Comments by "" (@williammarie2479) on "BLAST, Le souffle de l'info"
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@sebs3155
Jeune homme il faudrait considérer l'étymologie d'anarchie. Ça veut dire un système d'organisation humaine sans État, ni plus, ni moins.
"Il y a quelque part encore des peuples et des troupeaux, mais ce n’est pas chez nous, mes frères : chez nous il y a des États.
État ? Qu’est-ce, cela ? Allons ! Ouvrez les oreilles, je vais vous parler de la mort des peuples.
L’État, c’est le plus froid de tous les monstres froids : il ment froidement et voici le mensonge qui rampe de sa bouche : « Moi, l’État, je suis le Peuple. »
C’est un mensonge ! Ils étaient des créateurs, ceux qui créèrent les peuples et qui suspendirent au-dessus des peuples une foi et un amour : ainsi ils servaient la vie.
Ce sont des destructeurs, ceux qui tendent des pièges au grand nombre et qui appellent cela un État : ils suspendent au-dessus d’eux un glaive et cent appétits."
(Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, De la nouvelle idole)
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Je suis totalement en accord avec ces propos. Auteur d'une série de S-F de 5 volumes : les trafiquants des étoiles, j'ai tenté de me faire éditer, sans y croire. En envoyant aux éditeurs du genre mon "manuscrit" (en fait un fichier Word) du tome 1, je ne me faisais aucune illusion et la suite me donna raison. C'était comme envoyer une "candidature spontanée" à une boîte où règne le népotisme.
Mais il faut les comprendre ces pauvres éditeurs : ils sont trop occupés à corriger les fautes dans le dernier bouquin d'Olivier Véran, de les envoyer en "office" à toutes les "maisons de la presse" et puis récupérer plus tard les 99,5 % d'invendus pour les envoyer au pilon.
Donc ma série n'a eu qu'une petite diffusion via Amazon et c'est tout.
Idem pour mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" qui était vilainement complotiste.
J'ai aussi écrit une nouvelle de fantastique : "Nous irons tous au paradis (même moi)" qui est un genre difficile surtout en nouvelles.
Toutefois on ne peut plus écrire de la S-F à la façon d'Asimov sur la robotique et les déplacements dans "l'hyper espace", il faut mentir (ce qui est la définition même de l'écrivain) mais que ce mensonge soit vraisemblable. Me suis-je cassé la tête moi qui ne suis qu'un biologiste-biochimiste avec l'astrophysique. Certes le diagramme de Hertzsprung-Russell des étoiles n'eut plus de secret pour moi et je fis des acrobaties dialectiques pour dépasser, sans la dépasser vraiment, la vitesse de la lumière. Mais j'ai lu qu'un théoricien de l'astrophysique avait émis une idée qui se rapprochait de la mienne. Quant aux fameux "trous de vers" que les astrophysiciens "sérieux" dédaignaient, j'ai lu qu'on en avait détecté un récemment.
Sur le plan humain : les "trafiquants" de ma série sont, en fait, des caboteurs de l'espace et ils livrent des marchandises à des planètes que les grands transporteurs ne peuvent livrer. De la même façon qu'un porte containers ne va pas en livrer un seul à une petite île.
Mais ces personnes ne peuvent plus vivre sur le plancher des vaches car le paradoxe de Langevin leur donne, par rapport aux autochtones une jeunesse presque perpétuelle et rend impossible une liaison avec une famille autochtone. "Terrien, t'es rien !" est l'expression favorite des trafiquants qui ne savent plus qu'elle est d'un certain Thiéfaine.
Au final, comme j'écris, quand même, pour être lu, j'ai renoncé à poursuivre malgré les idées qui me galopent dans la tête (j'avais écrit la moitié du tome 6).
Abonné aux actualités de Babelio, je constate que ce qui se publie actuellement sont essentiellement des histoires de femmes, écrites par des femmes et pour des femmes. Donc je peux me ramasser avec mes histoires...
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