du service public dans l'exercice de leurs fonctions et aux seuls élèves de l'enseignement public primaire et secondaire dans l'enceinte de l'établissement qu'ils fréquentent et dans le seul cadre de l'enseignement qui leur y est dispensé, étant là pour acquérir des connaissances et s'initier à la citoyenneté, pas pour afficher leurs convictions, religieuses ou pas, on a en effet le droit d'afficher et d'exprimer ses convictions, religieuses ou pas, sous réserve de respecter la liberté des autres, à commencer par la libre circulation sur la voie publique, et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes ou intempestives,  @Punkybrewster11 , mais, en-même temps, il est un dicton de pur bon-sens qui dit "à Rome fais comme les Romains", ce qui veut dire qu'en France c'est aux musulmans de s'adapter au mode de vie de ce pays, à ses lois, à sa civilisation, pas l'inverse. Deux civilisations radicalement différentes, que tout oppose, ne peuvent durablement cohabiter pacifiquement sur un même territoire, l'une doit donc s'effacer devant l'autre ou, tout au moins, s'adapter à l'autre, et, en toute logique, c'est à la nouvelle venue de le faire. Comme disait le général de Gaulle : "Essayez de mélanger l'eau avec l'huile, vous aurez beau secouer la bouteille dans tous les sens, elles finiront toujours par se séparer".
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  198. Excellent éditorial que j'approuve totalement en tant que Corse et, même, ajouterai-je, en tant que franc-maçon corse car la franc-maçonnerie est très présente dans notre île qui n'est pas seulement une terre de vieille tradition catholique mais également une véritable terre maçonnique depuis le XVIIIème siècle (un "maçon" pour mille habitants en Corse). Mais là aussi, il y a une spécificité corse car la manière que nous avons de vivre notre engagement maçonnique est très différente de celle de beaucoup de nos frères et sœurs continentaux, en particulier vis à vis du fait religieux et du sens du sacré et de de la tradition. Notre grand Pasquale Paoli était d'ailleurs franc-maçon, ce qui ne l'empêcha jamais d'être un catholique croyant et pratiquant, de s'entourer de prêtres et de moines et de protéger l'Église de Corse chaque fois que les circonstances l'exigeaient, tout en étant également un grand défenseur de la liberté de conscience et de la liberté de pratique des autres cultes. Il fut ainsi, le tout premier en Europe et, donc, au monde, à avoir accordé l'égalité des droits et la pleine et entière citoyenneté aux Juifs, dont il avait fait venir quelques familles de Livourne et de Modène pour développer le commerce dans l'île, plus de 25 ans avant la Révolution française. À quelques insulaires ultra-catholiques qui s'en offusquaient il fit cette réponse superbe en italien, langue écrite de l'île à l'époque : "In Corsica, la libertà non si confessa e non consulta l'Inquisizione", inutile de traduire je pense. Inutile, également, de rappeler que ce fut un autre Corse, Napoléon Bonaparte, fils et frère de francs-maçons, époux d'une franc-maçonne, Joséphine, via les "loges d'adoption" pour les femmes à l'époque, peut-être franc-maçon lui-même, même si l'on n'en est pas certain de manière absolue, certains historiens supposant une initiation au cours de la Campagne d'Égypte, qui, après dix ans de tourmente révolutionnaire, sut rétablir la paix religieuse en France en signant, en 1801, le fameux Concordat avec le pape Pie VII.
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  201. Il n'est d'aveugle que celui qui ne veut pas voir,  @hassanelmessiri  . Bien sûr que, conceptuellement parlant, l'expression "islamo-gauchisme" est absurde, l'Islam, religion intrinsèquement politique depuis ses origines, fondamentalement rétrograde, voire réactionnaire, infériorisant la femme et violemment homophobe, d'essence totalitaire à vocation théocratique, se situant aux antipodes de ce que sont censées être les valeurs progressistes et laïques de la gauche, mais il n'empêche que, concrètement, on constate bien, aujourd'hui, une sorte d'alliance contre-nature entre la partie la plus radicale de la gauche et l'Islam politique, pléonasme d'ailleurs, le second n'utilisant la première, que, dans le fond, il méprise profondément, que comme une "idiote utile", un "Cheval de Troie" pour arriver à ses fins. C'est d'ailleurs un véritable marché de dupes pour cette partie de la gauche surtout motivée par le seul électorat potentiel d'importance demeurant à sa portée, car n'oublions pas que lorsque les Grecs eurent pris Troie il brûlèrent le Cheval de bois grâce auquel ils avaient pu investir cette cité. Ne jamais oublier le précédent de cette gauche iranienne, révolutionnaire, progressiste et laïque qui, il y a environ 45 ans, fut la première victime de la théocratie des mollahs après avoir si naïvement contribué à sa mise en place. Rien à voire donc, avec le thème fantasmagorique de jadis du prétendu "judéo-bolchévisme" basé simplement sur la présence de quelques individualités juives dans les rangs du parti de Lénine, ce qui pouvait très bien s'expliquer par la haine d'un régime tsariste qui n'avait cessé de les persécuter, car, par-contre, il n'y eut jamais aucune alliance organique, ni même conjoncturelle, entre le Bolchévisme et le judaïsme en tant que religion, voire le sionisme en tant qu'idéologie politique.
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  225. Non,  @lisahouari3851  , il fait des constats de réalités et l'analyse critique sans concession d'une religion qui, après tout, n'est pas autre chose qu'une idéologie qui s'autoproclame sacrée et d'essence divine. On peut ne pas être d'accord avec ses constats et ses analyses, mais, dans ce cas, on y répond par une argumentation de fond en sens contraire, sur le terrain des idées, sans éluder la question en réduisant ça à de prétendues "insultes". Fallait il, par exemple, naguère, s'abstenir de toute vision critique de cette idéologie totalitaire comptable de centaines de millions de victimes à travers le monde qu'était le Communisme et de toute opposition contre elle, sous prétexte de ne pas "insulter" les centaines de millions de personnes qui, dans le monde, y adhéraient en toute sincérité et avec les meilleures intentions du monde, tant il est vrai que "l'enfer est pavé de bonnes intentions" ? Quant à ses deux ou trois condamnations par une "Justice" objectivement politique, elles ne prouvent rien. Un seul exemple : il y a quelques années, il a été condamné pour "incitation à la haine raciale" pour avoir fait un simple constat de réalité en disant précisément : "À Paris et en région parisienne la plupart des trafiquants de drogue sont noirs ou arabes", ce qui n'aurait vraiment été du "racisme" que s'il avait dit : "À Paris et en région parisienne tous les noirs et tous les arabes sont des trafiquants de drogue", ce qui n'aurait pas-du-tout été la même chose et qu'il n'a jamais dit. Il y a 50 ans et plus, un Zemmour de l'époque aurait très bien pu dire, parce que ça correspondait alors également à une réalité : "À Paris et à Marseille, la plupart des proxénètes sont corses, le "Milieu" du "crime organisé" est très largement dirigé par des corses, la "French-Connection" est, en réalité une "Corsican-Connection", et, aujourd'hui, il pourrait dire, car ça correspond aussi à une réalité : "la société corse est très largement gangrenée par une véritable emprise mafieuse", l'aurait pour autant poursuivi en Justice, dans le premier cas, et le poursuivrait on pour autant en Justice, aujourd'hui, dans le second cas, pour "incitation à la haine" envers les corses dans leur ensemble sans sombrer dans le ridicule ?, et c'est un corse pur-jus qui vous le dit.....
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  232. Quel intérêt mon origine,  @AliBaba-yn2lp  ?, ça vous obsède à ce point les origines ? Essayez plutôt de répondre à mes arguments sur le fond, ce sera plus intéressant. Je vous dirai simplement qu'être français ça ne se résume ni à une origine ni à un bout de papier, c'est tout simplement un état d'esprit consistant à faire sien, quelles que soient ses origines et sa confession religieuse justement, tout ce que nous devons avoir en commun pour vivre ensemble en "faisant nation", à commencer par une langue commune, une Histoire commune, une civilisation commune, une culture de référence commune, des valeurs communes, un mode de vie commun, je dis bien "communes" et "commun", pas nécessairement "exclusives" et "exclusif", sans pour autant renoncer, dans notre sphère privée, à tout ce qui nous est propre dans la mesure où c'est compatible avec cet indispensable socle commun. Ça s'appelle l'assimilation républicaine, principe de fusion destiné à nous unir au-delà de nos différences respectives, aux antipodes du racisme qui, lui, conduit à son exact contraire, le repli communautariste, le développement séparé, la ségrégation, bref, l'apartheid de fait c'est-à-dire le fait de vivre, non-pas "ensemble", mais chacun de son côté comme enfermé dans ses différences conçues comme un horizon absolu et indépassable, en attendant de vivre les uns contre les autres. Quant à mes origines, à titre anecdotique, elles sont clairement indiquées par mon pseudonyme qu'il vous suffira de taper sur votre moteur de recherche pour savoir ce qu'il veut dire et dans quelle langue.
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  403. Nous avons assez payé le prix du sang à la France (par exemple, près de 50.000 mobilisés dont entre 12.000 et 15.000 morts en 14-18 sur une population totale de l'île de 220.000 habitants en 1914, deuxième département, après la Lozère, pour le nombre de tués en proportion de la population totale), pour avoir droit au respect de notre identité pleine et entière chez nous,  @matmatmut9563  . Ce que vous me dites, autant que vous voudrez quand nous vivons sur le Continent, mais au nom de quoi, chez nous, dans notre île, sur notre terre, ce serait à notre identité, à notre Histoire, à notre langue, à notre culture de s'effacer ou, tout-au-moins, de se faire discrètes en se cantonnant à la sphère privée, face à ce qui nous est venu de la rive nord de la Méditerranée sans, d'ailleurs, avoir demandé leur avis à nos ancêtres. Laissez nous demeurer pleinement ce que nous sommes, nous n'en serons que de meilleurs français, comme la génération de mes grands-parents et de mes parents, j'ai 63 ans, dont les membres, dans la quasi totalité des cas, avaient le corse pour langue maternelle et usuelle de la vie quotidienne, le français n'étant pour eux que la langue de l'expression écrite, apprise à l'école, et de la vie administrative, tout en se sentant profondément français et animés par un patriotisme français ardent et unanime naturellement complémentaire avec le vieux patriotisme corse hérité de l'Histoire, l'amour de la "grande patrie" et celui de la "petite patrie", comme on disait alors, étant indissolublement liés dans leurs cœurs, alors qu'aujourd'hui, regardez nombre de nos jeunes, moins ils savent parler correctement le corse, moins ils connaissent l'Histoire de leur île, plus ils ont perdu le sens de ses valeurs traditionnelles, d'un côté, plus ils se disent "nationalistes", moins ils se sentent français, de l'autre, preuve qu'un processus d'assimilation par dépossession d'identité peut avoir un effet destructurant au niveau de l'integration civique et citoyenne et du sentiment d'appartenance à la nation française.
