Comments by "FIFI BRINDACIER" (@lucidecassandre4096) on "Public Sénat"
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ACCORD BLUM-BYRNES - 1947 - Quatre semaines sur treize réservées aux films français, soit une capacité de 48 films par an, appauvrissement du style des cinéastes, passés à la moulinette des règles de la production américaine, etc ... Invasion par le cinéma américain - Hollywood -https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Blum-Byrnes
Pour l'historienne marxiste Annie Lacroix-Riz, ces accords avaient de la part des États-Unis un but politique, celui d'ancrer la France, alors susceptible de basculer vers le communisme, dans le camp libéral. Selon Lacroix-Riz25, la partie sur le cinéma visait la destruction de la production française, constituant le paradigme d'une aliénation de l'indépendance française et une mise sous tutelle du pays.
Pour le Parti communiste et les syndicats du secteur cinématographique français, il s'agit d'un moyen pour les États-Unis de diffuser l'American way of life (le mode de vie américain)21 à une population pouvant être tentée par le socialisme et de favoriser l'industrie cinématographique hollywoodienne.
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La lettre de Maurice Grimaud aux policiers
Devant les multiples témoignages publiés dans la presse et en particulier dans Le Monde, Maurice Grimaud, préfet de police, adresse, le 29 mai 1968, à tous les policiers une lettre individuelle. La presse fera état de cette lettre les jours suivants, en voici le texte :
"Je m'adresse aujourd'hui à toute la Maison : aux gardiens comme aux gradés, aux officiers comme aux patrons, et je veux leur parler d'un sujet que nous n'avons pas le droit de passer sous silence : c'est celui des excès dans l'emploi de la force.
Si nous ne nous expliquons pas très clairement et très franchement sur ce point, nous gagnerons peut-être la bataille sur ce point, nous gagnerons peut-être la bataille dans la rue, mais nous perdrons quelque chose de beaucoup plus précieux et à quoi vous tenez comme moi : c'est notre réputation.
Frapper un manifestant tombé à terre, c'est se frapper soi-même en apparaissant sous un jour qui atteint toute la fonction policière. Il est encore plus grave de frapper des manifestants après arrestation et lorsqu'ils sont conduits dans des locaux de police pour y être interrogés.
Je sais que ce que je dis là sera mal interprété par certains, mais je sais que j'ai raison et qu'au fond de vous-mêmes vous le reconnaissez.
Si je parle ainsi, c'est parce que je suis solidaire de vous."
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