Comments by "" (@williammarie2479) on "Sud Radio" channel.

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  34. Tout d'abord je salue François Gervais avec lequel j'ai beaucoup appris sur la climatologie faisant partie de mon cursus d'écologie (la vraie, la scientifique, faut-il le préciser). Mais une petite réflexion géologique : l'élément chimique carbone est immuable quantitativement parlant selon l'aphorisme de Lavoisier "rien ne se crée, rien ne se perd". On peut avoir un apport d'eau par des météorites, mais rien, ou alors en quantité insignifiante, pour le carbone. Autre point, et il faut remonter au Carbonifère, où les plantes de l'époque faisaient une honteuse chrématistique (pour reprendre le concept d'Aristote appliqué à la monnaie) avec le carbone qu'elle ne renvoyaient nullement dans l'atmosphère mais qu'elles enfouissaient dans leurs coffres-forts souterrains sous forme de lignite, de charbon, de gaz ou de pétrole. Tout cela affamait littéralement les générations de plantes suivantes et ce jusqu'à notre époque. Quand, depuis la révolution industrielle, on a brulé avec entrain pétrole, gaz et charbon, cela a réjoui les plantes. "Enfin à manger !" se sont-elles dit et se sont développées avec entrain pour la plus grande joie, entre autres, des agriculteurs. Cela a été testé et constaté par les satellites dédiés "chlorophylle" car le développement agricole intéresse tous les businessmans de la planète et donne totalement raison au professeur François Gervais. Personnellement je n'échangerais pas 2 barils (et même plus) de CO2 contre un petit pot de déchets radioactifs comme on nous le propose avec l'absurdité thermodynamique des voitures électriques.
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