Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "" video.

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  4. Le vieil antisémitisme français d'extrême droite existe certes encore dans l'intimité de certaines consciences individuelles, @corrineshimoni3854, mais son expression publique est bien résiduelle de nos jours, se limitant, entre autres, à des gens comme Alain Bonnet alias Alain Soral, le vieux Philippe Ploncard d'Assac, dirigeant des "Cercles nationalistes français" et fils du collaborationniste doriotiste Jacques Ploncard d'Assac, le négationniste Vincent Reynouard et le journal "Rivarol" dirigé par le catholique intégriste Jérôme Bourbon. D'ailleurs, ce n'est pas pour rien, notamment à travers les connexions anciennes du premier cité avec les intellectuels fréristes Tarik Ramadan et Youssef Hindi, que ces gens prônent depuis longtemps une sorte d'alliance avec l'Islam politique, pléonasme d'ailleurs, contre ce qu'ils considèrent comme étant leur "ennemi commun" et qu'ils nomment la "Ripoublique judéo-maçonnique" selon la vieille phraséologie des extrêmes-droites françaises de jadis. Noter à ce propos qu'à l'automne 2023, quelques semaines après les pogroms sanglants du 7 octobre en Israël, le journal "Rivarol" avait publié une tribune fort élogieuse à l'égard de Jean-Luc Mélenchon le comparant notamment au Jean-Marie le Pen de naguère dans le rôle, valorisant aux yeux de cette "feuille de chou", de "politiquement infréquentable", et qu'il y a plusieurs mois Alain Soral avait appeler à voter pour le même Jean-Luc Mélenchon avant de changer tout récemment son fusil d'épaule en appelant maintenant à voter pour Dominique de Villepin.
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  6. Non, @malikaibrihen, mais les auteurs des pogroms sanglant comptables de centaines de victimes ayant émaillé les émeutes de 1920 en Palestine et les deux grandes révoltes arabes de la Palestine sous mandat britannique, celle de 1929 et celle de 1936-1937, toutes deux déclenchées à l'appel de Mohamed Hadj Amine al-Husseini, grand mufti de Jérusalem, dont on connaît le rôle d'auxiliaire zélé de l'Allemagne nazie mis entièrement dans la confidence de la "Solution finale" qu'il joua par la suite durant la seconde guerre mondiale, ceux du pogrom de Constantine en 1934 en Algérie fondé sur une simple rumeur, les tueurs de la centaine de Juifs de Bagdad massacrés à l'occasion de la tentative de coup d'État irakien pro-nazi en 1941, les membres de la Légion arabe au service du Reich stationnée en Grèce, les 10 à 20.000 SS musulmans bosniaques de la division Waffen SS Hanschar, les sbires de la "Brigade nord-africaine" spécialisée dans la chasse aux Juifs et aux Résistants recrutés et formés en France métropolitaine par les gestapistes français Bonny et Lafont de la rue Lauriston, sans compter tous les soviétiques de confession musulmane, Tatars de Crimée, Tchétchènes, Ingouches, Bachkirs, Azéris, Ousbeks, Turkmènes, Tadjiks, Kirghizes ayant combattu sous l'uniforme allemand, ils étaient bien tous musulmans eux. D'ailleurs, on peut également citer parmi ces musulmans engagés au service de l'Allemagne nazie l'Algérien Saïd Mohammedi qui combattit sous l'uniforme allemand et sera, plus tard, un chef militaire de l'ALN, bras armé du FLN algérien, responsable du massacre méthodique de la totalité de la population du village messaliste de Mélouza en 1957 ; comme quoi il avait bien appris et assimilé les méthodes nazies.
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