Comments by "" (@williammarie2479) on "BLAST, Le souffle de l'info" channel.

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  14. Je suis pourtant issu d'un milieu modeste (ma mère était sténo-dactylo à la Caisse Vieillesse) mais on a toujours été en vacances et dans une maison en location, près de la mer (surtout) mais aussi dans la montagne. Il faut dire que j'avais des goûts très simples : les ballades, la lecture et je n'en demandais pas plus. "Il en faut peu pour être heureux" chante Balo dans Le livre de la jungle. La lecture il fallait se trouver des bibliothèques de prêt gratuites. C'était l'une des premières tâches quand on déboulait dans un lieu de vacances. Ça a continué même si j'ai pu me payer un voilier de 10 m. Une "traction à vent" qui ne me coûtait pas cher en carburant en même temps qu'un camping-car. Jamais aimé les cons j'ai payé et leurs plages bondés. D'ailleurs mon mois de ballade préféré c'était juin ! En juillet et août tout est desséché. Et sur mes vieux jours je n'ai pas changé. J'aime aller dans des coins paumés de la Cordillère avec ma camioneta quatquateuze. Maintenant je vais plutôt dans les terre désolées et les étendues glacées de Bordeciel. Les amateurs de jeux vidéos reconnaîtront ces endroits. Car outre les ans, c'est aussi le prix du gasoil qui s'accumule. Quant aux bouquins je croule sous le nombre (et les électroniques ne prennent pas de place, eux, j'en ai 23.392 me dit le gestionnaire de bibliothèque Calibre). Tout ça pour vous dire que les vacances, c'est, au final, du temps à soi et il y a plein de moyens pour l'occuper agréablement et pour pas cher.
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  42. Je suis totalement en accord avec ces propos. Auteur d'une série de S-F de 5 volumes : les trafiquants des étoiles, j'ai tenté de me faire éditer, sans y croire. En envoyant aux éditeurs du genre mon "manuscrit" (en fait un fichier Word) du tome 1, je ne me faisais aucune illusion et la suite me donna raison. C'était comme envoyer une "candidature spontanée" à une boîte où règne le népotisme. Mais il faut les comprendre ces pauvres éditeurs : ils sont trop occupés à corriger les fautes dans le dernier bouquin d'Olivier Véran, de les envoyer en "office" à toutes les "maisons de la presse" et puis récupérer plus tard les 99,5 % d'invendus pour les envoyer au pilon. Donc ma série n'a eu qu'une petite diffusion via Amazon et c'est tout. Idem pour mon roman dystopique orwellien : "2084 ou le confinement perpétuel" qui était vilainement complotiste. J'ai aussi écrit une nouvelle de fantastique : "Nous irons tous au paradis (même moi)" qui est un genre difficile surtout en nouvelles. Toutefois on ne peut plus écrire de la S-F à la façon d'Asimov sur la robotique et les déplacements dans "l'hyper espace", il faut mentir (ce qui est la définition même de l'écrivain) mais que ce mensonge soit vraisemblable. Me suis-je cassé la tête moi qui ne suis qu'un biologiste-biochimiste avec l'astrophysique. Certes le diagramme de Hertzsprung-Russell des étoiles n'eut plus de secret pour moi et je fis des acrobaties dialectiques pour dépasser, sans la dépasser vraiment, la vitesse de la lumière. Mais j'ai lu qu'un théoricien de l'astrophysique avait émis une idée qui se rapprochait de la mienne. Quant aux fameux "trous de vers" que les astrophysiciens "sérieux" dédaignaient, j'ai lu qu'on en avait détecté un récemment. Sur le plan humain : les "trafiquants" de ma série sont, en fait, des caboteurs de l'espace et ils livrent des marchandises à des planètes que les grands transporteurs ne peuvent livrer. De la même façon qu'un porte containers ne va pas en livrer un seul à une petite île. Mais ces personnes ne peuvent plus vivre sur le plancher des vaches car le paradoxe de Langevin leur donne, par rapport aux autochtones une jeunesse presque perpétuelle et rend impossible une liaison avec une famille autochtone. "Terrien, t'es rien !" est l'expression favorite des trafiquants qui ne savent plus qu'elle est d'un certain Thiéfaine. Au final, comme j'écris, quand même, pour être lu, j'ai renoncé à poursuivre malgré les idées qui me galopent dans la tête (j'avais écrit la moitié du tome 6). Abonné aux actualités de Babelio, je constate que ce qui se publie actuellement sont essentiellement des histoires de femmes, écrites par des femmes et pour des femmes. Donc je peux me ramasser avec mes histoires...
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