Comments by "" (@williammarie2479) on "Nicolas Dupont-Aignan"
channel.
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@Yeshoua..la..seule..issue.
La réponse définitive à l'attrait de la religion fut analysée par Marx en 1843. Il ne jette pas la pierre aux croyants mais il expliquent comment ils furent bernés sur de vraies et légitimes préoccupations.
C'est une réponse définitive à cet embrouillamini spirituel.
"Le fondement de la critique irréligieuse est celui-ci : l’homme fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme. La religion est en réalité la conscience et le sentiment propre de l’homme qui ou bien ne s’est pas encore trouvé, ou bien s’est déjà reperdu. Mais l’homme n’est pas un être abstrait, extérieur au monde réel. L’homme, c’est le monde de l’homme, l’État, la société. Cet État, cette société produisent la religion, une conscience erronée du monde, parce qu’ils constituent eux-mêmes un monde faux. La religion est la théorie générale de ce monde, son compendium encyclopédique, sa logique sous une forme populaire, son point d’honneur spiritualiste, son enthousiasme, sa sanction morale, son complément solennel, sa raison générale de consolation et de justification. C’est la réalisation fantastique de l’essence humaine, parce que l’essence humaine n’a pas de réalité véritable.
La lutte contre la religion est donc par ricochet la lutte contre ce monde, dont la religion est l’arôme spirituel.
La misère religieuse est, d’une part, l’expression de la misère réelle et, d’autre part, la protestation contre la misère réelle. La religion est le soupir de la créature accablée par le malheur, l’âme d’un monde sans coeur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. C’est l’opium du peuple.
Le véritable bonheur du peuple exige que la religion soit supprimée en tant que bonheur illusoire du peuple.
Exiger qu’il soit renoncé aux illusions concernant notre propre situation, c’est exiger qu’il soit renoncé à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc, en germe, la critique de cette vallée de larmes, dont la religion est l’auréole. La critique a effeuillé les fleurs imaginaires qui couvraient la chaîne, non pas pour que l’homme porte la chaîne prosaïque et désolante, mais pour qu’il secoue la chaîne et cueille la fleur vivante. La critique de la religion désillusionne l’homme, pour qu’il pense, agisse, forme sa réalité comme un homme désillusionné, devenu raisonnable, pour qu’il se meuve autour de lui et par suite autour de son véritable soleil.
La religion n’est que le soleil illusoire qui se meut autour de l’homme, tant qu’il ne se meut pas autour de lui-même.
L’histoire a donc la mission, une fois que la vie future de la vérité s’est évanouie, d’établir la vérité de la vie présente. Et la première tâche de la philosophie, qui est au service de l’histoire, consiste, une fois démasquée l’image sainte qui représentait la renonciation de l’homme à lui-même, à démasquer cette renonciation sous ses formes profanes. La critique du ciel se transforme ainsi en critique de la terre, la critique de la religion en critique du droit, la critique de la théologie en critique de la politique."
Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel (1843)
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Quand j'ai quitté définitivement la France il y a 11 ans c'était un projet mis en route il y a 15 ans.
Ce n'était nullement le coronavirus qui m'a poussé vers la sortie, il n'existait pas à cette époque, tout au moins sous sa forme qui a conduit à une dictature sanitaire, parce que les coronavirus sont très nombreux et existent bien avant l'humanité
Non c'était un mal plus récent : le coranovirus et qui ne se contentait pas de tuer des gens en fin de vie.
Mais les français, qui sont les champions toute catégorie de la soumission ont laissé faire cette invasion et certains en redemandaient, la majorité râlotait un peu mais laissait faire et, tous les 4 ans, et ce depuis 40 ans, revotaient pour les mêmes qui avaient favorisé cette invasion.
Et quand il y avait des massacres les bonnes âmes se précipitaient avec leurs bouquets de fleurs, leurs bougies et leurs nounours.
Pour moi c'était clair, je ne pouvais plus vivre au milieu de ces gens.
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Toutes les indignations des gens honnêtes ne peuvent rien contre la soumission et l'abrutissement des français.
Donc au lieu de vous faire des trous dans l'estomac, allez dans des pays sinon absents de malversations, tout au moins qui n'impactent pas les peuples.
Mon exemple : je vis au Paraguay depuis 12 ans. Ce pays a une mauvaise réputation (c-f Transparency International qui le met en 2e position des pays ripous d'Amérique du Sud, derrière le Venezuela (difficile de faire mieux)), mais cela n'impacte pas la population qui vit sans être rackettée comme les français.
Et, pour ne rien arranger, la presse qui est assez libre ici (Ultima hora), quand elle a un ripou dans son collimateur, elle ne le lâche pas. Toutefois c'est peine perdue car il est vite remplacé par un autre. Ainsi des procureurs (2 ces derniers temps) se sont fait descendre par des gangs de trafiquants de drogues. Mais, au moins, cela n'a pas pu être étouffé.
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