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  439. La laïcité c'est très précisément la liberté, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun, sous la garantie de la distinction et la de séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", dont la traduction juridique est la séparation des cultes religieux et de l'État, et de la stricte neutralité en matière de dogmes, religieux ou pas, de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rapporte aux affaires publiques et à l'action et missions de la Puissance publique au service de l'intérêt général, sans distinctions de croyances et de non-croyance, à ne surtout pas confondre avec la notion purement géo-spatiale de simple espace public désignant seulement tout lieu ouvert au public où tout ce qui relève de la sphère privée, à commencer par la foi religieuse, peut s'afficher et s'exprimer librement sous réserve de respecter la liberté des autres et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes ou intempestives. Partant de là, la laïcité ce n'est pas une opinion, c'est tout simplement la liberté d'en avoir une dans le respect de la liberté d'autrui d'avoir la sienne, et, en celà, elle se distingue à la fois de la notion de religion d'État ou de religion officielle, d'une part, et de celle d'athéisme d'État, par exemple, de type Marxiste, d'autre-part, car, dans ces deux cas, l'État n'est justement pas neutre. Comme le disait fort justement Aristide Briand, rapporteur de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État, résumant ainsi parfaitement en quelques mots l'essence même du principe de laïcité : "La loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne prétend pas dire la loi". Ainsi, c'est justement pour garantir cette liberté dans l'égalité des consciences par la neutralité de la sphère publique telle que je viens de la définir précisément, que l'obligation de neutralité laïque impliquant la prohibition des signes ostentatoires d'appartenance, non seulement religieuse, mais également, de manière plus générale, idéologique, politique et, même, philosophique, est imposée par la loi aux seuls agents du service public dans le seul exercice de leurs fonctions et aux seuls élèves de l'enseignement public primaire et secondaire dans le seul cadre de l'enseignement qui leur y est prodigué. Il devrait d'ailleurs en aller de même, en principe, pour ces "collaborateurs occasionnels du service public" que sont les parents d'élèves de l'enseignement public accompagnateurs de sorties scolaires puisque, ce faisant, ils participent activement au fonctionnement du service public de l'Éducation nationale et à l'accomplissement de ses missions au même titre que les agents de ce même service, les usagers encadrés de ce service public que sont les élèves ayant droit à la même neutralité de la part des personnes qui les encadrent à quelque titre que ce soit. Mais, pour le reste, toute interdiction générale ou absolue du port de tel ou tel signe ostentatoire d'appartenance religieuse ou autre dans le seul espace public, sauf nécessité de sécurité publique impliquant que toute personne circulant dans le même espace public soit immédiatement identifiable à travers son visage et légitime rejet de tout ce qui symboliserait ouvertement et manifestement le mépris de la dignité de la personne, humaine, racisme, homophobie, infériorisation et mépris de la femme, etc..., constituerait justement une rupture de cette neutralité de la sphère publique censée garantir la liberté de tous dans l'égalité des consciences et serait donc la négation de l'essence même du principe de laïcité, et c'est ce qui me sépare fondamentalement d'un Éric Zemmour, par exemple. Le principe de laïcité est également fort bien exprimé dans ce passage essentiel de l'article premier du Règlement général du Grand Orient de France, lu en loge à chaque ouverture des travaux, : "Considérant les conceptions métaphysiques comme relevant du domaine exclusif de l'appréciation individuelle de ses membres, elle (NB : la franc-maçonnerie) se refuse à toute affirmation dogmatique". Franc-maçon du Grand Orient de France depuis plus de 24 ans et ayant longtemps été le "correspondant laïcité" de ma loge auprès de la Commission laïcité du Congrès régional des loges de la région maçonnique de Paris II, je pense modestement en connaître assez sur la question.
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  443. Ben oui,  @moonmoon-nu5yx , tu lis attentivement l'article Wiki consacré à l'UGIF, organisme fondé par une loi de Vichy en1941 ainsi que le livrd de Maurice Rajfus, "Des Juifs dans la collaboration", ça ramènera ton obsession à ses justes proportions. D'ailleurs, le légalisme aveugle de l'UGIF n'empêcha pas ses membres d'être arrêtés et déportés à leur tour en 1943, eux qui pensaient naïvement que le Maréchal Pétain protégerait au moins les Juifs français, pas plus que ça n'empêcha les membres du Judenrat allemand et de la "police juive" des ghettos de Pologne de subir le même sort. Que cherches tu a démontrer là ?, oui, dans toute population persécutée, il y a toujours eu des individus crédules pensant pouvoir se mettre à l'abri en se rendant utiles à leurs persécuteurs ou, au minimum, en obéissant docilement à leurs ordres, et alors ?, crois tu que l'humanité ne soit faite que de héros courageux et droit dans leurs bottes ?, il y a aussi de misérables lâches prêts à toutes les compromissions pour sauver leur misérable peau, mais, d'une certaine manière, eux aussi sont des victimes, car c'est bien la persécution générale décidée par d'autres qui les réduit à une telle indignité. Après tout, au temps de l'esclavage des noirs, aux Amériques, il y avait aussi ceux qui pensaient améliorer leur sort personnel en servant fidèlement leurs maîtres contre leurs propres frères, est-ce-que ça les rendait pour autant responsables du système esclavagiste dans sa globalité ?....
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  507. Justement,  @VLF2022  , vous ne connaissez rien. le mouvement Sioniste ne s'est jamais résumé à sa composante messianique d'extrême-droite d'ailleurs longtemps très minoritaire, et l'aspiration nationale juive ne s'est jamais limitée au seul Sionisme fondé en Europe, ayant fait ses premiers pas, dès les années 1860, au sein du "vieux Yéshouv", cette vieille communauté juive autochtone de Palestine vivant là depuis des siècles, voire des millénaires et au sein de laquelle fut d'ailleurs élaboré l'hébreu moderne . Je suis certain, par exemple, que vous n'avez jamais entendu parler des deux grandes révoltes arabes de la Palestine sous mandat britannique durant l'entre-deux-guerres avec les véritables pogroms comptables de quelques centaines de victimes qui les caractérisèrent, ni de celui qui les déclencha, Mohamed Hadj Amine al-Husseini, grand mufti de Jérusalem, dont on connaît le rôle d'auxiliaire zélé de l'Allemagne nazie qu'il joua durant la seconde guerre mondiale. L' État "palestinien" il aurait pu exister dès le départ si la partie arabe avait accepté le plan de partage de la Palestine en deux États, l'un arabe et l'autre juif, avec statut international pour la ville de Jérusalem, adopté par l'Assemblée générale des Nations Unies en novembre 1947 et, par-contre, accepté par le mouvement sioniste. Mais pour les Arabes, à l'époque, il n'était nullement question, dans le cadre du rêve panarabe bien présent dans leurs esprits à ce moment là, d'un État palestinien, mais bien d'une Palestine exclusivement arabe ayant vocation à être partie intégrante de la "grande nation arabe" unifiée encore à construire, et cette ambition là ne pouvait s'accommoder d'une quelconque présence juive en Palestine, d'où le slogan de l'époque : "jeter les juifs à la mer" qui présida à l'offensive générale des armées arabes dès avril 1948, avant-même la proclamation de l'État d'Israël en mai. Le sort des armes et les calculs du roi Abdallah de Transjordanie, d'ailleurs ultérieurement assassiné, en décidèrent autrement.
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  543. Les chrétiens opprimés en France,  @koam2410  ?, où ça, quand ça ?, la célébration de la messe dominicale et les processions catholiques traditionnelles seraient elles interdites en France ?, depuis quand ? En fait, la laïcité n'a fait que rappeler l'Église catholique au bon souvenir de l'un de ses propres fondamentaux théologiques, la distinction et séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, qu'elle avait eu singulièrement tendance à oublier durant des siècles en s'arrogeant une véritable pouvoir temporel ou, tout-au-moins, un magistère politique sur la société civile. Le mot "laïc" n'est il d'ailleurs pas directement issu du vocabulaire de Église catholique où il a toujours désigné tout fidèle non-membre du clergé ? La laïcité c'est précisément la liberté, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun, sous la garantie de la distinction et séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", dont la traduction juridique est la séparation des cultes religieux et l'État, et de la stricte neutralité en matière de dogmes, religieux ou pas, de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rapporte aux affaires publiques et à l'action et missions de la Puissance publique au service de l'intérêt général sans distinctions de croyances et de non-croyance, qui ne se confond en aucune manière avec la notion purement géo-spatiale d'espace public désignant simplement tout lieu ouvert au public où chacun est libre d'afficher et d'exprimer ses convictions, religieuses ou pas sous réserve de respecter la liberté et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes ou intempestives, tout ce qui relève de la sphère privée pouvant parfaitement s'exprimer dans l'espace public. La laïcité, en effet, ce n'est pas une opinion, c'est tout simplement la liberté d'en avoir une dans le respect de la liberté d'autrui d'avoir la sienne sous la garantie de la neutralité de la Puissance publique, et, en cela, ele se distingue à la fois de la notion de religion d'État ou de religion officielle, d'une-part, et de celle d'Athéisme d'État, de type Marxiste, par exemple, d'autre-part, car, dans les deux cas, l'État n'est justement pas neutre. Comme le disait fort justement Aristide Briand, rapporteur de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État, : "La loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne prétend pas dire la loi".
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  552. C'est même certain,  @joshdesaulnay2740  , s'agissant de Mélenchon, même si c'est vrai qu'il n'en est plus aujourd'hui. Quant à Macron, un certain nombre d'indices concordants vont fortement dans ce sens : 1- le soir de sa première victoire, en 2017, la symbolique de sa marche solitaire avec la pyramide du Louvre éclairée en arrière-plan était limpide pour un initié 2- Sa manie, en débutant une allocution publique, de saluer l'auditoire en ponctuant avec l'expression "en vos rangs, grades et qualités", ça aussi, ça ne trompe pas. 3- Enfin et surtout, en avril dernier, dans une inteview accordée par Jean-Michel Macron, son père avec lequel il n'a pas toujours eu des relations faciles, ce dernier avait conclu par un énigmatique : "En-tout-cas, je n'appartiens pas à une secte, moi", et, comme chacun sait, le mot "secte" est souvent improprement utilisé par beaucoup de profanes pour désigner la franc-maçonnerie qui est pourtant l'exact contraire d'une secte, étant fondamentalement adogmatique comme en témoigne l'article 1er du Règlement général du Grand Orient de France lu en loge à chaque ouverture des travaux : "La Franc-Maçonnerie, institution essentiellement philanthropique, philosophique et progressive, a pour objet la recherche de la vérité, l'étude de la morale et la pratique de la solidarité ; elle travaille à l'amélioration matérielle et morale, au perfectionnement intellectuel et social de l'humanité. Elle a pour principes la tolérance mutuelle, le respect des autres et de soi-même, la liberté absolue de conscience. Considérant les conceptions métaphysiques comme étant du domaine exclusif de l'appréciation individuelle de ses membres, elle se refuse à toute affirmation dogmatique. Elle attache une importance fondamentale à la laïcité. Elle a pour devise : Liberté, Égalité, Fraternité".. . Eh oui, c'est aux "frères" que la République a emprunté sa devise inscrite au fronton de nombre de nos bâtiments publics.. .
