Comments by "thierrydesu" (@thierrydesu) on "Когда крайне правые сопротивлялись, 1939-1945 гг." video.
-
14
-
9
-
8
-
7
-
6
-
6
-
5
-
5
-
4
-
4
-
4
-
4
-
4
-
3
-
3
-
3
-
3
-
3
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
@jeanmorel3737 L'Union soviétique n'était pas raciste ? Combien de peuples ont été exterminés sur une seule base raciale ? La république populaire de Chine n'est pas raciste ? Le remplacement des peuples Mongols, Ouïghours et Tibétains par des Hans, ça vous parle ? Le Cambodge des Khmers rouges n'était pas raciste ? Les Vietnamiens, les Hmmongs, les Chinois, les Occidentaux, persécutés par vos amis polpotistes, non, toujours rien ? La Syrie et l'Irak du Parti Baas - affilié à l'internationale socialiste -, qui s'en prenaient aux Kurdes et aux Arméniens ? Pas racistes ? Le FLN algérien qui a procédé à un nettoyage ethnique sur les Français ? L'ANC sud-africain qui en a après les Boers, les Zoulous et tout ce qui n'est pas sud-africain ? Tous les régimes socialistes d'Amérique latine qui s'en sont pris aux populations indiennes autochtones ? Non, vraiment, ça ne vous dit rien ? Et la plus belle : c'est bien la France socialiste et républicaine de la fin du XIXème siècle qui s'est lancée dans l'aventure coloniale, pas vrai ? Je vous ressors les mots de Jules Ferry sur les devoirs de certaines races envers certaines autres races ? Quant à l'antisémitisme, on le doit bien à "Sur la Question juive" de Karl Marx publié en 1844, non ? Toute la gauche du milieu du XIXème siècle au milieu du XXème siècle était bien antisémite, non ? Je pense à Proudhon, Hugo, Jaurès, il y en a beaucoup d'autres... Où avez-vous vu que le racisme était de droite ? Vous parlez des nazis ? Parlons des nazis ! Où avez-vous vu que les nazis étaient nationalistes ? Sauf erreur, il ont passé le plus clair de leur temps à attaquer, envahir et annexer les territoires de leurs voisins. D'un point de vue nationaliste, rien ne justifie les occupations du Danemark, de la Pologne, de la Tchécoslovaquie, de la Yougoslavie, de la Grèce, de l'Italie, de la France, de la Belgique et des Pays-Bas. Ce sont des procédés expansionnistes et impérialistes, donc, juste le contraire du nationalisme. Vous ne comprenez même pas le sens des mots que vous employez.
2
-
2
-
2
-
2
-
@Mutic996 Totalement faux. La collaboration économique n'a pour ainsi dire pas existé. Les entreprises françaises ont produit pour les Allemands pour : 1) remplir le carnet de commandes. Avec l'exode, les destructions, les confiscations, le dépeçage de la France en zones pour ainsi dire imperméables, clients et fournisseurs étaient séparés ; 2) avoir des gens capables de payer. Entre 1940 et 1944, des Français pouvant sortir le carnet de chèques pour honorer leurs commandes, ça ne courrait pas les rues ; 3) conserver leurs machines, sans quoi elles auraient été déboulonnées et mises sur des trains direction l'Allemagne ; 4) pouvoir faire franchir la ligne de démarcation à leurs commerciaux, matières premières et marchandises ; 5) avoir accès aux matières premières rationnées par les Allemands ; 6) conserver leurs employés qui n'étaient concernés ni par la Relève ni par le STO si l'entreprise comptait des Allemands dans sa clientèle ; 7) verser à leurs employés des salaires réguliers, ce qu'étaient incapables de faire les entreprises ne faisant pas partie des fournisseurs de l'Allemagne. Après, vous pouvez penser que toutes les entreprises auraient dû fermer, et les Français mourir de faim, sauf bien sûr ceux qui auraient été déportés en Allemagne.
