Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "Alain Finkielkraut dans le Grand Rendez-Vous Europe 1 CNEWS du 11 décembre 2022 (intégrale)" video.

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  16. Ben oui,  @moonmoon-nu5yx , tu lis attentivement l'article Wiki consacré à l'UGIF, organisme fondé par une loi de Vichy en1941 ainsi que le livrd de Maurice Rajfus, "Des Juifs dans la collaboration", ça ramènera ton obsession à ses justes proportions. D'ailleurs, le légalisme aveugle de l'UGIF n'empêcha pas ses membres d'être arrêtés et déportés à leur tour en 1943, eux qui pensaient naïvement que le Maréchal Pétain protégerait au moins les Juifs français, pas plus que ça n'empêcha les membres du Judenrat allemand et de la "police juive" des ghettos de Pologne de subir le même sort. Que cherches tu a démontrer là ?, oui, dans toute population persécutée, il y a toujours eu des individus crédules pensant pouvoir se mettre à l'abri en se rendant utiles à leurs persécuteurs ou, au minimum, en obéissant docilement à leurs ordres, et alors ?, crois tu que l'humanité ne soit faite que de héros courageux et droit dans leurs bottes ?, il y a aussi de misérables lâches prêts à toutes les compromissions pour sauver leur misérable peau, mais, d'une certaine manière, eux aussi sont des victimes, car c'est bien la persécution générale décidée par d'autres qui les réduit à une telle indignité. Après tout, au temps de l'esclavage des noirs, aux Amériques, il y avait aussi ceux qui pensaient améliorer leur sort personnel en servant fidèlement leurs maîtres contre leurs propres frères, est-ce-que ça les rendait pour autant responsables du système esclavagiste dans sa globalité ?....
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  30. L'arrogance,  @robertobrans-levi7095  , @G et @Francis Doxi Cohen, elle se trouve du côté de ceux qui prétendent défendre le peuple "opprimé", mais qui ne le connaissent en aucune manière, vivant dans l'entre-soi de leurs quartiers cossus de "bobos", et le méprisent profondément, en plus, en traitant les pauvres, les humbles qui n'ont pas eu la chance de faire des études, de "beaufs". Je n'ai pas été arrogant, j'ai tout simplement répondu à l'arrogance stupide d'un petit prétentieux qui se permettait de mépriser, finalement, la majeure-partie des simples gens auxquels le foot, en dépit de toute la pourriture affairiste qui l'entoure, apporte un-peu de plaisir, de bonheur, même, un peu de divertissement dans la grisaille des difficultés quotidiennes. Non, mais, qui êtes vous, messieurs les "petits marquis" de l'époque de Molière pour traiter les gens de "beaufs" ?, pour qui vous prenez vous ? Jean-Baptiste Poquelin, lui, il les connaissait bien les humbles, les sans-grade, et il ne se serait jamais permis de leur témoigner un tel mépris. Alors, merci de ne pas inverser les rôles, la prétention, l'arrogance, le mépris, ils sont de votre côté , pas du mien, les "matuvus", c'est vous, pas moi !!! Pour moi, traiter ceux qui n'ont pas eu la chance ni les moyens d'accéder à un certain niveau socio-culturel et d'éducation de "beaufs" ça revient exactement au même que d'en affubler d'autres de noms d'oiseaux à consonnance raciste bien connus à raison de la couleur de leur peau, de leurs origines, mépris de classe d'un côté, mépris "racial" de l'autre. Je suis issu d'une région insulaire où, traditionnellement, il n'y a pas de barrières ni culturelles ni psychologiques, pas d'incommunicabilité entre les classes, où l'été, au village, on retrouve, autour d'une table, au café, à jouer aux cartes ensemble, des gens de toute condition sociale et de tout niveau socio-culturel que rien ne distingue en apparence les uns des autres, qui parlent tous le même langage, et puis, si on gratte un-peu, on retrouve parmi eux, un medecin, un petit employé de bureau, un agriculteur, un notaire, un avocat, un cantonnier, un berger, un éleveur de porcs, un petit commerçant, un professeur d'université, tous ensemble, sans la ramener les uns par rapport aux autres, dans une ambiance qui rappelle un peu celle si bien décrite par le grand Marcel Pagnol avec César, Panisse, Escartefigue, monsieur Brun etc....., et tous ont la même passion pour le foot et le "Sporting", l'"ACA" ou le GAZ" comme on dit là-bas. Mon père avait beau être medecin-biologiste, ses amis les plus proches n'en étaient pas moins les "paisani", "pastori" et "purcaghji" de son village, messieurs les "amis du peuple"....., mais de loin......
