Comments by "" (@williammarie2479) on "Sud Radio" channel.

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  17. Je vis au Paraguay depuis 12 ans et, franchement, je ne regrette pas la France au niveau médecine. Comparaison : - en France on cotise toute sa vie de salarié + une mutuelle et, les rares fois où on est malade on est remboursé des clopinettes. - ici on paye à l'acte si on est malade. Tarif bien inférieur à celui, hors Sécu, que paye les indépendants - en France on ne peut pas avoir de médicaments sans ordonnance, même ceux qu'on prend depuis des années (anticoagulants). Il faut perdre son temps dans une salle d'attente, payer une consultation bidon à un médecin, juste pour qu'il vous remplisse une ordonnance. - ici on achète tout ce qu'on veut en pharmacie (sauf les opiacés soumis à ordonnance) y compris les interdits en France qui contrariaient Big Pharma. Autre point : ici les médecins n'exercent pas tout seul avec juste un stéthoscope et un brassard à tension (et les moins chers possibles) ils sont en "sanatorios" (cliniques) et il y a plusieurs spécialistes. Par exemple venu pour un bras droit enflé et douloureux, j'ai juste reçu l'instruction de réduire la warfarine un temps, de prendre du furosémide et de voir son collègue équipé d'un scanner ultra moderne qui a inspecté mon bras pour voir s'il n'y avait pas un caillot veineux. Tout ça dans le même établissement. Les médecins isolés ça n'existe plus au Paraguay. Autre point un RV de consultation (hors urgence) en France c'est 2 mois pour un cardiologue et 3 mois pour un ophtalmo. Ici un RV c'est dans la semaine et une urgence c'est tout de suite. Par exemple venu en consultation, très fatigué, pour une atteinte de dengue, j'ai été hospitalisé tout de suite. Perfusions et analyses. C'est d'ailleurs étonnant comme la dengue perturbe les formules sanguines. Ce n'est donc pas une variété de grippe.
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  19. Je vois que tout le monde patauge dans le juridique, l'étatisme, les bons sentiments. Mois je ne suis qu'un biologiste et je vous dis ce qu'on observe chez des prédateurs qui vivent en groupe. Déjà la plupart des bestioles ont un territoire, individuel ou collectif, et on est prié de ne pas s'y aventurer. Il y avait, au Kenya, un coin parfait, sur le bord d'une route, pour faire de superbes photos sur la vallée du Rift en contrebas. "Ne vous y arrêtez surtout pas !" nous avait dit un chauffeur de taxi. C'est le territoire d'une bande de babouins et vous serez accueillis à coup de pierres. Revenons en France : on voit que des bandes ethniques sont capables de défendre leur territoire qu'ils se sont accaparés et qui traitent les vrais indigènes comme les babouins le font des touristes. Cela traduit quoi ? Que toute bestiole ou groupe de bestioles incapables de défendre son territoire est appelé à disparaître. Barbares ces prédateurs ? Oui, assurément ! Les loups tuent pour le plaisir dans un troupeau de moutons, ils ne se contentent pas d'en dévorer un. Pourtant la société des loups est très structurée. Si l'un d'eux veut être le chef, il y a alors un combat singulier et le vaincu tend sa gorge au vainqueur, pour accepter sa reddition. Passant de la biologie animale à la sociologie humaine, je ne vois pas grand avenir pour les petits français au train où ils sont partis. Poutine disait en rigolant que la France serait la colonie de ses anciennes colonies. C'est patent avec l'Algérie. "Bouh que c'est vilain la violence !". Il est plus dangereux juridiquement à un français de se défendre qu'à un malfrat immigré de commettre vols, viols et agressions. Au Paraguay, où je vis, il y a eu un temps où les immigrés européens se faisaient massacrés par les bandits locaux. J'ai vu une maison où il y avait des impacts de balles ainsi que des jolis dessins animaliers que faisait une dame belge, retraitée et vivant avec son mari. Tous deux assassinés. Mais l'État paraguayen n'avait pas apprécié ! Il y eut des arrestations mortelles parmi ces bandits et les européens furent incités à être armés. Du coup c'en a été fini des meurtres d'étrangers, les gringos étaient devenus une espèce protégée, d'autant que les dits bandits n'y avait pas intérêt car, comme je l'avais placardé sur ma porte : "mon argent dort à la banque et mon 9 mm sous mon oreiller". Par contre entre paraguayens...
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