2
-
2
-
2
-
2
-
@antoinev9733 C'est bien la gauche qui a enterré la IIIème République en votant majoritairement les pleins pouvoirs à Pétain, non ? Vous pouvez prendre le problème comme vous le voulez, des députés et sénateurs de ce que vous appelez l'"extrême droite", ça n'existait pas. Et même si vous allez chercher des "fascistes" dans la droite la plus molle, elle n'était pas majoritaire en 1940. L'assemblée nationale issue du scrutin de 1936 qui a porté le Front populaire au pouvoir, ça ne vous dit rien ? Avec vous les gauchiards, on a toujours l'impression qu'il y a eu une élection législative en 1940 qui a porté l'"extrême droite" au pouvoir. Et les gens de Vichy étaient anticommunistes, oui, et donc ? Une large frange de la gauche a toujours été anti-communiste. Et Staline, il n'était pas anti-social-démocratie ? Il en avait même fait l'ennemie principale de la 3ème internationale, avant le nazisme. Socialistes et communistes se détestaient. La rupture lors du Congrès de Tours, ça a été quelque chose de violent. Et les gens de Vichy étaient antisémites, oui et alors ? Sauf erreur, c'est Karl Marx qui a réintroduit l'antisémitisme en publiant Sur la Question juive en 1844. Si vous vous intéressez aux principales figures de la gauche entre le milieu du XIXème siècle et le milieu du XXème siècle, vous verrez que la plupart étaient antisémites, y compris Proudhon, Jaurès... La gauche était surtout européiste, pacifiste et partisane d'une réconciliation inconditionnelle avec l'Allemagne. Quand il a fallu choisir entre maintenir son philosémitisme de façade d'avant guerre et la construction de la Nouvelle Europe socialiste aux côtés des nazis, la gauche socialiste a vite fait son choix. Comme le dit Simon Epstein, la gauche avait laissé tomber les Juifs dès avant la guerre. Bref, vous êtes un ignorant qui n'a que de fausses convictions qui lui sont inspirées par son idéologie négationniste et qui essaie de me prendre en défaut en balourdant des énormités.
2
-
2
-
2
-
2
-
@Momo89-98 Il y a quelques mois, j'ai envoyé à mon père, un révisionniste comme vous, un exemplaire du journal LA FRANCE SOCIALISTE d'août 1944. On peut déjà se demander comment il se fait que pouvait paraître un journal appelé LA FRANCE SOCIALISTE sous un régime d'"extrême droite" avec la censure d'"extrême droite" qui va avec. C'était un des derniers numéros, sorti entre le débarquement franco-américain en Provence et l'effondrement du régime de Vichy, à une époque où il n'y avait plus que les ultras de la collaboration. C'était magnifique, tout y était en quelques pages : la collaboration justifiée au nom du socialisme, de l'anticapitalisme, de l'européisme, du rapprochement inconditionnel avec l'Allemagne, du pacifisme, de l'antimilitarisme, d'Aristide Briand et de Jean Jaurès.
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
2
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@ma64328 Vous allez avoir du mal à me convaincre que le socialisme est l'idéologie qui promeut les intérêts de la classe laborieuse. Il y avait des syndicats libres en Union soviétique ? Il y en a en République populaire de Chine ? En République de Corée du Nord ? A Cuba ? Non, n'est-ce pas ? Dans un régime socialiste, il n'y a qu'un syndicat unique lié au Parti et qui maintient la classe ouvrière dans la soumission et l'obéissance. Avant la révolution de 1789, les travailleurs s'organisaient eux-mêmes en corporations. C'est la révolution de 1789 qui a mis fin au régime corporatiste et a livré les travailleurs à l'usine du XIXème siècle. Par ailleurs, il faut vous dresser la liste de tous les mouvements ouvriers que la gauche a réprimés dans la violence et le sang entre la fin du XIXème siècle et le milieu du XXème siècle ? Et je ne suis pas à deux doigts de dire que Hitler était un socialiste, je le dis très clairement depuis bien longtemps. Ce n'est pas parce que ça ne vous plait pas que c'est faux. Entre son apparition en 1919 sous le nom de Parti des ouvriers allemand et sa disparition en 1952 sous le nom de Parti socialiste du Reich, le nazisme s'est toujours réclamé du socialisme. Il n'y a pas un seul discours, une seule affiche, un seul livre, un seul tract, un seul film, une seule chanson, où les nazis se disent de droite. C'est vous les révisionnistes qui prétendez cela. Et on voit bien la maladie mentale du socialisme : si un individus avec une tête d'homme et un corps d'homme se dit femme, il faut accepter que c'est une femme parce qu'il se sent femme. Par contre, un nazi qui se dit socialiste n'est pas un socialiste selon vous, quoi qu'il en dise, car ça va à l'encontre des intérêts de votre idéologie.