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  569.  @mouloudmoulouk4348  : Les Balkany ont été condamnés à plusieurs années de prison d'ailleurs effectuées et à de lourdes sanctions pénales pécuniaires, la Cours d'appel de Paris a condamné Nicolas Sarkozy, le 17 mai 2023, à trois ans de prison dont un an ferme, il s'est pourvu en cassation, le pourvoi en cassation étant suspensif de la peine prononcée, peine qui deviendra définitive si la Cours de Cassationne casse pas l'arrêt de la Cours d'appel de Paris pour méconnaissance de la loi ou vice de forme, et, dans le cas contraire, l'affaire sera rejugée au fond par une "cours de renvoi" conformément à la loi. Le Chambre d'instruction de la Cours d'appel de Paris a décidé de maintenir Pierre Palmade slus contrôle judiciaire en attendant que l'instruction de son dossier soit bouclée à le condition qu'il demeure hospitalisé, que vous faut il de plus ? Et, non, un délinquant n'est pas nécessairement un "cas social", c'est d'abord une personne humaine responsable douée d'un libre arbitre qui doit donc pleinement assumer les conséquences de ses choix de vie, la "tarte à la crème" de la prétendue "excuse sociale" ça suffit comme ça !!! C'est dans le monde rural et la France périphérique des petites villes de province, celle des "Gilets jaunes", que l'on trouve aujourd'hui les situations sociales les plus précaires, pas dans les banlieues et "cités" gravées d'aides sociales et d'allocations en tout genre, nos campagnes et nos petites cités provinciales en sont elles pour autant des zones de non-droit et des coupe-gorges ?.....
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  570. Les discriminations de fait à l'embauche et au logement, d'ailleurs illegales et constitutives d'infractions pénales selon la loi,  @zbmcpx  , ne sont le fruit ni de la confession religieuse, ni même des origines, mais de comportements, d'attitudes, d'incivilité diverses et variées, qu'ils soient ou non constitutifs de crimes ou de délits. En effet, dans leur immense majorité, les Français ne rejettent pas des personnes humaines pour ce qu'elles sont mais des attitudes, des comportements intolérables qui, à force de se multiplier, finissent par rejaillir, c'est fatal, sur l'ensemble des populations dont ils ils émanent objectivement le plus souvent. Y a t il des discriminations à l'embauche et au logement contre les Asiatiques par exemple ?, non, évidemment, demande toi pourquoi, la réponse est facile à trouver. Apprenez donc à nombre d'entre vous, en particulier nombre de vos jeunes, à se comporter normalement comme on doit se comporter dans un pays civilisé, et il n'y aura plus de discriminations contre vous. La France un pays "très raciste" ?, qu'y fais tu encore dans ce cas ?, serais tu masochiste ? Tu veux savoir ce qu'est le vrai racisme et sans complexe ?, va voir comment sont traités les migrants africains subsahariens dans les pays du Maghreb, du Maroc à la Libye, cette Libye où l'on a signalé ces dernières années de véritables marchés aux esclaves à peine clandestins. Et le président de la République tunisienne qui a récemment dénoncé une véritable "invasion migratoire subsaharienne" menaçant "l'identité arabo-musulmane" de son pays, il est "raciste" lui aussi ? Enfin, il est assez cocasse de te voir accuser tes concitoyens français non-musulmans de "racistes" en les traitant de "kouffars", terme éminemment péjoratif sinon insultant. Arrêtez un-peu avec votre chantage au "racisme" et à l'"Islamophobie" pour nous faire accepter tout et n'importe-quoi, ça ne marche plus. D'ailleurs, à propos d'Islamophobie, au nom de quoi n'aurait on pas le droit de critiquer une religion qui, après tout, n'est pas autre-chose qu'une idéologie qui s'autoproclame "sacrée" et d'essence d'essence "divine" , surtout s'agissant de l'Islam, religion intrinsèquement politique depuis ses origines, fondamentalement rétrograde voire réactionnaire, d'essence totalitaire à vocation théocratique ? Je dirais même que l'Islamophobie dans son sens littéral, "peur de l'Islam", devrait aller de soi pour toute personne éprise de liberté et de progrès et qu'être Islamophobe est aussi légitime que d'avoir été naguère antifasciste, antinazi et anticommuniste, ou, même, d'être antisioniste. D'ailleurs, votre terrorisme intellectuel consistant à diaboliser toute opposition à votre religion en l'assimilant à du "racisme" n'a d'égal que le terrorisme intellectuel utilisé par les Sionistes consistant à assimiler systématiquement l'antisioninisme, c'est à dire l'opposition à cette idéologie politique qu'est le Sionisme, ou, même, toute critique de la politique israélienne, à de l'"antisémitisme", c'est-à-dire à la haine des Juifs en tant que tels, en tant que personnes humaines.
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  639. Non, pas-du-tout,  @chehemomarmohamed3867  , mais qu'il y a 10 millions de musulmans qui gardent le silence face aux crimes des plus fanatiques d'entre eux. Étant corse, je vais vous raconter ce qui suit : en 1998, peu-après l'odieux assassinat du préfet Claude Érignac à Ajaccio, se produisirent les plus grandes manifestations populaires de l'Histoire de l'île, près de 60.000 corse, chiffre énorme et inégalé par rapport à la population totale de la corse, défilèrent en silence dans les rues d'Ajaccio, de Bastia et d'autres localités de l'île, derrière une banderole unique sur laquelle était écrit ce seul mot : "Basta". Ils ne firent pas cela pour s'excuser ni pour se justifier, ils n'étaient évidemment ni coupables ni responsables du crime imputable à une poignée de jusqu'auboutistes embarqués dans une dérive terroriste folle du type "Action directe", par exemple, non, ils le firent, en vertu d'un véritable sursaut civique, d'une authentique démarche citoyenne, pour dire "non !!", pour signifier aux assassins : "nous vous dénions tout droit à vous réclamer du peuple corse, le peuple corse c'est nous, pas vous". Eh bien, le jour, que l'on attend toujours après tant ce drames, où, dans le même état d'esprit, en vertu du même sursaut civique et de la même démarche citoyenne, des centaines de milliers, voire un, deux, ou trois millions de musulmans de France défileront en silence dans les rues de Paris et autres grandes villes de France, derrière ce seul mot d'ordre : "PAS EN NOTRE NOM", sans aucune ambiguïté, sans manoeuvres dilatoires à travers les théories conspirationnistes les plus délirantes, ce jour-là et ce jour-là seulement, il n'y aura plus d'amalgame. Le "pas d'amalgame" ça doit pouvoir se mériter, quelque-part. Après tout, quand ils s'agissait de dénoncer quelques caricatures, une déclaration mal interprétée du pape Benoît XVI ou les lois laiques de la France, les musulmans ont montré qu'ils savaient manifester en masses à travers le monde, et, en France, qu'ils savaient se mobiliser nombreux pour soutenir Gaza, fort légitimement, d'ailleurs, à l'été 2014, ou dans cette "marche contre l'Islamophobie" du 19 novembre 2019 au cours de laquelle on dénonça abusivement comme prétendument "liberticide", la loi de 2004 sur le respect de la neutralité laïque dans l'enseignement public primaire et secondaire, et où l'on arbora d'odieux pastiches de l'étoile jaune de sinistre mémoire, totalement hors de propos...
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  650. Arrêtez un-peu,  @Alex-gd3bj  , avec ce mythe des Maghrébins et des Africains qui auraient "reconstruit la France" et qu'on aurait "parqués", la France, elle s'est reconstruite dans les quelques années qui ont immédiatement suivi la fin de la guerre, reconstruction d'ailleurs très largement financée par le Plan Marshall, c'est à dire à une époque où la classe ouvrière française était encore très nombreuse et où la main d'œuvre immigrée était majoritairement européenne, comme avant-guerre, essentiellement italienne, espagnole, polonaise, puis, un-peu plus tard, portugaise et même yougoslave.Quant aux architectes, urbanistes et ingénieurs, indispensables à cette reconstruction, ils étaient bien tous français. L'immigration a commencé à devenir progressivement maghrébine, surtout algérienne, d'abord, à partir de la fin des années 50 debut des années 60, et africaine subsaharienne dans les années 60 et 70, le tout amplifié par le "regroupement familial" décidé par Valéry Giscard d'Estaing, c'est à dire en pleine prospérité des "trente glorieuses" ayant suivi la phase de reconstruction. Quant au prétendu "parquage", il y plus de trente ans, il y a plus de quarante ans, même, dans les fameux quartiers dits "populaires", les fameuses "cités", des gens de toutes origines, de toute confession religieuse vivaient vraiment ensemble, le mode de vie et le model culturel de référence auxquels on s'efforçait de se conformer, de s'assimiler étant alors ceux de l'ouvrier français. C'est à partir du tournant des années 90 que la situation à commencé à s'inverser avec la reprise en main progressive par l'Islam fondamentaliste et militant, d'ailleurs téléguidé depuis certains pays musulmans, d'une communauté musulmane de France trop sécularisée et trop en voie d'intégration à son goût, et le processus de repli identitaire et confessionnel, de communautarsation, bref de "désintégration" au sens littéral du mot, a commencé alors, contribuant d'ailleurs à casser le melting-pot initial en faisant fuir progressivement les familles non-musulmanes, jusqu'à en arriver à la situation actuelle. Bref, ces populations se sont progressivement "parquées" et "ghettoïsées" elles-mêmes. Deux civilisations radicalement différentes que tout oppose, l'une laïque aux racines spirituelles essentiellement chrétiennes, l'autre islamique à vocation théocratique, ne peuvent cohabiter durablement de manière pacifique sur un seul et même territoire, la confrontation venant tôt ou tard. Comme disait le général de Gaulle : "On peut intégrer des individus, et encore, dans une certaine mesure seulement, mais on ne peut pas intégrer des peuples entiers avec leur propre passé, leur propre mémoire, leurs propres croyances, leurs propres rêves...... Essayez de mélanger l'eau avec l'huile, vous aurez beau secouer la bouteille dans tous les sens, elles finiront toujours par se séparer". Quant à l'immigration actuelle qui continue à venir, l'immigration clandestine en particulier, ce n'est plus, depuis un vingtaine d'années, une immigration de travail, de main d'œuvre, mais bien une immigration de parasitage social, de prédation, même.... À mon âge, 64 ans le mois prochain, on sait tout ça.
