Comments by "brice desmaures" (@bricedesmaures6216) on "Xavier Tytelman"
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Allons bon.. pas d'accès à la zone ??...Tu as des éléments de preuve malgré tes affirmations gratuites et approximatives ? mais évite les "je crois, je suis persuadé, on m'a dit". On en est saturé...
D'expérience autre que depuis mon clavier..., un exercice militaire fait l'objet de NOTAM = notice to airmen, qui est diffusé sur le réseau normal des infos aéronautiques. Ce jour là il n'y en avait pas. Ce sont des infos utiles pour les civils, car les exercices aériens impliquent des restrictions d'espace aérien, des restrictions de niveau de vol (FL) voire des interdictions de routes.
Si c'est une opération militaire, c'est différent mais pas tant que ça. Bien faire la différence entre exercice et opération qui se prépare avec anticipation, méthode et de gros moyens...
D'expérience, quand ça chauffe vraiment, on t'avertit toujours par NOTAM, de laisser tous les équipements "rayonnants" en marche (radar météo, radio sonde). J'ai connu ça dans le Golfe quand les américains ont abattu un airbus iranien avec presque 300 personnes ou pendant la guerre du Golfe.
Et crois tu vraiment que la Chine participerait à à un exercice avec la Thaïlande et la Malaisie..? Un peu de sérieux... tu devrais améliorer tes connaissances géostratégiques et géopolitiques.
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@Twentycent911 Certitude ? je suis largement moins affirmatif que Mr G.X qui lui est dans des certitudes. Je préfère dire que c'est très très largement improbable.
J'évacue tout de suite l'hypothèse de Diego Garcia via les Maldives dont les promoteurs sont toujours incapables de fournir un simple calcul arithmétique de carburant et de temps de vol. C'est pourtant digne d'un élève de 6 ème..
Pour une intervention en Mer de Chine entre Malaisie et Vietnam comme le pense Mr G.W, il faut quand même réfléchir:
- décollage d'avions de chasse à 2 h du matin, ca ne passe pas inaperçu au milieu de la Malaisie ou de Singapour. Des témoins ? aucun. Ne parlons pas de la trop grande proximité du Vietnam qui n'est ni aveugle ni sourd si des chasseurs sont dans leur espace aérien, idem pour Singapour. Pareil pour les très rares ravitailleurs en vol de la Malaisie et de Singapour. Ah oui, j'oubliais les AWACS (2 ?)...
- un avion abattu en vol en croisière ça fait du bruit et du feu. Curieux que les nombreux pêcheurs et bateaux de la région n'aient rien vu ni entendu. Idem pour les qq avions de ligne qui étaient dans le coin. Ca se verrait depuis des dizaines de km. Quant au ramassage en catimini de tous les débris ?? et leur envoi dans l'ouest australien. Faut quand même avoir un minimum de sérieux.
- pour un tir au milieu de l'océan indien, la logistique est encore plus énorme vues les distances, l'autonomie de chasseurs, ravitailleurs, AWACS. D'où viendraient ils ? Ah oui, Diego Garcia..
Il ne faut pas laisser son esprit critique au porte manteau de la cave...
Légèrement hors sujet, mais j'ai lu hier un document de france stratégie "opérations en environnement dégradé" daté de 2018. C'est intéressant et instructif.. et loin des fantasmes.
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2 ème élément technique que j'ai suggéré de lire et d'éventuellement de commenter, mais apparemment rien...
Si sur le rapport malaisien c'est relativement succinct, sur le rapport australien c'est plus détaillé et plus intéressant. Vous le trouverez > ATSB the operational search for MH 370 > pages papier 98 et 99 pour l'image.
Le Captain avait chez lui un simulateur assez sophistiqué (des photos sont disponibles sur le net). L'accident a eu leur le 4 mars et l'analyse de son simu a été assez rapidement faite pour être communiquée aux australiens le 19 avril.
Plusieurs vols ont intéressé les enquêteurs de la police malaise:
- plusieurs vols ont été faits depuis Lumpur avec une trajectoire vers l'ouest au cap 255° (détroit de Malacca) puis virage plein sud vers l' océan indien.L"avion" est monté à 40.000 ft. Les 2 derniers points étaient situés à 820 NM au sud ouest du cap Leewin en Australie,un point à 37.651 ft au cap 178° et incliné 11° droit, l'autre à 25 NM du précédent incliné 8° droit, assiette à piquer 5° et cap 173, altitude sélectée 4000 ft. vol jusqu'à l'épuisement carburant. Cela a fait voler 4200 NM et plus loin que le vol fatal qui n'avait pas la même quantité de carburant.