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@caiussempronius2342 Ce n'est pas parce que la gauche et notamment la gauche communiste, s'est déclarée résistante qu'elle l'a été. Jusque 1941, pendant que les socialistes étaient à Vichy, les communistes étaient de facto alliés aux Allemands de par le pacte Molotov-Ribbentrop étant donné qu'ils prenaient leurs ordres de Moscou. Ils sont entrés en "résistance" pour venir en aide à l'Union soviétique, non par patriotisme. Par ailleurs, les "résistants" communistes ont passé le plus clair de leur temps à régler leurs comptes entre trotskystes et staliniens, entre munichois et antimunichois, entre munichois devenus antimunichois, antimunichois devenus munichois, munichois restés munichois et antimunichois restés antimunichois. Leurs "actes de résistance" consistaient pour l'essentiel en des assassinats d'Allemands isolés, destinés à provoquer des représailles, ce que dénonçait le général de Gaulle. La gauche qui a été la dernière à entrer en "résistance" ne doit d'en avoir pris le leadership qu'à la trahison de Jean Moulin qui a fait un enfant dans le dos de De Gaulle en écartant la résistance de droite au profit de celle de gauche, afin probablement de préparer la révolution socialiste à la Libération. Et c'est probablement aussi ce qui lui a valu d'être trahi.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@sonofwar6206 Pétain a été ministre de la Guerre dans un gouvernement radical-socialiste en 1934. Il n'a pas pu devenir fasciste au contact de Franco puisque Franco était un conservateur catholique. Le fascisme est un sous-produit du socialisme. Le seul truc que pouvait avoir Franco en commun avec les fascistes était sa détestation du communisme mais apparemment, il a jugé que ce n'était pas suffisant pour faire la guerre à leurs côtés. Prétendre que Pétain était un capitaliste, ça c'est énorme alors qu'il dénonce le capitalisme dans sa première allocution en tant que Chef de l'Etat. Pourquoi dites-vous que "des" socialistes lui ont voté les pleins pouvoirs ? C'est LA gauche qui lui a voté les pleins pouvoirs. L'Assemblée nationale est celle héritée des législatives de 1936 qui a mené le Front populaire au pouvoir et le Sénat est la résultante de 16 ans de domination de la gauche sur la vie politique. Donc les parlementaires de 1940 étaient majoritairement de gauche. Les socialistes n'avaient aucune envie de poursuivre la guerre : ils étaient pacifistes, antimilitaristes, européistes, et ne rêvaient que d'une entente avec l'Allemagne. C'est à eux que l'Armée doit son manque de moyens, son impréparation et la débâcle de 1940. Ensuite vous confondez le fait d'être socialiste et d'être membre de la SFIO. Dans ces années-là, des partis qui se réclamaient du socialisme, ce n'est pas ce qui manquait. Et Pierre Laval n'a jamais cessé de se réclamer du socialisme malgré sa rupture avec la SFIO. Comme les "Parisiens" du RNP et du PPF, il mène d'ailleurs sa politique de collaboration conformément à ses convictions socialistes. Le socialisme est une idéologie fanatique et abrutissante. Vu le niveau d'endoctrinement, sans un traitement médical lourd, on n'en sort pas. Les interlocuteurs négationnistes sur ce fil en sont une parfaite illustration. Par conséquent, ce n'est pas parce Pierre Laval n'était plus membre de la SFIO qu'il n'était plus socialiste. Et Pierre Laval avait bien le statut de Président du Conseil. Le premier ministre revient avec de Gaulle et la Vème République en 1958. Enfin, il faut rappeler que le ministre de l'Economie du régime de Vichy, René Belin, était issu de la CGT. La Charte du Travail qu'il a mise en place avait pour but de rétablir le système corporatif qui permettait aux travailleurs de s'organiser par branches d'activités avant la révolution de 1789, cette révolution bourgeoise acclamée par la gauche qui a débouché sur l'usine esclavagiste du XIXème siècle.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@gael9339 Si on y réfléchit bien, la collaboration, c'est des gens de droite, des nationalistes historiquement antiallemands qui acceptent l'autorité de leaders de gauche (Laval, Déat, Doriot...) pour trahir leur pays tandis que la résistance, c'est des gens de gauche, des internationalistes qui n'en ont rien à foutre de la France, qui acceptent l'autorité de leaders de droite (de Gaulle, Leclerc, de Lattre, Juin, Koenig, Massu, Kieffer, Weygand, Giraud...) pour défendre la patrie qu'ils ont conspuée dans les années 20 et 30.
