Comments by "Missiavu" (@missiavu) on "" video.

  1. Vous oubliez de préciser que le FLNC n'a pas été le premier mouvement clandestin en Corse, il avait eu deux prédécesseurs dans la première moitié des années 70, le Fronte Paisanu corsu di liberazione (FPCL) d'abord, Giustizia Paolina (GP) ensuite.
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  2. En ce qui concerne l'histoire de la question linguistique, ce documentaire ne parle que de la "langue" corse et de la langue française en oubliant singulièrement un autre acteur essentiel de cette histoire, au-moins jusqu'à la seconde moitié du XIXème siècle, la langue italienne, langue écrite et savante de l'île durant des siècles. Ce fut d'ailleurs en priorité contre cette langue italienne que fut d'abord menée cette politique de francisation linguistique de l'île, bien plus que contre le niveau dialectal dont l'effacement progressif de la "lingua madre" allait paradoxalement lui permettre de s'ériger progressivement en langue à part entière.
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  3. Excellent documentaire dans l'ensemble, du travail globalement sérieux, oui, c'est certain, mais je n'en regrette pas moins l'absence singulière de l'historien Michel Vergé-Francschi.
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  4. Bien-entendu, ​ @marcgabriel5096 , c'était tout simplement le Toscan littéraire, le parler Florentin plus précisément, devenu la langue savante et écrite commune, je dis bien "commune", pas exclusive, à tous les peuples de l'Italie depuis qu'au XIIIème siècle Dante Alighieri avait été le premier à rédiger son œuvre littéraire, non-pas en Latin, mais "in lingua volgare" comme on disait alors.
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  5. Documentaire réalisé par Dominique Lanzalavi et écrit par Jean-Paul Pellegrinetti ? C'est un gage de qualité ça..... Ah, je vois que la seconde partie de ce documentaire a été écrite par Sampiero Sanguinetti, fils de l'amiral Antoine Sanguinetti et neveu du "baron" du gaullisme Alexandre Sanguinetti. C'est certes un excellent professionnel du journalisme, mais peut-être pas autant un gage d'objectivité que l'historien Jean-Paul Pellegrinetti.
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  6. Une grande absente dans ce documentaire, la lèpre mafieuse. C'est pourtant le fléau numéro un pour la société corse d'aujourd'hui.
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  7. Occupati di a roba toia, o pinzutacciu di merda, vai, sarà megliu 😂😂😂😂
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  8. Je précise que l'historien bastiais Ange Rovere que l'on peut voir dans ce documentaire, est un vieux militant de toujours du Parti communiste français en Corse.
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  9. Nous nous passerons volontiers de ton soutien, ​ @brahimifatima1883 . Notre Histoire c'est également des siècles de razzias esclavagistes maures, sarrasines et, ensuite, barbaresques sur notre île. Pourquoi crois tu que notre littoral est littéralement ceinturé d'un dense réseau de tours de guet dites "tours génoises" et que nos villages sont presque toujours nichés en nids d'aigles sur les hauteurs ou au fond de vallées montagnardes ?......
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  10. Marie-Jeanne Nicoli est la petite-fille du résistant Jean Nicoli exécuté par les Italiens le 31 août 1943.
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  11. Jean-Paul de Rocca-Serra, le "renard argenté", assistant à un concert de "Canta u Populu corsu" 😂😂😂😂 À ce niveau-là, il était plus débonnaire et moins rigide que François Giacobbi par exemple. "Il faut bien que jeunesse se passe" disait il malicieux, à ce qu'on m'avait raconté 😊😊😊😊
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  12. Attention, Paoli a quitté la Corse pour son dernier exile anglais en octobre 1795, à la demande polie mais ferme du roi Georges III d'Angleterre en raison de son opposition à la politique du vice-roi sir Gilbert Elliot qui ne respectait pas la Constitution du Royaume anglo-corse adoptée en avril 1794, soit un an avant l'évacuation de l'île par les Britanniques et son retour à la France en octobre 1796, dans la foulée de la Campagne d'Italie.
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