Comments by "Raethoric" (@Raethoric) on "Scanderia" channel.

  1. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    25
  2. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    7
  3. 5
  4. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    3
  5. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    2
  6. 2
  7. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    2
  8. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    2
  9. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    2
  10. 2
  11. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  12. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  13. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  14. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  15. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  16. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  17. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  18. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  19. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  20. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  21. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  22. 1
  23. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  24. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  25. 1
  26. 1
  27. 1
  28. 1
  29. 1
  30. 1
  31. 1
  32. 1
  33. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  34. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  35. 1
  36. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1
  37. Etonnante séquence de Idriss Aberkane. Je l'ai connu plus rigoureux, plus honnête aussi. Dans sa réflexion sur la justice, il déclare que les Juifs fondent l'existence de l'état d'Israël non pas sur un droit naturel mais sur un droit d'origine divine.(22:49) Rien n'est plus faux et j'ai du mal à croire qu'il puisse l'ignorer. L'idée du Sionisme, portée par des Juifs profondément laïcs, ne fait pas la moindre référence à un supposé droit divin mais bien à l'opposé, à un principe issu du droit positif, le Droit des Peuples à Disposer d'eux mêmes. C'est sur cette base que l'état Juif a été reconnu à l'ONU et que le peuple palestinien ainsi que l'état Palestinien ont été créés de toute pièce par les états de la communauté internationale, pour faire bonne mesure, et accorder une partie de la terre historiquement Juive aux populations islamiques qui résidaient sur le territoire de la Palestine Mandataire. Les Juifs acceptèrent cette solution à deux états, malheureusement, l'ensemble de la Oumma Islamique, l'ensemble des états Musulmans de l'époque refusèrent cette solution à deux états. Plutôt que d'accepter la force du droit international ils choisirent au contraire le droit de la force armée, et les pays Musulmans déclarèrent immédiatement la guerre à l'état Juif naissant, se fondant non pas sur le droit naturel mais sur le droit divin de l'Islam qui stipule qu'un homme (ou un état) converti à l'Islam ne peut plus jamais apostasier c'est à dire renoncer à l'Islam sous peine de mort. C'est ainsi que les Palestiniens n'ont aujourd'hui pas d'état et n'en auront probablement jamais car, comme le dit le proverbe, "trompe moi une fois, honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi". Dès lors il paraît difficile de penser que les Juifs puissent accorder le moindre crédit à la parole et à la bonne volonté du peuple de la Oumma sans une réforme profonde de la pensée islamique, du Coran et de la mentalité des Musulmans qui, aujourd'hui encore, dans leur écrasante majorité, fondent leur créance territoriale universelle sur un droit divin prescrit par leur texte sacré, le Coran. L'injustice dont parle Idriss Aberkane incombe donc à la responsabilité exclusive et sans partage des Musulmans du monde qui, malheureusement, choisirent la guerre perpétuelle plutôt que d'accorder aux Juifs un quelconque droit sur le moindre petit bout de leur terre ancestrale. Merci Idriss de parler de justice. Merci surtout d'essayer de s'y conformer.
    1