Comments by "" (@williammarie2479) on "FatCat Finance (anciennement 1984)" channel.

  1. L'autoentreprenariat est un piège ! Vous êtes racketté par les impôts, les caisses de retraite, l'URSSAF, etc. avant même d'avoir engrangé un euro. La solution est ailleurs "loin, loin, ici la boue est faite de nous pleurs" C'était ma conclusion il y a 15 ans et, il y a 13 ans j'étais parti définitivement. Où ça ? Au Paraguay, un pays qui n'a rien de spectaculaire qui est une vaste Normandie avec des milliers de vaches. Donc premières ressources : la viande et le lait. Mais aussi le soja (4e producteur mondial), la canne à sucre. Ceci pour l'économie globale avec une monnaie stable en quasi parité avec le dollar. On peut donc placer son fric dans les banques dont les comptes à terme rapportent 8 % net annuel. Il y a beaucoup d'opportunités. Par exemple en rénovation/construction de maisons individuelles tellement ici les locaux travaillent mal (ne comprennent pas qu'il faut une pente pour évacuer l'eau et sont incapables de faire un béton armé élémentaire). Ceci exaspère une classe moyenne montante. Une entreprise sérieuse d'expatriés ferait fortune. Mais voilà, faut pas rêver, les français sont d'une asociabilité absolue et je n'ai trouvé personne en 13 ans de résidence ici même en écumant les forums expatriations. Je vis donc de mes placements bancaires, c'est toujours ça. Les allemands aussi déboulent en masse, mais en famille et en groupe car ils sont plus sociables que les français. Décidément les français sont nuls pour vivre dans leur pays, mais sont aussi nuls pour vivre ailleurs. Mais "Nous autres civilisations savons maintenant que nous sommes mortelles" écrivait Paul Valéry en 1924 dans son premier Variété.
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  2. On t'oblige pas, tu peux rester sur le pont du Titanic, à chanter "plus près de toi mon Dieu"
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  3.  @Jazzy-Jeppie  toubabou c'est du wolof, c'est le pluriel de toubab qui signifie blanc (de même que bougnoul veut dire noir et n'a rien de péjoratif)
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  4.  @GigiRouette  Au Paraguay il ne faut pas "être employé" outre qu'ils n'embaucheront jamais un gringo. Ici il faut oublier le salariat. Il faut être entrepreneur à son compte. On doit vite se faire une bonne réputation tellement les locaux du secteur bâtiment travaillent mal (ne comprennent pas qu'il faut une pente pour évacuer l'eau et sont incapables de faire un béton armé élémentaire). Ici la classe moyenne est montante et en a marre du travail de m*** Mon problème à moi c'était que j'étais tout seul car les français ne sont pas plus sociables au Paraguay qu'en France.
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  5. L'espagnol est la langue voisine la plus facile à apprendre. Et au Mexique ils la parlent très bien. Je me souviens d'un reportage sur les petits boulots aux feux rouges. Le journaliste demandait à une petite fille ce qu'elle ferait de son argent. Réponse : "Para comprar zapatos" parfaitement prononcé. Quand c'est un américain standard, je ne reconnais pas un mot.
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  6.  @popyls  Beaucoup viennent au Paraguay et en famille. Il y avait des relations historiques (les mennonites) et des entreprises de l'alimentaire sont d'origine allemande ou hollandaise. Les locaux se contentant d'une mauvaise auto subsistance.
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  7. "Quand tout ira mieux" ? Quand le Titanic colmatera tout seul ses voies d'eau et que les pompes évacueront. Faut pas abuser des euphorisants, ce sont des drogues toxiques.
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  8. Il fait quoi ? Il est CRS ? :face-blue-smiling:
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