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  715. Je ne voterai plus jamais pour lui, petit fondé de pouvoir de l'oligarchie ploutocratique internationale et mondialiste, mais, là, Macron a raison : le voile ça se combat sur le terrain des idées et de la pédagogie, pas sur celui du droit et de l'interdiction légale, ce qui ne ferait que braquer encore plus celles qui le portent. Je rappelle d'ailleurs que la Laïcité c'est, très précisément, la liberté, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun sous la garantie de la distinction et la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", dont la traduction juridique est la séparation entre les cultes religieux et l'État, et de la stricte neutralité en matière de dogmes, religieux ou pas, de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rattache aux affaires publiques, à l'action et aux missions de la Puissance publique dans l'intérêt général sans distinctions de croyances et de non-croyance, laquelle ne se confond en aucune manière avec la notion purement géo-spatiale de simple espace public désignant simplement tout lieu ouvert au public où la règle est la liberté d'afficher et d'exprimer ses convictions, religieuses ou pas, sous réserve de respecter la liberté d'autrui et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes et intempestives. La Laïcité ce n'est pas une opinion, c'est tout simplement la liberté d'en avoir une dans le respect de la liberté des autres d'avoir la leur, sous la garantie de la neutralité de la sphère publique telle que je viens de definir celle-ci. En cela, elle se distingue à la fois de la notion de religion d'État ou de religion officielle, d'une-part, et de celle d'Athéisme d'État, par exemple de type Marxiste, d'autre-part, puisque, dans ces deux cas de figure, l'État n'est justement pas neutre. Aussi, une interdiction légale générale et absolue du port du voile et autres signes d'appartenance religieuse dans le simple espace public reviendrait à rompre cette neutralité de la sphère publique censée garantir la liberté de tous dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, et aboutirait donc à l'exact contraire de l'essence même du principe de Laïcité.
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  721. Vous oubliez une chose, monsieur Nicolas Beytout, cela fait sept ans que le suffrage universel plébiscite régulièrement les autonomistes dans l'île, lesquels disposent de la majorité absolue à l'Assemblée de Corse ainsi que de trois députés de l'île sur quatre, et, ça, l'État n'en a jamais tenu aucun compte en un véritable déni de démocratie. Alors, quand la voix des urnes est inaudible, il ne reste plus que celle de la rue pour se faire entendra, l'assassinat d'Yvan Colonna n'étant finalement que l'étincelle qui a allumé la mèche. Quant à Yvan Colonna lui-même, je ne sais pas si, dans les faits, il était coupable ou innocent, mais ce que je sais, c'est qu'il fut désigné comme étant "l'assassin du préfet Claude Érignac" par le ministre de l'intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy, le jour de son arrestation, avant même tout procès, au mépris le plus flagrant du principe constitutionnel de la présomption d'innocence, et qu'au terme de chacun de ses trois procès successifs devant la même cours d'assises "spécialement composée" de magistrats professionnels, il fut, en fait sinon en droit, objectivement condamné "au bénéfice du doute", paradoxe juridique s'il en est car, en droit et en vertu du principe constitutionnel déjà cité de la présomption d'innocence, on ne peut normalement qu'être acquitté "au bénéfice du doute", le "doute persistant et raisonnable" devant systématiquement profiter à à l'accusé, et quiconque connaît un minimum le dossier judiciaire de Colonna, sait que le doute raisonnable a toujours été là et n'a cessé de persister.
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  744. Mais oui, @ITACHI Kira , mais oui, toujours notre faute, jamais la vôtre. Tiens, prenons justement le cas de Bob Denard : c'etait un aventurier, un mercenaire privé agissant exclusivement pour son propre compte, en aucun cas pour celui de l'État français, aussi, qu'est ce qui empêchait vos propres dirigeants de le mettre hors d'État de nuire au lieu de l'utiliser à tour de rôle à leur profit exclusif dans le cadre de leurs incessantes rivalités intestines ? Je connais bien l'île Maurice où je suis allé pour de courts séjours à plusieurs reprises dans le cadre de vacances familiales régulières à l'île de la Réunion, mon épouse étant Réunionnaise d'origine chinoise, et vous savez pourquoi ils s'en tirent à-peu-près bien, les Mauriciens, ayant notamment réussi à créer et développer une industrie touristique de luxe de haute qualité, mais pas seulement ?, eh bien tout simplement parce-qu'ils bossent, eux, ils bossent dur, même, alors, prenez vous enfin en mains comme des hommes, pas comme des mendiants, et mettez vous enfin sérieusement au boulot, et vous pourrez les imiter, ces Mauriciens. Il en va des peuples comme des individus, il y a ceux qui savent se prendre en mains et réussir par leur travail, et puis il y a les feignasses congénitales et incapables, les assistés chroniques, les ratés, qui ne savent que geindre et n'assument jamais leurs propres responsabilités, accusant toujours les autres d'être la cause de leurs malheurs, de leur propre médiocrité. Tiens, vous, par exemples, qui avez l'air de bon niveau intellectuel, qui avez peut-être fait des études supérieures, vivez vous vraiment dans votre pays, l'Union des Comores en y mettant concrètement vos compétences et votre travail à son service exclusif ?, et je vous demande une réponse sincère.
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  749. Quand on a pour icône,  @houriabensalmane8808  , l'islamo-fasciste racialiste Houria Bouteldja, proche de l'organisation politico-religieuse à vocation théocratique des "Frères musulmans", qui a écrit un livre infect intitulé "Les blancs, les juifs et nous", qui à qualifié, goguenarde, le traître opportuniste et clientéliste aux vraies valeurs de la vraie gauche universaliste, antitotalitaire, démocratique, républicaine et laïque, mon ex-frère indigne du Grand Orient de France, Jean-Luc Mélenchon, de "notre plus belle conquête" et même de "butin de guerre" (il suffit de réécouter attentivement le magnifique discours qu'il prononça en janvier 2015 aux obsèques de son ami Charb de Charlie-Hebdo pour mesurer l'ampleur de ses reniements et, même, de sa trahison), on ne se permet pas de traiter les autres de "racistes". Le seul antiracisme authentique qui vaille, c'était celui, à la fois universaliste et personnaliste si bien exprimé par Martin Luther-King quand il disait : "J'ai fait le rêve que mes quatre enfants vivront dans une nation où ils seront jugés, non-pas sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère" et Nelson Mandela dans sa profession de foi devant ses juges, en 1964 : "J'ai lutté contre la domination blanche et j'ai lutté contre la domination noire. J'ai chéri l'idéal d'une société démocratique et libre dans laquelle toutes les personnes vivent ensemble en harmonie et avec des opportunités égales. C'est un idéal pour lequel je souhaite vivre et que j'espère accomplir. Mais, si c'est nécessaire, c'est un idéal pour lequel je suis disposé à mourir", à des année-lumières de votre déterminisme racialiste obsédé par la "race" et la couleur de la peau. Si ça se trouve, tu es Houria Bouteldja elle-même, et, dans ce cas, je te crache au visage sans aucun complexe.
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  752. J'ai attentivement regardé et écouté cette émission ce matin, en direct, à la télévision. Les analyses développées par Éric Zemmour m'ont semblées globalement extrêmement réalistes et pertinentes, à trois réserves près que je tiens à développer ici : 1- Son analyse de la stratégie de Jean-Luc Mélenchon et de LFI pour arriver un jour au pouvoir est juste et fort bien décrite, sauf qu'à mon sens ce sera, à terme, un marché de dupes pour eux car je pense que lorsque ce "nouveau peuple" sur lequel ils misent sera parvenu à ses fins, ils seront les premiers à en payer les frais, un-peu comme cette gauche iranienne laïque et progressiste, Parti communiste Toudeh compris, qui, il y a près de 44 ans, fut la première victime de la Théocratie rétrograde des mollahs après avoir si naïvement contribué à sa mise en place. 2- Je ne partage pas la vision économique fondamentalement et eclusivement libérale d'Éric Zemmour, le rôle social de l'État en faveur des plus faibles, des plus demunis me semblant essentiel dans notre République que notre Constitution définit encore comme étant non-seulement une République "démocratique et laïque" mais également une "République sociale". 3- Sa marotte d'une interdiction générale et absolue de tout signe ostentatoire d'appartenance religieuse, voile et kippa en particulier, dans le simple espace public hors de la sphère publique, distinction sur laquelle je vais mexpliquer, est contraire à l'essence même du principe de laïcité. En effet, la laïcité c'est, très précisément, la liberté, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun, sous la double garantie, d'une-part, de la distinction et de la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", dont la traduction juridique est la séparation des institutions religieuses et de l'État, et, d'autre-part, de la stricte neutralité en matière de dogmes, religieux ou pas, de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rapporte aux affaires publiques, aux missions et à l'action de la Puissance publique dans l'intérêt général sans dinstinctions de croyances et de non-croyance, à ne surtout pas confondre avec la notion purement géographique d'espace public designant tout simplement tout lieu ouvert au public où tout ce qui relève de la sphère privée, dont la foi religieuse, doit pouvoir s'exprimer et s'afficher librement sous réserve de respecter la liberté et les droits d'autrui et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes ou intempestives. Partant de là, il est juridiquement logique que cette neutralité de la sphère publique impliquant l'interdiction des signes ostentatoires d'appartenance, non seulement religieuse, mais également philosophique, politique et, même, communautaire, s'impose aux agents du service public dans l'exercice de leurs fonctions et aux élèves de l'enseignement public primaire et secondaire dans le seul cadre de l'enseignement qui leur y est prodigué, ces derniers, citoyens en devenir, étant là pour acquérir des connaissances et s'initier à la citoyenneté, pas pour y afficher leur croyances et/ou convictions personnelles. Il serait tout aussi juridiquement logique qu'elle soit également imposée à ces "collaborateurs occasionnels du service public" que sont les parents d'élèves de l'enseignement public primaire et secondaire accompagnant et encadrant des sorties scolaires car, ce faisant, ils participent directement au fonctionnement du service public de l'Éducation nationale et à l'accomplissement de ses missions au même titre que les agents de ce même service public dans l'exercice de leurs fonctions, les usagers que sont les élèves ayant droit à la la même neutralité de la part des personnes qui les encadrent à quelque titre que ce soit. Par contre, dans le simple espace public, hors de toute problématique de service public, cela reviendrait finalement à rompre cette neutralité de la sphère publique dont l'objet et justement de garantir la liberté de tous et de chacun dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle. En effet, comme le précise bien la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État, "La République connaît tous les cultes mais n'en reconnaît, n'en salarie ni n'en subventionne aucun", le second membre de cette formule étant justement là pour garantir le premier. La laïcité, ce n'est donc pas une opinion, c'est tout simplement la liberté d'en avoir une dans le respect de la liberté d'autrui d'avoir la sienne, sous la garantie de la neutralité de la sphère publique telle que je viens de la définir et délimiter avec précision, et, en cela, elle se distingue à la fois, d'une-part, de la notion de religion d'État ou de religion officielle ou, même, de régime concordataire, et, d'autre-part, de celle d'athéisme d'État, par exemple, de type marxiste, pour la bonne raison que, dans tous ces cas de figure, l'État n'est justement pas neutre. Ce fut Aristide Briand, rapporteur de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État qui sut le mieux résumer en quelques mots l'essence même du principe de laïcité par la formule suivante : "La loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne prétend pas dire la loi". Le principe de laïcité est également tout entier contenu dans ce passage essentiel de l'article premier du Règlement général du Grand Orient de France, lu en loge à chaque ouverture des travaux, qui, après avoir proclamé le respect des autres et de soi-même, la tolérance mutuelle et la liberté absolue de conscience comme étant les principes fondamentaux de la franc-maçonnerie, précise aussitôt : "Considérant les conceptions métaphysiques comme relevant du domaine exclusif de l'appréciation individuelle de ses membres, elle (NB : la franc-maçonnerie) se refuse à toute affirmation dogmatique".. .