Tout cela est parfaitement cohérent.
1
-
1
-
1
-
1
-
@sermorgandeeylau850 J'ai un jour envoyé à mon père, un négationniste comme vous, un exemplaire du torchon collaborationniste LA FRANCE SOCIALISTE d'août 1944. Un journal publié entre le débarquement franco-américain en Provence et la chute du régime de Vichy. C'est dire qu'à cette époque il ne restait plus que les ultras de la collaboration. Et bien en quelques pages, tout était là : ils revendiquaient la collaboration au nom du socialisme, d'Aristide Briand, de Jean Jaurès, du pacifisme, de la réconciliation inconditionnelle avec l'Allemagne, de l'européisme, du fédéralisme, de l'anticapitalisme.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
@antoinev9733 Vous prétendez que le franquisme est un fascisme. Rien n'est plus éloigné de la vérité. Devant votre mauvaise foi, je vais être obligé de vous humilier. Je vais vous exposer tout ce qui oppose le groupe idéologique dans lequel se range le franquisme (disons abusivement "extrême droite") et le groupe idéologique dans lequel se range le nazisme (disons abusivement "fascisme") : L'extrême droite est de droite comme son nom l'indique. Le fascisme, sous-produit du socialisme, dont les germes se trouvent dans le Manifeste du Parti communiste de Karl Marx et Friedrich Engels, est de gauche ; L'extrême droite se dit conservatrice. Le fascisme se dit révolutionnaire ; L'extrême droite est monarchiste. Sa préférence va à une monarchie traditionnelle avec un pouvoir exécutif royal fort, à défaut une monarchie constitutionnelle et parlementaire fera l'affaire. S'il n'y a pas de monarchie, elle voudra bien volontiers d'une dictature militaire. Dans le "pire" des cas, un système républicain aux conditions qu'il ait un exécutif fort et qu'il repose sur des principes hérités du christianisme. Le fascisme est pour un régime totalitaire à parti unique où l'Etat et le parti ne font qu'un, avec un mode de gouvernement reposant sur une seule personne qui fait l'objet d'un culte de la personnalité ; L'extrême droite est catholique. Le fascisme est laïc, athée et anticlérical ; L'extrême droite est nationaliste. Le fascisme est impérialiste et expansionniste. Le multiculturalisme, le multilinguisme et le multi confessionnalisme ne lui posent pas de problèmes pourvu qu'il s'agisse de traits perçus comme relevant d'un même groupe racial (chez les nazis, les Aryens pouvaient être Allemands, Danois, Néerlandais, Flamands, Luxembourgeois, Alsaciens...) ; L'extrême droite est souverainiste. Le fascisme est européiste ; L'extrême droite est individualiste. Le fascisme est collectiviste ; L'extrême droite est pour l'économie de marché, dans un système protectionniste où l'Etat joue un rôle important. Le fascisme, dans une économie de paix, est étatiste et planificateur dans le plus pur style soviétique. Il prône une économie la plus autarcique possible. Dans une économie de guerre, le fascisme est prédateur, s'accaparant à l'étranger tout ce dont il a besoin pour soutenir son effort de guerre. L'extrême droite est irrémédiablement antiallemande, quelque soit d'ailleurs le régime en place en Allemagne. Le fascisme est irrémédiablement anti tout ce qui n'est pas lui ; L'extrême droite a un reste d'antisémitisme de classe. Elle distingue les bons juifs des mauvais juifs qu'il faut assimiler même contre leur gré, au besoin au moyen de lois vexatoires et discriminantes. Le fascisme pratique un antisémitisme racial qui prône l'élimination physique des juifs.
La seule chose qui rapproche l'extrême droite du fascisme est leur haine du communisme. Et encore le fascisme hait-il le communisme parce qu'il le perçoit non comme un rival mais comme un concurrent.
Maintenant si vous arrivez encore à amalgamer extrême droite et fascisme, je pense qu'il faudra songer à consulter.
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1
-
1