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  33. Oui,  @user-my3um9ip3k  , mon petit "bobo", ça ne m'étonne pas que tu méprises également l'œuvre si vraie et si humaine de Giovannino Guareschi, immortalisée au cinéma par le duo Fernandel - Gino Cervi, c'est si loin de Saint-Germain-des-Prés ou du quartier du Marais ça ..... Mais dis moi, mon petit "révolutionnaire en peau d'lapin", que proposes tu très concrètement pour libérer de ses "oppresseurs" ce cher "peuple" qui est surtout pure abstraction pour les gens comme toi ?, quel nouvel "enfer pavé de bonnes intentions" nous concoctez vous donc ? Comme le disait le très pragmatique Winston Churchill à propos de ce que vous appelez avec mépris la "démocratie bourgeoise" selon la vulgate marxiste, "la démocratie est le pire des régimes à l'exception de tous les autres", oui, elle est éminemment imparfaite, oui elle est même très largement illusoire, oui c'est un "miroir aux alouettes" servant de paravent à une veritable oligarchie ploutocratique, mais, désolé, "les choses étant ce qu'elles sont dans le monde tel qu'il est", pour reprendre une formule chère à cet autre grand pragmatique qu'était Charles de Gaulle, il n'y a rien de mieux, ou, plutôt, de moins pire, de plus vivable et supportable, en boutique, toute alternative radicale se terminant invariablement en enfer franchement dictatorial, totalitaire ou théocratique, avec, toujours, les "meilleures intentions du monde", bien entendu, tant l'enfer en est pavé. Eh bien, l'"affreux" capitalisme, c'est un-peu la même chose, c'est "le pire des systèmes économiques à l'exception de tous les autres", on peut certes s'efforcer de le réguler, d'en corriger les excès, d'en atténuer les conséquences les plus injustes et les plus cruelles, mais, désolé, toute alternative radicale concrète n'a jamais abouti qu'au seul partage de la pénurie, voire de la misère, sauf pour une nouvelle caste dirigeante et privilégiée qui ne manque jamais de surgir des décombres du "Grand soir" Et de confisquer la "Révolution", cette caste dirigeante là, fondamentalement bureaucratique, étant, en plus, stérile et improductive. À mon âge, on a justement cessé de croire au "grand soir" et aux "lendemains qui chantent", on se contente du moins pire, du moindre mal et, surtout, du possible, compte tenu des réalités qui sont têtues comme les faits....
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  51. Mais,  @ae6077  , tu n'as rien compris, c'est justement parce-que nous n'admettons pas n'importe quel comportement de leur part, que nous avons su leur tracer une ligne rouge comportementale symbolique à ne pas dépasser sous peine de conséquences pour ceux qui la franchissent quand-même que nous avons finalement su construire un véritable "vivre ensemble" dans les mêmes quartiers et les mêmes villages bien plus authentique et concret que sur le Continent, la Corse étant même la région de France à compter la plus forte proportion de mariages interconfessionnels entre musulmans issus de l'immigration maghrébine et non-musulmans sans obligation de conversion de part et d'autre, et n'étant pas rare d'y rencontrer, en particulier dans les villages, de vieux immigrés marocains ou tunisiens parlant mieux le corse que le français. Le jeunes "rebeux" de chez nous, il n'ont pas cet horrible accent des "cités" du Continent sorti d'on ne sait où, ils ont l'accent corse comme les autres, ils parlent exactement comme les autres jeunes insulaires avec les mêmes expressions issues du corse comme "fraté" ou "goffu", ils appellent les continentaux "les pins", abréviation de "pinzuti", comme les autres. Quand on vit parmi de gens enracinés dans leur terre, qui défendent bec et ongles leur identité, qui savent être solidaires entre eux, on a naturellement envie de leur ressembler, alors que, sur le Continent, on n'a pas vraiment envie de ressembler à des gens qui n'ont plus aucune conscience identitaire, voire nationale, qui ont presque honte de ce qu'ils sont, de leur histoire, qui sont individualistes à l'extrême jusqu'au "chacun pour soi", qui abandonnent leurs anciens, qui rasent les murs en baissant les yeux. Nous avons un point commun, eux et nous, nous somme des montagnards méditerranéens, aussi, vivant sur notre terre, ils savent d'instinct ce qu'ils peuvent s'y permettre ou non.
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