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  767. Sais tu, ​ @dalida1279 , qui a écrit texto ce qui suit dès le début du XIVème siècle ce qui suit : "Les seuls peuples à accepter l'esclavage sont les n.... en raison d'un degré inférieur d'humanité, leur place étant plus proche du stade animal" ?, un affreux blanc occidental ?, non, pas-du-tout, ce fut votre grand penseur,géographe et historien Ibn Khaldoun dont la statue trône tranquillement sur une place de Tunis sans que personne ne songe à la déboulonner. Il dressa même un tableau hiérarchisé des "races" humaines plaçant les Africains subsahariens tout au bas de l'échelle, tableau dont devait s'inspirer directement bien plus tard, au XIXème siècle, le théoricien racialiste et orientaliste distingué français Arthur de Gobineau dont les travaux inspireront à son tour Alfred Rosenberg, théoricien du racisme nazi. Et il ne fut pas le seul penseur arabo-musulman a avoir ainsi théorisé la prétendue "infériorité naturelle" des noirs au beau milieu des plus de 13 siècles de traite négrière arabo-musulmane, tant orientale que transsaharienne, ayant notamment pour particularité la pratique courante de la castration des hommes noirs capturés. Il s'agissait en effet de justifier cette mise en servitude des noirs en contournant l'interdit théorique de l'esclavage entre musulmans en un temps où l'Islam commençait à se répandre au sud du Sahara. Les Européens s'inspireront directement de ces théories arabes pour justifier leur propre traite négrière transatlantique lorsqu'elle débutera au XVIème, cette dernière n'ayant duré qu'un-peu moins de quatre siècles, elle, puisque ce furent bien les vilains occidentaux qui initièrent le processus des abolitions de l'esclavage. Et les grandes conquêtes guerrières arabo-musulmanes, turques seldjoukides et turques ottomanes, et la conquête musulmane de l'Inde au XVIème siècle à la base de l'Empire Moghol, plus de 20 millions de victimes, et des siècles de razzias esclavagistes des corsaires Maures, Sarrasins puis Barbaresques en pays chrétiens, et pas seulement dans le Bassin méditerranéen, et les génocides arménien et assyro-chaldéens imputables aux Ottomans durant la Première guerre mondiale, et les génocides du Sud-Soudan et du Darfour, et les crimes d'Al QaÏda, de Daech et de Boko-Haram, des entreprises philanthropiques sans-doute ? Tiens, un conseil de lecture pour finir : "Le génocide voilé - La traite négrière arabo-musulmane" de l'ethnologue et historien sénégalais Tidiane N'diaye. L'homme a toujours été un loup pour l'homme en tout temps et en tout lieu, l'ampleur de ses méfaits ne variant qu'en fonction de celle des moyens humains, matériels, techniques, technologiques, scientifiques et logistiques dont il peut disposer à tel ou tel moment pour les les perpétrer, alors, votre lecture puérilement manichéenne de l'Histoire et votre citation à sens unique au tribunal de l'Histoire ça suffit comme ça, apprenez enfin à balayer devant votre propre porte avant de passer votre temps à le faire devant la nôtre, ça nous savons très bien le faire nous-mêmes étant les seuls à savoir tôt ou tard reconnaître pleinement nos propres crimes, ayant même une certaine tendance à l'autodénigrement, à l'inverse de vous,toujours dans l'occultation mémorielle, voire le déni, et la victimisation systématique. Deux exemples : 1- seule la traite négrière transatlantique a été officiellement reconnue comme "crime contre l'humanité", alors qu'un voile pudique recouvre toujours la mémoire des très longues traites négrières orientale et transsaharienne, ce qui est d'autant plus choquant que des pratiques esclavagistes subsistent encore de nos jours ça et là dans le monde arabo-musulman de manière à peine clandestine. 2- Plus d'un siècle après, la Turquie se refuse toujours aussi obstinément à refuser de reconnaître le génocide arménien de 1915.
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  789. Ben, justement non,  @ak57roswell84 , et vous le sauriez si vous connaissiez un-peu l'Histoire de l'irrédentisme italien revendiquant l'annexion de la Corse, dès la seconde moitié du XIXème siècle, avec le président du Conseil Crispi et Giuseppe Garibaldi qui disait : "La Corsica e Nizza sono francese comme io sono tartaro" ("La Corse et Nice sont françaises comme moi je suis tartar"), et, surtout, à l'époque du régime fasciste au cours de laquelle cette propagande irrédentiste et cette revendication annexionniste furent les plus intenses. Elle se heurtèrent au refus quasi unanime des corses magnifiquement illustré par le fameux serment de Bastia prononcé le 4 décembre 1938 par une foule immense : "Face au monde, de toute notre âme, sur nos gloires, sur nos tombes, sur nos berceaux, nous jurons de vivre et de mourir Français". Ce refus viscéral face à la menace bien réelle d'une annexion italienne expliqua une Résistance plus précoce et plus nombreuse qu'ailleurs en France, aboutissant à l'ordre d'insurrection générale au soir du 8 septembre 1943, point de départ de la libération anticipée de l'île. Les Corses ont passionnément aimé et servi une France qui ne leur a jamais témoigné qu'indifférence en retour, quand ce n'était pas du mépris pur et simple, qui a pu offir des destins individuels souvent prestigieux à des corses, mais toujours au prix de l'expatriation, mais a toujours refusé un destin collectif à la Corse et aux corses chez eux. Finalement, dans ce que l'on appelle depuis des décennies "le problème corse" ou "la question corse", il y a un-peu quelque-chose qui ressemble à du dépit amoureux. L'homme politique continental a nous avoir sans-doute le mieux compris fut Michel Rocard qui a d'ailleurs choisi de reposer de son dernier sommeil au cimetière du village de sa dernière compagne, Monticellu, mais il était intelligent, lui....
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  799. L'arrogance,  @robertobrans-levi7095  , @G et @Francis Doxi Cohen, elle se trouve du côté de ceux qui prétendent défendre le peuple "opprimé", mais qui ne le connaissent en aucune manière, vivant dans l'entre-soi de leurs quartiers cossus de "bobos", et le méprisent profondément, en plus, en traitant les pauvres, les humbles qui n'ont pas eu la chance de faire des études, de "beaufs". Je n'ai pas été arrogant, j'ai tout simplement répondu à l'arrogance stupide d'un petit prétentieux qui se permettait de mépriser, finalement, la majeure-partie des simples gens auxquels le foot, en dépit de toute la pourriture affairiste qui l'entoure, apporte un-peu de plaisir, de bonheur, même, un peu de divertissement dans la grisaille des difficultés quotidiennes. Non, mais, qui êtes vous, messieurs les "petits marquis" de l'époque de Molière pour traiter les gens de "beaufs" ?, pour qui vous prenez vous ? Jean-Baptiste Poquelin, lui, il les connaissait bien les humbles, les sans-grade, et il ne se serait jamais permis de leur témoigner un tel mépris. Alors, merci de ne pas inverser les rôles, la prétention, l'arrogance, le mépris, ils sont de votre côté , pas du mien, les "matuvus", c'est vous, pas moi !!! Pour moi, traiter ceux qui n'ont pas eu la chance ni les moyens d'accéder à un certain niveau socio-culturel et d'éducation de "beaufs" ça revient exactement au même que d'en affubler d'autres de noms d'oiseaux à consonnance raciste bien connus à raison de la couleur de leur peau, de leurs origines, mépris de classe d'un côté, mépris "racial" de l'autre. Je suis issu d'une région insulaire où, traditionnellement, il n'y a pas de barrières ni culturelles ni psychologiques, pas d'incommunicabilité entre les classes, où l'été, au village, on retrouve, autour d'une table, au café, à jouer aux cartes ensemble, des gens de toute condition sociale et de tout niveau socio-culturel que rien ne distingue en apparence les uns des autres, qui parlent tous le même langage, et puis, si on gratte un-peu, on retrouve parmi eux, un medecin, un petit employé de bureau, un agriculteur, un notaire, un avocat, un cantonnier, un berger, un éleveur de porcs, un petit commerçant, un professeur d'université, tous ensemble, sans la ramener les uns par rapport aux autres, dans une ambiance qui rappelle un peu celle si bien décrite par le grand Marcel Pagnol avec César, Panisse, Escartefigue, monsieur Brun etc....., et tous ont la même passion pour le foot et le "Sporting", l'"ACA" ou le GAZ" comme on dit là-bas. Mon père avait beau être medecin-biologiste, ses amis les plus proches n'en étaient pas moins les "paisani", "pastori" et "purcaghji" de son village, messieurs les "amis du peuple"....., mais de loin......
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  802. Oui,  @user-my3um9ip3k  , mon petit "bobo", ça ne m'étonne pas que tu méprises également l'œuvre si vraie et si humaine de Giovannino Guareschi, immortalisée au cinéma par le duo Fernandel - Gino Cervi, c'est si loin de Saint-Germain-des-Prés ou du quartier du Marais ça ..... Mais dis moi, mon petit "révolutionnaire en peau d'lapin", que proposes tu très concrètement pour libérer de ses "oppresseurs" ce cher "peuple" qui est surtout pure abstraction pour les gens comme toi ?, quel nouvel "enfer pavé de bonnes intentions" nous concoctez vous donc ? Comme le disait le très pragmatique Winston Churchill à propos de ce que vous appelez avec mépris la "démocratie bourgeoise" selon la vulgate marxiste, "la démocratie est le pire des régimes à l'exception de tous les autres", oui, elle est éminemment imparfaite, oui elle est même très largement illusoire, oui c'est un "miroir aux alouettes" servant de paravent à une veritable oligarchie ploutocratique, mais, désolé, "les choses étant ce qu'elles sont dans le monde tel qu'il est", pour reprendre une formule chère à cet autre grand pragmatique qu'était Charles de Gaulle, il n'y a rien de mieux, ou, plutôt, de moins pire, de plus vivable et supportable, en boutique, toute alternative radicale se terminant invariablement en enfer franchement dictatorial, totalitaire ou théocratique, avec, toujours, les "meilleures intentions du monde", bien entendu, tant l'enfer en est pavé. Eh bien, l'"affreux" capitalisme, c'est un-peu la même chose, c'est "le pire des systèmes économiques à l'exception de tous les autres", on peut certes s'efforcer de le réguler, d'en corriger les excès, d'en atténuer les conséquences les plus injustes et les plus cruelles, mais, désolé, toute alternative radicale concrète n'a jamais abouti qu'au seul partage de la pénurie, voire de la misère, sauf pour une nouvelle caste dirigeante et privilégiée qui ne manque jamais de surgir des décombres du "Grand soir" Et de confisquer la "Révolution", cette caste dirigeante là, fondamentalement bureaucratique, étant, en plus, stérile et improductive. À mon âge, on a justement cessé de croire au "grand soir" et aux "lendemains qui chantent", on se contente du moins pire, du moindre mal et, surtout, du possible, compte tenu des réalités qui sont têtues comme les faits....