- un vol similaire à la trajectoire du MH 370 a été fait 6 semaines avant le vol MH 370.
Autres éléments donnés: la pente sans moteur du 777 est de 17:1, c'est à dire qu'il parcourt 2,8 NM par 1000 ft d'altitude > 120 NM si on part de 40.000 ft. A la fin du vol, le soleil était à 6 ° au dessus de l'horizon, et pour amerrir, il est recommandé de se mettre parallèle à la houle > se mettre cap sus ouest, train rentré et volets 30° et vitesse mini VREF+30.
Commentaire perso: quand les volets sont à 30°, les flaperons sont braqués à 31 °. L'analyse physique du flaperon faite par notre DGA = délégation générale à l' armement et communiquée au juge d'instruction, a étudié les efforts sur le fixations du flaperon.
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Un évènement survenu aux US sur 320 de Jetblue. Je ne peux m'empêcher de penser que les propos très borderline d'un pilote de bizjet dans les commentaires de cette vidéo, méritent réflexion pour les passagers et aussi pour les collègues pilotes. La trad vient de notre BEA.
Alors que l'avion quitte New York-JFK et prend de l'altitude dans son vol régulier de cinq heures à destination de Las Vegas, le commandant de
bord dit quelque chose au copilote (FO) à propos d'une évaluation par quelqu'un, mais le copilote ne sait pas ce qu'il veut dire. Le commandant
de bord parle ensuite de son église et de la nécessité de "se concentrer" et demande au copilote de prendre les commandes et de faire fonctionner les radios.
Le commandant de bord commence à parler de la religion, mais, selon le copilote, ses déclarations ne sont pas cohérentes. Le copilote s'inquiète lorsque le commandant de bord déclare : "plus rien ne compte." Selon le copilote, le commandant de bord s'adresse aux contrôleurs de circulation aérienne en hurlant dans la radio et leur ordonne de se taire. Le commandant de bord éteint les radios de l'aéronef, met en veilleuse ses moniteurs, et réprimande sévèrement le copilote pour avoir essayé de parler à la radio.
Lorsque le commandant de bord déclare : "nous avons besoin de faire un acte de foi", le copilote déclare qu'il s'est beaucoup inquiété. Le commandant de bord dit au copilote "nous n'allons pas à Vegas" et commence à prononcer ce que le copilote qualifie de sermon. Le copilote suggère au commandant de bord d'inviter le commandant de bord JetBlue au repos qui est à bord de l'avion à venir dans le poste de pilotage. Cependant, le commandant de bord quitte brusquement le poste de pilotage pour aller aux toilettes avant, inquiétant le reste de l'équipage de conduite en ne suivant pas le protocole de la compagnie pour quitter le poste de pilotage. Lorsque les agents de bord rencontrent le commandant de bord et lui demandent quel est le problème, il devient agressif et frappe à la porte des toilettes occupées, disant qu'il doit entrer.
Pendant que le commandant de bord est dans les toilettes, à la demande du copilote, un agent de bord fait venir le commandant de bord au repos au poste de pilotage, où ce dernier assiste le copilote pendant le reste du vol. Lorsque le commandant de bord quitte les toilettes, il commence à parler aux agents de bord, mentionnant les "150 âmes à bord." Le commandant de bord se dirige vers l'arrière de l'aéronef, s'arrêtant un moment pour demander à un passager s'il a un problème. Le commandant de bord revient ensuite en courant vers l'office de bord avant et tente de saisir son code afin de rentrer de nouveau dans le poste de pilotage.
Lorsque le copilote, sur le système d'annonce passagers, donne l'ordre d'arrêter le commandant de bord, plusieurs passagers interviennent et mettent le commandant de bord à terre dans le galley avant, où il continue de hurler des commentaires au sujet de Jésus, du 11 septembre, de l'Irak, de l'Iran, et des terroristes. Le copilote déclare une situation d’urgence, détourne l'avion vers Amarillo (Texas) et atterrit avec des passagers retenant toujours le commandant de bord dans le galley. Ce dernier est extrait de l'avion et emmené dans un établissement à Amarillo pour évaluation médicale. Cet incident a fait l'objet d'une enquête du FBI.
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