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  881. Ben oui, @Bob Dessalines, la colonisation, vaste entreprise multiforme, certes intrinsèquement de domination et d'exploitation, a comporté des crimes indéniables, mais elle a eu aussi des effets positifs (mise en place d'infrastructures modernes dans tous les domaines, mise en valeur des terres, assainissement des marais porteurs de malaria, progrès sanitaires, en particulier par les campagnes de vaccination, répression des razzias esclavagistes des populations nomades contre les populations sédentaires, entre-autres). Conclusion, au-delà de vos postures idéologiques, la colonisation a été porteuse de crimes et d'injustices, oui, indéniablement, mais elle n'a pas été, en elle-même et dans sa globalité, un "crime contre l'humanité", catégorie juridique dont la définition est très claire et très précise, aussi bien en droit pénal international (DPI), en particulier depuis le procès de Nuremberg, qu'en droit pénal interne français calqué sur le DPI. En effet, si la colonisation devait être considérée dans sa globalité et par nature-même comme un "crime contre l'humanité", alors ce devrait être également le cas de toutes les actions de conquête guerrière ayant émaillé l'Histoire de l'humanité en tout temps et en tout lieu, y compris les grandes conquêtes arabo-musulmanes et ottomanes, ainsi que les conquêtes ayant été à la base des grands empires et royaumes africains d'avant la période coloniale, l'Empire du Mali, le grand royaume du Bénin, la domination pluri-séculaires des Hutus par les Tutsis, le grand royaume Zulu en Afrique Australe etc...., tous ayant d'ailleurs pratiqué le système esclavagiste. Assez de cette lecture puérilement manichéenne de l'Histoire, laquelle n'est pas un vieux western hollywoodien en noir et blanc avec les "bons" d'un côté et les "vilains" de l'autre, c'est un-peu-plus complexe que ça, figurez vous.
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  1002. Mais,  @ae6077  , tu n'as rien compris, c'est justement parce-que nous n'admettons pas n'importe quel comportement de leur part, que nous avons su leur tracer une ligne rouge comportementale symbolique à ne pas dépasser sous peine de conséquences pour ceux qui la franchissent quand-même que nous avons finalement su construire un véritable "vivre ensemble" dans les mêmes quartiers et les mêmes villages bien plus authentique et concret que sur le Continent, la Corse étant même la région de France à compter la plus forte proportion de mariages interconfessionnels entre musulmans issus de l'immigration maghrébine et non-musulmans sans obligation de conversion de part et d'autre, et n'étant pas rare d'y rencontrer, en particulier dans les villages, de vieux immigrés marocains ou tunisiens parlant mieux le corse que le français. Le jeunes "rebeux" de chez nous, il n'ont pas cet horrible accent des "cités" du Continent sorti d'on ne sait où, ils ont l'accent corse comme les autres, ils parlent exactement comme les autres jeunes insulaires avec les mêmes expressions issues du corse comme "fraté" ou "goffu", ils appellent les continentaux "les pins", abréviation de "pinzuti", comme les autres. Quand on vit parmi de gens enracinés dans leur terre, qui défendent bec et ongles leur identité, qui savent être solidaires entre eux, on a naturellement envie de leur ressembler, alors que, sur le Continent, on n'a pas vraiment envie de ressembler à des gens qui n'ont plus aucune conscience identitaire, voire nationale, qui ont presque honte de ce qu'ils sont, de leur histoire, qui sont individualistes à l'extrême jusqu'au "chacun pour soi", qui abandonnent leurs anciens, qui rasent les murs en baissant les yeux. Nous avons un point commun, eux et nous, nous somme des montagnards méditerranéens, aussi, vivant sur notre terre, ils savent d'instinct ce qu'ils peuvent s'y permettre ou non.
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  1054. Les Américains se sont attaqués seulement à Tripoli, autre nid de Corsaires barbaresques, en 1803,  @cheh7965  , jamais à Alger, et dès le règne de Louis XIV, La marine royale française avait mené des opérations navales contre les flottes barbaresques dont la puissance commença alors à diminuer par rapport à ce qu'elle avait été au XVIème siècle, sans pour autant disparaître. Lorsque les troupes françaises prirent Alger en 1830, elles y découvrirent encore des captifs chrétiens réduits en esclavage. Les hypocrites ce sont ceux qui, comme vous, passent leur temps à balayer devant notre porte sans jamais le faire devant la leur. La traite négrière transatlantique qui dura un-peu moins de quatre siècles et connue de tous et a été très légitimement officiellement reconnue comme crime contre l'humanité, qu'en est il de la traite négrière arabo-musulmane, tant transsaharienne qu'orientale qui, elle, a duré plus de 13 siècles ?, qu'en est il également des pratiques esclavagistes à peine clandestines persistant encore de nos jours, en Libye, en Mauritanie, dans certains pays d'Afrique subsaharienne, au Soudan et dans la péninsule arabique ?, qu'en est il également de la situation quotidienne des migrants venus de l'Afrique subsaharienne dans les pays du Maghreb, en Algérie en particulier ?... J'ai connu, à la fin des années 70, à Paris, un étudiant Malien, Dumbia, qui avait fait sa première année de droit à l'université d'Alger, il m'avait d'écrit par le menu son quotidien et celui de ses camarades étudiants africains subsahariens, là-bas, pour conclure : "mais ici, en France, c'est le paradis, à côté". Il m'avait même précisé qu'en Algérie le mot d'arabe dialectal utilisé couramment pour désigner les noirs signifie littéralement "esclave". C'est d'ailleurs votre grand penseur, historien et géographe Ibn Khaldoun, dont la statue trône sur une place de Tunis sans que personne ne songe à la déboulonner, qui écrivit dès le XIVème siècle : "Les seuls peuples à accepter l'esclavage sont les n.... en raison d'un degré inférieur d'humanité, leur place étant plus proche du stade animal", plus raciste que ça tu meurs...
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  1110. La laïcité,  @mohamedz5609  , c'est précisément la liberté, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun, sous la garantie de la distinction et de la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", dont la traduction juridique est la séparation entre les cultes religieux et l'État, et de la stricte neutralité en matière de dogmes, religieux ou pas, de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rapporte aux affaires publiques et à l'action et aux missions de la Puissance publique au service de l'intérêt général sans distinctions de croyances et de non-croyance, à ne pas confondre avec la notion purement géo-spatiale de simple espace public où tout ce qui relève de la sphère privée de chacun, la foi religieuse par exemple, peut librement s'afficher et s'exprimer sous réserve de respecter la liberté d'autrui et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes ou intempestives. Bref, la Laïcité, ce n'est pas une religion, ce n'est même pas une opinion, c'est tout simplement la liberté d'en avoir une dans le respect de la liberté d'autrui d'avoir la sienne, le tout sous la garantie de la neutralité de la sphère publique telle que je viens de la définir, et, en cela, elle se distingue à la fois de la notion de religion d'État ou de religion officielle, d'une part, et de celle d'Athéisme d'État, par exemple de type Marxiste, d'autre part, car, dans les deux cas, l'État n'est justement pas neutre. Ce principe de laïcité est d'ailleurs fort bien illustré par cet extrait essentiel du Règlement général du Grand Orient de France lu en loge à chaque ouverture des travaux : "Considérant les conceptions métaphysiques comme relevant du domaine exclusif de l'appréciation individuelle de ses membres, la franc-maçonnerie se refuse à toute affirmation dogmatique", alors, si c'est ce principe de la liberté absolue de conscience que vous prenez pour une religion, c'est votre affaire, mais, ici, en France c'est comme ça que ça se passe, et c'est même le seul moyen pour pouvoir vivre ensemble dans la diversité de nos conceptions personnelles, croyance selon quelque culte religieux que ce soit ou non-croyance, aussi, si ça ne vous convient pas, si vous préférez une société où c'est une religion précise qui fait et dit la loi, qui règle tous les aspects de la vie individuelle et collective, c'est simple, la porte est grande ouverte et personne ne vous retient ici ; après-tout, la Hijra ce n'est pas fait pour les chiens.
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  1112. Vous n'avez rien compris,  @mohamedz5609  , c'est justement la neutralité de la sphère publique en matière de dogmes, religieux ou pas, qui garantit la totale liberté de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle aux yeux de la puissance publique, cette neutralité n'impliquant la prohibition des signes ostentatoires d'appartenance, non seulement religieuse, mais également, de manière générale, philosophique et politique, qu'à l'égard des seuls agents du service public dans le seul exercice de leurs fonctions et des seuls élèves de l'enseignement public primaire et secondaire dans la seule enceinte des établissements qu'ils fréquentent et le seul cadre de l'enseignement qui leur y est dispensé, étant là pour acquérir des connaissances et s'initier à la citoyenneté, pas pour afficher leurs croyances et convictions personnelles. Il serait également juridiquement logique que la loi impose la même obligation de neutralité laïque à ces "collaborateurs occasionnels du service public" que sont les parents d'élèves de l'enseignement accompagnant et encadrant des sorties scolaires puisque, ce faisant, ils participent directement au fonctionnement du service public de l'Éducation nationale et à l'accomplissement de ses missions au même titre que les agents de ce même service public dans l'exercice de leurs fonctions ; les usagers de ce service public que sont les élèves ont en effet droit à la même neutralité de la part des personnes qui les encadrent, à quelque titre que ce soit. Mais, à part ça, dans l'espace public, la règle est la liberté d'afficher et d'exprimer ses convictions, religieuses ou non, sous la seule réserve de respecter la liberté d'autrui et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes ou intempestives. Si vous mettez fin à cette neutralité de la sphère publique en matière religieuse, si vous permettez aux religions de s'ingérer dans le domaine temporel et dans les affaires publiques, c'est simple, vous créez une rupture de l'égalité des consciences et de la tolérance mutuelle au détriment de la liberté de ne pas croire et de ne pratiquer aucun culte qui est tout aussi respectable que celle de croire et de pratiquer le culte de son choix. C'est bien pour ça que "la République connaît tous les cultes, mais n'en reconnaît, n'en subventionne ni n'en salarie aucun", selon la fameuse formule de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État. Quant à l'interdiction légale du voile intégral masquant le visage et ne laissant apparaître que les yeux, elle n'a rien à voire avec la Laïcité, obéissant seulement à un impératif de sécurité publique, toute personne circulant sur la voie publique devant être immédiatement identifiable et à une exigence de civilité envers autrui, le visage étant, dans notre civilisation, le principal vecteur civique de communication entre les êtres ; en plus, il est le symbole intolérable de l'infériorisation et de l'invisibilité consécutive de la femme. Quant au port du burkini, aucune interdiction générale et absolue ne le frappe, un arrêté municipal ne pouvant l'interdire temporairement, sous le contrôle de légalite du juge administratif que si, compte tenu des circonstances concrètes, cette interdiction temporaire est nécessaire pour prévenir ou faire cesser tout trouble grave et immédiat à l'ordre public. C'est ainsi que nombe d'arrêtés municipaux interdisant le port du burkini ont été annulés pour illégalité par la Justice administrative, cette dernière ayant estimé que dans les circonstances du moment, aucun risque de trouble grave et immédiat à l'ordre public n'était de nature à les justifier. Enfin, la personne humaine est une réalité concrète, tandis que Dieu n'est qu'une simple hypothèse relevant de la seule libre conviction de chacun, et on ne régit pas l'ensemble d'une société humaine au nom d'une simple hypothèse relevant de la seule conviction intime de chacun, subjective par nature même. Mais, je vous le redis, SI NOS RÈGLES DE VIE EN SOCIÉTÉ NE VOUS CONVIENNENT PAS, C'EST SIMPLE, LA PORTE EST GRANDE-OUVERTE ET PERSONNE NE VOUS RETIENT ICI, LA HIJRA N'ÉTANT PAS FAITE POUR LES CHIENS......
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  1114. Tu ne te rends même pas compte,  @mohamedz5609  , de l'incohérence de ton discours. Comment veux tu que la liberté de conscience, celle de croire ou de ne pas croire en particulier, soit garantie dans une société théocratique où, par définition même, l'État se confond avec une religion précise ? D'ailleurs, selon la Loi islamique, l'apostasie, c'est à dire le fait, pour un musulman de se convertir à une autre religion ou de devenir ouvertement athée ou agnostique, est considérée comme un crime théoriquement passible de la peine de mort, ce "théorique" étant même une réalité très concrète dans un certain nombre de pays musulmans, les autres se contentant, dans leurs législations respectives, de peines de prison et de fortes amendes. Quant à la situation des Juifs et des Chrétiens dans la Oumma, la "communauté des croyants", elle se confond traditionnellrment avec le statut de la "dhimma" accordant une "protection" aléatoire variant, selon les lieux et les époques, d'une relative tolérance à de franches persécutions, contre la paiment d'un impôt spécifique, ce qui en fait bien des "citoyens de seconde zone". Bon, assez plaisanté avec ton enfumage théocratique, si tu te sens si opprimé par la prétendue "tyrannie" de la soi-disant "religion" laïque et si la Oumma est le "paradis sur terre", que fais tu encore ici, en France et pourquoi êtes vous encore si nombreux à y vivre ou a chercher à venir y vivre par tous les moyens, en traversant la Méditerranée sur des embarcations de fortune, au péril de vos vies, après avoir payé des passeurs une fortune ?, seriez vous légèrement masochistes ? MAIS SI VOUS N'ÊTES PAS BIEN ICI, LA HIJRA EST À VÔTRE ENTIÈRE DISPOSITION, NOM DE DIEU !!! À moins que votre objectif ne soit bien d'islamiser progressivement notre pays en commençant par séparer petit-à-petit ses citoyens de confession musulmane du reste de la communauté nationale, tant sociétalement que culturellement et territorialement, en attendant de le faire juridiquement, mais, dans ce cas, comprenez que ne soyons pas tout-à-fait d'accord, nous, les "infidèles" et les "mécréants".
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  1119. D'abord,  @mohamedz5609  , je ne suis pas "ton ami", ensuite, le fait que nombre d'entre vous travaillent et paient leurs impôts, comme tout-le-monde, n'autorise pas nécessairement les autres à vivre dans un assistanat chronique, sans compter une fraude massive à l'aide sociale, ni d'autres à vivre grassement d'une économie souterraine criminelle très largement fondée sur le trafic de stupéfiants. Quant aux discriminations de fait au travail d'ailleurs sanctionnées par la loi, sans compter les dispositifs légaux de "discrimination positive" tels celui permettant aux élèves méritants issus de certaines ZEP d'intégrer Sciences-Po sans concours, par exemple, elles ne sont pas des causes, mais des conséquences, conséquences de comportements intolérables, délictueux et criminels ou non, et d'incivilités multiples et variées, qui, à force de se multiplier, finissent fatalement par rejaillir sur l'ensemble des populations dont ils émanent objectivement le plus souvent. Pas de discriminations en l'embauche contre les Asiatiques, par exemple, demandez vous pourquoi, trouvez la réponse, et vous apprendrez peut-être enfin à éduquer correctement vos enfants. Des lois "islamophobes" depuis 2004 ?, quelles lois "islamophobes" ?, la loi de 2004 sur le respect de la neutralité laïque dans l'enseignement public primaire et secondaire ?, elle s'applique à tous les signes ostentatoires d'appartenance religieuse, politique et philosophique, quels qu'ils soient. La loi de 2010 interdisant le port du voile intégral ne laissant apparaître que les yeux dans l'espace public ?, elle répond à un impératif de sécurité publique, toute personne circulant sur la voie publique devant être immédiatement identifiable, sans compter le véritable danger au volant qu'implique la réduction considérable du champs de vision, la vision latérale, en particulier, induite par un tel accoutrement, ainsi qu'à une exigence minimale de civilité, le visage étant, dans notre civilisation, le premier et principal vecteur physique de communication entre les personnes, sans compter les intolérables infériorisations et invisibilité de la femme que cela symbolise. Enfin, qu'entendez-vous véritablement par ce néologisme d'"islamophobie", popularisé, rappelons-le, par l'ayatollah Khomeiny, grand « démocrate » et « humaniste » exemplaire, comme chacun sait ? S'il s'agit, par ce mot, uniquement de condamner les atteintes aux personnes, les appels à la haine et les discriminations envers les personnes, en raison de leur appartenance religieuse, pas de problèmes, il peut être opérant. Mais, dans ce cas, pourquoi donc avoir inventé un mot nouveau, spécifique à une religion précise, dès lors que la loi sanctionne d'ores et déjà toute atteinte aux personnes, tout appel à la haine, toute discrimination en raison de l'appartenance religieuse quelle qu'elle soit ? De même, pourquoi donc ne parle t on jamais de « christianophobie » à propos des persécutions et même, parfois, des meurtres dont sont victimes nombre de communautés chrétiennes du Moyen-Orient ?... . Par contre, s'il s'agit, par ce néologisme d'"islamophobie" de restreindre la liberté d'expression en interdisant, petit à petit, toute vision critique de l'Islam en tant que dogme, en tant que conception globale de l'homme, de la femme et de la société, et même en tant que système juridique [car l'Islam est bien tout cela à la fois], et, plus précisément, de réintroduire peu à peu, dans notre droit, l'incrimination archaïque de « blasphème », alors là, il y a danger liberticide. En effet, dans une société comme la nôtre, on doit avoir le droit de critiquer librement toute construction idéologique, même à caractère religieux, quelle qu'elle soit. En définitive, ce concept d'"Islamophobie" semble bien être un véritable "piège", une véritable "arme" utilisée dans cette "guerre psychologique" menée contre la République et ses valeurs, et l'on peut s'étonner que nombre de nos esprits réputés « progressistes » et « éclairés » s'empressent de tomber si étourdiment dans un piège aussi grossier. Et, pour conclure, si vous n'êtes pas à votre aise ici, en France, en pays "infidèle" et "mécréant", si vous vous y sentez soi-disant "brimés", voire "persécutés", qu'y faites vous encore si nombreux, dans ce cas ?, il y a, dans le monde, une immense Oumma de deux ou trois milliards de "croyants" prête à vous accueillir en son sein. LA PORTE ET GRANDE-OUVERTE, VOUS SAVEZ, ET PERSONNE NE VOUS RETIENT ICI, À BON ENTENDEUR SALUT !!
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  1122. Mais,  @mohamedz5609  , toute religion est fondamentalement politique au sens étymologique de ce dernier mot, "chose de la cité", le mot religion venant lui-même du Latin "religere" qui signifie "relier" et suppose donc un magistère actif sur la vie en société, sur la vie de la "cité". Les Évangiles ont beau poser le principe de la distinction et de la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel à travers ces deux paroles attribuées au Christ que j'ai déjà citées, les Églises chrétiennes, et singulièrement l'Église catholique, n'en ont pa moins passé la majeure-partie de leur Histoire à faire de la politique, soit en exerçant directement un pouvoir temporel, soit étant le soubassement structurel du pouvoir séculier des monarques de droit divin. Ce n'est pas pour rien que Napoléon Bonaparte disait : "ce qui me fascine dans la religion, ce n'est pas tant le mystère de l'incarnation que celui de l'ordre social", la "religion opium du peuple" de Karl Marx avant la lettre, en quelque sorte, mais dans le sens du manche, dans l'intérêt de l'ordre établi. Durant la campagne d'Égypte, Bonaparte avait même confié à ses officiers : "si je devais gouverner un pays musulman, je n'hésiterais pas à me faire Mahométan", concevant ainsi la religion comme un instrument, un levier de pouvoir politique. Quant au Judaïsme et à l'Islam, c'est encore plus simple, ces deux religions qui, elles, ont toujours ignoré la distinction et la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, étant conceptuellement des religions normatives, des "religions-lois" en quelque sorte. L'Islam, en particulier, religion intrinsèquement politique depuis ses origines, depuis sa fondation par un prophète qui n'était pas seulement un guide spirituel et une autorité morale, mais également un véritable leader politique, une sorte de chef d'État, un législateur et, même, un chef de guerre, ce n'est pas seulement une spiritualité et des principes moraux, c'est également, en plus d'être une civilisation à part entière, une conception idéologique globale et totalisante du monde, de l'humanité et de la société, un système politique de gouvernement à vocation théocratique, le Califat, et, surtout, une Loi avec un grand "L", c'est-à-dire un corpus juridique ayant vocation à régir tous les aspects de la vie humaine sur terre dans leurs moindres détails. D'ou l'incompatibilité irréductible entre un pouvoir temporel d'essence religieuse et tout principe démocratique fondé sur le pouvoir du peuple. Quant à dire que le voile islamique serait une simple mode vestimentaire ne correspondant à aucun précepte religieux, c'est vraiment se moquer du monde. En effet, si tel était le cas, quel problème cela poserait il de l'ôter temporairement, le temps du service, quand on est fonctionnaire, ou en cours quand on est élève de l'enseignement public primaire et secondaire ?, son port est d'ailleurs recommandé dans le Coran. En plus, de nos jours, en France, pour les jeunes-femmes qui le portent de plus en plus, alors que c'était rarissime il y a plus de trente ans, il est bien clairement un marqueur politico-religieux. Enfin, le respect des autres, ça commence par celui des lois, des règles, de la civilisation et du mode-de-vie du pays dans lequel on vit, sinon, on s'y comporte en conquérant en colonisateur. Oui, nous l'avons fait, et vous nous avez chassés à juste titre, ce n'est pas pour autant une raison pour nous laisser faire à rebours. Deux civilisations radicalement différentes que tout oppose ne peuvent durablement cohabiter pacifiquement sur un même territoire,, comme disait fort justement le général de Gaulle : "Essayez de mélanger l'eau avec l'huile, vous aurez beau secouer la bouteille dans tous les sens, elles finiront toujours par se séparer", aussi, l'une doit impérativement s'adapter à l'autre étant entendu que cette obligation de pur bon-sens s'impose naturellement à la nouvelle-venue, celle arrivée d'ailleurs.
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  1139. Les valeurs dont je parle,  @haplife.H-H  ? , c'est simple, Liberté, de conscience en particulier, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun, liberté d'expression, également, impliquant la liberté de critiquer toute construction idéologique, religieuse ou profane, de s'en moquer, même, de les caricaturer, le cas échéant, les croyants ayant le droit d'avoir le sens du "sacré" et du "divin" mais pas d'imposer aux autres ce qui n'est "sacré" et "divin" que pour eux, la seule limite étant les atteintes aux personnes, les incitations à la haine et discriminations contre les personnes à raison de leurs origines, de leur nationalité, de leur confession religieuse, de leur sexe ou de leur orientation sexuelle, Égalité, notamment entre hommes et femmes et sans discriminations, y compris à raison de l'orientation sexuelle, et Fraternité, indépendamment des appartenances ethniques ou confessionnelles, la seule communauté fraternelle de droit, dans notre pays, étant la communauté nationale qui n'est pas autre-chose que l'universalité des citoyens français libres et égaux en droits et en devoirs quelles que soient leurs origines, leurs croyances ou leur non-croyance. C'est aussi la Laïcité qui n'est pas autre-chose que la liberté, dans l'égalité des consciences et la tolérance mutuelle, de croire ou de ne pas croire, de pratiquer le culte de son choix ou de n'en pratiquer aucun, sous la garantie de la distinction et de la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", dont la traduction juridique est la séparation des cultes religieux et de l'État, et de la stricte neutralité en matière de dogmes, religieux ou pas, de la sphère publique recouvrant tout ce qui se rapporte aux affaires publiques, à l'action et aux missions de la Puissance publique au service de l'intérêt général sans distinctions de croyances et de non-croyance, laquelle ne se confond donc en aucune manière avec la notion purement géo-spatiale d'espace public désignant simplement tout lieu ouvert au public où chacun est libre d'afficher et exprimer ses convictions, même religieuses, sous réserve de respecter la liberté d'autrui et de ne pas troubler l'ordre public par des manifestations violentes ou intempestives (sur ce point je me sépare d'ailleurs d'Éric Zemmour, car, contrairement à ce qu'il affirme, la laïcité n'a jamais exigé l'invisibilité ni même la discrétion du fait religieux dans le simple espace public). La laïcité, ce n'est pas une opinion, c'est seulement la liberté d'en avoir une dans le respect de la liberté d'autrui d'avoir la sienne, et, en cela, elle se distingue à la fois de la notion de religion d'État ou de religion officielle, d'une-part, et de celle d'Athéisme d'État, par exemple de type Marxiste, d'autre-part, car, dans les deux cas, l'État n'est justement pas neutre. Comme le disait fort justement Aristide Briand, rapporteur de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l'État, "la loi protège la foi aussi longtemps que la foi ne prétend pas dire la loi". Vous sentez un léger mépris de la part ?, pourquoi, ne pas faire l'effort d'apprendre à écrire correctement la langue du pays dans lequel on vit ne serait-ce pas une certaine marque de mépris pour ce même pays ?, croyez vous que ça mérite le respect, ça ?
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  1141. Vous m'avez mal lu,  @haplife.H-H , il y a bien-entendu des limites à la liberté, ce sont les atteintes aux personnes, je dis bien aux personnes, pas aux idées, aux idéologies, aux croyances que l'on est libre de critiquer, même en se trompant éventuellement sur elles, de railler et de caricaturer, même, la liberté d'expression consistant justement en la confrontation des idées qui implique de pouvour heurter les autres dans leurs convictions, même religieuses, tout en acceptant de l'être dans les siennes, sinon elle n'a plus aucun sens. Par exemple, j'abuse de ma liberté d'expression si j'incite à la haine ou à la discrimination contre les personnes de confession musulmanes en tant que telles, à seule raison de leur confession religieuse, mais, par contre, j'ai parfaitement le droit de critiquer l'Islam en tant que construction idéologique, une religion n'étant pas, après-tout, autre chose qu'une idéologie qui s'autoproclame sacrée et d'essence divine, même sévèrement, même de m'en moquer par la caricature. Fallait il, par exemple, naguère, s'abstenir de toute critique, de toute opposition, de toute moquerie, de toute caricature contre cette idéologie totalitaire comptable de centaines de millions de victimes à travers le monde qu'était le Communisme, sous prétexte de ne pas "insulter", de ne pas heurter les consciences des centaines de millions de personnes qui, à travers le monde, adhéraient en toute sincérité à l'idéal communiste, avec les meilleures intentions du monde, "l'enfer" étant, comme chacun sait, "pavé de bonnes intentions" ?...
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  1142. Désolé,  @haplife.H-H  , mais une religion ce n'est pas autre chose qu'une idéologie qui s'autoproclame sacrée et d'essence divine, et, comme une idéologie profane, elle peut très bien porter en elle-même, avec ces meilleures intentions du monde qui "pavent l'enfer", les germes du fanatisme le plus criminel. On a tout-de-même abondamment massacré, exterminé, torturé au nom de Dieu, quelle que soit la confession religieuse, tout au long de l'Histoire. Et cela est d'autant plus vrai pour une religion intrinsèquement politique depuis ses origines, depuis sa fondation par un prophète qui n'était pas seulement un guide spirituel et une autorité morale, mais également un véritable leader politique, une sorte de chef d'État, un législateur et, même un chef de guerre, une religion qui a toujours ignoré la distinction et la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel inscrite dans les Évangiles chrétiens à travers ces deux paroles attribuées au Christ : "Rendez à César ce qui appartient à César et laissez à Dieu ce qui est à Dieu" ainsi-que "Mon royaume n'est pas de ce monde", même si l'Église catholique a longtemps été singulièrement oublieuse de cet aspect précis du message évangélique, une religion qui n'est pas seulement une spiritualité, ni même une morale, une éthique, mais également, en plus d'être une civilisation à part entière, une conception idéologique globale et totalisante du monde, de l'humanité et de la société, un véritable système politique de gouvernement à vocation théocratique, le Califat, et, surtout, une Loi avec un grand "L", c'est-à-dire un corpus juridique ayant vocation à régir tous les aspects de la vie humaine sur terre.
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  1143. Pour conclure,  @haplife.H-H  , ici, en France,on est au pays de Molière, avec son emblématique personnage de Tartuffe, de Voltaire, contempteur du fanatisme, religieux ou pas, de Diderot, chantre de la libre pensée, de Beaumarchais, avec sa fameuse devise, "sans la liberté de blâmer il n'est point d'éloge flatteur", d'Ernest Renan, auteur d'une très iconoclaste "Vie de Jésus" contextualisant historiquement ce personnage historique plus ou moins bien connu, mythifié et défié par les Évangiles et la doctrine chrétienne, on est au pays de la liberté de penser et de dire, et, même, de l'impertinence, on est au pays qui a mis plus d'un siècle à s'émanciper de l'emprise sociétale, politique, juridique, même, de l'Église catholique en rappelant cette dernière au bon souvenir du principe chrétien de la distinction et de la séparation entre domaine spirituel et domaine temporel, entre sphère privée et sphère publique, entre religion et politique au sens étymologique du mot, "chose de la cité", acquis qui ne sera jamais abandonné au profit d'une autre religion, quelle qu'elle soit, alors, si ça ne vous convient pas, c'est simple, la porte est grande ouverte et personne ne vous retient, la Hijra étant à votre entière disposition. Ici, c'est à l'Islam de s'adapter à la civilisation de notre pays et à sa République laïque, pas l'inverse, et ceux d'entre vous, nombreux, qui le comprennent et qui l'acceptent, sont ici chez eux, mais les autres, ils n'ont qu'à faire leur Hijra.
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  1162. Non, mais, vous vous moquez de qui, là,  @arthur98-s4y  ? Le Hamas a toujours, par exemple, interdit à la population civile l'accès à son vaste réseau de tunnels souterrains édifié grâce au détournement massif de l'aide internationale à Gaza et strictement réservé à ses combattants, il a toujours pris soin de placer ses centres de commandement et opérationnels au beau milieu de zones densément peuplées, sous des écoles, sous des hôpitaux etc...., et, depuis plus de six mois, il avait tout fait pour entraver au possible l'évacuation de la population civiles vers la frontière égyptienne pourtant demandée par Tsahal avant-même le déclenchement de son offensive terrestre, y compris par des exécutions sommaires dont j'avais pur voir des images, en novembre dernier, sur le portable de l'un de mes "frères" de loge dont la fille vit à Tel-Aviv, et maintenant, il se planque au beau milieu du million de réfugiés entassés à Rafah. si vous voulez vraiment aider les Gazaouis, exigez donc des gens du Hamas qu'ils libèrent sains et saufs les derniers otages se trouvant encore entre leurs griffes, qu'ils sortent de leurs trous les mains en l'air et se rendent. Le Hamas, c'est l'héritier politique et idéologique direct de Mohamed Hadj Amine al-Husseini, grand mufti de Jérusalem, ça vous dit quelque-chose ?, non ?, documentez vous donc sur ce personnage central de l'Histoire de la Palestine durant la première moitié du XXème siècle, vous allez en apprendre des choses....
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  1198. Quand la bêtise inculte se marie à la paranoïa aiguë ça donne la prose indigeste de @hopfbifurcation1973  ...... Ah, petit détail, Finkielkraut n'a jamais parlé du droit à la continuité historique des Juifs, "brillant intellectuel", mais du droit à la continuité historique de la France en tant que nation, faut suivre un-peu.... Heureusement que les noirs sont loin d'être tous aussi bêtes que vous, lisez de brillants universitaires comme Bachir Suleymane Diagne que j'ai eu l'honneur et l'avantage de connaître personnellement en 1976-1977 au lycée Louis-le-Grand à Paris, ou comme l'ethnologue et historien Sénégalais Tidiane N'diaye, et relisez attentivement Leopold Sédar Senghor et Aimé Césaire, ça vous rendra peut-être intelligent. Le seul antiracisme authentique qui vaille c'est celui, à la fois personnaliste et universaliste qui fut si bien exprimé par Martin Luther-King lorsqu'il disait dans son fameux "I have a dream", en tant que leader du mouvement pour les droits civiques au sein duquel les Juifs étaient fort nombreux au côté des noirs, : "J'ai fait le rêve que mes quatre enfants vivront dans une nation où ils seront jugés, non pas sur la couleur de leur peau, mais sur la valeur de leur caractère", pas ce racialisme essentialiste obsessionnel qui a pris sa place aujourd'hui. Vous savez, jadis, Brassens chantait : "l'âge ne fait rien à l'affaire, quand on est con, on est con", la couleur de la peau non-plus ne fait rien à l'affaire.......
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